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FredericBezies

source: FredericBezies

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En vrac’ de fin de semaine spécial logiciel libre.

dimanche 28 août 2016 à 10:15

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’. Il sera relativement court et consacré au logiciel libre, il faut bien revenir de vacances en douceur, non ?

C’est tout pour aujourd’hui.

Bonne journée !

En vrac’ rapide et mercurien.

mercredi 24 août 2016 à 21:36

Un petit billet en vrac’ écrit depuis mon lieu de vacances. Il n’y aura pas grand chose, étant donné que j’ai envie de profiter un peu de mes soirées en famille 🙂

Pour le monde immature agité du logiciel du libre :

Sur le plan culturel :

C’est tout pour aujourd’hui. Étant en vacance au moment où je rédige ce billet, ce titre de 1972 était incontournable 🙂

Vieux geek, épisode 69 : Teen Agent, un drôle de point’n’click en provenance de Pologne.

mercredi 24 août 2016 à 09:50

Quand je suis arrivé sur PC en vers le milieu de l’année 1995, il y a une chose que j’ai regretté, c’était les jeux d’aventures disponibles en partagiciel ou en gratuiciel sous la forme de point’n’click. J’avais connu des titres comme Starbase 13 (d’une bonne difficulté pour l’époque), et sa suite Epsilon 9.

J’étais à l’époque un grand acheteur de magazines papier qui proposaient souvent des dizaines de partagiciels – plus ou moins pourris – j’étais tombé sur la démo d’un jeu d’aventure développé à l’origine pour l’Amiga, « Teen Agent ».

Il avait été porté pour MS-DOS en rajoutant l’Anglais, la version d’origine n’étant qu’en polonais. Création du défunt studio Metropolis Software House, on incarne dans le jeu un adolescent recruté par des services secrets pour enquêter sur une disparition mystérieuse de lingots d’or.

La version de démo permet d’avoir l’introduction et la première partie du jeu où l’on s’entraine pour devenir un agent secret. J’ai donc récupéré la version de démo et j’ai fait chauffer DosBox pour retrouver l’ambiance de l’époque.

C’est vrai que les graphismes piquent les yeux et que certaines énigmes sont un peu tirées par la perruque, mais pas franchement plus illogiques que certaines énigmes des grands noms du domaine comme la série de Space Quest ou encore les deux premiers Monkey Islands. Quand à la musique elle devient vite assez… gonflante, même si je n’ai pas réussi à la faire fonctionner lors de la capture vidéo… Une erreur de ma part au niveau du réglage du son… 🙁

Si vous avez une après-midi à tuer, le jeu est disponible en version complète et gratuite sur GOG, mais uniquement en version pour MS-Windows ?

Apparemment, on peut l’utiliser ScummVM… Je n’ai pas essayé, je préfère les expériences originelles 🙂

« Jardin Secret » de Korydwenn : une initiation au chant du Moyen Âge central ?

dimanche 21 août 2016 à 10:00

On appelle Moyen Âge central, la période de l’histoire européenne entre l’an 1000 et l’épidémie de peste des années 1340. Bien quel’époque médiévale fut une période de progrès lents sur le plan scientifique – l’Église Catholique Romaine ayant un poids énorme sur le pouvoir politique et la société – c’est aussi une période qui vit naître des mouvements comme le Fin’Amor appellé amour courtois par la suite.

Une tradition importée dans le royaume de France par une certaine duchesse peu connue, Aliénor d’Aquitaine qui pour les britanniques est connue sous le nom d’Éléanor de Guyenne…

Désolé pour cette longue introduction, mais il faut bien mettre en place le contexte pour pouvoir apprécier à sa juste valeur le premier album solo de Claire Bénard alias Korydwenn. J’avais découvert son projet de chant médiéval sur Ulule – où vous pouvez écouter un extrait du dit album – et j’avais décidé à l’époque d’apporter mon don pour financer le projet.

J’ai reçu l’album récemment, et j’ai eu envie de faire une rapide chronique de celui-ci.

Ce qui m’a attiré, outre les textes en vieux français dont on peut deviner parfois le contenu, c’est l’interprétation avec quelques instruments, comme de la lyre, de l’orgue, de la flûte ou du tamborin. Les instruments et le chant se complètent pour le plus grand plaisir de nos oreilles. Si on ferme les yeux en écoutant l’album, on peut se croire plonger dans un banquet de l’époque médiévale, avec un troubadour ou un trouvère qui chante pour faire plaisir à la noble assemblée.

Le livret donne une petite indication sur le contenu. Une bonne moitié de l’album est consacré à l’amour qu’il exprime à mot couvert une expression noble comme avec « Belle Doelle » ou encore « Comment qu’à moy lonlienne ». Ou dans une version un peu plus… guillerette avec des pistes comme « Ce fu en mai » ou encore « Quant voi la flor nouvele ».

Il suffit de voir des expressions comme « danse de l’amour » pour comprendre. Mais l’époque médiévale est aussi fortement emprunte de spiritualité. Il suffit de se référer à des pistes comme « Roÿne celestre », « O viridissa virga » ou encore la seule piste qui ne soit pas en vieux français mais en vieil allemand, Anckelwyse.

C’est un album qui permet de s’initier en douceur à la musique d’une période qu’on regarde souvent d’un oeil mauvais, et à tort.

À vous de l’écouter. Vous pouvez l’acheter par correspondance sur le site de Korydwenn. Mon seul regret ? Qu’il n’y ait pas plus d’extraits pour découvrir un peu plus l’album. Si vous aimez le chant médiéval, laissez-vous tenter 🙂

En vrac’ de fin de semaine.

samedi 20 août 2016 à 10:21

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’. Il sera plus court que d’habitude.

Côté logiciel libre et informatique :

Côté musique ?

La semaine prochaine sera normalement plutôt calme, je pars durant quelques jours en famille, donc loin de mon « ancestral » PC fixe.

Bon week-end.