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FredericBezies

source: FredericBezies

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Mémoires télévisuelles d’un enfant des années 1970, épisode 32 : l’épopée de « Que deviendront-ils ? »

samedi 19 mai 2018 à 14:40

S’il y a une série documentaire qui m’a marqué étant mome, c’était bien « Que deviendront-ils ? » Ce fut un projet de longue haleine, commencé en 1983 et terminé en 1992. Le synopsis de la série était simple : suivre la vie de cinq élèves d’une classe de sixième sur 10 ans.

Chaque année, Antenne 2 – qui devint France 2 – proposait un épisode d’une heure environ résumant l’année passée. Les enfants ne participaient pas forcément à chaque année, mais on avait des informations sur eux.

Le concept avait été développé par le duo Michel Fresnel (à la caméra) et Hélène Delebecque comme interlocutrice. Outre le côté un brin voyeuriste, c’était pour les enfants des années 1970 la possibilité de voir des personnes de leurs âges s’exprimer ouvertement.

En 1996, deux épisodes « bonus » sont diffusés sur la Cinquième, devenue France 5 depuis, faisant le bilan final de 4 des 5 participants d’origine. J’avais toujours gardé un souvenir flou de cette série documentaire. Même si on peut la trouver sur Youtube si on cherche bien, on peut trouver une offre de l’INA qui propose les 12 émissions pour un prix somme toute pas si exorbitant que cela.

Évidemment, ce serait difficile de nos jours de faire un tel documentaire, mais ne serait-ce que pour revoir des objets, entendre des musiques qui ont bercé les enfants des années 1970 et 1980, ça vaut le coup.

En vrac’ de fin de semaine…

vendredi 18 mai 2018 à 20:06

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac… Encore un peu court, comme les semaines du mois de mai 🙂

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bon week-end 🙂

« The Anachronist », le nouvel EP d’Emma Fee ? 20 minutes de bonheur !

dimanche 13 mai 2018 à 14:20

Après son premier album solo sorti en 2015 et dont j’ai parlé en 2017, Emma Fee, chanteuse du groupe Happy Endings vient de sortir en ce mois de mai 2018 son nouvel EP, « The Anachronist ». J’ai appris la nouvelle via son compte twitter.

On retrouve une nouvelle fois l’ambiance pop-rock de son premier album solo et de celui de son groupe. Toujours aussi agréable.

Dès la première piste éponyme, on sait que l’on va retrouver un univers doux, rêveur, cotonneux que n’aurait pas renier les Beatles à l’époque de Revolver et de Rubber Soul.

La deuxième piste « Life goes on » est plus lourde, plus pesante, du moins au niveau de son introduction. C’est le genre de piste qui vous prend aux tripes et vous secoue…

« Note to self » commence avec une introduction à la guitare sèche, ce qui donne un côté folk au titre.

L’ultime piste est l’obligatoire titre sonorisé au piano.Avec « Are We All This Way? », Emma Fee clot l’EP en beauté. Avec un peu plus de 7 minutes au compteur, on ne pouvait pas s’attendre à moins !

Inutile de me le demander. Oui, j’ai acheté l’EP dès son annonce. Et oui, je n’attends qu’une chose, qu’il vienne rejoindre les autres oeuvres d’Emma Fee que ce soit en solo ou dans son groupe, les Happy Endings.

En vrac’ de fin de semaine…

samedi 12 mai 2018 à 14:04

Comme chaque fin de semaine, l’habituel en vrac… Un peu court, désolé !

Côté logiciel libre, informatique et internet.

Côté culture ?

Bon week-end 🙂

The Shadows of Sergoth : l’Amstrad CPC a enfin son « Dungeon Master ».

vendredi 11 mai 2018 à 14:16

Après des bijoux comme « Orion Prime » sorti en 2009, un groupe de développeurs comprenant CED, Kukulcan, Christophe Petit et Hervé Monchatre (pour la musique) ont créé ce qui manquait à la ludothèque de l’Amstrad CPC : un clone de Dungeon Master.

Oui, il aura fallu attendre 2018 pour qu’un tel bijou sorte. C’est « The Shadows of Sergoth », disponible sur CPC Power. Dès le départ, on s’en prend plein la vue : écran de présentation en overscan, support de trois langues, cinq races disponibles avec personnage masculin ou féminin (sans que cela influe en quoi que ce soit sur la résistance du personnage).

Oui, je sais, il y a bien eu Bloodwych sorti en 1990, mais c’était plus du jeu de rôles qu’un classique clone de Dungeon Master.

Dès la sortie du jeu, je me suis battu pour avoir une émulation fonctionnelle pour l’Amstrad CPC sous Linux. Malheureusement, depuis quelques années, c’est pas franchement la joie.

En dehors de la vidéo de présentation du jeu ci-dessous réalisée avec JavaCPC, j’ai dû me replier sur WinApe dans une machine virtuelle MS-Windows XP.

Je dois dire que si vous aimez les jeux à la « Dungeon Master », celui-ci va vous dire « viens me voir… »

Je dois dire qu’au moment où je rédige cet article, je suis coincé au 8ème niveau – sur les 16 du jeux – à cause d’un adversaire qui me mets une déculottée à chaque fois à grands coups d’attaques magiques 🙁

Je dois avouer que je suis resté près de deux jours sur le 5ème niveau, car j’avais mal interprété le panneau d’information… Merci à Zisquier et son longplay pour m’avoir aidé à débloquer la situation.

Pour finir, voici le cadeau bonus dont j’ai appris l’existence via les commentaires de la fiche du jeu sur CPC Power…

Je dois dire que pour le moment, je vais faire une pause. Depuis sa sortie, le 5 ou 6 mai 2018, j’ai passé une bonne partie de mes soirées dessus… J’espère en voir la fin, au pire, je regarderai un longplay complet du jeu 🙂

Je n’ai qu’une chose à dire : testez-le et vous verrez ce que des développeurs arrivent à faire avec seulement 128 Ko de mémoire vive… Vous serez impressionné 🙂