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FredericBezies

source: FredericBezies

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Gnome 3.6, la version qui sera le cercueil de Gnome 3.x ?

dimanche 7 octobre 2012 à 18:46

Je suis un vieil utilisateur de Gnome (en gros depuis la version 2.12.x), mais je me pose la question pour savoir si je vais migrer ou pas vers la version 3.6 de Gnome.

En effet, tout comme pour Unity et de Microsoft Windows 8, les concepteurs de l’interface considèrent que les machines de bureau et les portables sont désormais quantité négligeable.

Les concepteurs d’interfaces nouvelle génération font une énorme conn… bêtise en jettant à la poubelle un peu trop vite les machines fixes et les portables.

Une tablette qui a au maximum une surface de 10 ou 11 pouces sera toujours moins confortables à l’utilisation qu’une machine avec un clavier et une souris, surtout si on reste de la bureautique de base… Ou encore du jeu vidéo, de la retouche photo, etc…

D’ailleurs, il est intéressant de noter qu’on trouve un peu partout des claviers sans fils pour les tablettes tactiles, quelque soit la marque concernée.

J’ai installé une ArchLinux sur mon portable, pas que la Viperr soit une mauvaise distribution, loin de là. Mais j’ai fini par craquer, et mettre un environnement ArchLinux.

Et dessus, pour faire des tests, j’ai activé le dépot Gnome Unstable même si celui-ci n’est pas complètement terminé. Il faut dire que le mainteneur de gnome pour Archlinux a fait un choix radical : support unique de systemd pour les paquets Gnome.

Et le non passage complet à systemd doit être un facteur de ralentissement à l’arrivée d’une version complète du port de Gnome pour Archlinux, même si celui-ci est bien avancé.

J’avais installé Gnome-Unstable sur mon pc principal, mais j’ai fait marche arrière. Je suis revenu à Gnome 3.4. Le temps que Gnome 3.6 arrive sur le dépot testing, j’aurais réfléchi à mon prochain environnement de bureau.

Une vidéo expliquera plus que mille mots ce que je pense de cette version de Gnome. Il ne faut pas oublier que ce n’est pas encore une version finalisée, et que les bugs rencontrés seront surement corrigés entre temps.

Le mouvement entamé par la version 3.4 de Gnome atteint maintenant un point qui me fait dire : bon, et maintenant, je vais me tourner vers quelle interface ? Unity ? Non. Même problématique que Gnome-Shell.

KDE SC ? Non, c’est viscéral, je ne peux pas voir cet environnement en peinture. Xfce ? Une possibilité. Quant à Cinnamon, je ne crois plus en son avenir en ce moment. Tout comme l’avenir de Mint, qui a raté une occasion en or avec LMDE.

En vrac’ de fin de semaine

samedi 6 octobre 2012 à 13:47

Un petit en vrac’ pour finir la semaine.

Bon week-end.

Salix 14.0 béta 1 : la slackware pour être humain en pleine ébullition.

mercredi 3 octobre 2012 à 12:30

La Slackware Linux est comme Ubuntu, une distribution qui connait des versions dérivées, même si elles sont largement moins nombreuses. Parmi les dérivées de la Slackware Linux, il y a entre autres la Absolute (dédiée aux machines à ressources modestes) et la SalixOS.

La première version béta de la SalixOS 14 étant disponible, j’ai voulu voir ce que donnait cette préversion. La dernière fois que j’ai parlé de la SalixOS, c’était fin 2011.

J’ai donc récupéré l’ISO en version 64 bits, et j’ai lancé l’installation dans une machine virtuelle VirtualBox. J’ai choisi d’automatiser au maximum l’installation, aussi bien sur le plan du partitionnement du disque que de la mise en place, prenant une version « complète ».

L’installation est la même que dans le précédent article, donc, inutile d’en rajouter des tonnes. L’ajout d’un compte utilisateur est très simple, même si une installation en mode ncurses pourrait effrayer un peu au premier abord :)

Ce qui est agréable, c’est que la version de Xorg proposée permet enfin d’éviter les bidouilles qui étaient encore à appliquer à l’époque de la Salix 13.37 finale.

Wicd refuse de se connecter en mode filaire. Chaque tentative de connexion est un échec. Il faut alors ouvrir un terminal, se connecter en root, et entrer la commande : dhcpcd eth0 pour que la connexion fonctionne :(

J’ai ensuite lancé l’outil gslapt pour récupérer les mises à jour disponibles. Aucune disponible.

Pour compléter l’offre logicielle, j’ai rajouté les codecs multimédias complémentaires, et c’est assez complet. Deux minutes plus tard, tout était récupéré :)

L’installation des traductions des logiciels ? Gslapt est notre allié. Il m’a suffit de taper le nom du logiciel, et de trouver la ligne qui allait bien.

Ce n’est qu’une version béta, donc il y a encore quelques angles à arrondir, un bug ennuyeux – à cause de la carte réseau émulée par VirtualBox ou interne à Wicd – oblige à utiliser une ligne de commande un peu rébarbative pour avoir une connexion fonctionnelle en mode filaire.

Sans oublier que j’ai été de m’y reprendre à plusieurs fois pour faire fonctionner Claws Mail, deux paquets dépendants pour faire fonctionner le logiciel étant absents :(

Mis à part ces petits bugs, j’ai trouvé l’ensemble rapide, très stable, très utilisable.

Dommage que Gslapt soit aussi rudimentaire, car une présentation un peu plus conviviale en proposant une navigation par catégories de logiciels pourrait aider cette distribution à mieux être connue.

Autant dire que la version 14.0 finale sera de très bonne qualité, tout comme sa distribution d’origine, la vénérable Slackware Linux.

Mercredi musical, deuxième partie : Lullatone et « Soundtracks For Everyday Adventures ».

mercredi 3 octobre 2012 à 10:05

Lullatone, c’est un duo, et un couple américano-japonais, vivant à Nagoya, formé par Shawn James Seymour et sa compagne Yoshimi Tomida.

Fouillant un jour Bandcamp, je tombe sur leur album, sorti en octobre 2011, « Soundtracks For Everyday Adventures »

Intrigué, je lance la lecture du flux, et c’est une claque monumentale. Une musique douce, toute en cordes, sons doux, qui berce l’auditeur.

Des musiques toutes simples, entrainante, comme la piste « A Runaway Kite » ou encore « An Older Couple Handing Hands » qui plonge l’auditeur dans un monde doux, reposant. Tout l’album est ainsi fait, on ne se lasse pas de ces mélodies simples, mais pas simplistes. Le genre de musique qu’on aime à écouter quand on veut se détendre.

Les morceaux sont très court, le plus long n’arrivant à qu’à un peu plus de 3 minutes. Ce qui permet de garder l’auditeur attentif. La grosse demi-heure que dure l’album est un pur bonheur. Et quand on arrive à la fin, on se dit : déjà ? Et on se relance la lecture pour retourner dans une période de douceur.

Autant dire que je pense écouter les autres opus du duo, et peut-être compléter la discographie du duo.

Mercredi musical, première partie : un peu de giraffe ?

mercredi 3 octobre 2012 à 09:19

J’ai eu envie de parler de deux albums qui m’ont particulièrement plu. Pour des raisons pratiques, j’ai coupé l’article en deux.

Commençons par le nouvel opus des « And The Giraffe » qui sortira officiellement le 2 novembre prochain, et qui est disponible en précommande : « Creature Collector »

Si vous avez écouté et aimer le premier opus, dont j’avais parlé en février dernier, aucun doute, vous aimerez ce nouvel opus. C’est la même recette : de la pop folk étherée, douce, sucrée comme dans un rêve.

Comme pour le premier opus du groupe, dès la première piste on se laisse emporter, et quand arrive la dernière piste, on se dit : merdre, c’est déjà fini ?

Et inutile de poser la question, j’ai précommandé un des 50 exemplaires en version physique, en espérant ne pas être arrivé trop tard :)

Je tiens à remercier Greg pour l’info que j’aurais ignoré autrement :(

Bonne écoute.