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Concepteurs de jeux vidéo, comment choisir vos logiciels ?

mercredi 27 janvier 2021 à 07:00

Avant d’aller plus loin, il convient de distinguer les différents outils utilisés dans la conception de jeux vidéo. En effet, il existe aujourd’hui toutes sortes de logiciels disponibles sur internet pour aider les concepteurs de jeux de tous niveaux à créer leurs propres jeux. Voici quelques pistes à explorer 😉

Quels logiciels pour quelle utilisation ?

On peut notamment classer ces logiciels en quatre catégories : les moteurs de jeux qui servent de structure aux concepteurs, pour créer des jeux pour appareils mobiles, consoles et ordinateurs personnels ; les outils de jeux, qui fournissent aux concepteurs une variété de fonctionnalités pour faciliter le développement, la conception et le marketing du jeu ; les moteurs audio qui servent de cadre pour créer et gérer l'audio dans les jeux vidéo, et notamment créer des ambiances ; et les moteurs physiques qui permettent aux ordinateurs de créer des phénomènes physiques que nous expérimentons dans le monde réel (par exemple, la gravité, la dynamique des fluides) et de les appliquer à des objets 3D, dans des jeux 3D.

Les moteurs de jeux : des incontournables

Parmi les meilleurs logiciels de développement de jeux gratuits, il faut citer Unity. C’est une plateforme de conception pour créer des jeux, des expériences, des modèles et des designs à la fois en 2D et 3D. Ce moteur de jeu est un logiciel que presque tout le monde peut utiliser. Bien qu'il soit toujours recommandé d'avoir des connaissances en codage, il n’est nul nécessaire d'être un maître d’Unity pour profiter des avantages du moteur de jeu.

Il n’y a pas de logiciel meilleur que d’autres pour la création de jeux. Tout dépend du style de conception de jeu de chacun. Si c’est pour un grand studio, alors sans doute un moteur de jeu comme Unreal Engine conviendrait parfaitement. En effet, sa technologie est utilisée par des équipes de toutes tailles pour réaliser des jeux et des expériences de haute qualité sur PC, console, mobile ainsi que sur des plateformes de réalité virtuelle. Les concepteurs choisissent également Unreal Engine pour la visualisation, le design, le divertissement linéaire et la simulation. Bien que ce moteur de jeu soit téléchargeable gratuitement, il faut garder en tête que son distributeur, le studio Epic Games, percevra 5% de droits d’auteur sur les revenus de jeux qui auront dépassé le million de dollars.

Si c’est une conception en solitaire comme le jeu Stardew Valley, que son concepteur Eric Barone a développé seul, des moteurs de jeu tels que Quest ou Stencyl conviendraient idéalement. Quest est un programme de conception de jeu très basique, totalement gratuit, qui s'exécute depuis un navigateur et permet de créer un jeu d'aventure basé sur du texte. Contrairement à Quest, Stencyl est un programme pour la conception de jeux non basés sur du texte, dont l’avantage est de fournir des outils pour créer des jeux pour mobile, PC ou le Web sans code. La question de la sécurité des jeux vidéo vient se poser également, une fois que la conception du jeu est terminée.

Qu’en est-il de la 3D ?

Les effets 3D sont bien connus dans les jeux de type First-Person Shooter comme Call of Duty, les simulateurs de vol ou encore les jeux d'aventure tels que Resident Evil. L'intérêt pour la 3D est aussi présent chez les fournisseurs de jeux de casino en ligne, car certaines machines à sous sont disponibles en 3D. Les studios les plus connus qui utilisent ces effets sont Betsoft et l’emblématique IGT, qui propose notamment la machine à sous gratuite Baywatch 3D.

Parmi les logiciels de création de personnages en 3D populaires, on trouvera notamment MakeHuman, DazStudio, iClone ou encore Mixamo. Un aspect est essentiel à prendre en compte, à savoir que la création de personnages en 3D n'est pas accessible à tous. Mixamo est parfait pour les débutants dans l'animation et le design. Ils ont une énorme collection de personnages préfabriqués et entièrement développés en termes de cartographie et d'animation. Quant à iClone, il est apprécié des professionnels du monde entier avec un très grand choix de fonctionnalités humaines, et d'innombrables visages déjà générés.

De même, MakeHuman, créateur de personnages open source, plaît par son côté extrêmement polyvalent et par l’attention portée aux détails minuscules des personnages, permettant de construire son personnage idéal de manière très réaliste. Avec DazStudio, il est également possible d’exporter des personnages 3D vers d'autres logiciels pour les peaufiner et les perfectionner davantage.

On voit donc qu'il existe des outils à la portée de tous, aussi bien pour les novices que les studios de renommée mondiale. Si vous continuez à hésiter, sachez qu'il existe des comparateurs comme Capterra qui scrutent les logiciels dans leurs moindres détails, pour vous aider à faire le bon choix.

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Montre connectée : Samsung et Apple souhaite surveiller le diabète

mardi 26 janvier 2021 à 15:00

Toujours en recherche d'innovation, Apple et Samsung souhaitent équiper leurs futures montres connectées d'une fonctionnalité inédite pour surveiller le diabète.

Les nouvelles Galaxy Watch 4 et Apple Watch 7 devraient embarquer une nouvelle technologie pour mesurer le taux de glucose dans le sang et permettraient donc, sans se piquer le doigt, de connaitre son taux de glycémie. Cette nouveauté serait très utile pour les personnes diabétiques. Grâce à cette nouvelle information, on peut imaginer l'envoi d'une alerte lorsque le taux de glycémie n'est pas bon, ainsi qu'un suivi journalier. Ce suivi pourrait être plus constant puisque automatique, directement à partir de la montre connectée. Au-delà d'apporter un réel intérêt pour les personnes diabétiques, ces données pourraient être utiles à des fins médicales également pour le suivi de la personne.

La question principale, c'est : est-ce que ce capteur sera précis ? Pour ma part, je pense que les deux sociétés ne sortiront cette technologie que lorsqu'elle sera extrêmement fiable. Dans le cas du diabète, on agit sur quelque chose qui joue sur la santé donc mieux vaut être prudent.

Une autre question se pose et est également importante : comment seront gérées les données récoltées avec ces capteurs ? Vont-elles être revendues par Apple et Samsung ou bien resteront elles privées ? Le choix est presque évident pour éviter de s'attirer des ennuis... Ce sont des données de santé, donc normalement, très bien protégée au même titre que les données bancaires.

En tout cas cette technologie est prometteuse, j'ai hâte de voir ce que ça va donner ! Et vous ? 🙂

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Les points de contrôle avec Hyper-V

mardi 26 janvier 2021 à 12:45

I. Présentation

Hyper-V, comme les autres solutions de virtualisation, est capable de gérer des points de contrôle, que l'on appelle également snapshot, checkpoint ou encore capture instantanée. Dans ce tutoriel, nous allons voir commet utiliser les points de contrôle avec Hyper-V.

Le point de contrôle va permettre de prendre une photo à un instant « T » de l’état de l'ordinateur virtuel afin de revenir à cet instant « T » en cas de besoin. Autrement dit, si vous effectuez une manipulation sur la VM et que ça se passe mal, vous pouvez revenir à cet état antérieur.

Remarque : il est essentiel de bien comprendre qu'un point de contrôle n'est pas une sauvegarde et qu'il doit être temporaire. En aucun cas l'utilisation des points de contrôle ne doit venir remplacer la sauvegarde de votre ordinateur virtuel.

C’est un mécanisme intéressant rendu possible grâce à la virtualisation et qui permet d'être plus serein à l'approche d'une opération de maintenance ou d'administration. Par exemple, il est pertinent de créer un point de contrôle avant d'effectuer la mise à jour d'un logiciel métiers sur un serveur.

Pour ce tutoriel, je m'appuie sur Hyper-V sur Windows 10. Le tutoriel est disponible au format vidéo :

II. Hyper-V : points de contrôle standard et de production

Hyper-V supporte deux types différents de points de contrôle : les points de contrôle standard et les points de contrôle de production.

A. Point de contrôle standard

Le point de contrôle standard va réaliser une capture de la machine virtuelle en tenant compte également de son état en mémoire au moment où le point de contrôle est déclenché. En fait, ce type de point de contrôle est relativement intéressant pour capturer l'état exact d'une VM puisque l'on tient compte des données en mémoire.

Ce type de snapshot n'est pas recommandé sur des machines virtuelles qui hébergent l'Active Directory, un serveur Exchange ou encore un serveur SQL.

B. Point de contrôle de production

Ce mode nécessite une prise en charge au sein du système d'exploitation invité, pourquoi ? Simplement, car il s'appuie sur un composant à l'intérieur du système d'exploitation de la VM.

Pour Windows, la création d'un point de contrôle de production va s'appuyer sur le service VSS (Volume Shadow Copy). Sur Linux, le service VSS n'existe pas, mais on va s'appuyer sur File System Freeze si la distribution installée dans la VM le prend en charge.

Avec ce type de point de contrôle, l'état de la mémoire n'est pas capturé. Par contre, le point de contrôle effectue une capture cohérente au niveau des données de la machine virtuelle, ce qui a un réel intérêt pour les applicatifs. On parle de capture "data-consistent".

Dans le cas où la VM n'est pas compatible avec un point de contrôle de production, Hyper-V effectuera automatiquement un point de contrôle standard (si l'option adéquate est cochée).

C. Modifier le type de point de contrôle d'une VM

Pour chaque VM, vous pouvez modifier le type de point de contrôle de façon indépendante. À partir du Gestionnaire Hyper-V, il suffit d'effectuer un clic droit sur une VM et de cliquer sur "Paramètres".

Sur la gauche, en cliquant sur le menu "Points de contrôle", on peut accéder à la configuration : ce qui permet de modifier le type de point de contrôle.

Cette modification peut également s'effectuer avec PowerShell. Par exemple si l'on veut modifier la configuration de la VM "Windows-10" :

# Point de contrôle standard
Set-VM -Name "Windows-10" -CheckpointType Standard

# Point de contrôle production (ou standard si non pris en charge)
Set-VM -Name "Windows-10" -CheckpointType Production

# Point de contrôle production exclusivement
Set-VM -Name "Windows-10" -CheckpointType ProductionOnly

III. Créer un point de contrôle Hyper-V

Passons à la pratique et voyons comment créer un point de contrôle d'une machine virtuelle sous Hyper-V. Nous allons utiliser le Gestionnaire Hyper-V.

Effectuez un clic droit sur la VM pour laquelle vous souhaitez créer un snapshot puis cliquez sur "Point de contrôle". La création du point de contrôle va s'effectuer dans la foulée.

points de contrôle avec Hyper-V

Dans la console Hyper-V, le point de contrôle apparaît avec sa date et son heure. Si l'on en crée plusieurs, cela va créer une arborescence.

Il n'est pas nécessaire d'éteindre la VM pour créer un point de contrôle, c'est une opération qui s'effectue à chaud.

points de contrôle avec Hyper-V

D'un point de vue stockage, la création d'un point de contrôle implique la création d'un fichier AVHDX. Pour rappel, un fichier VHDX correspond à un disque virtuel Hyper-V. Il faudra retenir que le format AVHDX correspond à un point de contrôle. Lors de l'utilisation d'un disque au format VHD (ancienne génération), un checkpoint était généré au format AVHD.

À partir du moment où le fichier AVHDX est créé il va jouer un rôle important : toutes les modifications opérées dans la VM vont être enregistrées dans ce disque temporaire. Indispensable pour faciliter le retour arrière au moment du point de contrôle en cas d'incident. Il faut savoir que l'utilisation des points de contrôle va engendrer une consommation excessive de l'espace disque sur votre serveur : à surveiller.

Il faut savoir également que les logiciels de sauvegarde de machines virtuelles s'appuient sur les snapshots pour créer un état à sauvegarder de la machine virtuelle en stoppant les écritures sur le disque principal.

Maintenant que le point de contrôle est créé, n'hésitez pas à vous connecter à votre machine virtuelle et à faire n'importe quoi (bon, soyez raisonnable quand même) 🙄

Note : Pour chaque point de contrôle créé sur la machine virtuelle, car il peut y avoir plusieurs points de contrôle pour une même machine, un fichier AVHDX différent sera créé.

IV. Restaurer un point de contrôle Hyper-V

C'est le drame ! L'opération de maintenance sur notre VM "Windows-10" s'est très mal déroulée... Plutôt que de passer des heures à faire le debug, on va exploiter notre point de contrôle pour revenir à l'état antérieur.

Puisque nous souhaitons revenir au premier snapshot, on va effectuer un clic droit dessus et cliquer sur "Appliquer".

Un message va s'afficher à l'écran : Etes-vous sûr de vouloir appliquer le point de contrôle sélectionné ?

Si vous cliquez sur "Appliquer", la VM reviendra à son état antérieur. Si vous cliquez sur "Créer un point de contrôle et appliquer", Hyper-V va créer un nouveau point de contrôle avant de revenir à celui sélectionné.

Remarque : cette opération va générer une interruption de la VM.

Dès lors que la VM est restaurée, vous avez deux options :

Pour supprimer un point de contrôle, on effectue un clic droit dessus dans l'arborescence et on clique sur "Supprimer le point de contrôle". Il faut ensuite valider cette opération qui peut s'effectuer à chaud. L'autre option permet de supprimer toute une arborescence de snapshots plutôt que de les faire un par un.

Hyper-V va fusionner le fichier AVHDX et le fichier VHDX. Dans la console Hyper-V, la colonne statut de la VM concernée va afficher "Fusion en cours".

Nous venons devoir comment revenir à un état antérieur et supprimer les points de contrôles inutiles.

Néanmoins, il ne faut pas faire n'importe quoi : restaurer un point de contrôle peut entraîner une incohérence des données avec certains applicatifs dans le cas où il y a une réplication entre plusieurs serveurs. Par exemple, l'Active Directory.

V. Renommer un point de contrôle

Lors de la création d'un point de contrôle, Hyper-V le nomme avec le nom de la VM, la date et l'heure. Ce n'est pas forcément parlant, mais cela tombe bien il est possible de renommer un point de contrôle.

Dans la liste des snapshots de la VM, effectuez un clic droit sur celui à renommer et cliquez sur "Renommer". Indiquez le nom que vous souhaitez.

C'est quand même plus parlant comme ça 😉

VI. Gérer les points de contrôle Hyper-V avec PowerShell

Pour finir cet article, nous allons jouer avec PowerShell pour manipuler les points de contrôle. Nous avons vu déjà comment configurer le type de point de contrôle sur une VM, désormais nous allons aller plus loin.

A. Lister les points de contrôle en PowerShell

Pour lister les snapshots d'une VM spécifique, la commande Get-VMCheckpoint sera utile ainsi que le nom de la VM :

Get-VMCheckpoint -VMName "Windows-10"

Ce qui donne :

De la même façon, on peut lister l'ensemble des points de contrôle de toutes les VMs de cet hôte Hyper-V :

Get-VM | Get-VMCheckpoint

B. Créer un point de contrôle en PowerShell

Pour créer un point de contrôle, c'est simple. Il faut utiliser le cmdlet "Checkpoint-VM" et lui préciser le nom de la VM. En option et cela évitera d'y revenir, on peut nommer directement le point de contrôle comme on le souhaite avec le paramètre "-SnapshotName".

Voici un exemple :

 Checkpoint-VM -Name "Windows-10" -SnapshotName "Snapshot créé avec PowerShell"

La progression s'affiche dans la console PowerShell. Le snapshot sera bien entendu visible dans le Gestionnaire Hyper-V.

C. Restaurer un point de contrôle avec PowerShell

Pour bien identifier le point de contrôle sur lequel vous souhaitez revenir, il est préférable de lister ceux de la VM au préalable :

Get-VMCheckpoint -VMName "Windows-10"

Pour la bonne raison qu'il faut préciser le nom du checkpoint à restaurer au sein de la commande "Restore-VMCheckpoint". Voici la syntaxe cible :

Restore-VMCheckpoint -Name <Nom-du-checkpoint> -VMName <Nom-VM> -Confirm:$false

Par exemple, pour restaurer le snapshot nommé "Snapshot créé avec PowerShell" de la VM "Windows-10", cela donne :

Restore-VMCheckpoint -Name "Snapshot créé avec PowerShell" -VMName "Windows-10" -Confirm:$false

D. Supprimer un point de contrôle en PowerShell

Enfin, pour supprimer un point de contrôle qui n'est plus utile, il y a également un cmdlet pour cette opération : Remove-VMCheckpoint.

Pour supprimer un seul checkpoint d'une VM, on va s'appuyer sur deux commandes : Get-VMCheckpoint et Remove-VMCheckpoint. La première commande va permettre de sélectionner le checkpoint à supprimer et la seconde de le supprimer.

Get-VMCheckpoint -VMName "Windows-10" -Name "Snapshot créé avec PowerShell" | Remove-VMCheckpoint

Pour supprimer tous les points de contrôle d'une VM spécifique. Exemple avec la VM "Windows-10" :

Remove-VMCheckpoint -VMName "Windows-10"

Pour supprimer tous les points de contrôle présent sur un serveur Hyper-V, il y a une commande magique :

Remove-VMCheckpoint -VMName *

Suite à la lecture de ce tutoriel, vous êtes en mesure de maîtriser les points de contrôle avec Hyper-V ! 

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Les smartphones OnePlus 9 et OnePlus 9 Pro se dévoilent petit à petit…

mardi 26 janvier 2021 à 11:00

Grâce au leaker Digital Chat Session, les futurs flagships de chez OnePlus se dévoilent petit à petit. Ces quelques détails croustillants sont toujours bons à prendre si vous attendez avec impatience ces nouveaux modèles !

OnePlus devrait lancer prochainement trois nouveaux modèles : OnePlus 9, OnePlus 9 Pro et OnePlus 9 Lite. Grâce à cette fuite d'information, nous en apprenons un peu plus sur les deux premiers de la liste.

Le OnePlus 9 Pro sera équipé d'un écran 120 Hz comme le Samsung Galaxy S21, et la taille de l'écran quant à elle sera de 6,78 pouces pour une résolution QHD+. Le OnePlus 9 quant à lui sera équipé également d'un écran 120 Hz mais sa taille est légèrement réduite : 6,55 pouces pour une résolution Full HD+.

Pour la partie photo, le capteur principal sera composé de deux modules : un capteur 50 Mpx et un capteur grand angle. Le capteur à selfie sera de 16 Mpx. Les deux modèles sont identiques sur ce point, tout comme sur le SoC puisqu'il s'agit d'un Snapdragon 888, sans surprise.

Concernant la batterie, elle serait de 4 500 mAh sur les deux modèles alors que l'on pouvait s'attendre à une batterie encore plus grosse sur la version Pro. Ce ne sera pas le cas. Autre point commun : la recharge rapide. En effet, elle serait de 65 Watts sur les deux versions, et non de 30 Watts. La version Pro se démarque tout de même puisqu'il va proposer la recharge sans-fil rapide 45 Watts, très intéressant ! En complément, nous retrouvons la recharge inversée 5 Watts.

Le OnePlus 9 fera 8 mm d'épaisseur alors que ce sera 8,5 mm pour le OnePlus 9 Pro. Le poids sera inférieur à 200 grammes.

À première vue, le OnePlus 9 et le OnePlus 9 Pro semblent relativement proches, et la différence se joue sur quelques détails. Il y a quelque temps, il y avait déjà eu une fuite où l'on apprenait que le OnePlus 9 Pro serait certifié IP68 (résistance à l'eau). En tout cas, pour le moment, attendons la présentation officielle de ces nouveaux appareils pour en avoir le cœur net !

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Attention à ce malware Android qui se propage par WhatsApp

mardi 26 janvier 2021 à 08:45

Un chercheur en sécurité de chez Eset a découvert un malware sous Android. Sa particularité c'est qu'il se propage par l'intermédiaire de WhatsApp en envoyant un lien à vos contacts.

D'après Lukas Stefanko, chercheur en sécurité chez Eset, le malware se propage au travers de messages WhatsApp. Le message contient le texte « Télécharge cette application et gagne un smartphone » et s'accompagne d'un lien de téléchargement. Ce lien va, soi-disant, permettre de télécharger une application Huawei Mobile officielle. Néanmoins, vous vous en doutez surement, il s'agit d'un faux site Google Play Store et d'une application malveillante.

Cette application demandera plusieurs autorisations, à commencer par les notifications et elle demandera aussi à pouvoir rester active en tâche de fond et exploiter l'overlay.

En fait, le malware va capter vos notifications WhatsApp pour répondre systématiquement et envoyer le fameux message. Pour tenter de se faire discret, le malware se propage lentement mais surement : un envoi par heure et par contact.

Les deux autres autorisations sont encore plus malveillantes. Grâce à elles, le malware est capable de capturer les données saisies, notamment vos identifiants, mots de passe, numéros de cartes bancaires, etc... Pour le moment et d'après le chercheur, l'objectif est surtout d'installer des adwares sur votre appareil. Techniquement, le malware pourrait être beaucoup plus dangereux et évoluer par la suite, car une partie de son comportement repose sur des ordres reçus à partir d'un serveur de commande.

Pour voir ce ver en action, vous pouvez regarder la vidéo de Lukas Stefanko :

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