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Facebook : traquez vos amis avec la Marauder’s Maps

jeudi 28 mai 2015 à 14:00

Ceux qui connaissent Harry Potter, connaissent la fameuse Marauder’s Maps qui permet de localiser les personnages du film en temps réel sur une carte. Avec l’extension Chrome qui porte le même nom, le principe est le même en ce qui concerne vos amis Facebook !

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Grâce à cette étudiante développeuse de Cambridge, vous allez pouvoir traquer vos amis et suivre leur déplacement pas à pas. La localisation est obtenue grâce à l’application Facebook Messenger, activée par défaut sur iOS et Android.

Tout le monde ne sera pas traqué ! L’extension sera en mesure de vous localiser seulement pour si vous avez eu une conversation avec vos amis sur Messenger avec la localisation active. Si vous n’utilisez pas Facebook Messenger alors, n’ayez pas d’inquiétude.

Si vous souhaitez continuer à utiliser Facebook Messenger, désactivez la localisation dans les options de l’application ou bloquez l’accès à cette fonctionnalité.

Télécharger l’extension

Le développeur de l’application indique que la clé de l’API de son extension a été désactivée. Il faut donc, pour ceux qui souhaitent, suivre la procédure sur GitHub :

GitHub Marauder’s Map

Firefox : Rafraîchir une page web automatiquement

jeudi 28 mai 2015 à 10:45

I. Présentation

Il arrive parfois que l’ on souhaite contrôler les données d’une page web de manière répétée. Plutôt que de rafraîchir manuellement la page toutes les 5 minutes… Pourquoi ne pas faire appel à un plug-in pour Firefox ?

En effet, Firefox propose plusieurs plug-ins qui permettent de rafraîchir un ou plusieurs onglets du navigateur, et ce à intervalle régulier.

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Ce plug-in se nomme ReloadEvery et est disponible gratuitement pour Firefox.

II. Installation et utilisation de ReloadEvery

Installez le plug-in ReloadEvery, qui au passage représente un téléchargement de 32.5 Ko.

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Lorsque l’installation est terminée, vous devez redémarrer le navigateur pour pouvoir utiliser ReloadEvery.

Maintenant, effectuez un clic droit sur un onglet et vous avez accès à un nouveau menu nommé “Recharger la page“. Vous pouvez alors utiliser un des timings prédéfinis ou alors définir un temps précis, en cliquant sur “Autre“.

Vous pouvez activer ou désactiver le rechargement automatique en cliquant sur “Activer/Désactiver le rechargement“, de la même manière que vous pouvez l’activer ou désactiver pour tous les onglets ouverts (options : Activer tous les onglets / Désactiver tous les onglets).

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Voilà, vous n’avez plus qu’à patienter et vous verrez que ça fonctionne parfaitement ! Vous bénéficiez désormais d’un navigateur doté d’une fonction de rafraichissement automatique !

Test d’un switch Netgear ProSAFE : Gigabit et montage flexible

jeudi 28 mai 2015 à 09:45

I. Présentation

Qui n’a jamais eu besoin de positionner un switch d’appoint dans un bureau ou dans une salle de réunion ? Pas grand monde, j’imagine… Et généralement le commutateur traîne un peu n’importe où parce que l’on n’a pas de point de fixation disponible ou adéquat.

Pour répondre à ce besoin, Netgear propose ce que l’on appelle un « Click switch » c’est-à-dire un commutateur que l’on peut fixer rapidement sur un support d’un simple « click ». Aujourd’hui, on se retrouve pour le test d’un switch Netgear ProSAFE de 8 ports Ethernet (référence GSS108E).

Le principe est de fixer au mur un support à l’aide de deux visses, et ensuite il suffit de venir clipper le switch sur le port pour le maintenir. Quatre positions différentes sont possibles :

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Commençons par voir les caractéristiques matérielles de ce switch :

– 8 ports Ethernet 1 Gigabit
– 2 ports USB pour recharger des appareils (smartphones, tablettes)
– Boitier en plastique
– Alimentation interne (aucun bloc d’alimentation)
– Sans ventilateur
– Voyants d’activité (possibilité de désactiver les voyants)

Si l’on s’intéresse de plus près aux caractéristiques de commutation à proprement dîtes, on trouve :

– VLAN par port
– QoS (WRR, ports, ou type de service)
– Protocole IGMP Snooping, v1, v2 et v3
– Blocage du trafic multicast inconnu
– Port mirroring
– Jumbo Frame
– Surveillance des tempêtes de diffusion (Broadcast Storm)
– Détection des boucles
– Green Ethernet : IEEE802.3az

Pour paramétrer ce switch, deux choix s’offrent à vous :

– Une interface web

– L’utilitaire de configuration Netgear ProSafe Plus

Je suis persuadé que de nombreuses personnes se tourneront rapidement et sans hésiter vers l’administration vers l’interface web, je vous rejoins. C’est une bonne surprise et un point positif d’avoir une interface web sur un modèle de ce type.

II. Design et montage

On va s’intéresser au design et au montage de ce click switch, que l’on trouve dans son carton accompagné du support mural, d’un sachet de visses, d’un câble d’alimentation, de deux attaches pour les câbles ainsi que d’un manuel d’utilisation et un CD de mise en route.

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Le design est réussi et entre bien dans l’esprit « multiprise réseau » puisque l’on retrouve la forme longiligne comme sur une multiprise électrique. La couleur grise passera très bien dans la majorité des salles de réunion et bureau.

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Chaque port Ethernet dispose de deux LEDs d’activité, celle de gauche lorsque la connectivité est en 1 Gbit/s, celle de droite lorsque la connectivité est en 100 Mbit/s. Par ailleurs, on remarque les deux ports USB pour la recharge d’appareils mobiles accompagnés d’un logo adéquat.

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Le câble d’alimentation se connecte sur une des arêtes du boitier, il est de forme triangulaire ce qui viendra compléter la forme du switch et lui donner une forme rectangulaire. Plutôt bien pensé ! D’autant plus que le peut le connecter dans deux sens différents, ce qui permet d’orienter le câble plus facilement selon comment on positionne le switch sur le support.

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Maintenant, si l’on s’intéresse au montage du switch, il suffit de visser le support au mur, sous un bureau… Avec les deux visses fournies.

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Une fois le support fixé, il suffit de positionner l’arrière du switch sur le support et de rabattre la face avant au niveau du clipse du support. Dès lors que l’on entend un « click » le commutateur est fixé au support, et il peut être retiré grâce à l’appui sur un bouton de déverrouillage.

III. Administration du switch

Comme je le disais dans la présentation, ce switch peut être administré grâce à une interface web. Voici à quoi elle ressemble :

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On reconnaît la patte “Netgear” puisque cette interface rappelle les couleurs et l’organisation que l’on retrouve habituellement chez ce fabricant.

Les différents menus donnent accès aux fonctionnalités citées dans la présentation.

D’ailleurs, pour rendre le commutateur discret on peut désactiver les LEDs, ce qui est plutôt astucieux à mon goût.

netgear-click-switch8De la même manière, on peut rapidement activer le port mirroring pour recopier le trafic sur un port de sortie que l’on définit :

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IV. Performances

Rapidement, j’ai réalisé des transferts de fichiers entre un PC et un NAS connectés tous les deux sur le switch Netgear, en 1 Gigabit/s (câble Ethernet de catégorie 6). Voici un graphique récapitulatif :

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Il n’y a rien à dire au niveau des performances, le switch réalise bien son travail, de manière stable même si les transferts durent plusieurs minutes.

V. Conclusion

Le montage astucieux et multiposition de ce commutateur est un atout très intéressant, notamment pour placer dans un bureau de façon discrète et professionnelle (ça évite d’avoir un switch qui se balade entre le mur et le bureau…). Le boitier étant en plastique, on peut dire qu’un boitier en métal aurait été un plus (sachant que la version 16 ports dispose d’un boitier métallique).

award_itconnect_gold_lightLa garantie proposée par Netgear est également intéressante puisqu’il s’agit d’un modèle qui bénéficie d’un remplacement à vie du matériel, le jour ouvrable suivant, en cas de panne. Du support technique est également intégré.

Complet au niveau des fonctionnalités étant le rôle que doit jouer ce commutateur au sein de votre infrastructure. Finalement, Netgear propose un bon produit avec ce switch ProSafe Concernant le prix, on le trouve entre 60 et 65 euros sur divers e-marchands (Amazon, Cdiscount, Materiel.net…).

Asustor lance Surveillance Center 2.3 en Beta

mercredi 27 mai 2015 à 11:00

En février dernier, Surveillance Center 2.2 sortait officiellement. Aujourd’hui, Asustor revient pour annoncer une nouvelle mise à jour de son application de contrôle des caméras et de surveillance.

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La version beta 2.3 de Surveillance Center apporte son lot de nouveautés :

Règles d’action d’événements automatisées : Personnalisez les règles des alarmes en fonction du type d’événement ou de l’heure à laquelle se produit un événement. Cela va du simple envoi de mails ou de SMS à l’envoi d’une notification (push) directement sur son smartphone, ou encore le déclenchement de l’enregistrement sur plusieurs caméras.

Contrôle simple et intuitif à l’écran : Contrôler le mouvement des caméras PTZ et de configurer les paramètres de la caméra

Contrôle d’accès à base de rôles (RBAC) : Créer des rôles utilisateurs afin d’étendre plus ou moins leurs autorisations au sein de l’application Surveillance Center, cela augmente les possibilités de gestion et la protection des paramètres sensibles.

Détection d’objet étranger : En supplément de la fonctionnalité de détection de mouvement, cette nouvelle version intègre la détection de corps étrangers. Ainsi, on peut rechercher et détecter plus rapidement l’arrivée d’un objet dans une zone spécifique de l’image (exemple : un sac, un individu…).

Bien qu’étant en version beta, Surveillance Center 2.3 est disponible sur tous les NAS Asustor pour ceux qui souhaitent l’essayer.

Comment lutter contre le phishing sur le web ?

mercredi 27 mai 2015 à 10:00

On se trouve toujours exposé à de nombreux dangers sur le web et il faut savoir rester vigilant. Une infographie publiée par Blue Coat nous explique le comportement des employés face aux cybermenaces. On y apprend ainsi que le phishing fait partie des pratiques les plus efficaces pour piéger les internautes. Voici quelques moyens de lutter contre le hameçonnage, pour que vos informations personnelles soient sécurisées.

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Attention à vos e-mails

Les attaques de phishing s’opèrent généralement par e-mail et les pirates font tout pour que vous tombiez dans le piège et que vous transmettiez vos informations personnelles. Alors, comment repérer un mail douteux, fruit d’un piratage informatique ? Dans cette interview, le journaliste Damien Bancal explique que les professionnels du phishing repèrent vos habitudes sur internet avant d’agir et de vous envoyer un message sur votre messagerie personnelle. Par exemple, si vous effectuez régulièrement des paiements en ligne, les hackers pourraient vous envoyer des emails en se faisant passer pour votre banque, avec usurpation et reproduction du logo. On vous demande alors de cliquer sur un lien pour donner vos données bancaires, afin d’éviter la fermeture de votre compte, par exemple. Pour rester vigilant face aux arnaques, allez jeter un œil sur quelques exemples de faux mails.

Différents moyens d’éviter le phishing lors de vos paiements en ligne

Le phishing se cache également à travers de faux sites pour attirer les internautes à divulguer leurs données personnelles. Pour vérifier l’authenticité d’un site e-commerce par exemple, veillez à repérer si un cadenas est présent dans l’URL lors de votre paiement en ligne. Un autre moyen d’éviter les fraudes bancaires est de payer en ligne par l’intermédiaire de cartes prépayées, qui ne nécessitent pas la transmission de vos données bancaires. Ici, vous trouverez des recommandations pour utiliser les cartes prépayées en toute sécurité.

Face au phénomène grandissant du phishing, les entreprises y mettent également du leur :

– Paysafecard, qui propose des cartes prépayées, avertit ses clients en cas de tentative de fraude

– Google a lancé une extension sur son moteur de recherche « Chrome » pour prévenir les internautes en cas de risque de hameçonnage. L’extension Password Alert gardera temporairement votre mot de passe en mémoire si vous vous connectez à votre compte Google et vous préviendra si vous le diffusez sur un site susceptible d’être exposé à un phishing.

Notre conseil : restez sur vos gardes.