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Comment réussir sa migration vers Debian 10 Buster ?

lundi 26 août 2019 à 09:44

I. Présentation

Depuis le début du mois de juillet la toute dernière version Buster Debian 10 est sortie. Je vous propose dans ce billet de décrire le processus de migration de Debian 9 Stretch vers Debian 10 Buster.

En matière de système la règle d’or est : moins il y a de logiciels installés sur votre système, plus il y a de chance pour réussir l’upgrade vers la toute dernière version. D'ailleurs, les chances pour une mise à jour réussie et efficace sont décrues à cause du nombre de packages "tiers party" déjà présents sur votre système actuel. Pour toutes ces bonnes raisons, il est conseillé de supprimer tous les dépôts standards et de logiciels "tiers party" qui pourraient être obsolètes, avant de vous lancer dans la phase de mise à jour.

REMARQUE : la commande aptitude peut aider à trouver ces fameux logiciels "tiers party" précédemment installés sur le système Debian Stretch. Pour cela, il suffit d’exécuter l’instruction suivante (sous le compte root) :

# aptitude search '~i(!~ODebian)'

Cela permet de lister les packages qui ne se trouvent plus dans un dépôt officiel depuis qu’ils ont été supprimés. En effet, cela les rend ainsi obsolètes. Bon, après ces considérations, il est temps maintenant de passer à la description de la migration Buster à proprement parlé !

II. Préparation à la mise à jour complète en Buster

Comme pour toute mise à jour, la première des choses à réaliser est de mettre à jour l’ancienne version en exécutant les commandes suivantes :

# apt-get update
# apt-get upgrade

Si tout cela s’est correctement déroulé, on peut alors réaliser une vérification de l’état de santé de la base de packages ainsi que de sa consistance :

# dpkg -C

Dans le cas où aucune ligne n’est affichée, on peut ensuite passer à la liste des packages qui ne seront pas mis à jour via l’instruction ci-dessous :

# apt-mark showhold

REMARQUE : les packages marqués comme étant ‘On Hold’ ne sont pas upgradés. Cela peut provoquer des incohérences après la mise à jour en version Buster. Aussi, avant d’aller plus loin il est fortement recommandé de fixer l’ensemble des alertes remontées par la commande précédente. Pour cela, on peut s’aider aussi de la commande suivante :

# dpkg --audit

 

III. Mise à jour des dépôts de packages en Debian Buster

A ce stade, on dispose d’un système prêt à être mis à jour en Version Debian 10, il est alors grand temps de synchroniser les fichiers d’index de packages avec les sources de la nouvelle version Debian Buster. Cela s’effectue en éditant comme toujours le fichier /etc/apt/sources.list en remplaçant les occurrences de ‘stretch’ par ‘buster’. On peut pour cela, exécuter la commande suivante :

# sed -i 's/stretch/buster/g' /etc/apt/sources.list

Lorsque cela est fait, on peut alors utiliser la commande apt-get pour mettre à jour l’index des packages :

# apt update

Avant de lancer l’exécution de la mise à jour, on peut aussi s’assurer que celle-ci se déroulera au mieux, en lançant une simulation grâce à la commande ci-dessous :

# apt list --upgradable

 

IV. Mise à jour en Debian Buster

Voilà, nous sommes prêts à exécuter la mise à jour de la version Debian Stretch en version Debian Buster (Debian 10). Durant cette phase, le système peut demander à redémarrer certains services pour certains packages, sans en demander l’autorisation durant l’upgrade. Le choix dépend de ce que l’on souhaite faire de ces services :

En tout cas, lorsque l’on est prêt, il ne reste plus qu’à exécuter les instructions suivantes :

# apt-get upgrade
# apt-get dist-upgrade

 

V. Conclusion

Voilà, le système est désormais en version Debian 10 (alias Buster). On doit par contre, vérifier avant tout qu’il n’y a aucun packages obsolètes en exécutant à nouveau la commande aptitude ci-dessous :

# aptitude search '~i(!~ODebian)'

Ensuite, pour s’assurer que la version de Debian est la bonne, on peut exécuter également la commande suivante :

# cat /etc/issue

Ou l’une des commandes suivantes :

# cat /etc/os-release

Ou encore:

# hostnamectl

Il ne reste plus alors qu’à se connecter à votre nouvel environnement et à lancer vos applications préférées pour s’assurer que tout est bien opérationnel 🙂

Vers une Nest Mini pour remplacer la Google Home Mini ?

vendredi 23 août 2019 à 09:00

Le site 9To5Google rapporte que Google pourrait intégrer son enceinte connectée à sa gamme de produits Nest, sa marque de produits connectés. Au programme de cette nouvelle version, la qualité sonore serait améliorée et un port jack ajouté.

Vendu 59.99 euros, il s'agit du modèle le plus abordable et Google avait annoncé en mai dernier lors de la conférence I/0 qu'une partie de ses enceintes rejoindrait Nest. Le changement de nom c'est une chose, mais les évolutions techniques, c'est surtout cela qui nous intéresse.

Au niveau sonore, la Nest Mini proposera de meilleures basses que la version actuelle ainsi qu'un volume maximum plus élevé. En complément, un connecteur jack 3,5 mm serait au programme afin de déporter la sortie audio vers une autre enceinte.

Il est question également d'un capteur de proximité afin d'ajuster automatiquement le volume de la musique en fonction de la distance entre vous et l'enceinte connectée. Enfin, à l'arrière de l'enceinte on pourra retrouver un système de fixation murale, reste à savoir sous quelle forme.

Si tout cela se confirme, êtes-vous intéressé par cette Nest Mini ?

Source

Comment trouver la version de l’agent postfix ?

jeudi 22 août 2019 à 08:00

I. Présentation

Je ne sais pas si vous êtes comme moi, mais, j'aime bien utiliser l’agent de messagerie postfix sur mes serveurs GNU/Linux. Le problème c’est que contrairement à beaucoup d’autres logiciels, celui-ci ne possède pas de directives -v ou --version pour déterminer quelle version est utilisée. Alors, me direz-vous, mais comment peut-on faire pour la connaître ? C’est ce que je vous propose d’expliquer dans ce tutoriel.

II. Qu'est-ce que postfix ?

L’agent postfix est un serveur de messagerie électronique délivré sous forme d’un programme Open Source sous licence libre IBM Public Licence 1.0, incompatible avec la licence GPL. Il remplace le plus souvent l’ancien programme sendmail, devenu obsolète et était connu anciennement sous l’appellation VMailer.

REMARQUE : on parle de postfix comme un agent de transfert de messages (ou Mail Transfer Agent abrégé en MTA).

L’agent postfix permet de gérer presque tous les cas de messagerie professionnelle et semi-professionnelle. Il permet d’éviter bon nombre de spam et gère parfaitement les listes (white, grey and black). Le fichier de configuration s’appelle main.cf (comme son homologue sendmail), placé la plupart du temps, dans le répertoire /etc. On peut également trouver les fichiers de configuration suivants :

virtual
aliases
access
master.cf

Afin de lister l’ensemble des paramètres activés par défaut avec leur valeur, il suffit d’exécuter la commande suivante :

$ postconf -d

En effet, cela permet de lister tous les paramètres de configuration du service postfix. Le résultat d’une telle commande est le suivant :

III. Récupération de la version postfix

Maintenant, pour pouvoir récupérer la version courante de l’agent postfix, il suffit d’exécuter la commande suivante :

$ postconf mail_version

D’après ce que l’on a vu dans le chapitre précédent, on peut également exécuter l’instruction suivante, en guise d'alternative :

$ postconf -d | grep mail_version

 

IV. Conclusion

Désormais vous pouvez savoir rapidement à quelle version de l’agent de messagerie vous avez affaire sans avoir à chercher trop longtemps ce qu’il y a à exécuter.

Pour information, la commande postconf est un des outils d’administration et de maintenance de l’agent postfix. Elle se trouve généralement dans /usr/sbin. Elle fait partie d’un ensemble de commandes de pilotage telles que :

postalias pour la maintenance de la base de données des alias postfix.
postcat pour l’affichage du contenu des files d’attente.
postlog pour la gestion des journaux de logs.
postqueue pour l’administration des files d’attentes.

Altaro : un logiciel gratuit pour le backup de serveurs physiques !

mercredi 21 août 2019 à 15:00

L'éditeur ALTARO propose désormais un nouveau logiciel nommé Altaro Physical Server Backup qui offre la possibilité de sauvegarder vos serveurs physiques, gratuitement.

Connu pour son logiciel phare Altaro VM Backup pour la sauvegarde des environnements virtualisés, ALTARO offre au travers d'Altaro Physical Server Backup les fonctionnalités suivantes :

- Sauvegarde de serveurs physiques et restauration en tant que machine virtuelle sur un hôte Hyper-V ou au format disque virtuel

- Planification des sauvegardes

- Chiffrement des sauvegardes

- Configurer une politique de rétention

- Optimisation de l'espace de stockage utilisé par les sauvegardes grâce à la déduplication

Les fonctionnalités sont configurables directement via la console de gestion locale que l'on installe sur le serveur à sauvegarder. La console se rapproche très fortement de celle d'Altaro VM Backup, pour ceux qui la connaisse.

Le fait qu'une restauration s'effectue dans une machine virtuelle, il s'agit plutôt d'une solution P2V que l'on peut utiliser également pour basculer un serveur physique en machine virtuelle.

Pour cette version gratuite, le support du logiciel est réalisée uniquement via la communauté ALTARO, et non par le live tchat. Au niveau compatibilité, tous les serveurs sous Windows Server 2008 R2 à Windows Server 2019 sont compatibles, même en version Core, ce qui n'est pas le cas de Windows 7, 8 ou 10.

Une version commerciale sera publiée prochainement, avec notamment la possibilité de réaliser des sauvegardes hors site sur un serveur Altaro Offsite Server ou directement sur un espace de stockage Cloud comme Azure.

Pour le tester : ALTARO Physical Server Backup

Test Xiaomi Mi Band 4, le bracelet connecté à 40 euros

vendredi 16 août 2019 à 11:00

I. Présentation

En 2019, Xiaomi a sorti la nouvelle version de son bracelet connecté, le Mi Band 4. Les précédentes versions ont connu un succès important auprès des fans de Xiaomi, mais alors que vaut cette nouvelle version ? Et surtout, quelles sont les nouveautés par rapport à la version précédente ? C'est ce que nous allons voir dans ce test du Xiaomi Mi Smart Band 4. Il est vrai que l'on a tendance à l'appeler le Mi Band 4, mais le nom officiel est Mi Smart Band 4.

Il s'agit d'un capteur d'activité d'entrée de gamme vendu à 39,99 € sur la boutique officielle Xiaomi, soit 10 euros de plus que la version précédente.

Les caractéristiques du Xiaomi Mi Band 4 sont les suivantes :

- Écran tactile : AMOLED de 0,95"
- Étanchéité à l'eau : 5 ATM, jusqu'à 50 mètres
- Bouton : un seul bouton, tactile
- Poids : 22,1 grammes
- Stockage : 16 Mo
- RAM : 512 Ko
- Capteurs : Accéléromètre 3 axes + gyroscope 3 axes / capteur de fréquence cardiaque / capteur de proximité capacitive
- Bluetooth 5.0 (BLE)
- Batterie : LiPo de 135 mAh
- Temps de charge : 2 heures
- Autonomie : jusqu'à 20 jours

II. Xiaomi Mi Band 4 VS Mi Band 3

Pour revenir sur le prix, le Mi Band 4 est vendu 10 euros de plus que le Mi Band 3, ce qui peut se justifier par l'ajout d'un écran légèrement plus grand, et surtout en couleurs alors que l'écran du Mi Band 3 était monochrome. Pour permettre d'exploiter au maximum son bracelet, Xiaomi met à disposition une quarantaine de dispositions d'écrans différentes sur l'application Mi Fit. Pour tous les goûts.

Au niveau de la forme en elle-même, elles sont similaires et pour preuve : le bracelet du Mi Band 4 est amovible, comme sur les modèles précédents, et les bracelets du Mi Band 3 sont compatibles avec cette nouvelle version.

Bien que ça puisse paraître qu'un simple ajout, le passage sur un écran couleurs rend l'utilisation du bracelet beaucoup plus agréable et le bracelet gagne ne modernité grâce à cet ajout.

III. Package et design

Le package du bracelet est assez minimaliste est l'on retrouve à l'intérieur :

Très léger, il sait se faire oublier lorsque vous l'avez au poignet, mais les vibrations reçues lorsqu'il y a une nouvelle notification vous rappelleront qu'il est là pour vous accompagner au quotidien. Le bracelet est entièrement en plastique, souple, et non irritant pour la peau lorsqu'il est mouillé.

L'écran dispose d'un seul bouton qui sert à réveiller le capteur Mi Band 4 et à revenir en arrière lorsque l'on navigue dans les menus. Depuis l'écran, vous pouvez consulter les notifications, la météo, votre rythme cardiaque, utiliser le chronomètre ou le minuteur, et démarrer un entraînement.

Le bracelet propose un nombre important de crans, de quoi s'ajuster aux différentes tailles de poignet. Néanmoins sur les plus petits poignets, l'écran peut paraître imposant. Le clipse de fermeture bloque très bien le bracelet, ce dernier reste bien en place. Sur le dessous, nous retrouvons le capteur de fréquence cardiaque.

Au niveau du design, Xiaomi ne le fait quasiment pas évoluer à chaque version. Simple et neutre, il passera partout, mais ne s'avère pas très élégant bien que l'écran couleur fasse son petit effet.

IV. Le Mi Band 4 au quotidien

Au quotidien, le bracelet Xiaomi Mi Band 4 s'utilise depuis l'écran tactile directement ou via l'application mobile Mi Fit spécialement conçu pour les objets connectés "fit" de Xiaomi (montre, bracelet, balance...). Les informations collectées par le bracelet seront synchronisées avec votre smartphone et accessibles via l'application Mi Fit.

A. Les fonctionnalités principales

L'application est agréable à utiliser, bien qu'un peu fouillis à mon sens, car il y a des paramètres à différents endroits de l'appli. Nous retrouvons la possibilité de choisir un thème d'affichage pour le bracelet, avec dans la majorité des cas : l'heure, la date, le nombre de pas effectués et le pourcentage de batterie.

Mi Fit intègre les fonctionnalités principales suivantes :

- Déverrouillage intelligent pour garder votre smartphone déverrouillé si le bracelet est à proximité
- Notification pour les appels entrants et les SMS
- Ajouter des événements et alarmes sur l'application Mi Fit et recevoir un rappel
- Notification de vos applications (choix au cas par cas)
- Si vous êtes inactif une heure, le bracelet peut vibrer pour vous inciter à bouger
- Notification lorsque vous atteignez un objectif (à définir)
- Contrôle de la musique : Deezer, Spotify, Google Play Music ou l'application Xiaomi
- Détection de la fréquence cardiaque (toutes les minutes, les 5 minutes, 10 minutes ou 30 minutes)
- Recherche du poignet pour déclencher une vibration et vous aider à le retrouver
- Analyse du sommeil (profond, léger, éveillé)

Il y a également une fonction, très pratique, qui permet d'allumer automatiquement l'écran lorsque vous bougez le poignet en votre direction, ce qui évite de devoir appuyer sur l'écran. Xiaomi propose 2 niveaux de sensibilité pour cette fonction.

Quant à la lecture des notifications, c'est pratique, mais la faible largeur de l'écran limite la mise en forme, il est vrai que parfois ce n'est pas toujours facile de lire le contenu de la notification. Disons qu'il faut s'y habituer, car beaucoup de mots sont tronqués.

B. Le Mi Band 4 pour faire du sport

Étant donné que le Mi Band 4 intègre un mode "Entraînement" intégrant différents sports comme la course en plein air, le tapis de course, le cyclisme, la natation ou encore la marche à pied, j'en ai profité pour le tester sur ce point. J'ai réalisé une sortie équipée de ma montre Garmin et du Mi Band 4, et on ne peut pas dire que ce soit très concluant pour le bracelet Xiaomi.

Note : pour obtenir le tracé du parcours, vous devez impérativement emporter votre smartphone avec vous, si vous utilisez le bracelet seul, l'activité n'inclura pas le parcours, car il n'intègre pas de puce GPS

Il s'est avéré très imprécis : il m'a indiqué que j'avais parcouru 1 km alors que sur la montre Garmin j'étais déjà à 1,6 km, cette dernière étant réputée fiable. Par contre, si la sortie est réalisée avec le smartphone, la fiabilité est meilleure. Sur la fréquence cardiaque, notons également un écart puisque le Mi Band compte systématiquement entre 10 et 15 bpm de plus sur la course à pied.

Dernière remarque : lorsque le bracelet est posé, il continue de relever la fréquence cardiaque alors que vous ne le portez plus. Cela se remarque assez facilement, car les LEDs vertes du capteur s'allument.

Au niveau de l'application Mi Fit, les informations sur les activités sont assez nombreuses : durée, rythme moyen, historique de la fréquence cardiaque, le nombre de calories brûlées, etc. Bien que le Mi Band 4 propose un suivi des entraînements, son manque de précision rend perfectible son utilisation pour le sport, et devoir emporter son smartphone est un inconvénient.

C. L'autonomie

Malgré une batterie de seulement 135 mAh, Xiaomi annonce une autonomie de 20 jours. En réalité l'autonomie est plutôt comprise entre 16 et 18 jours en utilisation intensive (notifications d'applications, calcul du rythme cardiaque, surveillance du sommeil et quelques entraînements).

Comptez moins de 1h40 pour recharger le bracelet à 100% et seulement 30 minutes pour retrouver 60% d'autonomie soit une bonne semaine d'utilisation.

Ce qui est réellement gourmand c'est l'écran, plus il passe de temps allumé, plus l'autonomie se réduit... Et comme il s'allume uniquement sur événement ou lorsque l'on oriente le poignet vers soi, il y a une bonne optimisation à ce niveau-là.

V. Conclusion

Le Xiaomi Mi Band 4 est un bracelet connecté pour le quotidien, il est un bon compagnon pour la lecture de vos notifications, la gestion des appels, de votre musique... Mais il n'est pas taillé pour le sport à cause de l'absence d'une puce GPS et les lacunes sur le capteur cardiaque pendant l'effort. Le design n'évolue pas vraiment au fil des versions, c'est peut-être ça que l'on pourrait reprocher à Xiaomi, il manque d'élégance, mais il présente l'avantage d'être passe-partout.

Assez proche de la version précédente, l'écran en couleurs offre une belle évolution, tout en ayant toujours une autonomie remarquable qui est l'une des principales forces du produit. Xiaomi a su conserver une excellente autonomie tout en améliorant l'écran de son bracelet connecté.

Pour moins de 10 euros, vous pouvez acquérir un ou plusieurs bracelets supplémentaires, interchangeable facilement, pour que votre bracelet Xiaomi devienne un véritable accessoire de mode. Mais ça, ce n'est pas obligatoire 😉

Relativement polyvalent, grâce à l'application Mi Fit qui bien fournie en fonctionnalités, le Xiaomi Mi Band 4 présente un très bon rapport qualité/prix puisqu'il est proposé à 39,99€ voire même 29,99€ lors de certaines promotions (voir ci-dessous).

Offre spéciale : Gearbest propose le bracelet Xiaomi à 29,50 € grâce au code "GBBAND4MI" et cela jusqu'au 23 août 2019. 

Points positifs

Points négatifs