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Je suis un “Server Huggers” !

mardi 30 septembre 2014 à 14:00

Mais qu’est-ce qui se cache derrière ce nom barbare ? Eh bien c’est tout simplement comme cela que l’on appelle les DSI qui conservent, au sein même de l’entreprise, les données et les machines, nécessaires au système d’information, au lieu de les faire héberger chez un prestataire en totalité ou de manière partielle…

Et pourtant, il ne se passe un seul où je ne pose pas cette question : Ne devrais-je pas commencer à faire héberger mes machines à l’extérieur de l’entreprise, voire à consommer des services de type « cloud », qu’ils soient publics ou privés, histoire d’être plus « tranquille » ?

Et, à chaque fois, je me trouve une bonne, ou une mauvaise excuse, pour conserver mes machines et mes données !

Rien que le fait de dire « mes » machines ou « mes » données pourrait vous faire croire que je fais partie de cette arrière-garde de DSI qui s’agrippent à leur salle de serveurs comme le ferait un camionneur qui chouchouterait ses tracteurs et ses remorques chèrement acquis alors que l’on sait pertinemment qu’aujourd’hui la location est plus « simple » et, est devenue incontournable…

Et bien, que nenni ! Premièrement par ce que j’ai testé l’hébergement chez un tiers ou la fourniture d’un service en mode « Cloud » et que je n’ai pas été satisfait (prix, multitudes d’options payantes, problèmes de réactivité…) et que deuxièmement je suis persuadé du bien fondé de ma décision tant la qualité et la richesse des services fournis aux utilisateurs en sont améliorées.Serveur_

Néanmoins, j’avoue que tout cela n’est pas de tout repos et que cela apporte sa petite dose de stress au quotidien, surtout lorsqu’il s’agit de faire tourner des services 24/7 et 365 jours par an, ce qui est mon cas… Et c’est peut-être là, que ma décision de tout conserver en interne, prend un sens… Avez-vous déjà étudié des contrats d’hébergements ou de « Cloud » en y intégrant une problématique de services disponibles 24/7 ? Avez-vous fait coter, par vos prestataires des délais de remise en service (G.T.R Garantie du temps de rétablissement) à une heure, 24h/24 et 7j/7 ? C’est exorbitant et, dans mon cas, hors de mon budget…

Oui, c’est usant de gérer soi-même les problèmes d’énergie (courants forts), les problèmes de climatisation, les licences liées aux produits d’infrastructure (O .S, Virtualisation des serveurs, SAN, Outils de backups…etc…), les problèmes de sécurité passive ou active. Ces activités sont effectivement très chronophages, soit parce qu’elles sont complexes, soit parce que les gens qui vous fournissent ces produits d’infrastructure font tout pour vous rendre la vie compliquée et plus particulièrement dans la gestion de leurs licences.

Oui, c’est usant de gérer soi-même la messagerie de l’entreprise tant les volumétries deviennent indécentes et incontrôlables et il en est de même pour les serveurs de fichiers « utilisateurs ».

Donc j’aurais pu faire comme tant d’autres et confier mes données et mes applications aux « ogres » du secteur mais non, je crois encore au fait-maison qui donne encore un sens à mon job et qui permet à mon entreprise d’être souple et réactive afin de mieux répondre aux demandes du marché et ce, dans des temps records !

Le mode avion plus nécessaire… En avion !

mardi 30 septembre 2014 à 11:00

L’AESA (Agence Européenne pour la Sécurité Aérienne) a annoncée vendredi qu’il est désormais possible d’utiliser les appareils connectés à bord des avions. Cela permet de s’aligner sur la nouvelle politique en place aux États-Unis pour le transport aérien.

logo-avionOn entend par appareil connecté les mobiles, les liseuses, les tablettes, les ordinateurs portables, les consoles, les baladeurs MP3, etc… Tout terminal électronique en fait.

Dernièrement, la législation avait été assouplie puisqu’il n’était plus nécessaire d’éteindre complétement son appareil lors du décollage et de l’atterrissage. Désormais, les compagnies aériennes européennes peuvent vous laisser utiliser votre appareil, que ce soit au décollage, à l’atterrissage ou pendant le vol. La décision leur appartient puisqu’au niveau de la législation il n’y a plus de freins.

Le “mode avion” ne servira donc plus dans l’avion, mais, il pourra toujours être utile lorsque l’on souhaite se mettre en mode hors ligne sans nécessairement éteindre son téléphone, n’est-ce pas ? Du coup, il faudrait peut être changer son petit nom… Mode Blocage par exemple…

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WP-Rocket 2.2.4 : Le plug-in WordPress se met à jour

mardi 30 septembre 2014 à 09:50

Une nouvelle mise à jour du plug-in WP-Rocket pour WordPress est disponible ! Il passe en version 2.2.4. Pour rappel, ce plug-in développé par des français permet de gérer le cache de son site sous WordPress de manière très efficace.

Quant à cette nouvelle version, elle ajoute les traductions bulgare et espagnole, et, corrige quelques bugs : Mise à jour non-fonctionnelles, conflit avec AppBanners, suppression de 2 erreurs PHP Warning qui apparaissaient dans le fichier “/inc/front/process.php” de temps en temps, et, prise en charge des fichiers internes (CSS – JS) sans protocole HTTP lors de la minification.

logo-wprocket1

D’après les informations fournies sur le site, plus de 6200 sites utilisent le plug-in WP-Rocket !

Connaitre sa version de PHP

mardi 30 septembre 2014 à 09:00

I. Présentation

Lors de la mise en place d’application web ou la construction d’un site web, il peut être pratique de savoir quelle version de PHP nous disposons, nous allons ici voir différentes méthodes pour le savoir.

II. Ligne de commande

La ligne de commande va comme d’habitude nous être d’une grande aide sous Linux, on peut en effet très simplement  savoir notre version de PHP via l’exécution d’une commande PHP avec l’option “-v” comme suivant :

php -v

Résultat :

PHP_version_01

On voit bien ici ma version de PHP qui est la 5.4.4

III. Via les paquets

On peut également le savoir via notre gestionnaire de paquet en ligne de commande (apt-get dans le cadre d’une Debian comme c’est mon cas) :

apt-cache policy php5

Résultat :

PHP_version_02

Ici, on voit la version de PHP installée mais également celle présente dans les dépôts afin de savoir si une mise à jour est à faire.

IV. Le fichier PhpInfo

On peut également le savoir via Phpinfo qui est une fonction PHP que nous pouvons mettre dans un fichier à la racine de notre serveur web par exemple. S’il s’agit d’Apache2 standard :

vim /var/www/version.php

Puis mettez ce contenu à l’intérieur :

PHP_version_04

On n’oublie pas de donner les droits de lecture et d’exécution à l’utilisateur www-data :

chown www-data:www-data /var/www/version.php

On pourra alors se rendre sur ce fichier avec un navigateur web, ce qui exécutera la fonction :

PHP_version_03

Voila, nous avons ici en haut de page la version de PHP plus d’autres informations comme la version du système, la date d’installation et divers autres paramètres. :)

 

Un datacenter aux Pays-Bas pour Google

lundi 29 septembre 2014 à 16:20

Google va créer un quatrième datacenter en Europe, en plus des trois situés en Belgique, Irlande et Finlande. Il sera construit aux Pays-Bas et représente un investissement de 600 millions d’euros. Au niveau des emplois, il devrait générer 150 emplois.

google-datacenter1

C’est à Eemshaven, dans le nord des Pays-Bas que devrait être construit ce nouveau centre de données. La symbolique première pierre a été posée. Quant aux travaux, ils devraient commencer début 2016 pour se terminer à une mise en production fin 2017.

En Europe, Google sera donc présent à 4 endroits :

Irlande, à Dublin
Finlande, à Hamina
Belgique, à Saint Ghislain
Pays-Bas, à Eemshaven

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