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10 plug-ins intéressants pour Google Drive

lundi 5 mai 2014 à 09:00

I. Présentation

Google offre la possibilité aux développeurs tiers de proposer leurs propres applications, afin de rendre les outils de Google encore plus complet et intéressant pour les utilisateurs.

Cet article vous présente 10 plug-ins que je trouve intéressant, utile et qui apporte vraiment quelque chose en plus aux outils de Google.

II. Les plug-ins

Si vous utilisez régulièrement Google Traduction en même temps que vous rédigiez un article sur Google Document, vous apprécierez surement le plug-in Translate.

Plug-in Translate pour Google Docs

Plug-in Translate pour Google Docs

Comme on peut le voir sur l’image ci-dessus, après installation et lorque vous l’activez, le plug-in s’affiche sur la droite sous la forme d’un volet et permet de traduire du texte. En fait, vous sélectionnez du texte de votre document et cliquez sur “Translate” pour afficher la traduction dans la langue choisie (Translate into).

Télécharger l’extension Translate

Comme son nom l’indique, cette extension permet d’afficher une calculatrice sur la droite de l’interface. Pour le moment, la saisie via le clavier ne semble pas fonctionner (à voir prochaine mise à jour…) mais cela me semble intéressant car c’est intégré directement dans la fenêtre web.

Plug-in Calculator pour Google Docs

Plug-in Calculator pour Google Docs

Télécharger l’extension Calculator

Ce plug-in dédié au tableur Google Sheets permet de mettre en forme votre document simplement, dans le même esprit que l’on peut le faire sous Excel avec les styles prédéfinis.

Plug-in Styles pour Google Sheets

Plug-in Styles pour Google Sheets

L’utilisation est très simple, il suffit de sélectionner les cellules à mettre en forme puis de cliquer sur le style de mise en forme rapide souhaité. Toujours pareil, cela s’affiche sous la forme d’un volet sur la droite.

Télécharger l’extension Styles

Toujours pour Google Sheets, ce plug-in vous permet de générer une carte Google Maps à partir de données saisies dans une feuille de tableur. Pour cela, vous devez remplir des colonnes spécifiques afin d’indiquer, un nom pour la location, une catégorie et l’adresse.

Plug-in Mapping Sheets pour Google Sheets

Plug-in Mapping Sheets pour Google Sheets

Une simple pression sur le bouton “Build” vous permettra de générer une carte par rapport aux données fournies, puis, cliquez sur “View” pour visualiser la carte. Cela peut s’avérer utile dans le cas où l’on extrait des données d’une application et que l’on souhaite mettre tout ça sur une carte.

Télécharger l’extension Mapping Sheets

Si vous souhaitez faire de la fusion entre un document Google Docs et un tableur Google Sheets afin de générer des lettres à la volée, ce plug-in devrait vous intéresser ! En effet, vous définissez un document type contenant des champs dynamiques, et, à partir des données saisies dans un tableur les documents vont être générés automatiquement.

Plug-in DocumentMerge pour Google Docs et Google Sheets

Plug-in DocumentMerge pour Google Docs et Google Sheets

Pour ceux qui connaissent, cela reprend le principe de la fusion publipostage de Microsoft Office, entre Word et Excel.

Télécharger l’extension DocumentMerge

Cette extension développée directement par Google permet de créer des formulaires et des sondages directement en ligne. Les résultats sont ensuite générés dans une feuille de tableur Google Sheets.

Plug-in Formulaires Google pour Google Docs

Plug-in Formulaires Google pour Google Docs

 

Télécharger l’extension Formulaires Google

Sur la même lancée que l’extension précédente, celle-ci permet quant à elle de créer des formes, des diagrammes, etc… De dessiner simplement au sein d’un document.

gdrive7

 

Télécharger l’extension Dessins Google

Si vous avez rarement besoin d’envoyer un fax, vous devriez songer à utiliser cette extension. Elle vous permet d’envoyer un fax directement depuis Google Docs avec une page de couverture si vous le souhaitez. Il suffira ensuite d’indiquer le numéro de téléphone sur lequel envoyer le fax.

Plug-in HelloFax pour Google Docs

Plug-in HelloFax pour Google Docs

Ce service est évidemment payant, comptez 0.99$ par fax mais les 5 premières pages vous sont offertes ! Des offres mensuelles sont également proposées à partir de 10$ par mois.

Télécharger l’extension HelloFax

Dans le même esprit que l’extension DocumentMerge, le plug-in Yet Another Mail Merge permet de générer un e-mailing à partir de données saisies dans une feuille Google Sheets. Il suffit d’insérer des champs dynamiques dans un e-mail modèle et ensuite les données seront remplacées dynamiquement et les mails envoyés à vos destinataires.

Plug-in Yet Another Mail Merge pour GMail avec Google Sheets

Plug-in Yet Another Mail Merge pour GMail avec Google Sheets

L’application vous permet d’envoyer 99 messages électroniques par jour, gratuitement.

Télécharger l’extension Yet Another Mail Merge

Cette extension facilite la collaboration à plusieurs sur un même document. En effet, vous pouvez voir les modifications effectuées par un autre utilisateur, ensuite vous pouvez les approuver ou les refuser de la même façon qu’il est possible de le faire sous Microsoft Word.

Plug-in Track Changes pour Google Docs

Plug-in Track Changes pour Google Docs

Télécharger l’extension Track Changes

La présentation des 10 plug-ins est désormais terminée, qu’en pensez-vous ? Connaissez-vous d’autres plug-ins intéressants ?

Supprimer une règle précise dans IPtables

mercredi 30 avril 2014 à 09:00

I. Présentation

Dans ce court tutoriel, nous allons apprendre à supprimer une règle spécifique dans IPtables. Dans IPtables, le pare-feu présent par défaut sur la plupart des distributions Linux, les règles sont traitées et gérées par ligne à la suite, autrement dit quand on ajoute une règle, elle se met à la suite des autres et ne les remplace pas.

II. Procédure

Heureusement, il est possible de gérer les règles indépendantes lorsque l’on souhaite en supprimer une, nous ne sommes pas obligé de tout supprimer puis de réécrire toutes nos règles mise à part celle(s) dont nous ne voulons plus. Il faut commencer par lister nos règles avec une option supplémentaire qui nous permettra d’afficher des numéros de lignes :

iptables -L --line-number

On aura alors l’affichage des règles pour les tables INPUT, OUTPUT et FORWARD :

Suppression d'une règle IPtables

On voit ici les numéros de lignes qui sont présents devant chaque règles iptables

Pour avoir les tables PRE et POSTROUTING, il faut utiliser la commande suivante :

iptables -L -t nat --line-number

Suite à cela, on va pouvoir identifier précisément une règle ou une autre et on va pouvoir en supprimer une précisément avec la commande suivante :

iptables -D [TABLE] X

ou “TABLE” est la table visée et “X” le numéro de ligne. Par exemple si nous voulons supprimer la ligne 4 de la table INPUT :

iptables -D INPUT 4

Si on liste à nouveau nos règles, on verra que seule la règle anciennement numéro 4 a disparu :

Suppresion règle iptables

HP annonce le SlateBook 14, un PC portable sous Android

mardi 29 avril 2014 à 20:50

Le constructeur américain HP souhaite se sortir de sa dépendance à Windows, en annonçant un ordinateur portable sous Android qui est un des systèmes d’exploitations les plus crédibles. Après la tablette HP sous Android, place à l’ordinateur portable !

Ce modèle, appelé SlateBook 14, est un ordinateur portable traditionnel à fermeture à clapet, équipé d’un écran full HD 14 pouces. Il sera équipé d’un processeur Tegra Quad Core, de 16 Go de stockage et de 2 Go de RAM. Il dispose également d’un slot MicroSD, d’un port HDMI, de 3 connectiques USB, une prise audio, du Wi-Fi et du Bluetooth.

slatebook1

Bien sûr l’accès aux services Google sera possible et le Play Store sera disponible sur la machine. Ce qui peut inquiéter c’est le faible nombre d’applications développées spécialement pour tablette, certaines applications n’auront pas un très bon rendu sur un écran 14 pouces car ce n’est déjà pas très propre sur du 10 pouces.

Quand au prix et à la disponibilité de cette machine, aucune information n’est fournie.

Source

Linux, une véritable alternative pour le poste de travail !

mardi 29 avril 2014 à 14:05

J’ai grandi avec Microsoft, depuis le tout début (MS-DOS) bien évidement (vu mon age un peu avancé…) et pourtant ce n’est pas le premier OS que j’ai connu puisque j’ai fait mes premières armes avec un CASIO PB100, un ORIC puis un ATARI ST avant de connaître Microsoft… Je n’ai pas l’habitude de cracher dans la soupe et c’est pourquoi je ne “tirerai” pas sur Microsoft (juste un petit peu quand même !) car ce n’est pas là l’objectif premier de ce billet.

icone-windowsvslinux1Comment savoir si Linux est une véritable alternative à Windows ? C’est cette question que je me suis posé il y a quelques années alors comme beaucoup d’entre vous, j’ai commencé par installer une distribution, puis une autre, puis encore une autre mais tout en conservant Windows pour le quotidien. Erreur ! C’est justement ce qu’il ne faut pas faire…

Le seul moyen de savoir si Linux peut faire tout ce que ferait une machine sous Windows c’est tout simple : supprimer Windows de votre poste de travail et là, vous serez vraiment armé pour savoir si oui ou non, on peut “vivre” sans Windows !

En tant qu’utilisateur avancé, je demande forcément beaucoup à un poste de travail et, à priori un peu plus qu’un utilisateur “standard” de l’entreprise et je ne vous cache pas que les premiers jours ont été difficiles…en tous cas autant qu’à un fumeur qui vient d’arrêter de fumer et qui sait qu’il a balancé toutes ses “clopes” dans la poubelle !

Alors on fouille, on teste, on peste un peu, on cherche ses marques et on essaie de trouver les outils indispensables à son métier et, en ce qui me concerne la liste était la suivante :

- un bon éditeur de fichier (Geany),
- de quoi faire un tableau, un document “propre”, une présentation, un schéma (LibreOffice),
- un éditeur d’images car, quand on fait beaucoup de documentations comme moi, on a besoin d’illustrations et donc de bidouiller quelques images piquées sur le web (Gimp),
- de quoi prendre la main sur une machine distante Windows ou non (RDP, VNC, SSH…), un client VPN,
et c’est tout ! Enfin pour moi …en sachant que la messagerie d’entreprise était déjà full web depuis 2007 au même titre que les principales applications “métier” que j’utilisais…

Comme vous pouvez le constater, la liste n’était pas trop longue et il n’y avait aucune raison de ne pas trouver mon bonheur avec une distribution Linux et, effectivement j’ai trouvé très rapidement les outils qui me convenaient pour autant la partie n’était pas encore gagnée tant j’avais été “formaté” par Windows puis les jours ont passé, vite, très vite…et je pense que mon poste de travail actuel est bien plus “outillé” qu’avant tout aussi performant et “pratique” ! Depuis mon poste de travail sous Linux, je peux imprimer sur toutes les imprimantes de l’entreprise, y compris les derniers copieurs multi-fonctions que je viens de changer…

icone-pcubuntu1Mon PC : je ne l’ai pas changé depuis 7ans, je n’en vois pas l’intérêt et croyez-moi que bon nombre de personnes sont encore étonnées de la qualité des documents que je leur présente (maquettes d’applications, schémas, documentations, courriers…) comme quoi ce n’est pas la marque de la solution bureautique qui fait la qualité des documents mais plutôt la manière dont on s’en sert. Et c’est bien là que le bât blesse : on ne s’intéresse pas assez à la manière dont les applications sont utilisées dans l’entreprise et ça, c’est pourtant le boulot du DSI non ?

Fort de ce constat (Oui un poste de travail sous Linux ça le fait !), je me suis posé ensuite tout un tas de questions…

A l’heure où les relations avec les clients et les fournisseurs se font quasiment exclusivement par mail ou au travers du site web de l’entreprise voire des outils de réseaux sociaux, avons-nous encore besoin d’un traitement de texte aussi puissant et cher que MS Word ?

A l’heure où les outils de reporting, de “business intelligence” permettent de requêter les bases données de l’entreprise, avons-nous encore besoin d’un tableur puissant comme MS Excel pour analyser les données de l’entreprise au risque de faire une boulette dans un tableau croisé dynamique, voire dans une macro, et de présenter des chiffres totalement faux !

L’Active Directory de Microsoft est-il vraiment indispensable ? A quoi me sert-il exactement ?

De grandes entreprises viennent de migrer toute leur messagerie sur des solutions full web voir chez Gmail avec GoogleDrive, les utilisateurs passent donc leurs 35 heures par semaine derrière un navigateur Internet, la notion de domaine Windows a t-elle encore un sens ?

icone-web1Les solutions RH sont désormais “full web“, les solutions “comptables et de finances” sont encore à la traîne mais arrivent également en mode full web, alors à quoi cela sert d’avoir un poste de travail surpuissant avec tout un tas de fonctionnalités qui ne sont plus utilisées puisque l’utilisateur ne possède plus aucune ressource privée sur sa machine ?

Les fichiers des utilisateurs se trouvent dans des clouds institutionnels ou privés avec interface full web, à quoi cela sert d’ouvrir une “session” sur un domaine Windows ?

etc…etc…

Enfin…je n’ai pas encore trouvé de réponses à toutes à ces questions toujours est-il que j’y réfléchis néanmoins activement et que je ne les trouve pas du tout dénuées de bon sens !

En guise de conclusion de ce billet, je veux dire que OUI, il y a de réelles alternatives à Windows et aux produits Microsoft en général et que rien que le fait de le dire, de s’y intéresser et d’y croire  vous ouvre un horizon nouveau, une nouvelle manière de concevoir votre S.I, avec moins de barrières et, cerise sur le gâteau, avec le sentiment de ne pas être qu’un vulgaire gestionnaire de licences à plein temps concernant des produits qui ne vous satisfont qu’à moitié et dont les commerciaux de la marque sont invisibles… Avez-vous déjà rencontré un commercial de chez Microsoft dans vos locaux ?

Et vous, vous en pensez quoi ?

Réparer un RAID logiciel sous Debian 7

mardi 29 avril 2014 à 09:15

I. Présentation

Mettre en place un RAID logiciel sur un serveur pour tolérer la panne d’un disque, c’est intéressant et fortement conseillé. Cependant, il faut également savoir quoi faire, comment faire, lorsqu’un disque dur tombe en panne. Ce tutoriel est là pour vous apprendre à réparer un RAID logiciel.

Pour ma part, je travaille sur une machine virtuelle donc pour simuler la perte d’un disque dans la grappe RAID je vais le supprimer de la machine virtuelle. L’OS invité de la VM est Debian 7.

II. Procédure

Je commence par simuler la perte d’un disque en le supprimant de la machine virtuelle, on peut voir ensuite que le RAID passe en mode dégradé grâce à la commande suivante :

cat /proc/mdstat

debianraid30On remarque l’indication [U_] qui indique la perte d’un disque dans la grappe RAID. En temps normal, c’est indiqué [UU].

Il est aussi possible de vérifier que le RAID fonctionne en mode dégradé en utilisant la commande suivante :

mdadm -D /dev/md0

debianraid31

On remarque clairement la mention “degraded” et dans la partie basse de la commande l’état “removed” pour le second disque.

Pour commencer, on sort le disque hors service de la grappe RAID. Il se peut que cela a été fait automatiquement mais pour être sur vaut mieux le faire. Étant donné qu’il s’agit des partitions “sdb1” et “sdb2” du disque “sdb” respectivement attachée à la grappe RAID “md0” et “md1” on utilisera ces deux commandes :

mdadm --manage /dev/md0 --remove /dev/sdb1
mdadm --manage /dev/md1 --remove /dev/sdb2

debianraid32

Maintenant on a plus qu’à ajouter un nouveau disque, tout beau, tout neuf… A chaud si possible sinon éteignez auparavant votre serveur. Suite à l’ajout du nouveau disque dur à ajouter au RAID 1, on peut voir qu’il est bien reconnu grâce à la commande suivante :

fdisk -l

On remarque la mention suivante : “Le disque /dev/sdb ne contient pas une table de partitions valable“. Le disque est bien détecté mais il est vierge (sans table de partition, ni partition).

On va commencer par copier la table des partitions du disque fonctionnel vers le nouveau disque, pour cela on fait appel à l’utilitaire sfdisk de cette façon :

sfdisk -d /dev/sda | sfdisk /dev/sdb

On indique d’abord le disque source (sda) et le disque de destination (sdb). Vous pouvez réitérer la commande “fdisk -l” vue précédemment pour vérifier la création de la table de partition.

Désormais, il est nécessaire d’ajouter le nouveau disque dur à nos grappes RAID. Nous respecterons la même logique que précédemment : sdb1 pour md0sdb2 pour md1. Ce qui implique l’utilisation de deux commandes :

mdadm --manage /dev/md0 --add /dev/sdb1
mdadm --manage /dev/md1 --add /dev/sdb2

Suite à ces deux ajouts, le RAID doit passer en reconstruction. On peut le vérifier par l’intermédiaire de cette commande :

cat /proc/mdstat

Voici un aperçu général des 3 commandes venant d’être saisies :

debianraid33

Une fois la restauration terminée, on récupère notre RAID en état normal. Rassuré ?

debianraid34

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