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Google Photos : le 1er juin 2021, l’illimité gratuit, ce sera terminé !

mardi 25 mai 2021 à 08:09

Dès le 1er juin prochain, il ne sera plus possible de bénéficier du stockage illimité dans Google Photos sans payer un abonnement. Le stockage illimité et gratuit va prendre fin et il y aura désormais un quota : 15 Go.

Le stockage illimité de vos photos dans le Cloud coûte trop cher à Google ! Chaque semaine, il y a 28 milliards de photos sauvegardées dans Google Photos et l'outil compte 1 milliard d'utilisateurs. Conséquence, à partir de mardi de la semaine prochaine, le stockage illimité gratuit va devenir un stockage gratuit limité à 15 Go.

Il faut savoir que toutes les photos et vidéos qui sont déjà sauvegardées dans votre compte Google Photos ne seront pas comptabilisées dans ce nouveau quota de 15 Go. Du moins, cela s'applique à toute les photos et vidéos chargées avant l'entrée en vigueur du nouveau règlement, soit le 1er juin. C'est le moment de faire une synchronisation si vous utilisez ce service...

Face à cette situation, soit vous payez, soit vous cherchez une alternative. Si vous souscrivez à l'offre Google One, vous bénéficiez d'un espace de stockage global dans le Cloud de Google. Cet espace de stockage est utilisable dans Google Photos bien sûr, mais aussi dans Gmail et Google Drive. Le ticket d'entrée est à 1,99 euro par mois ou 19,99 euros par an pour 100 Go de stockage. Pour 200 Go de stockage, il faudra payer 2,99 euros par mois ou 29,99 euros par an. Il y a d'autres forfaits plus conséquents.

Il faut savoir également que si vous avez un smartphone de chez Google, le stockage restera gratuit et illimité ! Chez Google, il y a plusieurs smartphones pertinents : Pixel 5 et Pixel 4A 5G, par exemple.

Sinon, c'est peut-être l'occasion de se lancer et d'acquérir un NAS pour héberger vous-même vos photos ? C'est une possibilité, à ne pas négliger, mais qui nécessite un peu plus d'investissement personnel. L'intérêt c'est d'héberger soi-même ses données et d'en avoir la maîtrise. Dans tous les cas, grâce à ce quota de 15 Go, vous avez quelques semaines voire quelques mois pour réfléchir et prendre une décision : rester sur Google Photos ? Partir chez la concurrence ? Acquérir un NAS ? Les options sont nombreuses.

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PowerShell et Split : découper une chaîne de caractères

lundi 24 mai 2021 à 13:00

I. Présentation

Dans ce tutoriel, je vais vous apprendre à utiliser la méthode Split() en PowerShell. Une méthode indispensable pour découper une chaîne de caractères.

La chaîne de caractères envoyée en entrée et découpée avec Split() permettra d'obtenir un tableau de chaînes de caractères : string[]. Le délimiteur utilisé par Split() peut être un caractère unique, une chaîne, mais aussi un pattern.

💡 Apprenez à utiliser la méthode Substring() de PowerShell

II. PowerShell - Split() : obtenir un tableau à partir d'une chaîne

A. Exemples basiques Split() PowerShell

Je vais rapidement vous faire comprendre l'intérêt de la méthode Split(). Déclarons une variable sous la forme d'une adresse e-mail :

$Email = "prenom.nom@it-connect.fr"

Maintenant, essayons d'obtenir l'identifiant de l'utilisateur d'une part (prenom.nom) et le domaine de l'autre (it-connect.fr). Ce qu'il y a entre deux, et c'est commun à toutes les adresses e-mails, c'est le "@" : ce sera le caractère que l'on va utiliser avec Split().

On va donc exécuter :

$Email.Split("@")

Mais l'on pourrait aussi utiliser l'écriture ci-dessous :

$Email -Split("@")

En retour, on obtient :

prenom.nom
it-connect.fr

En fait, la méthode Split() retourne un tableau de valeur. Du coup la valeur "prenom.nom" correspond à l'index [0] tandis que la valeur "it-connect.fr" correspond à l'index [1].

Exécutez les commandes ci-dessous, vous verrez par vous-même :

$EmailSplit = $Email -Split("@")
$EmailSplit.GetType()
$EmailSplit[0]
$EmailSplit[1]

En image directement :

PowerShell Split() - Exemple

Nous avons utilisé le caractère "@" comme séparateur, mais on aurait pu prendre un mot complet ou un autre caractère. Par exemple, on pourrait découper une adresse IP en se basant sur le point comme caractère pour spliter (diviser) notre chaîne :

$IPAddress = "192.168.1.1"
($IPAddress).split(".")

Il faut savoir que l'on peut récupérer facilement une valeur de notre tableau. Par exemple pour affecter la première valeur à une variable :

$IPPremierOctet = ($IPAddress).split(".")[0]

Cela fonctionne aussi très bien avec l'espace comme caractère de référence :

$Phrase = "Bienvenue sur le site IT-Connect !"
($Phrase).Split(" ")

B. Split() et Max-substrings

La méthode Split() supporte plusieurs paramètres, et pas seulement le délimiteur. On peut également lui indiquer le nombre de morceaux à retourner, c'est-à-dire le nombre de sous-chaînes à générer. Reprenons notre phrase précédente avec la variable $Phrase : on va la découper en deux seulement.

$Phrase = "Bienvenue sur le site IT-Connect !"
($Phrase).Split(" ",2)

La méthode va s'arrêter après le premier espace pour séparer en deux la chaîne. Ce qui va donner deux chaînes distinctes :

Bienvenue
sur le site IT-Connect !

On peut aussi écrire :

$Phrase -Split " ",2

C. Split() et ScriptBlock

La méthode Split() supporte également un bloc de script comme entrée pour séparer la chaîne. En fait, c'est particulièrement utile pour spécifier deux délimiteurs différents.

Prenons une URL comme valeur de référence :

$URL = "https://www.it-connect.fr"

Maintenant, on va séparer cette chaîne de caractères en prenant deux caractères : ":" ou ".", ce qui donne :

$URL -split { $_ -eq ":" -or $_ -eq "." }

Voilà, nous venons de voir comment utiliser la méthode Split() avec PowerShell, une manière simple, mais redoutable pour diviser une chaîne de caractères en plusieurs sous-chaînes.

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Chrome 90 plante sur votre PC Windows 10 ou Linux ? Voici la solution !

lundi 24 mai 2021 à 08:51

Suite aux plantages à répétition rencontrés par les utilisateurs de Chrome, aussi bien sur Windows 10 que sur Linux, Google a publié la solution pour se sortir de cette situation.

Le 10 mai dernier, Google a publié la version 90.0.4430.212 de Chrome. Tout se passait comme prévu... Jusqu'à la fin de la semaine dernière. Soudainement, Chrome est devenu inutilisable sur de nombreuses machines à cause de plantages répétés des onglets et des extensions. Il n'était plus possible non d'accéder aux paramètres du navigateur. Visiblement, ce problème s'est produit principalement sur des machines Windows, mais il y a aussi eu quelques cas sur Linux.

Pour le moment, Google n'a pas publié de nouveau correctif pour rétablir le bon fonctionnement de son navigateur. Néanmoins, Google a communiqué sur les étapes à suivre sur votre machine pour que Chrome fonctionne de nouveau.

Sur une machine Windows impactée, suivez les étapes ci-dessous :

1 - Fermez Chrome

2 - Ouvrez Chrome. Il devrait être toujours inutilisable.

3 - Laissez Chrome ouvert pendant 5 minutes

4 - Fermez Chrome et rouvrez le navigateur. Le problème devrait être résolu.

C'est quand même très curieux comme méthode de résolution !

Sur une machine Linux impactée, suivez les étapes ci-dessous :

1 - Naviguez dans le dossier qui contient le profil de Chrome de l'utilisateur

.config/google-chrome/

2 - Supprimez le contenu du dossier ci-dessous, il doit contenir un dossier nommé "1.0.0.7"

[Chrome user profile]\Origin Trials

3 - Supprimez le fichier suivant :

[Chrome user profile]\Local State

4 - Ouvrez Chrome, il devrait fonctionner normalement

Si vous êtes concerné par ce problème, pouvez-vous tester la méthode ci-dessus qui correspond à votre système et nous confirmer que cela fonctionne ?

Quoi qu'il en soit, Google n'a pas communiqué officiellement sur l'origine de ce problème. Il se pourrait que Google ait activé un paramètre ou une fonctionnalité auprès d'un ensemble d'utilisateurs pour réaliser des tests, mais tout ne s'est pas passé comme prévu... Malheureusement. Cela explique aussi pourquoi il n'y aurait pas de correctif à déployer auprès de tous les utilisateurs.

Source

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Test Konyks Priska Max Easy : une prise connectée idéale

dimanche 23 mai 2021 à 11:00

I. Présentation

La société française Konyks propose une nouvelle prise connectée baptisée "Konyks Priska Max Easy". Ce nom n'est pas sans rappeler deux autres modèles de la marque : Priska+ Mini et Priska Max. Vous l'aurez compris, ce nouveau modèle est une évolution d'un appareil qui a déjà fait ses preuves depuis plusieurs années maintenant. Aujourd'hui, je vous propose le test Konyks Priska Max Easy.

Grâce à une prise connectée, vous allez pouvoir commander à distance l'appareil qui connecté dessus, directement avec votre smartphone ou à l'aide d'un assistant vocal (Amazon Alexa et Google Assistant). Il peut s'agir d'une lampe, par exemple.

Avant de vous parler de la grosse nouveauté de ce modèle, dressons sa fiche technique :

Konyks Priska Max Easy : le Bluetooth comme nouveauté

La prise connectée Priska Max Easy intègre la connectivité Bluetooth, ce qui est une grande première sur une prise connectée Konyks. D'ailleurs, la mention "Easy" (facile) dans le nom du produit est certainement associée à la présence du Bluetooth, nous verrons pourquoi.

II. Package et design

La boîte de la prise connectée est prête à être accrochée en rayon, mais je vais plutôt l'ouvrir et vous faire découvrir le produit. En tout cas, la boîte nous donne les indications que j'évoquais en introduction. Je vois que Konyks a ajouté de l'orange vif au coloris de son package, en plus de la couleur habituelle. 😃

La prise connectée Priska Max Easy est compacte et ça, j'apprécie ! Plus la prise connectée sera discrète, mieux ce sera, car l'objectif ce n'est pas qu'elle se voit. La qualité de fabrication est très bonne également.

Le bouton physique qui sert d'interrupteur est orange, tout comme une partie de la prise. L'anneau n'est pas lumineux, contrairement au bouton qui s'allume légèrement lorsque la prise est allumée : une façon de voir d'un coup d'œil si la prise est active ou non.

D'un point de vue de la sécurité, notamment pour les enfants, il est important de préciser que les connecteurs femelles intègrent des protections qui bloquent l'introduction d'objets fins et pointus.

La prise connectée Priska reste fidèle à elle-même puisque le design est identique aux modèles Konyks Priska+ Mini et Konyks Priska Max EU.

III. Gérer la prise Konyks Priska Max Easy au quotidien

Le guide de démarrage rapide est très light, Konyks a pris parti de publier la documentation en ligne directement. D'un côté, cela permet de consommer moins de papier ! 👍 - Voici le lien vers la doc.

L'ajout de la prise connectée à l'application Konyks est un jeu d'enfant, car le Bluetooth va entrer en jeu (même si la méthode classique reste d'actualité) ! Après avoir connecté le smartphone au Wi-Fi et activé le Bluetooth, si vous connectez la prise Priska et que dans l'application Konyks vous ajoutez un nouvel appareil, il va se passer quelque chose de magique ! En fait, grâce au Bluetooth, votre smartphone va détecter la prise connectée directement et l'ajouter : il suffira de suivre quelques étapes pour finaliser l'association à votre compte ! 👌

La prise connectée étant ajoutée à l'application, on va pouvoir en profiter et découvrir les fonctionnalités. Lorsque l'on accède à l'appareil, il y a un bouton central au design sympa : il permet d'allumer et d'éteindre la prise avec son smartphone. Sa couleur change en fonction de l'état.

Il est également possible de gérer un planning pour allumer ou éteindre la prise, à une heure spécifique et en choisissant les jours auxquels s'applique la règle. Par exemple, j'ai créé un planning qui allume et éteint la prise toutes les deux heures pour gérer la pompe de mon aquarium. C'est un combattant, il n'aime pas trop quand il y a le courant de l'eau, alors je lui devais bien ça 😉. Le planning permet aussi d'utiliser le minuteur pour éteindre automatiquement la prise dans 1 heure ou 15 minutes, par exemple. Enfin, on peut effectuer une action en fonction de l'heure du lever ou de coucher du soleil, pour un ou plusieurs jours de la semaine.

La zone "Statistiques" de l'application permet d'accéder à la consommation électrique de la prise en temps réel (en watts), mais aussi d'accéder à un historique de la consommation d'énergie par jour et par mois.

Dans les options avancées, il y a la possibilité d'activer les mises à jour automatiques du firmware : une bonne idée de la part de Konyks pour nous permettre de maintenir nos appareils à jour.

Les appareils de l'écosystème Konyks peuvent fonctionner ensemble grâce à l'automatisation d'actions et aux scénarios. Pour la prise connectée, cela va permettre de l'allumer ou de l'éteindre et de déclencher un minuteur, en fonction d'un autre événement. Par exemple : lorsque le volet de la chambre se ferme, on allume la prise connectée pour allumer la lampe de chevet.

Note : dans le cas où le WiFi ne fonctionne plus, il est toujours possible de se connecter à la prise connectée grâce au Bluetooth.

IV. Conclusion

La prise Konyks Priska Max Easy est la prise connectée idéale puisqu'elle est compacte, simple à mettre en service et à utiliser au quotidien, tout en proposant ce que l'on attend en termes de fonctionnalité. Le Bluetooth apporte une petite touche supplémentaire pour faciliter la mise en route de l'appareil et prendre le relais en cas de défaillance du Wi-Fi.

Idéale, d'accord... Mais à quel prix ? Un prix est très correct : 22,90 euros. Ce n'est pas la moins chère du marché, mais avec toutes ces fonctionnalités et surtout le calcul de la consommation d'énergie, c'est un très bon rapport qualité/prix.

➡ Boutique Konyks

Test Konyks Priska Max Easy

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Comment ajouter un nouvel utilisateur « sudo » sous Linux ?

vendredi 21 mai 2021 à 13:00

I. Présentation

Sur votre machine Linux, si vous avez besoin qu'un utilisateur standard dispose des droits d'administration de cette même machine par l'intermédiaire de la commande "sudo", vous allez avoir besoin de créer l'utilisateur et de l'ajouter au groupe "sudo".

Dans ce tutoriel, nous allons voir comment créer un utilisateur et l'ajouter au groupe "sudo", ce qui permettra de lui donner des droits d'administration sur la machine.

Pour découvrir plus en détail la commande "sudo" et la configuration du fichier sudoers (recommandé pour déléguer les droits), voici le tutoriel et la vidéo disponible sur IT-Connect :

⭐ Linux - Commande sudo et configuration du fichier sudoers

II. Créer un utilisateur sudo

Pour les commandes qui vont suivre, si vous êtes connecté avec un autre utilisateur que "root" mais qui a des droits d'administration, pensez à ajouter "sudo" devant les commandes.

A. Créer l'utilisateur sur la machine

Pour créer un nouvel utilisateur nommé "flo" et qui doit être notre futur utilisateur "sudo", on utilise simplement la commande suivante :

adduser flo

Cela va permet de créer un nouvel utilisateur "flo", un groupe "flo" et un répertoire personnel "/home/flo". Il faudra saisir un mot de passe pour cet utilisateur : je vous recommande d'utiliser un mot de passe sécurisé/complexe, d'autant plus que cet utilisateur aura des droits d'administration sur la machine.

créer utilisateur sudo debian

B. Ajouter un utilisateur au groupe sudo

Maintenant, nous allons ajouter l'utilisateur "flo" au groupe "sudo". Pour cela, on utilise la commande habituelle : usermod. Ce qui donne :

usermod -aG sudo flo

Petite précision : l'option -aG permet d'ajouter l'utilisateur "flo" au groupe "sudo", mais l'aurez deviné ! On peut vérifier que le résultat de notre commande est correct en regardant de quels groupes est membre l'utilisateur "flo" :

groups flo

C. Utiliser le nouveau compte sudo

Techniquement notre compte est prêt ! Il ne reste plus qu'à en profiter et à l'utiliser avec précautions ! À partir de la session courante, pour basculer sur l'utilisateur "flo", on va utiliser la commande suivante :

su - flo

Voilà, vous êtes dans votre terminal connecté avec ce nouveau compte, vous allez pouvoir utiliser la commande sudo. Je vous recommande vivement de prendre connaissance des possibilités offertes par le fichier de configuration sudoers, avant de partir sur un compte "sudo" avec tous les droits.

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