PROJET AUTOBLOG


IT-Connect

Site original : IT-Connect

⇐ retour index

Quelques conseils pour une newsletter d’entreprise efficace

vendredi 18 mars 2016 à 09:34

Contenu pertinent par rapport à vos clients

Les newsletters font partie des outils qui permettent de fédérer plus facilement une communauté ou simplement de garder un lien avec les clients ou les partenaires, seulement ce n’est pas quelque chose qui se fait à la légère, car les destinataires peuvent être très nombreux et une faute peut coûter cher !

Dans la continuité de mon premier article sur les newsletters, nous allons, dans cet article, passer en revue quelques conseils supplémentaires, pour construire une newsletter pertinente et efficace.

Parlez de votre entreprise

Parmi les sujets abordés, et notamment dans le monde professionnel, il est toujours intéressant de tenir vos collaborateurs, fournisseurs et clients au courant de l’état de votre entreprise : Quels sont les domaines de recherches dans lesquels vous êtes actifs ? Quels sont vos dernières innovations, investissements ? Bref, parler de son entreprise sans excès permet d’entretenir une image positive et d’attiser la curiosité.

Parlez de l’actualité de votre domaine

Également, il peut être important de montrer que votre entreprise est au fait des dernières actualités de votre domaine et pourquoi pas de montrer qu’elle y prend part. Conférence, salon, innovation, ne pas hésiter à parler de ces sujets dans votre domaine d’expertise et de montrer que vous y êtes un acteur important. Soignez les détails d’une newsletter permettent de montrer que vous avec une démarche contrôlée et professionnelle. Parmi les détails notables :

Pensez à tous les supports !

Les mobiles et tablettes doivent bien entendu être en mesure de lire et consulter votre newsletter, cela est aujourd’hui une évidence, car les supports et les formats d’écran sont très nombreux. Pensez également aux entreprises qui imprimeront votre newsletter pour l’exposer ensuite dans une salle d’attente ou auprès de la machine à café !

Pas trop souvent

Il ne faut surtout pas en abuser au risque d’être vite catalogué en tant que spammeur et perdre alors tous les efforts effectués dans la construction d’une base de mail pertinente. Une fois par mois peut paraitre trop selon les secteurs et l’activité de votre entreprise/votre domaine ; une fois par trimestre est généralement raisonnable.

Analysez les retours

Bien entendu, il faut avoir une démarche proactive et réactive suite à une campagne de newsletter, de nombreux outils tels que Newlsetter2Go permettent aujourd’hui de vous aider à gérer vos campagnes de mail, et surtout, par la suite d’analyser les retours de ces campagnes. Par exemple, il peut être intéressant de savoir combien de personnes ont ouvert votre newsletter, combien ont cliqué sur le premier lien affiché, quels sont les sujets qui fonctionnent ou non, etc. L’analyse et le retour sur analyse fournis par ces services permettent aujourd’hui de gagner en efficacité et en pertinence

Test de la caméra Xiaomi Yi

mercredi 16 mars 2016 à 15:00

I. Présentation

Les caméras d’actions sont très à la mode et la référence GoPro est loin d’être seule sur ce marché (d’ailleurs, ce n’est peut être plus une xiaomi-yi-1référence à ce jour), le constructeur chinois Xiaomi s’est également attaqué à ce marché avec toujours la même idée : proposer un produit de qualité à un prix agressif. La caméra d’action Xiaomi Yi fait aujourd’hui l’objet de ce test, ce qui vous permettra de savoir si cette caméra peut répondre ou non à votre besoin, sachant qu’il y a 1001 utilisations possibles pour ce type d’appareil.

Voici les caractéristiques sur le papier :

– Capteur : Sony CMOS 16 Mégapixels
– Résolution maximale des photos : 4608 x 3456
– Lentille grand angle 155°
– Enregistrement vidéo : 1080p 60 FPS, 1080p 30 FPS, 960p 60 FPS, 720p 120 FPS, 480p 240 FPS
– MicroSD : Support jusqu’à 64 Go
– Connectivité : WiFi jusqu’à 100m (ceci dépend de l’environnement) et Bluetooth 4.0
– Batterie : 1100 mAh
– Coloris : Blanche ou verte

Avant d’aller plus loin, voici quelques clichés de la Yi :


 

II. Prise en main

L’application officielle Yi (Mi4Ever propose une version française) permet de se connecter à sa caméra Yi facilement en Wi-Fi, et ensuite vous pourrez :

Pour switcher du mode photo au mode vidéo, c’est tout simple, mais faut le savoir : un rapide appuie sur le bouton Power vous permet de switcher, et lorsque l’on se trouve en mode vidéo, il y a une LED allumée auprès du bouton déclencheur, ce qui permet de savoir quel est le mode en cours d’utilisation.

La section “Réglages” est assez riche en paramètres (cf. la liste complète ci-dessous), on peut notamment régler la qualité que l’on souhaite pour les photos et les vidéos, ainsi que différentes options pour ajuster la qualité d’image selon les conditions d’utilisation.

xiaomi-yi-9

 

En ce qui concerne les modes photos et vidéos, il y a dans chaque cas différents modes possibles, allant du mode rafale, au mode retardateur, ou encore le très intéressant mode Time-Lapse pour les vidéos.

xiaomi-yi-10

Au final, la prise en main est simple et la totalité de la gestion de la caméra s’effectue par l’application, qui au passage permet également de visualiser et télécharger vos photos et vidéos. La caméra est simple d’utilisation et il n’est pas forcément nécessaire de modifier les réglages par défaut.

III. Qualité des photos et vidéos

Je vais tenter de synthétiser mes différents essais en quelques lignes pour résumer la qualité des photos et des vidéos.

Par contre, bien que la vidéo soit vraiment de bonne qualité avec une image bien stabilisée, le point noir c’est le son qui n’est pas exceptionnel et arrive vite à saturation.

IV. Xiaomi Yi en action

Notre rédacteur, Cyprien, est un homme de terrain, il en a profité pour me donner quelques clichés et une vidéo de ses expéditions équipées d’une caméra Xiaomi Yi, de quoi voir le produit en action.

La vidéo :

Les photos :

Bien sûr, il ne s’agit pas des fichiers originaux qui sortent en 4608 x 3456, mais que j’ai volontairement réduit pour les intégrer à la page.

xiaomi-yi-photo-2

xiaomi-yi-photo-1

V. L’avis de Cyprien

Cyprien nous livre ses impressions sur la caméra Xiaomi Yi :

Personnellement, je trouve la Xiaomi Yi intéressante pour les amateurs d’enregistrements sportifs. Pour un prix tout à fait abordable d’environ 65€, la Yi remplit correctement sa mission sans casser sa tirelire.

– Niveau image, la qualité est très correcte, photo comme vidéo avec quelques difficultés tout de même en environnement sombre.

– Côté batterie, en utilisation intensive, même Wi-Fi désactivé, vous aurez du mal à tenir jusqu’en fin de journée. Il est préférable pour le coup d’avoir une 2nd batterie sous la main ou une batterie externe afin d’arriver en fin de journée sans se soucier de l’utilisation de la batterie.

– Concernant l’utilisation, avec 3 boutons sur le boitier la Yi se prend rapidement en main. Vous trouverez une version traduite de l’application qui permettra de configurer quelques éléments de votre caméra (définition, inactivités, préférences…). L’application s’avère utile en utilisation quotidienne pour réaliser quelques réglages à l’installation sur vos accessoires. Vous aurez également quelques fonctions supplémentaires comme la possibilité de faire des enregistrements en mode “timelapse”.

– Pour conclure rapidement, la Yi n’est certainement pas le meilleur produit de sa catégorie. Mais pour son prix très attractif, on oublie ses quelques défauts que je qualifierais de mineur. Comptez tout de même une centaine d’euros pour vous équiper de la caméra plus quelques accessoires indispensables (caisson étanche ou protection, 2nd batterie et quelques fixations).

VI. Conclusion

En conclusion, je dirais que la Xiaomi Yi présente un excellent rapport qualité/prix, mais que si vous n’achetez pas d’accessoires vous ne pourrez pas en faire grand-chose. Effectivement, la caméra est livrée sans aucun autre accessoire, ce qui permet à Xiaomi de réduire encore le prix tout en laissant le choix à l’utilisateur d’acheter uniquement les accessoires dont il a réellement besoin. Mais soyons clair, il y a de fortes chances pour que vous soyez obligé d’acheter un minimum d’accessoires pour répondre à vos besoins d’utilisation, donc prévoyez un peu plus que le prix de la caméra en elle-même. Il existe notamment un boitier officiel qui est étanche, de quoi plonger dans la piscine cet été, caméra en main :

xiaomi-yi-8

Retrouvez la Xiaomi Yi chez Banggood où vous pourrez retrouver également les accessoires officiels, ce que je vous conseille fortement pour une compatibilité optimale : Xiaomi Yi

Avantages : rapport qualité/prix, compatibles avec des accessoires non officiels/concurrents, design réussi, qualité des photos et vidéos
Inconvénients : absence totale d’accessoires, autonomie perfectible, traduction absente

Merci à notre rédacteur Cyprien pour sa collaboration pour la réalisation de ce test. J’en profite également pour préciser que des rumeurs en ce moment parlent d’une Xiaomi Yi 2 qui pourrait sortir en filmant en 4K, mais rien d’officiel pour le moment.

Bluboo Picasso, un smartphone à petit prix, sous Android 5.1

mercredi 16 mars 2016 à 14:00

Quand j’ai vu apparaître cette nouvelle promotion chez Gearbest, le nom du produit m’a intrigué, je ne vous le cache pas. Finalement, il s’agit d’une bonne surprise sur le papier concernant ce smartphone, et surtout pour un prix intéressant : 50 dollars, alors qu’il est plutôt aux alentours de 100 dollars normalement, mais là il est en phase de lancement à bas prix.

bluboo1

Voici des infos sur sa config :

– Ecran : 5 pouces en 720p
– Processeur : MediaTek MT6590, Quad Core, cadencé à 1,3 GHz
– RAM : 2 Go
– Stockage : 16 Go extensible par microSD
– Caméras : 8 mégapixels à l’arrière… et à l’avant aussi !
– Batterie : 2 500 mAh
– Android 5.1
– Compatible seulement 3G
– Dual-SIM

Pour plus d’infos, de photos ou pour se laisser tenter : Bluboo Picasso

Sachez qu’il y a d’autres produits Bluboo en promo également.

bluboo2

Windows 10 – Nouveautés sur le déploiement

mercredi 16 mars 2016 à 10:00

I. Présentation

Avec Windows 10, Microsoft assène un sérieux coup aux techniques de déploiement et de mise à jour de son système. L’idée de fond, n’est pas moins que le « zero-master » QU’ES ACO ? En gros, le technicien de déploiement devient une espèce en voie d’extinction !… Comment ? logo-windows-10-9Eh bien, le deal est approximativement le suivant : L’utilisateur se procure un appareil quelconque (pré-équipé de Windows 10 bien sûr), et il doit être en mesure d’achever tout seul sa mise à jour et la configuration de son système (comme disent les anglo-saxons : « User Friendly » ).

Par quel moyen ? : Eh bien soit via une simple clé USB, ou un média amovible (Technique FFU – Full Flash Upgrade), soit au travers d’une jonction à un domaine (direct ou Azure AD) afin qu’il reçoive en retour un package de configuration type pour que son appareil intègre son organisation d’entreprise) Waouh – rien que ça !

Avant toute chose, notez que depuis Windows 10, Microsoft supporte pleinement la mise à jour sur place d’un système, contrairement aux versions antérieures où cette pratique était déconseillée en raison des pollutions et des disparités engendrées.

Nous allons aborder dans cet article, le nouveau concept des « packages de mise en service », dont le but est de simplifier les opérations de préparation et de configuration des « appareils » (pour ne pas dire PC/tablettes/téléphones) à l’échelle d’une entreprise, sans que cette installation ne requière de compétence particulière. Cette nouvelle possibilité d’installation est dénommée “Provisioning” .

Schématiquement on peut considérer que dorénavant vous avez le choix entre 3 techniques de déploiement:

-L’installation traditionnelle via une image WIM (Wipe And Load)
-La migration sur place d’un système Windows 7 et ultérieur (In-Place)
-Le provisionnement qui consiste à transformer un appareil en poste d’entreprise (Provisioning)

Scénarios de déploiement Windows 10

Scénarios de déploiement Windows 10

II. Analyse des nouveautés liées au déploiement

A. Aperçu rapide des évolutions

1. Nouveau format .ESD

Principalement destiné à délivrer des images Windows 10 à grande échelle via Internet, ce format de fichier .ESD est en fait une déclinaison compressée et chiffrée des célèbres images .WIM.

Vous trouverez d’ailleurs ces fichiers dans le dossier « \Sources » des distributions de Windows 10 obtenues via Internet, en lieu et place des anciens fichiers “Install.wim” . Ce qui pose quelques difficultés pour la suite, si vous avez récupéré une version PRO via Internet (Windows Update ou Media Creation Tool) :-( , donc, si vous souhaitez jouer un peu avec l’outillage de déploiement présenté ci-après, je vous invite à télécharger la version d’évaluation de « Windows 10 Enterprise » pleinement compatible avec des démonstrations. Une inscription est toutefois requise.

Notez qu’il existe un moyen de déchiffrer des fichiers .ESD afin de les convertir au fomat .WIM standard mais je ne suis pas persuadé que Microsoft approuve cette méthode… Vous trouverez l’outil esd-decrypter-v4c.7z ici ou encore un convertisseur de format, disponible ici.

2. WinPE

Je n’ai pas relevé de modification majeure en matière d’outillage pour ce nouveau noyau. La version de ce nouveau WinPE est « 10.0.10240.16384« . Il semble que les versions de WinPE convergent enfin avec celles du système dont il est issu :-) . Vous pouvez vous en assurer en consultant la valeur » Version » du registre située sous la clé « HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Microsoft\Windows NT\CurrentVersion\WinPE »

Note : J’ai relevé une petite curiosité : Sous la clé « HKEY_LOCAL_MACHINE\SOFTWARE\Microsoft\Windows NT\CurrentVersion » la valeur de donnée « CurrentVersion » est « 6.3 » (soit le niveau technique de W8.1 et pas 6.4 comme on aurait peu s’y attendre) – Etonnant, non ?

3. ADK 10

Le kit ADK 10 est disponible en téléchargement ici : ADK 10

Windows ADK10 inclut désormais un nouvel outil dénommé « Windows ICD » soit « Windows Imaging and Configuration Designer », qui pour la version française a été traduit par « Concepteur de fonctions d’acquisition d’images et de configurations (ICD) » .

Les packages de mise en service pour Windows 10 portent l’extension .PPKG et se comportent un peu comme les fichiers de réponse unattend.xml. A l’instar des images .WIM vous pouvez utiliser l’outil DISM ou 7-zip pour en visualiser le contenu.

Remarque : Le kit de migration, alias USMT a également évolué et son outil « Scanstate » permet dorénavant de sauvegarder l’état des applications installées sur un poste Windows 10 vers un package de mise en service.

Le package de mise en service avec applications ainsi obtenu peut être ensuite importé dans Windows ICD afin de créer un média.

4. MDT2013 Update1

En pratique, hormis les certaines corrections de bugs, c’est la copie conforme de MDT2013, sauf que cette version supporte officiellement Windows 10 et requiert l’ADK10. Mais je reviendrais ultérieurement sur ce sujet dans un article dédié, pour vous présenter quelques nouvelles facultés intéressantes. Dans l’immédiat, dans cet article, c’est plutôt la solution ICD qui sera mise en lumière.

Le MDT 2013 Update1 (Microsoft Deployement Toolkit) est disponible ici – La version précise est 6.3.8298.1000. Si cela vous interresse, je vous propose de consulter mon exemple de migration de Windows 7 vers Windows 10 via MDT.

5. MDT2013 Update2

Au grès de évolutions de ce fameux kit MDT, la logique de version retenue par les équipes Mircosoft est manifestement déroutante, ou pour le moins étonnante. En effet, alors que MDT2013 marquait la fin du support Windows XP/2003, on aurait pu s’attendre à un MDT”2015″ mais c’est une version MDT2013 Update 1 qui apporta le support officiel de Windows 10. La nouvelle version MDT2013 Update 2 est en fait une simple mise à jour qui ne comporte que très peu de nouveautés fonctionnelles. Cette liste non exhaustive vous donnera une petite idée:

Le MDT 2013 Update2 est disponible ici – La version précise est 6.3.8330.1000

Précision / Astuce : Si vous êtes un peu perdu et souhaitez connaitre/vérifier  la version MDT utilisée sur l’un des vos partages de déploiement, (DeploymentShare), sachez qu’il suffit d’ouvrir le fichier “\Control\Version.xml” situé dans le dossier partagé. Pour rappel :
– 5.0.1641.0 = MDT2010
– 5.1.1642.01 = MDT2010 Update1
– 6.0.2223.0 = MDT2012
– 6.1.2373.0 = MDT2012 Update1
– 6.2.5019.0 = MDT2013
– 6.3.8298.1000 = MDT2013 Update1
– 6.3.8330.1000 = MDT2013 Update2

Donc pour le nom et la version de MDT qui supportera la future mouture de Windows 10 Server, les paris restent ouverts 😀

6. Autres outils (Non Microsoft)

Bien que ceci n’est pas de lien direct avec la sortie récente de Windows 10, notez la disponibilité de quelques produits « adaptés » en version graphique ….

w10-new-deploiment-2

w10-new-deploiment-3

Attention : Ces outils nécessitent la présence du Framework .NET 3.5 (Non inclus par défaut sur W8/2012 et ultérieurs) – cf Mon article

B. Installation de l’ADK

Le principe est très similaire à la version précédente, à la différence que vous disposez de quelques outils supplémentaires :

w10-new-deploiment-4

Parmi les plus flagrantes :

– Concepteur de fonctions d’acquisition d’images et de configurations (ICD)
– Kit d’évaluation de Windows (sous-ensemble de Windows Performance Toolkit)

C. Présentation de Windows ICD

Objectifs de Windows ICD :

– Créez un package de mise en service que vous pouvez utiliser pour personnaliser des PC/tablettes/téléphones sans avoir à recréer des images.

– Générez une image Windows personnalisée pour des régions et des segments de marché spécifiques

L’outil icd.exe est également utilisable en ligne de commande. Pour plus d’information vous pouvez consulter le lien suivant : icd.exe

Exemple de syntaxe :

ICD.exe /Build-ImageFromWIM /MediaPath:<path_to_media_folder> /SourceImage:<path_to_image>
{[ImageIndex:<index>] | [ImageName:<name>]} [/ProvisioningPackage:<path_to_ppkg>]
[/CustomizationXML:<path_to_xml> /DeploymentConfigXML:<path_to_xml>

Lors du premier lancement de l’outil en mode graphique (icd.exe sans paramètre), celui-ci se veut sobre et épuré.

w10-new-deploiment-5

On distingue donc un simple menu « Fichier » pour, ouvrir, enregistrer, fermer ou créer un nouveau « projet« (*) et un menu « Déployer » avec 2 choix « Sur un appareil connecté USB » ou « Sur un lecteur amovible »

(*) Un projet peut être mémorisé au sein d’un fichier qui porte l’extension « .icdprog.xml » et se décline en 2 grandes variantes: Soit au travers d’un « package de mise en service » dont l’objectif est plutôt d’effectuer la mise à jour sur place d’un système, soit la « personnalisation d’une image système Windows », c’est-à-dire la modification d’une image .WIM sur laquelle un « package de mise en service » peut également être appliqué.

Ainsi qu’un onglet « Page de démarrage » donnant l’accès à 3 « gros boutons » pour respectivement :

– Créer un « Nouveau package de mise en service » (=d’approvisionnement)
– Créer une « Nouvelle personnalisation d’image système Windows »
– « Ouvrir » un projet existant

Un bouton « Créer »

Note : Vous constaterez que la version française de l’outil actuel souffre de quelques erreurs ou omissions en matière de traduction.

Dans les grandes lignes, on peut considérer qu’un « package de mise en service » porte l’extension « .ppkg » et peut être appliqué durant la phase de déploiement ou sur un système déjà installé. (via un double-clic sur le fichier). Ces packages sont comparables à une déclinaison plus élaborée des fichiers de réponse utilisés par les processus de préparation et de déploiement des images Windows NT6.

Vue d’ensemble et premier contact avec l’interface ICD

adk-10-1

Vous pouvez donc travailler sur une image WIM (offline) ou sur un système Windows 10 déjà installé (Nécessite l’installation du kit)

adk-10-2

Il est alors proposé de lui ajouter un package existant de mise en service, mais cette opération reste facultative.

adk-10-3

Après le « chargement des paramètres » (propres à l’image choisie) vous aurez accès à plusieurs personnalisations possibles, regroupées selon 3 thématiques :

adk-10-4

Par défaut, tous les paramètres sont affichés, et ils sont très nombreux. Vous avez la possibilité d’éclaircir très nettement cet affichage en sélectionnant l’une des options « Paramètres OEM courants » ou « Paramètres IT Pro courants ».

Détail des 3 thématiques:

Ressources de déploiement (Asset Deployment) – On retrouve ici toutes les ressources applicatives, pack de langues, mises à jour et autres pilotes (un peu comme dans les dossiers Applications, Packages et OutOfBox Drivers du MDT)

w10-new-deploiment-5b

Paramètres d’heure d’image (Image Time Settings) – Ici sont rangés les nombreuses possibilités de personnalisation à l’instar de ce que l’on pouvait trouver au sein des objets de configuration de l’outil WSIM et les fichiers de réponse engendrés.

w10-new-deploiment-6

Paramètres d’exécution (Runtime Settings)

w10-new-deploiment-7

Comme vous pouvez le constater, les thèmes sont nombreux et certains choix sont particulièrement fournis en réglages.

Je n’ai pas encore achevé mon tour d’horizon de cet outil dont les déclinaisons d’usage sont très variables. Toutefois, je compte vous proposer une série d’exemples concrets dès que j’en aurais l’occasion.

La documentation officielle d’ICD est ici, mais accrochez-vous, c’est plutôt bien chargé 😀

En résumé, Windows 10 et les outils de déploiement s’inscrivent dans la suite logique des systèmes NT6, en y ajoutant une simplicité relative face à des scénarios complexes.

A la prochaine.

Christophe

100 000 dollars si vous hackez un Chromebook !

mercredi 16 mars 2016 à 08:45

Google a pour habitude de récompenser les personnes qui réussissent à trouver des vulnérabilités dans Chrome ou à contourner la sécurité de ses services.

logo-chromebook1Concernant le Chromebook, la somme était de 50 000 dollars, mais ça, c’est du passé, car maintenant Google offrira 100 000 dollars à celui qui hackera un Chromebook.

Le hackeur devra tenter de gagner un accès sur la session configurée sur la machine ou d’accéder aux fichiers. De plus, un module de sécurité venant à bloquer les téléchargements malveillants (Safe Browsing) pourra être testé puisqu’il vient d’être ajouté, et Google aimerait le mettre à l’épreuve.

Source