Alors que Samsung s'est clairement rapproché de Microsoft puisque le constructeur a indiqué que l'application "Votre Téléphone" sera directement intégrée au Samsung Galaxy Note 10, il y a une autre nouveauté intéressante au sujet de cette application.

Après avoir associé votre smartphone à votre PC par l'intermédiaire d'un compte Microsoft, il sera possible de passer et de recevoir des appels téléphoniques depuis Windows 10. Cela est très intéressant car il n'est plus utile de manipuler son téléphone pour gérer ses appels. Il sera également possible de raccrocher en renvoyant vers votre messagerie si vous êtes occupé.

Sans que cela soit très clair pour le moment, on imagine qu'il sera possible d'accéder à ses contacts depuis le PC, mais aussi de composer un numéro. Pour pousser l'expérience jusqu'au bout, il faudrait pouvoir utiliser le micro et les hauts-parleurs du PC.

Enfin, il est à noter que le Galaxy Note 10 va synchroniser vos photos directement sur OneDrive.

Qu'en pensez-vous ?

Le traditionnel Patch Tuesday est disponible pour Windows 10, Windows 8 et Windows 7. À la clé, deux failles similaires à BlueKeep trouvées et corrigées sur le service RDS : CVE-2019-1181 et CVE-2019-1182. Mais ce n'est pas tout.

En effet, le chercheur Tavis Ormandy (Google Project Zero) a trouvé une vulnérabilité (CVE-2019-1162) vieille de 20 ans car elle était présente dans un composant déjà utilisé avec Windows XP. Plus précisément, cette vulnérabilité est dans la librairie CTextFramework qui gère la disposition du clavier et les entrées texte, ce qui rend possible l'obtention des droits systèmes à partir de n'importe quel logiciel.

Au niveau de la suite Office, une vulnérabilité est corrigée dans Word (CVE-2019-1201), celle-ci est exploitable lorsque l'on ouvre un document Word infecté et donne des droits similaires à ceux de l'utilisateur actuel. Attention à l'aperçu des fichiers Word dans Outlook également.

Le Patch Tuesday est dès à présent disponible, sur Windows 10 "1903" il correspond à la mise à jour KB4512508. Pour les personnes n'ayant pas réalisées la mise à jour, sur Windows 10 "1809" il s'agit de la KB4511553 et pour Windows 10 "1803" de la KB4512501.

Pour ceux qui s'attendaient à ce que Microsoft corrige l'erreur 0x80070002 de Windows Sandbox, malheureusement ce n'est pas le cas... Il va falloir patienter. Au total, ce patch apporte les correctifs de plus de 90 CVEs.

I. Présentation

Pour réaliser une pause au sein d'un script Powershell, il y a deux méthodes très simple : utiliser le cmdlet Start-Sleep ou son alias sleep. Cette commande répond parfaitement à la question jour : comment faire une pause dans un script PowerShell ?

Lorsque l'on exécute cette commande, elle retarde la suite de l'exécution du script pendant la durée indiquée dans la commande Start-Sleep. Ce qui offre la possibilité de marquer une pause.

II. Cmdlet Start-Sleep

Le cmdlet Start-Sleep est très simple à utiliser : il ne contient que deux paramètres. Il s'agit des paramètres "Seconds" et "Milliseconds" qui permettent, respectivement, de réaliser une pause de X secondes ou X millisecondes.

Pour réaliser une pause d'une minute :

Start-Sleep -Seconds 10

Dans un script, nous pouvons avoir besoin de réaliser une pause en attendant un changement d'état : la création d'un fichier, l'arrêt d'un service, etc... Ce qui nous donne littérallement : Tant que le service XX n'est pas arrêté, effectue une pause de 5 secondes. Toutes les 5 secondes, on se repose la question et on repart pour 5 secondes pause si l'état n'a pas évolué.

Ce qui nous donne le code suivant :

$ServiceName = "wuauserv"
While ((Get-Service -Name $ServiceName).Status -ne "Stopped") {
   Start-Sleep -Seconds 5
}

Inutile d'effectuer le test toutes les 10 millisecondes... Toutes les 5 secondes, cela est suffisant et permet en quelque sorte d'optimiser l'utilisation des ressources de votre machine.

Ce cmdlet est facile à utiliser mais il est bien pratique !

Google a publié la bêta 6 d'Android 10 Q et puisqu'il s'agit de la dernière bêta avant la sortie de la version finale, cela n'est plus qu'une question de semaines. La prochaine version sera la bonne !

Avec une sixième version bêta, Google se contente de peaufiner le travail réalisé ces derniers mois. Pour rappel, Android 10 intégrera la navigation par gestes et Google continue de l'optimiser avant de sortir la version finale.

Voici quelques-unes des nouveautés d'Android Q :

- Le thème sombre (très tendance)
- Un mode PC inclus nativement
- Optimiser le lancement du menu "Partage" qui était lent à s'afficher et se charger
- Live Caption : sous-titrage automatique sur n'importe quelle vidéo
- Les mises à jour de sécurité seront distribuées directement par le Play Store (un énorme changement !)
- Paramétrage avancé sur les permissions (exemple : désactiver la localisation, mais l'autoriser uniquement à la demande d'une application)
- Notifications par bulles pour les applications de messagerie (comme Facebook Messenger, en fait)
- Enregistrer une vidéo de son écran, nativement sans utiliser une application tierce
- Prise en charge de la 5G

Officialisée le 13 mars 2019, cette future version d'Android devrait sortir d'ici quelques semaines.

Bien sûr, les smartphones Pixels de chez Google seront les premiers à recevoir cette nouvelle version d'Android. Pour le reste, il faudra attendre que la mise à jour sorte, en fonction de votre fabricant et votre modèle cela peut s'avérer plus ou moins long. Les modèles plus récents que ce soit chez Samsung, Xiaomi, Honor ou encore Huawei en bénéficieront, sans doute 😉

I. Présentation

Il est indispensable d'avoir des équipements réseau à la bonne date et à la bonne heure, notamment pour avoir des logs cohérents et exploitables. Pour faciliter la mise à jour automatiquement de l'heure sur un switch Aruba, nous allons configurer le client NTP intégré à ArubaOS.

Dans ce tutoriel, je vous explique comment configurer le NTP sur un switch Aruba.

II. Aruba - Configuration NTP

Nous allons réaliser la configuration en ligne de commande, connectez-vous sur le switch en SSH (ou en console éventuellement).

A. Définir le fuseau horaire

La première étape consiste à définir le fuseau horaire (Europe de l'Ouest) et décalage horaire (60 minutes). Cela s'effectue avec les deux commandes suivantes :

switch(config)# time daylight-time-rule western-europe 
switch(config)# time timezone 60

 

B. Déclarer les serveurs NTP

Ensuite, nous allons déclarer notre serveur NTP, vous pouvez utiliser pool.fr.ntp.org si vous le souhaitez. Vous pouvez aussi utiliser plusieurs NTP internes, il suffit d'exécuter plusieurs fois la commande ci-dessous en modifiant l'IP à chaque fois.

Note : si vous utilisez un nom DNS pour votre serveur NTP, assurez-vous qu'il y a un DNS de configuré sur votre switch. Sinon, il ne sera pas capable de résoudre le nom.

Par exemple, pour utiliser le serveur NTP "192.168.1.10" - l'option iburst permet d'accélérer le temps de synchronisation :

switch(config)# ntp server 192.168.1.10 iburst

 

C. Activer le NTP

Pour finaliser la configuration, nous allons basculer le NTP en mode Unicast, puis l'activer sur le switch avec les deux dernières commandes :

switch(config)# ntp unicast 
switch(config)# timesync ntp
switch(config)# ntp enable

A partir de ce moment-là, le NTP est correctement configuré sur votre switch Aruba !

III. Visualiser la configuration NTP

A tout moment, vous pouvez visualiser l'état du NTP sur l'équipement avec la commande suivante :

switch# show ntp status

Au bout de quelques minutes, le "Synchronisation Status" devrait passer sur "Synchronized" et, par extension, votre switch devrait être à la l'heure 🙂