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JingOS : une distribution Linux qui s’inspire fortement d’iPadOS

mercredi 20 janvier 2021 à 11:00

La distribution Linux JingOS sera disponible prochainement. Il s'agit d'un système qui s'inspire très fortement d'iPadOS et la société Jingling Tech ne s'en cache pas puis que la vidéo de présentation se nomme "The first iPadOS-like Linux Distribution".

Le fait de copier ouvertement l'iPadOS montre les intentions derrière la création de JingOS : créer un système plus ouvert, à destination des appareils hybrides et qui bénéficie de l'ergonomie de l'iPadOS. Cela n'est pas sans rappeler les distributions Linux qui s'inspirent de Windows pour l'interface graphique : Linuxfx, Linux Mint, Zorin OS, ou encore le mode Undercover de Kali Linux.

Apple étant fermé aux contributions de développeurs externes pour son système, la société a décidé de développer son propre OS basé sur iPadOS. JingOS reprend de nombreux éléments d'iPadOS, notamment le dock de raccourcis, le springboard paginé, le gestionnaire des tâches, etc... Même au niveau des gestes à utiliser pour la navigation, les utilisateurs d'iPad ne seront pas perdus !

Basé sur Ubuntu, JingOS sera tout à fait capable d'exécuter les applications de bureau telles que Libre OFfice, VS Code, etc.

D'après les informations publiées, JingOS peut tourner sur une tablette Microsoft Surface Pro 6 ou un PC portable Huawei Matebook D14. Pour ce dernier, il y a moins d'intérêt, car il n'a pas d'écran tactile, alors que pour la Surface c'est plus intéressant. Bien sûr d'autres appareils seront testés et ajoutés par la suite, le système étant en cours de finalisation. La première version stable de JingOS sera disponible d'ici fin janvier 2021. En attendant, la version preview est disponible au téléchargement.

⭐ Le site de JingOS

JingOS

En attendant, il n'est pas improbable qu'Apple regarde de plus près la distribution de JingOS pour voir s'il y a eu deux trois brevets de violés. La suite on la connait. Quoi qu'il en soit, la société Jingling Tech ne semble pas décidée à s'arrêter en si bon chemin puisqu'une alternative à iOS est prévue d'ici la fin de l'année 2021.

Source

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Surveiller l’état de santé de la batterie d’un PC portable sur Windows 10

mercredi 20 janvier 2021 à 09:00

I. Présentation

Sur un PC portable, la batterie est un élément clé et c'est aussi un élément qui peut faire défaut au bout de quelques années. Dans certains cas, une perte d'autonomie trop importante peut pousser l'utilisateur à acquérir une nouvelle batterie ou à changer de machine. Dans ce tutoriel, nous allons voir comment surveiller l'état de santé de la batterie d'un PC portable, sous Windows 10.

Je vous propose d'exploiter l'outil powercfg intégré à Windows 10 et d'utiliser en complément le logiciel Battery Info View.

II. Powercfg et l'état de la batterie

Dans un premier temps, je vous propose d'ouvrir une console PowerShell en tant qu'administrateur et de saisir la commande suivante :

powercfg /batteryreport

Cette commande va générer un rapport HTML au sujet de l'état de santé de votre batterie. Je vous invite à l'ouvrir, voici son emplacement : C:\battery-report.html.

Ce rapport est long, très détaillé. Nous allons regarder en priorité la valeur de "Cycle count" au sein de la section "Installed batteries". Cette valeur indique le nombre de cycles de charges-décharges de votre batterie.

Pourquoi cette valeur est-elle importante ? Une batterie ne peut pas supporter un nombre illimité de cycles. Au bout d'un certain nombre de cycles, les performances vont commencer à décliner.

Par exemple, sur les MacBook de ces dernières années, Apple estime à 1 000 le nombre de cycles maximal pour la batterie de ses portables. Sur les modèles avant 2010, la valeur était de 500 ou 300 : la preuve que les batteries s'améliorent avec le temps. Ce qui est surprenant, ce sont d'autres valeurs que l'on peut retrouver sur Internet. Par exemple, Dell affiche sur son site que la batterie du Dell XPS 15 (2020) a un nombre de cycles maximal de 300. De manière générale, la valeur que l'on retrouve se situe entre 300 et 500 cycles.

Cela ne veut pas dire qu'au bout de 300 cycles la batterie sera HS, mais il faut s'attendre à ce qu'elle perde en autonomie. Cette perte peut être de 10% au début et s'empirer avec le temps.

état de santé de la batterie

Il y a deux autres valeurs qui sont intéressantes :

En complément de ces valeurs, si vous descendez tout en bas du rapport, vous allez trouver un tableau. Il va indiquer l'autonomie de batterie actuelle en comparaison (ici 04:50) en comparaison de l'autonomie en sortie d'usine (05:09).

Ces valeurs sont calculées en fonction de vos usages : ordinateur actif, ordinateur en veille, et en faisant une moyenne en fonction des différents cycles.

III. Battery Info View

L'utilitaire Battery Info View remonte les mêmes informations que la commande powercfg. L'intérêt de ce logiciel c'est qu'il donne un accès direct aux données, sans devoir prendre le temps de générer un rapport.

Il reprend les valeurs de "Design capacity" et "Full charge capacity" pour donner une estimation quant à la durée de votre batterie par rapport à son niveau de performance d'origine : "Estimation Vie résiduelle (calcul)".

IV. Optimiser la durée de vie de sa batterie

C'est une question qui revient souvent et qui reste assez floue, de mon point de vue. En tout cas, voici quelques conseils que je peux vous donner :

L'état de santé de la batterie de votre PC portable dépend de votre utilisation et de l'environnement dans lequel vous utilisez votre machine. Il dépend également de la qualité de la batterie et du niveau de gamme de votre PC : il ne faut pas s'attendre à des miracles.

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Créer un fichier de configuration PSD1 pour un script PowerShell

mardi 19 janvier 2021 à 13:00

I. Présentation

Dans ce tutoriel, je vais vous expliquer comment créer un fichier de configuration PSD1 pour votre script PowerShell. Avant cela, nous verrons les différentes possibilités.

Quel est l'objectif de créer un fichier de configuration ? Lorsque l'on développe un script PowerShell, nous sommes bien souvent amenés à intégrer des paramètres lorsqu'il commence à prendre de l'ampleur, afin de l'exécuter avec des valeurs personnalisées. Dans certains cas, et notamment lorsque le script a besoin d'être ultra-flexible et contenir de nombreux paramètres, il est plus simple (et pertinent) de s'appuyer sur un fichier de configuration externe pour son script PowerShell.

Tutoriel disponible au format vidéo :

II. Fichier de configuration en PowerShell : quelles solutions ?

Au moment d'évoquer la notion de fichier de configuration, plusieurs formats nous viennent à l'idée : XML, YAML, JSON, Registre Windows, INI, PSD1, voire même une base de données ou un fichier CSV. Toutes ces solutions sont applicables avec PowerShell, alors on peut se demander lequel choisir.

Les fichiers de configuration XML ne sont pas les plus faciles à lire, mais ils sont facilement exploitables en PowerShell car il y a des commandlets adaptés : Import-CliXml, Export-CliXml et ConvertTo-Xml. Le format JSON est beaucoup plus à la mode et il est utilisé par de nombreuses API, là encore PowerShell propose des commandlets lui correspondant : ConvertFrom-Json et ConvertTo-Json. On peut également consulter la base de registre en PowerShell, importer un fichier CSV facilement avec Import-CSV et aussi manipuler un fichier PSD1. Néanmoins, pour YAML il faudra s'appuyer sur le modèle externe PowerYAML.

Tout cela n'aide pas vraiment à faire le choix puisque nous avons de nombreuses commandes natives à notre disposition.

Personnellement, lorsque j'ai besoin de créer un fichier de configuration pour un script, je m'appuie sur le format PSD1. Pourquoi ? Et bien, il y a plusieurs raisons à cela :

Le format PSD1 me semble adapté pour lire un fichier de configuration dans le but de récupérer un ensemble de données. Sinon, en alternative, je vous recommande l'utilisation du format JSON.

III. Fichier de configuration PSD1

Passons maintenant à la démonstration, nous allons créer un fichier de configuration au format PSD1 et le manipuler dans un script concocté pour l'occasion. Dans un fichier PSD1, chaque paramètre s'appelle un clé (key) et il n'y a pas d'en-tête particulière à indiquer.

A. Créer le fichier de configuration PowerShell

Commençons simplement par la création d'un bloc général et l'intégration de nos clés à l'intérieur.

@{

}

Pour créer un sous-bloc, on reprendra ce principe "@{ }" pour le déclarer. Prenons le fichier suivant comme exemple :

@{
    SiteName = "IT-Connect"

    SiteDetails = @{
        URL = "https://www.it-connect.fr"
        Protocol = "HTTPS"
        Path = "C:\SiteWeb\IT-Connect\"
    }
}

Le fichier ci-dessus contient différents paramètres avec une valeur associée : SiteName, SiteDetails.URL, SiteDetails.Protocol, SiteDetails.Path.

Lorsque l'on souhaitera lire un paramètre d'un sous-bloc, il sera indispensable de préciser son "chemin" complet. C'est pour cette raison que ci-dessus, j'ai spécifié "SiteDetails.URL" et pas simplement "URL".

Pour ma part, je vais enregistrer le fichier dans le dossier "C:\scripts" et le nommer "Exemple.psd1".

B. Importer le fichier de configuration PSD1

Il y a deux commandes disponibles pour importer les données d'un fichier PSD1 : Import-LocalizedData et Import-PowerShellDataFile

Le cmdlet "Import-LocalizedData" va gérer la culture, c'est-à-dire qu'il va permettre d'importer une version différente du fichier de configuration en fonction de la langue utilisée par l'utilisateur (il faudra stocker chaque version dans un sous-dossier nommé avec la langue, par exemple fr-FR). Pour importer un fichier, on doit utiliser deux paramètres

Import-LocalizedData -BaseDirectory "C:\scripts\" -FileName "Exemple.psd1"

Le second cmdlet, "Import-PowerShellDataFile" va simplement importer les données du fichier que l'on va spécifier. Le chemin complet vers le fichier est à préciser.

Import-PowerShellDataFile -Path "C:\scripts\Exemple.psd1"

Dans les deux cas, voici ce qui est retourné dans la console :

Name          Value 
----          ----- 
SiteDetails   {Protocol, URL, Path} 
SiteName      IT-Connect

Pour consulter les données dans le script, on va stocker le contenu dans une variable :

$ConfigFile = Import-PowerShellDataFile -Path "C:\scripts\Exemple.psd1"

Le fichier de configuration étant indispensable et critique, on va modifier la commande d'import pour stopper l'exécution du script si l'importation échoue :

$ConfigFile = Import-PowerShellDataFile -Path "C:\scripts\Exemple.psd1" -ErrorAction Stop

C. Consulter les valeurs des clés du fichier de configuration

Pour consulter les valeurs définies dans le fichier de configuration, on va lire le contenu de l'objet $ConfigFile. Par exemple, pour afficher le contenu de la clé "SiteName", on va simplement faire :

$ConfigFile.SiteName

Si l'on souhaite afficher les clés du sous-bloc SiteDetails et leurs valeurs :

$ConfigFile.SiteDetails

Voici le retour que l'on obtient :

Name      Value 
----      ----- 
Protocol  HTTPS 
URL       https://www.it-connect.fr 
Path      C:\SiteWeb\IT-Connect\

fichier de configuration PSD1

Comme expliqué précédemment, pour consulter la valeur d'une clé, le chemin complet doit être spécifié. Par exemple :

$ConfigFile.SiteDetails.Protocol

Pour utiliser une valeur, on peut la stocker dans une variable ou l'appeler directement. Ce qui donne :

$Protocol = $ConfigFile.SiteDetails.Protocol
Write-Output "Le site IT-Connect utilise le protocole $Protocol"

ou alors :

Write-Output "Le site IT-Connect utilise le protocole $($ConfigFile.SiteDetails.Protocol)"

Le fait d'utiliser une variable pour stocker la valeur rend la chaîne plus facile à lire, en comparaison de la seconde syntaxe.

Note : si vous modifiez le fichier de configuration, il faut penser à relancer la commande d'import (Import-LocalizedData ou Import-PowerShellDataFile) pour mettre à jour le contenu de la variable $ConfigFile.

Désormais, c'est à vous de jouer et de créer votre propre fichier de configuration pour votre script PowerShell. Dans cet exemple, j'ai utilisé un bloc principal avec un sous-bloc, mais on pourrait créer un ou plusieurs sous-blocs supplémentaires dans le sous-bloc SiteDetails. Le fichier de configuration PSD1 représente une solution flexible pour définir des paramètres.

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Windows 10 : si vous accédez à ce dossier, c’est l’écran bleu assuré !

mardi 19 janvier 2021 à 11:00

Un nouveau bug fait son apparition sur Windows 10 et génère un écran bleu de la mort (BSoD) sur la machine. Il suffit d'accéder à un dossier spécifique, par n'importe quel moyen, et hop c'est l'écran bleu !

Jonas Lykkegaard, chercheur en sécurité, est à l'origine de cette découverte. En fait, si vous accédez au chemin mentionné ci-dessous, votre machine va littéralement planter et afficher un écran bleu. Que ce soit via l'Explorateur de fichiers l'invite de commande, PowerShell, à partir de la barre d'adresse du navigateur ou à partir d'une autre application, vous serez face au bug. Que l'utilisateur soit administrateur ou non.

\\.\globalroot\device\condrv\kernelconnect

C'est sur quand on voit ce chemin, on se dit "Qu'est-ce que j'irais faire là-dedans ?". Je suis d'accord, néanmoins, il peut être utile pour les développeurs. Il sert aux développeurs pour interagir directement avec les périphériques sans passer par le système de fichiers. D'après Jonas Lykkegaard, l'accès à ce dossier nécessite d'indiquer un attribut étendu spécifique : s'il n'est pas précisé, c'est là que Windows plante.

Là où ce bug devient inquiétant, c'est lorsque l'on bascule du côté obscur de la force. En effet, ce bug pourrait être exploité pour faire planter un grand nombre de postes. Imaginez que vous recevez un fichier par e-mail et que ce fichier cherche à accéder au dossier "kernelconnect", vous allez obtenir un bel écran bleu. De la même façon, un malware pourrait tenter d'accéder à ce dossier dès que Windows démarre pour faire planter la machine en boucle.

Microsoft travaille sur une mise à jour de son côté dans le but d'apporter un correctif dès que possible. Ce bug est présent sur Windows 10 v1709 et les versions plus récentes. Il n'est pas à exclure qu'il soit présent sur les versions précédentes (et beaucoup plus anciennes).

Source

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Test des écouteurs sans-fil : AUKEY EP-T25 vs EP-T28

mardi 19 janvier 2021 à 09:00

I. Présentation

Dans son catalogue de produits, AUKEY propose de nombreux modèles d'écouteurs sans-fil, avec notamment de nouvelles générations qui arrivent au fur et à mesure. Dans cet article, je vais tester deux paires d'écouteurs en même temps : AUKEY EP-T25 et AUKEY EP-T28, deux modèles très proches sur le papier, mais aussi au niveau du prix.

Précédemment, j'avais pu tester les écouteurs AUKEY EP-T21. Un modèle toujours en vente aujourd'hui.

🧲 Test AUKEY EP-T21

II. Caractéristiques techniques

Pour commencer et comparer plus facilement ces deux modèles, je vous propose le tableau ci-dessous afin de visualiser les caractéristiques techniques.

Caractéristiques AUKEY EP-T25 AUKEY EP-T28
Type d’écouteurs Intra-auriculaire Intra-auriculaire
Connexion Bluetooth 5.0 Bluetooth 5.0
Autonomie 5 heures par charge 5 heures par charge
Nombre de charge supplémentaire avec l’étui de recharge 4 4
Connectique USB-C USB-C
Utilisation d’un seul écouteurs à la fois Oui Oui
Activer l’assistant vocal du téléphone Oui Oui
Commandes tactiles sur les écouteurs Oui Oui
Micro intégré Oui Oui
Indice de protection IPX5 IPX5
Paires d’embouts 3 (S/M/L) 3 (S/M/L)

Vous l'aurez compris, d'un point de vue technique, ils sont identiques ! Par contre, le prix quant à lui est différent :

En fait, d'un point de vue technique, la seule différence se situe au niveau de l'appariement.

Finalement, ce qui pourrait bien être déterminant dans votre choix, au-delà du prix, c'est le design : voyons cela dès maintenant.

III. Package et design

Intéressons-nous au design de ces deux paires d'écouteurs, je vous propose de voir chaque modèle tour à tour puis de les confronter sur photos.

À l'intérieur de la boîte au design simpliste, nous retrouvons la station de recharge qui contient les écouteurs, un câble USB de 30 cm, une notice et deux paires d'embouts silicones, en plus de ceux déjà installés sur les écouteurs.

Le boîtier de recharge se pose à plat, et il tient sur place sans difficulté. Il est entièrement noir, finition mate, tout comme les écouteurs. La seule touche de couleurs se situe à l'intérieur des embouts silicones, avec l'apparition d'un rouge vif que l'on voit pas transparence, c'est plutôt sympa. Ce qui est moins sexy, c'est ce qui pourrait ressembler à une date de fabrication à l'intérieur du boitier au niveau de la charnière.

La qualité de fabrication est bonne, je n'ai pas vu de rayure ou de bavure, sur le modèle que j'ai reçu. Sur ce modèle, l'aspect général donne une première impression encourageante pour la suite.

Un package dans le même esprit, autant sur l'aspect que sur le contenu bien qu'il y ait quelques différences. Pour cette version, le câble USB fait 20 cm contre 30 cm pour l'autre version, et il y a 3 paires d'embouts silicones, en plus de la paire installée sur les écouteurs (soit une paire de plus).

Le boîtier de recharge est également différent puisqu'il est plus haut : les écouteurs se positionnent à la verticale à l'intérieur. Le format du boîtier et les angles arrondis font qu'il ne tient pas debout. Entièrement noir, cette fois-ci le plastique est brillant, et dès le déballage j'ai constaté quelques microrayures sur l'arrière du boîtier, comme s'il y avait eu un frottement. Dommage.

Les écouteurs sont également noirs et brillants, mais sans touche de couleurs à l'intérieur des silicones, ni ailleurs. Néanmoins, la partie extérieure des écouteurs est plus travaillée que sur l'autre modèle.

Aussi étonnant que cela puisse paraitre, bien que les écouteurs AUKEY EP-T25 soient moins chers, la qualité de finition, du boîtier notamment, est meilleure par rapport au modèle EP-T28. Je préfère également la station de recharge et le design des écouteurs EP-T25, qui sont noirs mats. Il faut avouer quand même que la finition extérieure du modèle EP-T28 est plus travaillée, finalement il faudrait un mix des deux 😉

IV. Utilisation

Avec le modèle EP-T21, AUKEY m'avait surpris, car le modèle proposait une belle qualité sonore compte tenu du prix bas des écouteurs. Nous allons voir si ces deux modèles assurent la relève, ou pas.

La synchronisation s'effectue sans encombre sur les deux modèles. Maintenant, parlons de la qualité audio.

Malheureusement, avec le modèle EP-T25 d'AUKEY la qualité sonore n'est pas au rendez-vous. Autant sur les basses, c'est correct, mais les aigus sont mal gérés. Du coup, le rendu global est vraiment médiocre. A cela vient s'ajouter une latence sur le Bluetooth et quelques coupures sur la connexion Bluetooth sur l'une des deux oreillettes.

Par contre, le modèle EP-T28 me laisse une meilleure impression ! Ce n'est pas exceptionnel, mais c'est déjà beaucoup mieux. Le rendu global est mieux équilibré, car les aigus sont plus marqués. L'écoute est satisfaisante compte tenu du tarif de ces écouteurs. Au niveau de la latence Bluetooth, elle est quasiment inexistante. Lorsque l'on passe d'une paire à l'autre, c'est-à-dire de l'EP-T25 à l'EP-T28, on sent tout de suite la différence.

Au niveau de l'autonomie, ces deux modèles respectent ce qui est annoncé par AUKEY, à volume moyen.

V. Conclusion

Sur des écouteurs à ce tarif, il faut forcément faire quelques sacrifices, à commencer par le design qui est simpliste et sobre. A ce niveau-là, c'est une histoire de goût, mais la paire d'écouteurs EP-T25 me semble moins fragile dans le temps. Pour choisir entre ces deux modèles, ce n'est pas l'autonomie qui va faire la différence, car elle est identique, mais bien la qualité audio.

De mon point de vue la qualité sonore très médiocre du modèle EP-T25 est rédhibitoire : sans hésitez, choisissez le modèle AUKEY EP-T28 et évitez le modèle EP-T25. Il y a un réel écart sur la qualité audio qui mérite de mettre quelques euros de plus pour s'offrir le modèle EP-T28 plutôt que l'EP-T25.

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