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FredericBezies

source: FredericBezies

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Un petit peu de culture en ce mardi :)

mardi 28 octobre 2014 à 08:01

Un billet culturel très court, qui va parler d’un livre et d’un album de musique. En ce moment, j’en ai un peu ma claque des billets techniques, et varier les plaisirs, ça ne fait jamais de mal ;)

Commençons par le livre, un classique de la science fiction nord-américaine, j’ai nommé « Martiens, Go Home ! » de Fredrik Brown (1906-1972)

Martiens-Go-HomeDans ce roman de SF parodique, sorti en 1954, l’histoire commence avec les mésaventures de Luke Deveraux, auteur de romans SF dont le manque d’inspiration se noie dans les verres d’alcools. Alors qu’il attaque son énième verre de la soirée, on frappe à la porte de la cabane qu’un ami lui a prété. Un être à la peau verte, chauve, imberbe, se présente. C’est un martien. Comme les autres membres de son espèce, il se déplace par la volonté, en « couimant ». Il est malpoli, insupportable, curieux comme pas deux, et à deux facultés qui rende la vie humaine impossible : sa vision à rayons X, et son invulnérabilité à toute forme d’attaques physiques.

Autant dire que c’est le casse-bijoux de famille ultra haut de gamme. Je vous conseille fortement le chapitre avec l’arrivée des martiens chez les militaires, c’est du pur sucre.

Passons maintenant à l’album musical, à savoir « Noctis », un EP de 5 titres, collaboration entre Screenatorium et KesakoO.

C’est un album basé sur le thème de la nuit, qui mélange des influences jazzy, trip-hop, parfois du rap, mais le tout dans une synthèse qui vous berce, vous prend de la première note et ne vous relache qu’une vingtaine de minutes plus tard à la fin de l’écoute. Idéal pour se détendre après une journée des plus stressantes.

C’est en quelque sorte le digne successeur de Merysland dont j’avais parlé en octobre 2013.

Si vous aimez Merysland, vous aimerez Noctis. C’est tout ce que j’ai à dire.

Allez, bon mardi !

« Chroniques de la Nouvelle-Arkaïa », mon deuxième roman auto-édité disponible en version papier… Et bientôt en électronique.

lundi 27 octobre 2014 à 15:26

Il y a 6 mois, je parlais de la publication en auto-édition de mon premier roman, « Arkaïa ». Ce que je n’avais pas précisé, à l’époque, ignorant l’accueil de celui-ci, c’est qu’une suite avait été extraite de mon cerveau, écrite en l’espace de quatre à cinq mois, toujours sur mon temps libre, et en parallèle à mes publications en libre accès.

L’histoire pouvait être considérée comme terminée à la fin du roman déjà publié, et il n’était pas nécessaire de savoir que j’avais rédigé une suite. Avec les retours positifs, bien que peu nombreux, sur mon premier gros texte, j’ai pris mon courage à deux mains, et après 4 mois de relectures entrecoupées de pause (c’est long et laxatif de relire un texte), scrupuleusement vérifié l’orthographe et la grammaire, voici donc le tome 2 de mon récit de science-fiction dystopique.

La version électronique devrait être disponible d’ici début novembre 2014, avec le même principe : non aux DRMs. Je rajouterais les liens vers les versions électroniques dès sa disponibilité.

Je sais, la couverture ne fait pas vraiment science-fiction classique, mais il ne faut pas oublier que la SF ne se limite pas à des sagas à la Star Wars ou à la Star Trek :)

Voici donc le quatrième de couverture, que je vous recopie ici :

Cinq ans sont passés depuis la fin de l’histoire racontée dans « Arkaïa ». Du haut de ses dix-huit mois, Lauryana dort près du lit de ses parents. Dans sa chambre, Carole-359 émerge tout juste d’une longue nuit de sommeil réparatrice, se préparant à jouer un mauvais tour à Vincent-359, son frère jumeau.

Dans un autre appartement, Antonia-358 s’apprête à aller au travail. Le benjamin de la famille, Lucas prend son petit déjeuner sous le regard de ses parents.

Une nouvelle journée commence. Une journée de plus dans la vie de la Nouvelle-Arkaïa et de ses habitants.

Découvrez la suite des aventures des personnages d’Arkaïa, et de leur univers dystopique.

Comme pour le premier roman, c’est un coup de poker que je fais, car j’ignore si ce roman sera apprécié et s’il aura droit aux mêmes bonnes critiques que le premier. Mais au moins, je n’aurais pas le regret de ne pas avoir essayé !

Double coup de gueule libriste : la Blag Linux et les versions LTS+1 d’ubuntu et de ses dérivées.

samedi 25 octobre 2014 à 16:49

Oui, deux coups de gueule pour le prix d’un. Le premier concerne la Blag Linux qui me semble être une distribution où la mauvaise foi est congénitale. J’ai étrillé la distribution dans un article en date du 23 octobre 2014.

Dans l’article en question, avec capture d’écran à l’appui (et avec une capture vidéo aux alentours de la 4ième minute), on pouvait lire sur la page de l’outil de suivi qu’une version stable à venir était prévue pour le 22 octobre 2014.

Que peut-on lire maintenant ?

BLAG 200000 is available for testing. There are 32bit and 64bit isos for GNOME, LXDE, MATE, MINI and XFCE. You can contribute to the development of this release by downloading your desktop of choice, testing and providing feedback on our developers mailing list or chat with us on IRC.

Ce qu’on peut traduire par :

La BLAG 200000 est disponible pour les tests. Il y a les ISOs 32 bits et 64 bits pour GNOME, LXDE, MATE, MINI et XFCE. Vous pouvez contribuer au développement de cette version en téléchargeant votre bureau de choix, tester et fournir des retour vers nos développeurs via liste de diffusion ou discuter avec nous sur IRC.

Et la goutte d’eau qui fait déborder le vase ? L’annonce de publication de la version qui s’avère être une… version alpha ! En clair, on est passé (capture d’écran et vidéo à l’appui) d’une version dite stable à une alpha qui est le premier stade de développement d’une distribution !

Si cela n’est pas du « on se moque du monde » en version XXXL, qu’est-ce que c’est ? Autant dire que le projet GDNewHat qui était vraiment utilisable, modulo le caricatural GNU/Icecat fourni avec la distribution s’est sabordé pour rien.

Autant dire que désormais, vous n’entendrez plus parler de cette escroquerie technique qu’est la Blag Linux.

Le deuxième coup de gueule concerne la sortie de la Ubuntu 14.10, spécialement des personnes qui se plaignent – à juste titre – du peu de nouveautés apportées par cette première version sortie après la 14.04 LTS.

Cyrille Borne a pondu un coup de gueule rapide sur diaspora*, surtout par rapport à la Xubuntu 14.10 qui ne semble pas être à son goût.

Avant que Cyrille ne ponde un article dont lui seul a le secret, il faut faire un petit voyage dans le temps, et voir ce qu’ont apportés les versions LTS+1 de la Ubuntu, depuis la première d’entre elles, j’ai nommé la Ubuntu Edgy Eft, alias 6.10.

Ajout à 16 h 22 : Cyrille a écrit son article, je ne l’avais pas vu

Sortie en octobre 2006, elle n’avait que peu de nouveautés : ajout de Tomboy, F-Spot, et l’utilisation du nouveau système d’initialisation, upstart. Ce qui n’était pas si mal que cela, surtout que son cycle de développement fut l’un des plus courts, à peine quatre mois. La première LTS d’Ubuntu étant la 6.06, donc sortie en juin et non en avril comme cela sera la règle par la suite.

Sautons deux ans, et voyons donc la Ubuntu Intrepid Ibex, alias 8.10. Au menu ? Des améliorations pour le support de l’informatique mobile, l’arrivée d’un créateur de clé USB démarrable, l’ajout du compte invité, le dkms (pour que les modules noyaux tiers soient automatiquement recompilés), et la possibilité de chiffer le compte utilisateur.

Deux ans plus tard, nous avons la Ubuntu Maverick Meerkat, alias 10.10. F-Spot a été remercié et remplacé par Shotwell. On peut faire des achats dans le ubuntu Software Center. Mais la vraie nouveauté de cette version est l’apparition d’Unity, mais uniquement pour la version netbook de la distribution. Unity ne fera son apparition sur le bureau que pour la version 11.04 d’Ubuntu, alias Natty Narwhal.

La Ubuntu Quantal Quetzal alias 12.10 est la quatrième Ubuntu LTS+1 de l’histoire. Les gros morceaux sont l’amélioration graphique, l’abandon d’Unity2D, un menu utilisateur qui regroupe les fonctionnalités systèmes et de gestion de session. Sans oublier les WebApps (qui permettent d’enrober des pages webs sous forme d’applications). Rien de bien transcendant.

La version 14.10 d’Ubuntu qui est sorti est à l’image de la Quantal Quetzal, sauf que cette fois, l’accent a été mis sur les améliorations techniques, et un rafraichissement de la logithèque. Ce qui est logique, quand on regarde l’historique des versions entre deux LTS :

  1. LTS + 1 : ajout d’outils, améliorations graphiques ou techniques
  2. LTS + 2 : ajout des grandes nouveautés (comme Unity pour la 11.04) dans la distribution
  3. LTS + 3 : deuxième vague d’ajouts, cependant moins critiques pour préparer la LTS suivante

Que les versions LTS+1 soient peu « mouvementées » par rapport à la LTS qui précéde, c’est relativement logique. Le gros des modifications pour le cycle qui mèneront à la 16.04 LTS arriveront pour la Vivid Vervet (dont la migration vers systemd ?) et le duo Mir et Unity 8 pour la 15.10, si tout se passe bien.

Seul l’avenir nous le dira.

En vrac’ rapide et libre de fin de semaine.

samedi 25 octobre 2014 à 10:34

Un petit en vrac’ pour finir cette semaine du mois d’octobre 2014.

 

Voila, c’est tout pour aujourd’hui, mais c’est déjà pas si mal ;)

Un petit peu d’auto-promotion : « Complètement Geeks ».

jeudi 23 octobre 2014 à 17:57

« Complètement Geeks » est un livre que j’ai rédigé à la demande et en collaboration avec l’éditeur français Larousse. Après avoir été contacté par leurs services – j’ignore toujours comment, et je ne le saurais sûrement jamais, pour un projet à la fois « geek » et vintage.

Derrière le terme geek, on peut mettre un peu de tout, mais le cadre était précis : les enfants des années 1970 à 1990, avec ce qui a marqué leurs enfances, aussi bien dans le cadre de l’informatique (domaine geek par excellence), mais aussi les vieux jeux (vidéos ou de société), et plein d’autres choses.

J’ai pris un certain plaisir à retrouver certains objets qui ont bercé mes jeunes années, et sûrement celle des enfants des années 1970 et 1980. L’ensemble fait un peu plus de 150 pages.

Voici quelques photos, prises en utilisant un de mes exemplaires auteur. D’accord, pour les pages intérieures, j’ai fait exprès de choisir « Cosmos 1999″, c’est une de mes séries fétiches :)

La couverture :

Le quatrième de couverture :

La troisième page :)

Et pour finir, un exemple des pages intérieures.

Le livre est disponible sur le site de la Fnac ou encore sur Amazon, chez Eyrolles ou encore « Le Forum du Livre », Place des libraires, entre autres.

Donc, si vous êtes nostalgiques de votre enfance dans les années 1970, 1980 ou 1990, et que vous voulez faire un retour dans ses lointaines années, vous savez ce qu’il vous reste à faire. Mais ce n’est nullement une obligation ;)