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Android : Google va remplacer le format APK par le format AAB

vendredi 2 juillet 2021 à 07:43

Pour les applications Android, Google a pris la décision de laisser tomber le format APK au profit d'un nouveau format : AAB, pour Android App Bundle. Précision importante : ce changement concerne uniquement le Play Store de Google.

Une page se tourne sur Android, car le format APK est historique et accompagne le système de Google depuis ses débuts. À partir du mois d'août 2021, les développeurs qui souhaitent publier une application sur le Play Store devront utiliser le format AAB, car ce ne sera plus possible au format APK.

Android va continuer de prendre en charge les deux formats. La transition vers le format AAB va se faire progressivement de toute façon, car les applications existantes peuvent rester au format APK. En tout cas, pour le moment.

Quel est l'intérêt du format AAB en comparaison du format APK ? 

D'après Google, ce format va faciliter l'utilisation du service Google Play Instant, qui permet d'essayer une application sans la télécharger. Mais ce format va permettre aussi de réduire le poids des applications d'environ 15% en moyenne. Il devrait permettre également de raccourcis les délais de développement. Concrètement, on peut dire qu'il devrait être plus pratique et plus modulable pour les développeurs.

L'arrivée du format AAB change la donne malgré tout ! Si un éditeur veut publier son application sur le Play Store, il devra utiliser le format AAB, mais s'il veut la publier également sur des magasins tiers comme le store d'Amazon, il devra utiliser le format APK. Quant à Windows 11, on sait qu'il supportera le format APK pour les applications Android, mais on ne sait pas s'il prendre en charge le format AAB également.

Nous verrons par la suite si les éditeurs de magasins d'applications tiers suivent Google et adoptent le format AAB, ou s'il reste sur le format APK. Enfin, s'ils ont le choix.

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Windows 11 intègre une fonctionnalité optionnelle nommée TPM Diagnostics

jeudi 1 juillet 2021 à 13:34

Le futur système d'exploitation de Microsoft a besoin d'une puce TPM 2.0 pour fonctionner. Même si l'on ne connaît pas encore tous les tenants et aboutissants de cette exigence, on sait que Windows 11 intègre une fonctionnalité optionnelle nommée TPM Diagnostics. Mais, à quoi sert-elle ?

Microsoft exige que toutes les machines sous Windows 11 disposent d'une puce TPM 2.0, dans le but de renforcer la sécurité sur la totalité des ordinateurs qui exécutent le système d'exploitation de la firme de Redmond. L'objectif étant de permettre aux entreprises d'appliquer le principe de Zero Trust en matière de sécurité. Cette exigence d'avoir une puce TPM fait couler beaucoup d'encre ces derniers jours...

Dans cet article, on va s'intéresser à la fonctionnalité optionnelle TPM Diagnostics : une nouveauté de Windows 11. Cette fonctionnalité permet de bénéficier d'un exécutable nommé TpmDiagnostics.exe et qui va permettre d'obtenir des informations sur la puce TPM de votre machine, mais aussi de lire les informations qu'elle contient.

Sur une version française de Windows 11, cette fonctionnalité facultative se nomme : Diagnostics de module de plateforme sécurisée.

Cet outil va permettre d'aller plus loin que la console TPM.MSC nommée "Gestion du module de plateforme sécurisée sur l'ordinateur local". Cette console fournit quelques informatiques basiques et la possibilité de remettre à zéro la puce TPM pour effacer son contenu.

Dans la foulée de l'installation de la fonctionnalité, on peut utiliser l'outil en ligne de commande. L'outil semble contenir énormément de commandes différentes.

TpmDiagnostics.exe

Par exemple, la commande "TpmDiagnostics.exe GetCapabilities" va permettre de récupérer la liste des fonctions prises en charge par la puce TPM de votre machine. On peut également utiliser cet outil pour récupérer le nombre de démarrages de la machine, mais aussi des informations sur les clés stockées. On peut aussi l'utiliser pour s'appuyer sur la puce TPM pour encoder et décoder des chaînes de caractères en Base64, par exemple. Bien sûr, cet outil doit être exécuté avec les droits administrateur afin d'avoir suffisamment d'autorisations pour accéder à la puce TPM.

Personnellement, je me demande quel est l'intérêt de pouvoir lire ces informations ? Justement, pour des raisons de sécurité, je pense que ce serait mieux qu'elles ne soient pas accessibles.

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Microsoft Teams : comment planifier un message d’absence ?

jeudi 1 juillet 2021 à 13:00

I. Présentation

C'est bientôt les vacances d'été, peut être même qu'elles ont commencé pour certains d'entre vous. C'est le moment de configurer Teams pour définir un message d'absence afin d'avertir vos contacts. Cela tombe bien, car je vais vous expliquer comment définir un message d'absence dans Teams !

Je vais manipuler depuis le client Desktop de Teams, sous Windows, mais cela fonctionne également depuis la version Web de Teams.

II. Configurer un message d'absence dans Teams

Au sein du client Teams, cliquez sur votre avatar en haut à droite pour afficher le menu. Cliquez ensuite sur le lien "Définir un message de statut".

Définir un message de statut dans Teams
Définir un message de statut dans Teams

La zone de saisie vous permet de rédiger votre message. Cela peut être un statut temporaire que vous pouvez définir pour indiquer une courte absence, même d'une heure ou deux. Ce n'est pas utile que pour les congés.

Néanmoins, lorsque vous partez en congé, pensez à cocher la case "Afficher lorsque des personnes m'envoient un message" : ce qui va permettre d'envoyer votre message prédéfini comme réponse automatique lorsqu'un utilisateur vous enverra un message Teams.

Il ne reste plus qu'à déterminer pendant combien de temps le message doit être configuré. Pour cela, il faut configurer le champ "Effacer le message de statut après..." et là vous choisissez la date et l'heure qui vous convient. Ce qui devrait correspondre à votre date de retour de congés. 🙁

Validez la création de votre statut en cliquant sur le bouton "Terminé". Ce message est visible dans votre statut Teams (pour les autres utilisateurs) et il s'affiche au sein du menu Teams :

D'après ce que j'ai constaté, lorsque l'on crée le message comme on vient de le faire, il n'est pas synchronisé sur Outlook. Pour avoir un message d'absence synchronisé entre Teams et Outlook, il faut utiliser une autre fonctionnalité nommée "Absent du bureau".

Peut-être que ce que l'on vient de voir conviendra à certains, mais pas à d'autres. Dans ce cas, lisez la suite de ce tutoriel... Pour accéder à cette fonctionnalité, accédez au menu comme toute à l'heure... et cliquez sur "Planifier les absences du bureau".

Un menu beaucoup plus complet que tout à l'heure va s'afficher. Voici ce que vous devez faire :

1 - Cochez l'option "Activer les réponses automatiques" et saisissez votre message.

2 - Cochez l'option "Envoyer des réponses en dehors de mon organisation" pour avertir toutes les personnes qui vous écriront que vous êtes absent.

3 - Cochez l'option "Envoyer des réponses uniquement pendant une période donnée" : ce qui vous permet de définir à partir de quand vous êtes absent, et jusqu'à quand. Là, il y a l'avantage de pouvoir définir la date de début de votre absence, ce qui n'était pas le cas avec la méthode précédente.

Le fait d'utiliser ce menu va synchroniser le statut entre Teams et Outlook. Validez.

Message d'absence synchronisé entre Teams et Outlook
Message d'absence synchronisé entre Teams et Outlook

Lorsque vous êtes en plein dans votre période d'absence, le message "Réponses automatiques" s'affichera dans Outlook. Si vous cliquez dessus, une fenêtre de configuration va s'afficher dans Outlook : les paramètres seront les mêmes que ceux définis dans Teams.

Voilà, je n'ai plus qu'une chose à dire : à vous les vacances....! ☀

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Créer des templates de VM avec VMware vCenter Server Appliance

jeudi 1 juillet 2021 à 12:57

I. Présentation

Aujourd'hui, nous allons voir comment créer des modèles de VM sous VMware afin de créer des VMs de "référence" pour vos déploiements. Celles-ci vous permettent de pouvoir créer des machines virtuelles à la volée, sans passer par l'étape fastidieuse de création de VM classique.

Un modèle de machine virtuelle est une image d'une VM personnalisable afin de répondre à certaines exigences métier. Un template peut être utilisé plusieurs fois à des fins de déploiement en masse d'instances de VMs. Après avoir déployé une VM à partir d'un modèle, elle n'est plus liée à son modèle, et est donc indépendante.

Note : certaines informations non essentielles de ce tutoriel ont été masquées.

II. Modèle VS clone VS OVA/OVF

A. La différence entre un clone de VM et un modèle de VM

Un clone de VM "standard" est une copie exacte d'une VM à un instant T qui n'est pas personnalisable (au niveau de l'OS, et certaines ressources physiques). Si vous devez cloner périodiquement une machine virtuelle en cours d'exécution, les clones résultant de celle-ci seraient différents les uns des autres. Un modèle de machine virtuelle vous aide à éviter ces problèmes, car il ne peut pas être modifié* et ne peut jamais être en cours d'exécution. On évite alors les erreurs de manipulations...

VMware fournit des outils qui simplifient la personnalisation du système d'exploitation invité pour les clones de VM. Un point que nous aborderons dans le troisième chapitre de ce tutoriel.

*Vous ne pouvez pas la mettre sous tension et modifier une machine modèle dès lors qu'elle a été créée, afin que personne ne puisse accidentellement démarrer/modifier la machine virtuelle utilisée comme modèle. Si vous souhaitez modifier un modèle, vous devez convertir un modèle en machine virtuelle, modifier la machine virtuelle, puis convertir la machine virtuelle modifiée en un nouveau modèle. Cette approche offre une plus grande sécurité (et une méthode plus « infaillible ») que les clonages classiques de VM.

B. La différence entre un modèle de VM et un modèle OVA/OVF

Les modèles OVA et OVF sont utilisés pour distribuer des logiciels préconfigurés en tant qu'appliances virtuelles. Ils peuvent contenir plusieurs machines virtuelles, ce qui est utile dans les cas où une application se compose de plusieurs instances de VM qui doivent fonctionner indépendamment.

Pour rappel :

Les modèles de VM ne sont pas compressés. Ils sont accessibles uniquement à partir d'emplacements disponibles pour vCenter (datastore, etc.) et ne sont pas destinés à être partagés avec d'autres organisations.

III. Environnement de mise en place

Plantons le décor, voici ce que nous allons utiliser :

Option : personnaliser votre machine virtuelle en installant un ensemble de logiciels pour vos besoins,  les besoins d'une entité particulière, etc. Je vous recommande d'utiliser le logiciel Ninite afin de faire une seule installation groupée des logiciels les plus connus et les plus utiles, que vous pourriez avoir besoin. Par exemple : WinRar, Firefox, Chrome, Visual Studio Code, etc.

Aperçu de la VM qui doit devenir un modèle

IV. Création du modèle

Depuis une machine virtuelle, fraichement installée, cliquez sur : action, clone, clonez vers un modèle.

Choisissez un nom pour cette future VM de référence. Il doit être différent du nom de la machine originale (ici : Win-10-Pro-21H1-Desktop). Le nom pour cette machine de référence sera dans mon cas Windows-10-Pro-21H1-Desktop-Master.

VMware - Assistant "Cloner la machine virtuelle vers un modèle"

Il vous est demandé par la suite de choisir la ressource de calcul pour héberger votre futur VM template. Choisissez par défaut votre cluster d'hôtes ESXi, ou un hôte ESXi en particulier.

Puis, sélectionnez le datastore où vous souhaitez stocker le modèle de machine virtuelle.

Ensuite, un récapitulatif des actions effectuées s'affiche à l'écran. Dès que vous cliquez sur "Finish", le template va se créer. Patientez pendant la création.

V. Création d'une spécification de personnalisation d'invité VM

La personnalisation du système d'exploitation invité est une fonctionnalité de vSphere qui permet aux utilisateurs de modifier les paramètres du système d'exploitation invité Linux ou Windows d'une Template de VM. Pour rappel l'approche traditionnelle était de :

Cette méthode est lourde et fastidieuse. Avec la personnalisation du système d'exploitation invité de VMware, vous pouvez créer un fichier de personnalisation et utiliser celui-ci pour personnaliser chaque instance de VM générée à partir du modèle. Vous pouvez facilement modifier les paramètres du réseau, le nom d'hôte, le nom d'utilisateur, le mot de passe, le fuseau horaire, les paramètres de licence, le SID (identifiant de sécurité) et le domaine/workgroup.

Remarque : les paramètres de personnalisation pour Linux et Windows sont différents. La procédure aussi. Les problèmes de compatibilité sont malheureusement nombreux en fonction des distributions. Cette fonctionnalité sera plus utile et exploitable pour un environnement virtuel Windows. Je ne vais donc pas la développer ici. Pour plus d'informations, reportez-vous à la documentation officielle de VMware.

Pour créer votre "procédure d'instanciation de template", rendez-vous dans > Menu > Stratégies et profils 

Puis, créez une nouvelle "spécification de personnalisation d'une VM" (sacré charabia ^^). Renseignez les informations suivantes :

Définissez par la suite le nom du propriétaire. Par défaut, ici je vais mettre User. Le nom du compte que j'ai crée lors de l'installation de Windows 10.

Puis, nous pouvons personnaliser le hostname (nom NETBIOS) de l'hôte Windows qui sera généré. Dans mon cas, je vais préfixer le nom d'hôte de chaque machine avec "PC-itco-" suivi d'un numéro d'identification random fourni par VMware, mais vous pouvez choisir de préfixer le nom de la machine, lors du déploiement de la VM, ou via une extension X via VCSA.

VMWare vous laisse le choix d'activer ou non Windows 10 depuis son formulaire en précisant une clé d'activation. 🙂

Vous devez ensuite définir le mot de passe du compte administrateur du template.

Puis, sélectionnez ensuite le bon fuseau horaire en fonction de votre géolocalisation.

Si vous souhaitez injecter un script PowerShell/batch, cette section est faite pour vous :). Dans mon cas, je ne vais pas l'utiliser.

Choisissez ensuite vos paramètres réseau. Dans mon cas, je vais utiliser l'option par défaut DHCP (IP+DNS), mais la deuxième option vous permet d'entrer manuellement les paramètres IP/DNS lors du déploiement d'une nouvelle VM.

La 9e étape nous octroie la possibilité de joindre directement la nouvelle machine déployée à un domaine Active Directory. Dans le cadre du tutoriel, nous allons nous en passer. ^^

Enfin, un récapitulatif vous est présenté. Il suffit de cliquer sur "Finish".

Le profil sera stocké, dans le menu : Menu > Stratégies et profils. À tout moment vous pouvez l'éditer, sans en créer un nouveau.

VI. Déploiement d'une machine virtuelle à partir de notre modèle

Afin de tester notre template, créez une machine virtuelle, cochez l'option "Déployer depuis un modèle", puis cliquez sur "Next".

Je vais donc choisir de déployer une VM Windows 10, à l'aide du template que je viens de réaliser.

Je lui assigne le nom suivant : Win10-21H1-Test. Remarque : le nom de la machine virtuelle, ce n'est pas son hostname au sein de l'OS.

Par la suite, je choisis d'utiliser mon cluster d'ESXi, pour gérer la partie gestion des ressources de calcul.

Je sélectionne un emplacement pour le stockage de cette future VM.

Arrive une étape importante, où nous pouvons choisir de cocher les options suivantes :

Évidemment, je vais sélectionner mon profil personnalisé.

Ensuite, si vous le souhaitez, vous pouvez ajuster les ressources physiques. Ce qui est l'occasion d'agrandir la taille du disque dur virtuel, par exemple.

Enfin, VCSA nous présente un récapitulatif des informations que nous lui avons fournies. Après quoi il déploiera la machine virtuelle.

Le déploiement de celle-ci prend environ une bonne minute. Et voilà, notre machine Win10-21H1-Test, est déployée et opérationnelle !

Nous pouvons constater que le nom d'hôte de la machine déployée a bien été modifié automatiquement lors du déploiement de celle-ci, ce qui confirme que la customisation de l'OS a bien été réalisée par VCSA.

VII. Conclusion

J'espère que l'article vous aura plu ! Avant de vous laisser, voici deux rappels pour conclure :

- Un modèle de machine virtuelle est une image spécifique d'une VM qui peut être utilisée pour créer des instances de VM lors de déploiements en masse. Les templates ne peuvent pas être modifiés et activés comme les machines virtuelles ordinaires, ce qui améliore la sécurité.

- La spécification de personnalisation de l'OS du template vous aide à personnaliser les paramètres du système d'exploitation tels que la configuration réseau, le nom de l'ordinateur, le fuseau horaire, injecter un script Batch/Powershell, etc. Cela rend vos déploiements de VM plus rapide et plus pratique. Vous bénéficiez d'avantages importants tel que l'automatisation, la réduction du nombre d'erreurs, et la standardisation de vos machines.

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Windows 10 : la mise à jour KB5004760 corrige un bug d’ouverture des PDF

jeudi 1 juillet 2021 à 08:44

Microsoft vient de publier une mise à jour optionnelle (KB5004760) pour Windows 10 dans le but de corriger un problème d'ouverture des fichiers PDF à partir de certaines applications.

Si vous utilisez Edge, Chrome ou Firefox comme lecteur de PDF, vous ne devriez pas être embêté par ce bug. D'après Microsoft, ce bug touche Internet Explorer 11 mais aussi les applications qui utilisent le contrôle WebBrowser. Il se produit lorsque l'option "Activer les processus 64 bits pour le mode protégé amélioré" est activée dans l'onglet "Avancé" des "Options Internet". Dans certains cas, la présence du plug-in Adobe Acrobat dans le navigateur peut poser des problèmes également.

Cette mise à jour s'applique à plusieurs versions de Windows :

Comme elle est optionnelle, elle ne s'installera pas automatiquement : à vous de l'installer sur vos machines, si cela est utile. Pour l'obtenir, rendez-vous sur le catalogue de Microsoft Update ou dans Windows Update sur votre machine.

Même si l'on pourrait penser que ce bug affecte peu de personnes, pour que Microsoft publie une mise à jour sans attendre la sortie du prochain Patch Tuesday, cela doit être très impactant pour un nombre important d'utilisateurs. Avez-vous rencontré ce cas sur vos machines ?

Voir la publication de Microsoft

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