PROJET AUTOBLOG


FredericBezies

source: FredericBezies

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« Blogueur influent », deuxième épisode :)

mardi 20 septembre 2016 à 07:41

Après un premier épisode du projet où je suis scénariste et Péhä dessinateur, il faut aborder un point douloureux… 🙁

Être un « blogueur influent », ce n’est uniquement parler d’un sujet précis, mais de savoir varier les plaisirs. Vous allez comprendre pourquoi j’ai été moins prolixe en terme musical… 🙂

mordu-v1C’est méchant les cartes bancaires par moment… 😀

Note : si cliquez dessus vous aurez une version plus grande et plus lisible 🙂

En vrac’ de fin de semaine.

samedi 17 septembre 2016 à 10:22

Comme chaque fin de semaine, l’obligatoire billet en vrac’. Cette semaine, il va être assez copieux 🙂

Côté logiciel libre et informatique :

Côté musique ?

Bon week-end.

« Memento Mori » d’Aephanemer : un deuxième album vraiment réussi.

vendredi 16 septembre 2016 à 15:33

En août 2014, j’avais découvert Aephanemer qui était à l’époque le projet solo du guitariste Martin Hamiche. Entre temps, il a fait « gonfler » le projet en recrutant une guitariste et chanteuse, un bassiste et un batteur. Bref, la configuration classique d’un groupe de metal. Vous en saurez plus sur le site officiel du groupe.

Le groupe a franchi le death metal mélodique du premier album… Même si la dernière piste est un clin d’oeil aux origines du groupe. Mais j’y reviendrai plus tard.

J’ai reçu le digipak le 16 septembre, jour même de la sortie de l’album. Ouf 🙂

Avec 10 pistes et 54 minutes au compteur, on a une bonne moyenne. On ne risque pas de s’ennuyer avec des pistes sans fins.

La plus courte dépasse la minute, les plus longues tournent dans les sept minutes. Bref, ça reste des plus classiques dans le domaine du death metal mélodique.

Je dois dire que j’ai été surpris par le chant growl de Marion Bascoul, ayant l’habitude du growl masculin. Sa tessiture est un peu grave et est idéale pour tromper une oreille peu entrainée au premier abord.

Mes excuses à la chanteuse… J’espère qu’elle ne m’en voudra pas trop. Son chant growl m’a agréablement interpellé. La première piste est une sacrée claque.

Vous voulez vous prendre une autre claque ? Le rythme effréné de « Sisyphus Bliss » est là pour vous. Une féroce envie de faire du headbanging vous prendra à l’écoute de la piste… On se demande pourquoi.

« Hellebore » est légèrement plus lent, mais donne une furieuse envie de sauter partout. C’est de l’adrénaline sonore cette piste.

« The Oathsworn » commence par une belle intro à la guitare en solo, signe d’une montée en puissance qui éclate rapidement. Il est intéressant de noter que la chanteuse se débrouille aussi en chant clair, même si le passage est relativement court dans la piste.

Après un minuscule intermède au violoncelle, « Rage and Forgiveness » reprend l’auditeur pour lui dire de revenir et à plat ventre de préférence. Sur la piste « The Call of the Wild », la chanteuse rajoute un peu de chant clair au growl qu’elle maîtrise vraiment très bien.

Côté introduction, c’est aussi intéressant. Que ce soit les bruits de pas de « The Call of the wild » ou l’ambiance médiévale de « Crows », on a l’impression que le groupe a cherché à varier les plaisirs.

Arrive enfin le titre éponyme, la phrase que l’on citait aux héros des armées romaines pour leur remettre les pieds sur terre. Ici, on a droit toujours au même death metal puissant qui donne une pèche d’enfer. C’est la troisième piste où Marion joue sur le mélange des chants. Du pur plaisir qui dure un peu plus de six minutes.

L’ultime piste est entièrement instrumentale. Serait-ce un clin d’oeil à la première formation du groupe ? En tout cas, cette piste, du nom d’un célèbre personnage de la mythologie sumérienne dont l’épopée est plus ou moins à l’origine du récit de l’Arche de Noé, est franchement excellente.

Pour conclure, je dois dire que Martin Hamiche a trouvé des partenaires musicaux de talents et fait que ce deuxième album est une très bonne surprise. Le deuxième album est le plus dur à produire, surtout quand le premier a été bien accueilli.

En vrac’ rapide et mercurien.

mercredi 14 septembre 2016 à 15:23

Un rapide en vrac’ mixte.

Quelques liens plus ou moins lié au grand nain ternet :

Côté musique ?

Voila, c’est tout pour aujourd’hui et bonne journée.

Les distributions GNU/Linux basées sur la Devuan, quel bilan ? Dernière partie.

mardi 13 septembre 2016 à 15:55

Après un premier article consacré à la GNUinos et à la Refracta, le deuxième article à la Star et à la Zephyr Linux, voici enfin l’article sur la Nelum-Dev1. J’en avais déjà parlé sur le blog, dans un article de mai 2016 qui avait trop vite tourné au règlement de comptes dans les commentaires.

Allant sur le site de la distribution, j’ai pu voir que la dernière ISO disponible datait de fin mai ou début juin 2016, j’ai donc décidé de la récupérer avec wget.

[fred@fredo-arch ISO à tester]$ wget -c http://freefr.dl.sourceforge.net/project/nelum-dev1/Nelum-Testing/Nelum-Dev1-XFCE-64-Testing.iso
–2016-09-11 18:08:14– http://freefr.dl.sourceforge.net/project/nelum-dev1/Nelum-Testing/Nelum-Dev1-XFCE-64-Testing.iso
Résolution de freefr.dl.sourceforge.net (freefr.dl.sourceforge.net)… 2a01:e0d:1:8:58bf:fa88:0:1, 88.191.250.136
Connexion à freefr.dl.sourceforge.net (freefr.dl.sourceforge.net)|2a01:e0d:1:8:58bf:fa88:0:1|:80… connecté.
requête HTTP transmise, en attente de la réponse… 200 OK
Taille : 1142947840 (1,1G) [application/octet-stream]
Sauvegarde en : « Nelum-Dev1-XFCE-64-Testing.iso »

Nelum-Dev1-XFCE-64- 100%[===================>] 1,06G 731KB/s in 20m 19s

2016-09-11 18:28:33 (916 KB/s) — « Nelum-Dev1-XFCE-64-Testing.iso » sauvegardé [1142947840/1142947840]

Rien que le nom me laisse penser que l’ISO n’est pas basée sur la Devuan en cours de stabilisation, mais sur sa branche testing, dérivée de ce qui donnera la Debian Stretch en 2017.

En jargon « devuanien », c’est la version Ascii, dixit la page d’accueil de la Devuan :

current testing is “Ascii” (planet nr.3568)

Ensuite, j’ai lancé mon ami VirtualBox avec la configuration habituelle pour tester l’ensemble.

Une fois le démarrage terminé, je me suis connecté via le duo nom d’utilisateur « live » et mot de passe « live », sans les guillemets. On a une interface Xfce dont la présentation générale fait penser à MS-Windows.

On est alors confronté à un bug de connexion réseau, suite à un changement introduit dans udev 197, les Predictable Network Interface Names.

Un simple ip a dans un terminal m’a aidé à configurer wicd pour que le réseau soit fonctionnel. Une personne ne connaissant pas cette subtilité bazardera l’image ISO sans autre forme de procès. Dommage.

Ensuite, j’ai lancé l’installateur, qui se révèle être celui de la Linux Mint Debian Edition. Autant dire, du sérieux et du solide.

Ah, les écrans d’attentes 🙂

Même s’il y a une gueulante à l’installation de grub, cela n’empêche nullement le système de démarrer par la suite.

Au premier lancement, après avoir configuré correctement wicd, j’ai demandé la recherche des mises à jour et leur installation. Autant dire qu’il y avait du peuple 🙂

Que 700 mises à jour depuis la fin mai 2016 ?

Après l’installation et le redémarrage, je suis resté face à un écran noir. J’ai été obligé de me connecter dans une deuxième session via le raccourci touche ctrl de droite et F2, puis j’ai installé le paquet virtualbox-guest-x11.

J’ai essayé en vain de faire passer les répertoires utilisateurs de l’anglais vers le français. J’ai donc laissé tomber, puis j’ai fait chauffer mon enregistreur de vidéo.

La Nelum-Dev1, modulo le bug de l’interface réseau, est sûrement l’une des dérivées les plus utilisables. Il y a quelques bugs graphiques qui doivent être liés à des thèmes incompatibles avec GTK 3.20. Le bilan des dérivées de la Devuan est tout sauf fameux, et je dois dire que je ne m’attendais pas vraiment à un résultat différent.

Moralité ? Si vous voulez une distribution sans systemd, c’est soit la Devuan Jessie, soit la Slackware Linux, soit la NuTyX, soit la Manjaro OpenRC, soit la Void Linux ou encore une Gentoo Linux ou une Funtoo Linux. Désolé si j’en ai oublié dans la liste, mais c’est déjà pas si mal que ça 🙂