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Microsoft dévoile Windows 365 : son PC Windows 10 dans le Cloud

mercredi 14 juillet 2021 à 18:57

Microsoft a dévoilé un nouveau service baptisé Windows 365 à l'occasion de l'événement Windows Inspire. En quelques mots, avec ce service vous pouvez accéder à un ordinateur virtuel Windows 10 hébergé dans le Cloud, par Microsoft.

Avec Windows 365, l'écosystème dans le Cloud de Microsoft accueille un nouveau service en complément de tous ceux que l'on connaît déjà via les offres Microsoft 365 / Office 365 (OneDrive, Teams, SharePoint, etc.) et le Cloud Azure. Grâce à Windows 365, vous bénéficiez d'un ordinateur virtuel sous Windows 10 (et certainement sous Windows 11 par la suite), accessible par l'intermédiaire d'un abonnement où il faudra payer tous les mois. Une offre que l'on pourrait qualifier de PC-as-a-Service ou de Cloud PC et qui pourrait venir concurrencer la solution française Shadow.

Pour proposer ce nouveau service à ses clients, Microsoft va s'appuyer sur un autre service lancé en septembre 2019 : Azure Virtual Desktop. Pour accéder à Windows 365, différents clients seront proposés pour Windows, macOS, Android, iOS mais aussi directement à partir d'un navigateur au travers d'un portail.

Windows 365 sera disponible en deux formules : Windows 365 Business et Windows 365 Enterprise. Pour chaque formule, il y aura plusieurs configurations disponibles, soit 12 au total. La configuration sera ajustable, que ce soit au niveau de la RAM, du CPU ou du stockage. On parle de configurations basiques avec 1 vCPU, 2 Go de RAM et 64 Go de stockage, mais aussi des configurations plus musclées avec 8 vCPU, 32 Go de RAM et 512 Go de stockage. En complément, des options seront disponibles pour personnaliser les ordinateurs virtuels, notamment la partie GPU (puissance graphique).

Grâce à Windows 365, Microsoft veut permettre aux entreprises de déployer un nouveau PC dans le Cloud, en quelques clics, en quelques secondes, sans avoir à se soucier des ressources matérielles. Surtout, cette solution s'avère intéressante pour répondre à un besoin ponctuel d'une ou plusieurs machines sous Windows.

Windows 365 sera lancé le 2 août 2021 et ce service sera disponible uniquement pour les professionnels dans un premier temps. Pour le moment, nous ne connaissons pas les tarifs de Windows 365.

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10 commandes pour maîtriser WSL sous Windows 10

lundi 12 juillet 2021 à 11:30

I. Présentation

Avec ce tutoriel, je souhaite vous proposer 10 commandes indispensables pour bien maîtriser WSL (Windows Subsystem for Linux) sous Windows 10.

🎥 Disponible au format vidéo (avec chapitres) :

J'ai choisi les commandes en fonction de mes propres besoins, qui seront surement aussi les vôtres, mais aussi en fonction des limitations actuelles de WSL sous Windows 10. La dernière version à l'heure où j'écris cet article est Windows 10 21H1.

À l'aide d'une console, l'exécutable "wsl.exe" que l'on peut appeler d'un simple "wsl" donne accès à un jeu de commande très intéressant, qu'il est important de maîtriser pour bien prendre en main WSL sous Windows. Toutes les options disponibles sont visibles dans l'aide :

wsl --help

Précédemment, nous avons comment installer WSL 2 sur Windows 10, mais aussi comment installer Kali Linux avec WSL et comment mettre en place une règle de redirection de port avec WSL.

II. Lister les distributions WSL installées sur Windows 10

Lorsque l'on commence à déployer plusieurs systèmes Linux sur Windows 10 à partir de WSL, il arrive à un moment où l'on ne sait plus trop ce que l'on a déployé ou non. Il y a une commande bien pratique qui permet de lister les distributions installées (enregistrées) sur votre machine :

wsl --list

Que l'on peut écrire aussi :

wsl -l

Personnellement, je préfère utiliser la même commande avec l'option --verbose car cela affiche des informations supplémentaires : l'état de la distribution et la version.

wsl --list --verbose

Que l'on peut écrire aussi :

wsl -l -v

On peut voir que l'on a deux colonnes supplémentaires : STATE et VERSION. La commande sans l'option --verbose indique également quelle est la distribution Linux par défaut, ici : Kali Linux (Default). Sur la version avec --verbose, il faut se référer au caractère "*".

wsl --list --verbose
Exemple : wsl --list --verbose

III. WSL : modifier la version d'une distribution Linux

WSL est proposé en deux versions : la version 1 et la version 2. La seconde est plus pertinente, car elle permet de s'appuyer sur une machine virtuelle WSL et d'avoir un véritable noyau Linux à disposition.

Si vous avez une distribution Linux en version 1 actuellement et que vous souhaitez la basculer en version 2, il faut utiliser le paramètre --set-version. Voici un exemple pour la distribution nommée "kali-linux" :

wsl --set-version kali-linux 2

Un processus de conversion va débuter pour transformer la distribution en version WSL 2. À l'inverse, on peut définir la version 1 également :

wsl --set-version kali-linux 1

La conversion fonctionne dans les deux sens. Si l'on veut définir la version 2 comme étant la version par défaut à utiliser pour les futures distributions, on va utiliser cette commande :

wsl --set-default-version 2

IV. Démarrer une distribution WSL en ligne de commande

Pour démarrer une distribution WSL, il suffit d'accéder à son shell, par exemple à partir du raccourci qui est créé dans le menu Démarrer de Windows.

Sachez que l'on peut également forcer le démarrage de la distribution WSL grâce à une simple commande. De quoi faire un petit script qui s'exécute au démarrage de votre machine Windows, par exemple. 😉

Pour démarrer la distribution Ubuntu, on utilisera la commande suivant :

wsl --distribution Ubuntu

Que l'on peut aussi écrire :

wsl -d Ubuntu

Il n'y a pas de commande pour démarrer toutes les distributions en même temps.

V. Exécuter une commande dans une distribution WSL depuis Windows

Il n'est pas nécessaire d'ouvrir le Shell de la distribution Linux pour exécuter une commande à l'intérieur. On peut le faire directement depuis Windows et notre commande wsl. Avec les bonnes options bien sûr.

Pour exécuter la commande "sudo apt update" au sein de la distribution Linux nommée "Ubuntu", on utilisera la commande suivante :

wsl --distribution Ubuntu sudo apt update
Exemple : wsl --distribution Ubuntu sudo apt update

C'est important de spécifier "sudo" devant toutes les commandes qui nécessitent des droits "root" sur le système Linux. Si c'est une commande basique telle que "hostname" qui permet d'obtenir le nom de l'hôte, ce n'est pas utile :

wsl --distribution Ubuntu hostname

On aurait pu exécuter aussi la commande ci-dessous, où il n'est pas spécifié de distribution cible.

wsl sudo apt update

Dans ce cas, la commande va s'exécuter au sein de la distribution WSL qui est définie par défaut sur votre machine Windows 10 (souvenez-vous de ce que l'on a vu précédemment). C'est un détail qui a son importance.

VI. Définir une distribution Linux par défaut sous WSL

Pour finir sur la notion de distribution par défaut, sachez que l'on peut choisir celle que l'on veut définir par défaut. Par exemple, pour définir Ubuntu comme distribution par défaut :

wsl --set-default Ubuntu

Que l'on peut écrire aussi :

wsl -s Ubuntu
wsl --set-default
Exemple : wsl --set-default

Comme le montre cette commande, dans l'ensemble les commandes WSL sont simples.

VII. Démarrer la distribution WSL avec un utilisateur spécifique

Au sein votre distribution Linux, vous pouvez créer plusieurs utilisateurs. Si vous souhaitez lancer la distribution WSL en étant directement connecté avec un utilisateur spécifique, vous devez utiliser l'option --user.

Par exemple, sur ma distribution Ubuntu, je crée un nouvel utilisateur "itconnect" :

sudo adduser itconnect

Ensuite, je peux lancer la distribution Linux avec cet utilisateur :

wsl --user itconnect --distribution Ubuntu

Que l'on peut raccourcir de cette façon :

wsl -u itconnect -d Ubuntu

Sur le même principe que précédemment, si vous ne précisez pas de distribution, Windows prendra la distribution par défaut. Une fois le shell ouvert, je peux vérifier quel utilisateur j'utilise (même si c'est précisé au tout début du prompt) :

whoami
Exemple : wsl -u itconnect -d Ubuntu

VIII. Eteindre une distribution Linux WSL

Puisqu'une distribution peut être démarrée ou arrêtée, et que l'on a vu comment démarrer une distribution, il me semble intéressant de voir comment éteindre.

Avant cela, une petite commande bonus pour lister les distributions en cours d'exécution :

wsl --list --running

Pour stopper une distribution spécifique, par exemple "Ubuntu" qui est en cours d'exécution, voici la commande à utiliser :

wsl --terminate Ubuntu

Que l'on peut raccourcir de cette façon :

wsl -t Ubuntu

Il  y a aussi une commande globale qui sert à stopper immédiatement toutes les distributions et la machine virtuelle WSL 2 :

wsl --shutdown

Elle est... comment dire... radicale ! 🙂

IX. Supprimer une distribution Linux WSL

Quand on installe une distribution WSL sur son poste, cela peut être pour un besoin ponctuel. D'ailleurs, c'est aussi l'intérêt de ce système. Du coup, si l'on n'utilise pas une distribution, autant la supprimer ! C'est aussi une façon de réinstaller une distribution.

Si l'on veut supprimer la distribution Ubuntu, on va exécuter la commande suivante :

wsl --unregister Ubuntu

Cette commande va supprimer la distribution, mais les sources vont rester sur votre machine. Si vous décidez d'utiliser de nouveau cette distribution, vous repartirez de zéro mais ce sera rapide à démarrer, car les sources sont déjà là !

C'est une commande que j'ai déjà utilisée plusieurs fois pour réinstaller une distribution. Une fois que la distribution est supprimée avec cette commande, on peut la démarrer via l'interface graphique : l'installation va démarrer. Par la suite, on pourra aussi installer des distributions avec la commande "wsl" mais pour le moment, c'est en version preview.

Exemple : wsl --unregister Ubuntu

X. Exporter une distribution Linux de WSL

WSL offre la possibilité d'exporter une distribution Linux, ce qui est particulièrement intéressant pour deux raisons :

Pour exporter une distribution WSL au format TAR, nous allons utiliser l'option --export. Prenons un exemple... Nous allons exporter la distribution "Ubuntu" vers le dossier "C:\TEMP\Ubuntu-Backup.tar" :

wsl --export Ubuntu "C:\TEMP\Ubuntu-Backup.tar"

L'opération est relativement rapide et nous permet d'obtenir une archive compressée au format TAR, avec le contenu de notre distribution. Le poids de l'archive quant à lui dépend du contenu de votre distribution, notamment de la quantité de paquets installés.

Exemple : wsl --export Ubuntu "C:\TEMP\Ubuntu-Backup.tar"

Il est à noter qu'une distribution exportée restera enregistrée sur votre machine, dans son état actuel. Elle n'est pas supprimée. Si vous souhaitez l'exporter puis la supprimer, vous devez utiliser la commande que l'on a vue précédemment pour cette seconde étape.

XI. Importer une distribution WSL sous Windows 10

Pour terminer, nous allons prendre la distribution Linux que l'on a exportée précédemment, et nous allons la réimporter.


Pour importer notre machine précédemment exportée, il va falloir spécifier trois informations : le nom de la machine, l'emplacement pour la stocker et le chemin vers le fichier TAR à importer.

wsl --import <nom-distribution> "<dossier-stockage>" "<chemin complet vers fichier .tar>"

Ce qui donne :

wsl --import Ubuntu "C:\TEMP\WSL\Ubuntu" "C:\TEMP\Ubuntu-Backup.tar"

Pensez à indiquer un chemin vers un dossier qui a le nom de la distribution, car la fonction d'import ne va pas créer un sous-dossier. Donc, vous allez obtenir un fichier VHDX (format WSL 2) avec un nom qui ne sera pas significatif du tout ("ext4.vhdx").

Si l'on essaie d'importer notre machine Ubuntu avec le même nom, nous avons un message d'erreur, car elle existe déjà. Ce qui est logique.

A distribution with the supplied name already exists.

Nous avons deux options : changer le nom (il y aura donc les deux machines Ubuntu utilisables), soit supprimer la machine actuelle et importer la nouvelle. Pour rappel, voici la commande pour supprimer :

wsl --unregister Ubuntu

Note : cette méthode basée sur un export et un import permet aussi de cloner facilement une distribution WSL !

Voilà, c'était la dernière astuce de l'article au sujet de Windows Subsystem for Linux ! J'espère que ces différentes commandes pourront vous aider au quotidien si vous aimez travailler avec WSL sous Windows 10 !

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Windows 11 : il n’est plus possible d’activer le menu Démarrer de Windows 10

lundi 12 juillet 2021 à 09:03

À l'occasion de la sortie des premières versions de développement de Windows 11, un petit hack dans le Registre avait vu le jour pour permettre aux utilisateurs de réactiver le menu Démarrer façon Windows 10. Microsoft en a décidé autrement puisque dans la dernière version de Windows 11 publiée au sein du canal Dev, cette astuce ne fonctionne plus.

Nous avons pu le découvrir ensemble, Windows 11 intègre un nouveau menu Démarrer, avec une nouvelle disposition et un nouveau design. D'ailleurs, un menu Démarrer qui ressemble très fortement à celui de la version preview de Windows 10X. Avec ce genre de modification, on ne peut pas satisfaire tout le monde : on aime ou on n’aime pas.

Dans le cas où l'on n’aime pas, il était possible de réactiver le menu Démarrer façon Windows 10, avec les tuiles, via le Registre. Pour bénéficier de cette astuce, il était nécessaire de créer une valeur nommée "Start_ShowClassicMode" dans le Registre et de lui attribuer 1 comme valeur, sous : HKEY_CURRENT_USER\Software\Microsoft\Windows\CurrentVersion\Explorer\Advanced.

Visiblement, au sein de Windows 11 build 22000.65, cette valeur dans le Registre n'a plus l'effet escompté ! Pour le moment, rien n’indique s'il s'agit d'un choix définitif de la part de Microsoft ou si cette option reviendra sous une autre forme par la suite.

Stay connected...

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Test Konyks Pluviose : une prise connectée pour l’extérieur

dimanche 11 juillet 2021 à 17:31

I. Présentation

Dans cet article, je vais vous parler de la prise connectée Konyks Pluviose qui présente la particularité d'être résistante aux intempéries, ce qui permet de l'installer en extérieur. Une différence marquante en comparaison des autres modèles de prises connectées de chez Konyks, que vous avez pu découvrir en lisant mes précédents articles.

Voici les caractéristiques de la prise Konyks Pluviose :

Il est à noter que cette prise connectée n'intègre pas le suivi de la consommation électrique.

II. Package et design

Comme à son habitude, Konyks propose un packaging bien présenté où l'on peut apercevoir l'appareil en photo, mais aussi en savoir plus sur ses caractéristiques techniques. À l'intérieur, nous retrouvons la prise connectée, un kit de visserie, la note de garantie et de conformité, et le guide d'installation rapide.

À première vue, la prise semble assez imposante, mais cela ne me choc pas du tout puisqu'elle est destinée à être installée en extérieur. D'autant plus qu'elle est grise, ce qui lui permet d'être passe-partout. La qualité de fabrication est bonne donc j'ai envie de dire que c'est rassurant pour la suite !

Le seul bouton intégré à la prise est facilement identifiable : il est noir et il permet de réinitialiser la prise. Autant vous dire que pour gérer l'interrupteur, il faudra passer par l'application Konyks.

Contrairement à une prise connectée destinée à un usage intérieur, où il suffit de venir connecter la prise directement sur une prise murale existante, la prise Konyks Pluviose va recevoir directement le courant. De ce fait, l'installation sera un peu plus compliquée et nécessite de prendre quelques précautions. Si cela vous semble compliqué, mieux vaut solliciter l'aide d'un professionnel. Dans tous les cas, c'est à prendre en considération.

Concrètement, il faut prévoir une arrivée électrique jusqu'à la prise Konyks et il faudra câbler la prise pour l'utiliser. Bien sûr, vous pouvez remplacer une prise existante par celle-ci pour bénéficier des fonctions connectées.

III. Installation de la prise Konyks Pluviose

Passons maintenant à la mise en route de la prise Konyks Pluviose. Et là, je dois avouer que ce n'est pas si simple ! Alors certes mes connaissances en bricolage sont limitées, mais lorsque je suis bien guidé, ça le fait ! Cependant, là, ce n'est pas le cas puisque le guide d'installation rapide est justement un peu trop rapide à mon goût.

Au final, je m'en suis sortie, mais c'est dommage que la notice ne soit pas plus complète. D'autant plus qu'il n'y a pas de notice plus détaillée sur le site Konyks. Voici les étapes de l'installation, à suivre avec le courant coupé bien entendu.

Tout d'abord, il faut commencer par prévoir une arrivée électrique et l'acheminer jusqu'à l'endroit où vous souhaitez installer la prise connectée : au niveau de votre terrasse, de votre piscine ou à proximité de l'abri de jardin. Chacun lui trouvera l'emplacement qui lui convient, mais veillez à ce qu'elle soit à portée de votre réseau Wi-Fi !

Ensuite, il faut dénuder le câble électrique et le faire entrer à l'intérieur de la prise connectée. Pour cela, il faut découper au cutter l'embout en caoutchouc de manière à faire rentrer le câble. Attention à ne pas trop découper pour maintenir une bonne étanchéité.

Une fois que c'est fait, il faut raccorder la prise électrique : la phase, le neutre et la terre. Le mécanisme du bornage est un peu capricieux et j'ai perdu un peu de temps à comprendre comment il fallait faire pour bloquer les câbles dans la borne. Hormis pour le câble correspondant à la terre puisqu'il se bloque avec une visse.

Lorsque le raccordement est fait, il faut fermer le boîtier de la prise connectée. Pour qu'il soit bien fermé et hermétique, il y a deux visse à mettre. Pour cela, il faut soulever le capot qui protège la prise de courant : vous trouverez deux trous pour visser et verrouiller le boîtier. À aucun moment ce n’est précisé sur la notice, il faut chercher par soi-même !

Pour ma part, j'ai testé la prise sans la fixer au mur dans un premier temps. Si vous souhaitez la fixer quelque part, il faut le faire avant de fermer le boîtier.

Dès que c'est fait, on peut mettre la prise connectée sous tension. L'occasion de remarquer la présence d'un voyant d'état sur la prise, visible en vert sur la photo ci-dessous.

IV. L'application Konyks

L'ajout dans l'application Konyks (Android / iOS) s'effectue facilement et comme les autres appareils Konyks. Si ce n'est que c'est encore plus simple et quasiment automatique avec les appareils dotés du Bluetooth comme la prise Konyks Priska Max Easy. Ici, ce n'est pas le cas, mais l'assistant est simple et efficace.

Lorsque la prise connectée est ajoutée, on la retrouve au sein du tableau de bord avec la possibilité de l'allumer et l'éteindre sans même rentrer dans les paramètres de l'appareil.

Si l'on regarde de plus près les fonctionnalités offertes, on remarque qu'il est possible d'allumer et d'éteindre la prise à distance (même lorsque l'on n’est pas à son domicile) : ce qui est classique. On constate également que l'on peut gérer un planning avec plusieurs programmations : allumer la prise à 21h00 tous les jours, éteindre la prise à 23h00 seulement le samedi et le dimanche, etc... À vous de choisir ce qui correspond à vos besoins si cette fonction vous intéresse. On peut planifier une action pour une seule fois. Il y a également une fonction "minuteur".

La prise est compatible avec les assistants vocaux Alexa et Google, ce qui offre la possibilité de la piloter à la voix. Pour aller plus loin, on peut intégrer la prise Pluviose dans les scénarios et les automatisations. Puisqu'il s'agit d'une prise pour l'extérieur, on peut imaginer des scénarios basés sur la météo, cette dernière étant récupérée à partir de votre position.

On peut également déclencher des actions basées sur les heures de lever et de coucher du soleil (c'est quelque chose que j'apprécie particulièrement pour la gestion des volets roulants, mais pour une prise c'est intéressant aussi). Comme c'est l'été, on peut allumer automatiquement l'éclairage d'ambiance de la terrasse lorsque le soleil est couché. En hiver, on pourra utiliser cette fonction pour allumer les décorations de Noël.

Comme je le disais en introduction, il n'y a pas le suivi de la consommation électrique, c'est dommage.

V. Conclusion

La prise connectée Konyks Pluviose est un bon produit, mais elle n'est pas sans défaut. Sa qualité de fabrication est bonne, mais il faudra voir comment elle vieillit puisqu'en extérieur les conditions sont plus difficiles qu'en intérieur, surtout en Normandie, ahah. Les fonctions "connectées" sont satisfaisantes puisque nous pouvons gérer la prise à distance et créer des routines en fonction d'un planning ou de certains événements (météo, état d'un autre appareil, etc.). Le petit bonus, c'est la compatibilité avec les assistants vocaux.

Concernant, les points négatifs, j'en ai relevé surtout deux : le montage n'est pas très complexe, mais la notice est beaucoup trop légère, ce qui peut représenter un point de blocage et aussi frustrer certains utilisateurs. Ensuite, au niveau des fonctionnalités, il manque le suivi de la consommation électrique : c'est un petit détail que j'apprécie sur les prises connectées.

Enfin, terminons par son prix : 34,90 euros. Il me semble cohérent pour ce type d'appareil qui doit être robuste pour résister à la pluie et à la poussière, comme c'est le cas ici.

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Mise à niveau de Windows 7 vers Windows 11 : ce ne sera pas simple !

jeudi 8 juillet 2021 à 10:35

Sur les versions en cours de développement de Windows 11, nous avons pu avoir qu'il était possible d'utiliser des clés de licence de Windows 10, mais aussi de Windows 7 et Windows 8.1. Cela devrait permettre de mettre à niveau sa machine de Windows 7 vers Windows 11 gratuitement, mais cela ne sera pas simple !

Pour pouvoir mettre à niveau sa machine Windows 7 vers Windows 11, il faudra déjà passer l'obstacle des prérequis de Windows 11. Il y a cette fameuse puce TPM 2.0 qui fait beaucoup parler, mais aussi la partie processeur : même si sur le papier il n'y a pas besoin d'avoir des caractéristiques exceptionnelles, la liste des processeurs compatibles est limitée (et il faut du matériel assez récent).

Si par chance votre machine sous Windows 7 respecte les prérequis et que vous êtes éligible à une mise à niveau vers Windows 11, ce ne sera pas gagné pour autant. Enfin, disons que ce ne sera pas sans contrainte.... En effet, Lenovo a publié un article au sein de sa FAQ qui explique comment passer de Windows 7 à Windows 11. L'occasion d'apprendre que passer de Windows 7 à Windows 11, ce sera possible, mais que vous allez repartir à zéro ! Dites adieu à vos données, à vos paramètres et à vos applications : il faudra prendre ses précautions et sauvegarder ses données au préalable. De toute façon, avant d'effectuer une mise à niveau aussi importante, je vous recommande de sauvegarder vos données dans tous les cas.

Une autre alternative pour éviter de perdre ses applications et ses données, serait de migrer de Windows 7 à Windows 10, puis de Windows 10 à Windows 11. De cette façon, les données et les applications seraient conservées. À l'heure actuelle, cette méthode est viable bien qu'elle nécessite d'être effectuée en deux temps.

Pour migrer de Windows 8.1 à Windows 11, ce n'est pas très clair pour le moment : est-ce que ce sera comme Windows 7 ou comme Windows 10 ? L'avenir nous le dira. Sans aucun doute, Microsoft communiquera sur le sujet dans les prochains mois.

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