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Secunia PSI : Gérez les mises à jour de vos applications

lundi 1 septembre 2014 à 09:30

I. Présentation

La société Danoise Secunia, spécialisée en sécurité, propose gratuitement le logiciel “Secunia Personal Software Inspector” appelé Secunia PSI qui permet de gérer les mises à jour de vos applications facilement. Ainsi, vous éviterez d’utiliser des versions périmées voir même vulnérables de vos applications.

L’application propose de mettre à jour automatiquement certaines de vos applications comme Java ou encore VLC pour ne citer qu’eux. Par ailleurs, certaines applications (PHP ou encore WireShark) doivent être mises à jour manuellement mais pour cela Secunia PSI vous dirige vers la page de téléchargement de l’application afin de vous faciliter la tâche.

Télécharger Secunia PSI

II. Procédure

Après avoir téléchargé le logiciel, l’installation est très simple il faut juste indiquer la façon dont vous souhaitez configurer les mises à jour automatiques de vos applications. Pour profiter au maximum des capacités de l’application, vous pouvez sélectionner la mise à jour automatique comme cela :

secunia1

Une analyse est exécutée lors du premier lancement de l’application. Cela permettra d’avoir un résumé complet de l’état de mise à jour de l’ensemble des applications détectées par Secunia PSI (qui a une liste très importante de logiciels connus !). En tête de liste sont affichés les logiciels qui doivent être mis à jour manuellement, c’est à dire que Secunia PSI n’est pas capable de mettre à jour lui-même.

Pour mettre à jour une de ces applications, cliquez sur “Cliquer pour mettre à jour” vous serez rediriger vers le site internet de l’application concerné sur un lien de téléchargement. Téléchargez la mise à jour et appliquez-la.

secunia2

Par exemple, pour ma part j’effectue la mise à jour de WireShark. On peut donc voir après avoir effectué la mise à jour que l’application n’apparaît plus dans la liste des programmes nécessitant une mise à jour :

secunia3

Note : Si vous souhaitez ignorer les mises à jour d’une application précise, effectuez un clic droit sur son icône puis “Ignorer les mises à jour de ce programme“.

Sinon, il est à noter que l’application gère un historique des différentes actions effectuées. Pour accéder à ce dernier, cliquez sur “Historique” dans le bas de l’interface de Secunia PSI.

Dans mon cas, cela m’a permit de voir que Java et VLC ont étaient mit à jour automatiquement, sans aucune action de ma part.

secunia4

Au niveau de l’affichage, on peut gérer cela sous forme de liste en sélectionnant “Vue détaillée” dans les Paramètres. Sinon, si vous disposez de logiciels installés sur une autre partition que “C:“, vous pouvez les déclarer dans “Scanner les disques individuels” comme ceci :

secunia5

Si une de vos applications est absente du listing, vous pouvez cliquer sur “Ajouter un programme” afin de proposer à l’équipe de Secunia d’intégrer le logiciel concerné à la liste des programmes pris en charge.

Que pensez-vous de cette application fort pratique ? Connaissez-vous une alternative ?

pfSense 2.1.5 est disponible !

vendredi 29 août 2014 à 14:00

La dernière version 2.1.5 de pfSense est disponible et arrive peu de temps après la version 2.1.4. Elle apporte surtout des correctifs de sécurité.

De ce fait, plusieurs correctifs de sécurité sont présent :

- pfSense-SA-14_14.openssl : Lié au module SSL
- pfSense-SA-14_15.webgui : Lié au WebGUI
- pfSense-SA-14_16.webgui : Lié au WebGUI
- pfSense-SA-14_17.webgui : Lié au WebGUI

logo-pfsense2

Par ailleurs, une vingtaine d’autres corrections en tout genre sont également présente et touche divers services comme le DHCP ou le protocole de redondance CARP. Vous retrouverez tous les détails liés à cette mise à jour ici :

pfSense 2.1.5

lshw : Avoir des informations sur son matériel sous Linux

vendredi 29 août 2014 à 09:00

I. Présentation de lshw (List Hardware)

Aujourd’hui nous allons étudier un petit outil sous Linux qui fonctionne en ligne de commande et qui permet de voir les informations à propos des composants matériels d’un ordinateur. Il s’agit de Hardware Lister, soit “lshw” qui est un petit outil très pratique. On commence par l’installer, sous Debian :

apt-get install lshw

II. Lister tous les composants matériels

Pour l’utiliser et voir la totalité des composants matériels de votre ordinateur, il suffit de saisir la commande suivante :

lshw

On voit alors quantité d’informations sur la machine, la carte mère, le bios, le cpu/processeur, la mémoire vive …LSHW02

III. Lister un seul composant matériel avec lshw

Étant donné que la sortie est souvent très longue, on peut filtrer la sortie avec l’option “-C” de lshw, par exemple si l’on souhaite avoir des informations uniquement sur les composants réseaux :

lshw -C network

 

LSHW01

Vous pourrez également avoir des informations sur votre carte audio par exemple avec le filtre suivant:

lshw -C multimedia

On peut également formater une sortie XML avec l’option “-xml” ou en html avec l’option “-html”

Le disque dur 8 To, il est pour Seagate !

jeudi 28 août 2014 à 14:00

Un nouveau cap sera franchi prochainement puisque Seagate annonce un disque dur 8 To pour ce quatrième trimestre. Son format sera 3.5 pouces.

seagate

Les besoins des professionnels et du grand public changent continuellement et nous avons besoin de plus en plus besoin d’espace de stockage, c’est ce que pense également John Rydning de chez Seagate. L’entreprise l’a bien compris en sortant ce modèle à forte capacité, l’atout de ces disques étant désormais au niveau de la capacité de stockage puisqu’ils sont dépassés par les SSD au niveau des performances.

Pas d’information fournie concernant le prix et une date de sortie exacte cependant.

Source

VMware Workstation : répertoire partagé avec une VM Windows

jeudi 28 août 2014 à 09:30

I. Présentation

Sous VMware Workstation, il est possible d’échanger rapidement des fichiers grâce à la fonction de “glisser-déposer” possible entre un hôte et une VM, après installation des VMware Tools. Une autre méthode consiste à définir un dossier partagé sur la machine hôte, et, à monter ce dossier partager sur une ou plusieurs machines virtuelles. Cela simplifiera les échanges entre les VMs et entre les VMs et l’hôte.

Nous allons voir dans ce tutoriel comment cela fonctionne dans le cadre d’une machine virtuelle sous Windows. La procédure est effectuée depuis VMware Workstation 10.

II. Procédure

Ouvrez VMware Workstation 10, effectuez un clic droit sur la VM concernée puis accédez aux propriétés (“Settings“). Cliquez sur l’onglet “Options” et sélectionnez “Shared Folders“. Sur la partie de droite, par défaut “Disabled” est sélectionné car les dossiers partagés sont désactivés. Sélectionnez “Always enabled” pour activer la fonctionnalité continuellement sur cette machine, ou, l’option “Enabled until next power off or suspend” si vous souhaitez activer la fonctionnalité jusqu’au prochain redémarrage ou mise en pause de la VM.

sharedfolder1

Cliquez sur “Add” pour ajouter un nouveau dossier partagé. Un assistant s’ouvre. Dans le champ “Host Path” indiquez le chemin vers le dossier partagé, sur la machine hôte. Pour le “Name” donnez un nom à ce dossier partagé. Cliquez sur “Next” pour continuer.

sharedfolder2

Désormais, il faut gérer les droits attribués à ce dossier. Cochez “Read-only” pour que le partage soit accessible uniquement en lecture seule, sinon il sera en lecture/écriture. Par ailleurs, activez le dossier partagé en cochant la case “Enable this share“. Poursuivez en cliquant sur “Finish“.

sharedfolder3

On remarque l’apparition de notre dossier partagé dans la liste “Folders“. Il ne reste plus qu’à activer l’option “Map as a network drive in Windows guests” pour que le dossier partagé apparaisse comme un lecteur réseau dans votre machine virtuelle Windows.

sharedfolder4

Enfin, sur la machine virtuelle on remarque que le lecteur réseau est bien présent. Le dossier partagé est fonctionnel !

sharedfolder5