I. Présentation

Les batteries externes font partie de la panoplie des smartphones addicts, et encore, ils se démocratisent de plus en plus tant les smartphones gagnent en fonctionnalités, et donc en consommation d’énergie.

On passera bien entendu les jeux vidéos, tels que Pokémon Go récemment, qui mettent à l’épreuve les batteries de nos smartphones, une batterie externe peut aussi plus généralement être utile lors de longs déplacements professionnels ou pour les vacances !

Vous l’aurez compris, une batterie externe vous permettra de recharger vos appareils en toute mobilité.

Par appareil mobile, on peut entendre tout ce qui peut se charger via une prise USB comme :

• smartphone
• tablettes
• iPod/baladeurs
• GPS

Je teste aujourd’hui pour vous la batterie Xtorm PowerBank XB103 8 000 mAh, j’en profite d’ailleurs pour signaler que Xtorm propose un (très) large panel de batterie externe, capacité multiple (2 500 a 10 000 mAh), batterie à rechargement solaire, etc.

Outre le système de rechargement, deux points importants sont à déterminer lorsque l’on veut acquérir une batterie portable :

• Sa capacité de stockage d’énergie, exprimée en mAh (milliampère-heure)
• Le nombre d’objets pouvant être rechargés simultanément

La XB103 Powerbank de chez XTORM permet en l’occurrence un rechargement de 3 appareils simultanés, mais nous reviendrons là-dessus

II. Design de la Xtorm XB103 Powerbank

À l’intérieur du package, on retrouve la batterie externe auquel est attaché un premier câble microUSB (orange), ainsi qu’un second câble microUSB (blanc):

Le câble microUSB orange peut être rangé sur les bords de la PowerBank, comme ici :

De l’autre côté, on retrouve un témoin de charge qui permet de connaitre l’état de charge de la PowerBank :

En façade, on voit donc le port microUSB « input » permettant de recharger la PowerBank et 2 ports USB « Output 1 » et « Output 2 » permettant de recharger déjà deux appareils simultanément :

Le design est plutôt agréable, on notamment une facilité de transport grâce au câble microUSB qui peut se transporter en étant intégré à la batterie externe. Les surfaces en caoutchouc permettent d’accroitre la résistance de la batterie afin de la poser n’importe où avec le smartphone dessus.

Pour les dimensions, il s’agit du 138x72x20 mm soit la dimension d’un smartphone de type Galaxy S5 (à gauche sur la photo ci-dessous) et environs deux fois sont épaisseur. Le poids de l’objet est de 260 grammes.

On peut voir ici deux smartphones en train de recharger :

On peut voir en haut du PowerBank XB103 le logo « QI technologie« , Qi est un standard pour la transmission d’énergie sans fil sur une distance allant jusqu’à 40 mm. Le système Qi comprend un support de transmission (un chargeur) et un récepteur compatible dans un appareil mobile. Pour utiliser ce système, l’appareil mobile est placé sur le support de transmission, qui le recharge alors par induction magnétique.

Avec les deux ports USB et le chargement Qi, il est possible de charger trois appareils simultanément, il faut que l’un des appareils à recharger soit bien sur compatible avec cette technologie, ce qui n’était hélas pas mon cas dans le cadre de ce test. Au niveau des temps de charge, comptez 4 à 5 heures environ pour remplir totalement la batterie externe.

• Un smartphone standard peut être rechargé à 100% 3 à 4 fois avant que la batterie soit vide

Bien sûr, cela dépend de la capacité initiale de stockage d’énergie de votre smartphone, généralement entre 2 000 et 3 500 mAh.

IV. Conclusion

J’apprécie particulièrement la possibilité de recharger jusqu’à trois appareils en même temps, ce qui est idéal pour les sorties en famille (à la plage par exemple ). Le design de l’appareil est également appréciable, la possibilité de pouvoir encastrer le câble microUSB est un plus au niveau du transport.

Vous pourrez retrouver le produit sur le site du vendeur Xtorm au prix de 69,00€ : XB103 – Xtorm Power Bank Wireless 8.000

Et aussi un peu moins cher sur Amazon directement :

Les principaux avantages  : Un design appréciable, technologie Qi et intégration du câble de recharge, la possibilité de recharger jusqu’à trois appareils !

I. Présentation

Bien que Flash Player est de plus en plus banni par les autres éditeurs de logiciels, pour cause notamment des failles de sécurité récurrente et aussi le HTML5 qui est capable de prendre le relai, il reste un logiciel très très utilisé et omniprésent sur les postes de travail au sein des navigateurs.

Que ce soit au sein d’Internet Explorer (ActiveX), de Firefox ou de Chrome, vous pouvez ajouter Flash Player en tant que module. Ce dernier étant régulièrement mis à jour, pour préserver la sécurité de vos postes de travail, il est essentiel de le maintenir à jour.

L’une des solutions et c’est celle que nous allons voir dans ce tutoriel, c’est l’utilisation de WSUS Package Publisher pour déployer les mises à jour Flash Player par l’intermédiaire de Windows Update.

Tutoriel d’installation de WSUS Package Publish

II. Télécharger les sources

Pour commencer, on va télécharger les sources Flash Player pour l’installation. L’avantage avec ce logiciel c’est qu’Adobe fournit les installeurs au format MSI, ce qui facilite grandement le déploiement, quand vous aurez à faire à un fichier EXE pour un autre logiciel vous comprendrez pourquoi c’est si agréable d’avoir un MSI

A titre d’information, il y a de nombreuses informations contenues dans un MSI comme notamment le Product Code de la version du logiciel, ce qui sera déterminant pour savoir si, sur une machine, le logiciel est installé ou non.

Pour le moment on peut télécharger Flash Player ici : Flash Player Distribution

Note : Sur son site, Adobe indique qu’il ne sera bientôt plus possible de télécharger les fichiers d’installation librement, il faudra disposer d’un contrat de licence de distribution et d’un Adobe ID.

Pour ma part, je vais déployer Flash Player sur des postes de travail équipés d’Internet Explorer, Firefox et Chrome, il faut donc que je télécharge les 3 MSI correspondant chacun à un navigateur.

III. Stocker les fichiers MSI

Je vous conseille d’organiser vos fichiers de mises à jour au sein de dossiers par logiciels, avec pourquoi pas un sous-dossier par version, c’est en tout cas ce que j’ai effectué sur mon serveur. Pour cause, lorsqu’il y aura plusieurs logiciels et plusieurs versions pour chaque logiciel, il ne faut pas que ce soit le bazar.

Voici une exemple :

Tout est prêt, la suite se passe au sein de WSUS Package Publisher.

IV. WSUS Package Publisher : créer la mise à jour

Dans le logiciel  WPP, démarrer l’assistant pour créer une mise à jour :

Indiquez le chemin vers le fichier MSI, par exemple celui pour IE dans un premier temps, sachant qu’il faudra créer un package différent pour chaque version de Flash Player : 3 au total (ou moins selon vos navigateurs).

Puisqu’il s’agit d’un MSI il contient déjà des informations à propos de l’application qui va être installée, donc certaines informations (éditeur, titre du package) peuvent remonter automatiquement.

On va compléter différents champs :

– Nom du produit : Ajouter « Adobe Flash Player »
– Titre : Remplacer « 22 » par le numéro complet de la version
– Description : Reprendre le titre en ajoutant le navigateur ciblé
– Comportement de redémarrage : On peut passer sur « NeverReboots » puisque Flash Player n’a pas nécessité de redémarrer le PC
– Codes de retour : Décocher la case « Démarrage nécessaire »

Basculer sur « Editer ce groupe » pour la règle au niveau du package, ce qui serait nécessaire pour la modifier, mais on va s’appuyer sur la règle par défaut qui est suffisante. L’utilisation d’un MSI dans le cas présent simplifie grandement la création du package.

Là encore, on s’appuie sur la règle indiquée par défaut qui est suffisante.

Note : Il y a deux étapes pour les règles, une première étape pour voir si le logiciel (ou la mise à jour) est installé et une seconde étape pour voir si le logiciel est installable sur les clients (par exemple : installer une application 64 bits sur un hôte 32 bits ne sera pas possible, ceci implique donc un test).

Cliquer sur « Publier » pour déclencher la création du paquet, ce qui donnera lieu notamment à un fichier .CAB.

Après quelques secondes, l’opération est terminée :

Dans Package Publisher, le paquet apparaît désormais et si on crée d’autres paquets pour le même nom de produit, ils viendront se positionner à l’intérieur de cette « catégorie » et seront visible sur la droite.

Pour que la mise à jour soit installée, il faut l’approuver sur les postes clients. Pour cela, sélectionnez le paquet et sur la droite cliquez sur « Approuver ».

Approuvez la mise à jour pour les groupes que vous souhaitez, et validez.

Sur un hôte appartenant à un des groupes pour lequel vous avez approuvé la mise à jour de Flash Player, recherchez les mises à jour via Windows Update, et la mise à jour Flash Player doit être trouvée, comme ceci :

Il faudra alors l’installer et si l’installation est validée dans Windows Update, vérifier que le résultat est correct sur la machine ensuite, dans le but de valider le processus pour cette mise à jour.

Les utilisateurs de HuBiC et possesseurs de NAS ASUSTOR vont être ravis puisque l’application « DataSync for HubiC » est disponible sur l’AppCentral.

Ainsi, cette application disponible à partir d’ADM 2.6.3, vous permet tout simplement de synchroniser vos données HubiC sur votre NAS, voyez par vous-même :

HuBiC est le service de stockage Cloud d’OVH, l’hébergeur français, ce qui en fait un service très utilisé en Europe et plus particulièrement en France.

Pour rappel, ASUSTOR supporte également d’autres services de ce type : Amazon S3, Dropbox, Microsoft OneDrive, Google Drive, HiDrive, etc.

I. Présentation

Ca fait bien longtemps que je n’avais pas fait de tutoriels en rapport avec le web, et encore plus longtemps pour vous parler de CSS. Mais comme c’est aussi un domaine qui me plaît, je me dois de partager des petites astuces avec vous.

Par l’intermédiaire de CSS3, vous pouvez personnaliser la couleur de sélection du texte pour votre site web, pour remplacer la couleur par défaut du navigateur. Ceci s’effectue par l’intermédiaire du sélecteur ::selection que nous allons découvrir ensemble.

II. CSS3 et ::selection

En fait, le sélecteur ::selection n’est pas le seul qui peut-être utilisé puisque ça dépend du moteur de rendu intégré à votre navigateur. Comme bien souvent en CSS, pour une même modification il faudra utiliser plusieurs sélecteurs pour que ce soit aussi joli sur un navigateur que sur un autre.

Dans tous les cas, et ils se sont au moins mis d’accord sur ça, les deux seuls propriétés supportées sont « color » et « background » pour gérer la couleur du texte lorsque l’on effectue une sélection ainsi que l’arrière-plan, qui sera la couleur de surlignage du texte.

Voici un exemple de code…

– Pour WebKit (utilisé par Chrome et Safari, par exemple) :

::selection {
 color: #fff;
 background: #0091C7;
 }

– Pour Gecko (utilisé par Mozilla Firefox, par exemple) :

::-moz-selection {
 color: #fff;
 background: #0091C7;
 }

Ce qui permettra d’obtenir un résultat comme ceci lorsque l’on sélectionne du texte sur la page concernée par ce style CSS :

A vous de jouer maintenant

I. Présentation

La Nexbox A95X est une box TV multimédia qui tourne sous Android TV en version 6.0.1, ce qui n’est plus la dernière version d’Android à ce jour, compte-tenu que Nougat vient tout juste de sortir. Dans ce test, on passera en revu le contenu du package, le design de l’appareil et on s’intéressera à l’essentiel à savoir ses fonctionnalités.

• Caractéristiques :

– Processeur : Amlogic S905X – Cortex A53, 1.5 GHz et Quad-Core
– Puce graphique : Mali-450
– RAM : 2 Go en DDR3
– Stockage interne : 16 Go
– Connectivité Wi-Fi : Oui, compatible 2,4 GHz et 5 GHz, IEEE 802.11a/b/g/n
– Connectivité Ethernet : 100 Mbits
– Connectiques : 1 x HDMI 2.0, 1 x Slot SD, 2 x USB, 1 x AV, 1 x S/PDIF (connectique Jack)
– Support vidéos : MPEG 1/2/4, 4K à 60 Hz, AVS+, H.264 jusqu’à 4K 30 Hz et la norme récente H.265
– Formats vidéos : Avi, RM, RMVB, TS, Vob, MKV, Mov, Iso, WMV, ASF, FLV, Dat, MPG, MPEG
– Système d’exploitation : Android TV 6.0

Pour revenir sur l’Amlogic S905X, il succède au S905, et par conséquent il est plus intéressant en terme de fonctionnalités :

II. Package et design

On va maintenant s’intéresser au contenu de la boite, puis au design de la box TV Android. Voici la liste du contenu de la boite :

• Une box TV Nexbox A95X
• Une télécommande
• Un câble HDMI
• Une alimentation française

Ce qui est à souligner, c’est la présence d’une alimentation avec une prise française, ce qui est plutôt rare sur les produits importés comme celui-ci. On notera aussi la présence d’une télécommande, ce qui est indispensable pour ce genre de produit. Une bonne surprise.

Pour le design, je vous laisse en compagnie de mon habituelle galerie photos pour vous donner un aperçu du produit :

Le design est classique, mais la boite et l’appareil sont en accord puisqu’il est noire et que l’on retrouve un liseré rouge comme sur la boite. Ce que j’apprécie c’est surtout le format de la Box TV : relativement fine et petite, elle saura se faire discrète ! Pour l’appareil en lui-même, il est entièrement en plastique.

III. Utilisation et fonctionnalités

L’interface d’Android TV 6.0 proposée sur cette Nexbox est vraiment très agréable, et correspond bien à un mode de navigation simple avec la télécommande. L’écran ci-dessous correspond à l’écran d’accueil d’origine de la Nexbox, avec quelques applications préinstallées. On notera notamment la présence du MediaCenter Kodi, une application phare et réputée dans le domaine du multimédia.

Le Kodi Center est également présent pour donner accès au magasin d’add-ons de Kodi pour ajouter des fonctionnalités supplémentaires.

Rappel : Kodi est un lecteur multimédia qui vous permettra de lire des flux de différents types, notamment lire des fichiers vidéos tels que des films, ce qui vous permet d’avoir un véritable centre multimédia sur votre box TV (au même titre que l’on peut avoir Kodi sur son NAS).

Le panneau des paramètres est présenté de la même manière, et l’on retrouve une bonne profondeur dans le paramétrage, c’est Android quoi

 

On pourra notamment configurer le réseau que ce soit en câblé ou en Wi-Fi, la résolution de l’image, la langue, l’association avec un périphérique Bluetooth (clavier, souris, etc…).

Note : Comme c’est indiqué dans les caractéristiques, la puce Wi-Fi supporte bien la fréquence 5 GHz en plus de la fréquence 2,4 GHz, j’ai pu le vérifier en me connectant sur un réseau utilisant cette fréquence.

Concernant les applications préinstallées qui constituent un socle de base solide pour les fonctionnalités de la Box TV, on notera aussi la présence de YouTube (HGTV Watch, Crackle, Cloud TV, etc…) et de Netflix, ce dernier qu’on ne présente plus pourra ravir les fans de séries.

Et si l’on regarde le lot d’applications préinstallées, on remarque quelques applications chinoises (comme Hulu), mais aussi Facebook et Twitter pour la partie réseau social. Plex est également préinstallé pour se connecter par exemple sur un serveur Plex à distance (sur un NAS) mais puisqu’il s’agit de la version Android de l’application, il est nécessaire de disposer d’un Plex Pass qui est payant.

L’avantage de cette box TV sous Android 6.0, c’est que le Play Store est présent ! Ce qui signifie que l’on peut installer toutes les applications qui sont sur le PlayStore et qui sont compatibles avec Android TV. De quoi offrir une pléthore de possibilités…

Par exemple, on peut bénéficier de toutes les applications de Replay des chaînes de la TNT, comme MyTF1, 6Play ou encore France TV Pluzz ainsi que d’applications comme BeIN Sports Connect pour regarder les chaînes BeIN Sports, ou encore B.TV pour regarder la télé par internet pour les clients Bouygues Telecom.

Dans l’utilisation générale, on appréciera de pouvoir passer sur un mode « souris » avec la télécommande et afficher un curseur à l’écran que l’on va déplacer avec les touches directionnelles, c’est bien pratique pour simplifier l’utilisation. Gardez en tête que le schéma optimal consiste à utiliser un clavier et une souris externe que l’on vient connecter à la Box TV.

Avec ses 28 520 points au compteur d’AnTuTu 6 lors du benchmark, cette box multimédia est tout à fait capable de lire du contenu Full HD voire même 4K comme c’est mentionné dans la description du produit. Concernant la mémoire intégrée, de type eMMC, elle offre des performances correctes de 46.2 Mo/s en lecture et 15.11 Mo/s en écriture.

IV. Conclusion

Pour terminer ce test, passons à la conclusion avec le désormais habituel listing des points positifs et négatifs de ce produit, après cette expérience passée en sa compagnie.

Points positifs :

• Un format « mini »
• Android TV 6.0 avec une interface agréable (notamment le launcher) et aux fonctions « illimités »
• Kodi et Kodi Center préinstallés
• Une télécommande avec des raccourcis pratiques
• La possibilité d’étendre le stockage (microSD, clé USB ou encore un disque dur externe)
• Connectivité Bluetooth pour connecter divers périphériques comme un clavier, une souris ou encore un casque audio

Points négatifs :

• Adaptateur Ethernet, du Gigabit ne serait pas de trop
• USB 2.0 en 2016 ?
• Surement un peu trop d’applications préinstallées
• Une connexion WiFi stable mais avec des performances limitées (moins de 2 Mo/s)

Pour ceux qui souhaitent se laisser tenter, sachez que Banggood propose ce produit à moins de 45€ : Nexbox A95X

Au passage je remercie Banggood, puisque le site m’a permit de tester ce produit. Si vous avez déjà ce produit, n’hésitez pas à partager votre avis en commentaire.