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Synology DS115j dévoilé et déjà disponible !

lundi 8 septembre 2014 à 09:55

Il y a quelques jours, la société Synology a dévoilée un nouveau NAS : DiskStation DS115j. Doté d’une seule baie, il se veut silencieux et économe afin d’être idéal pour la mise en place d’un Cloud privé.

Nicole Lin, directeur produits de Synology, déclare : “Le DS115j permet aux particuliers de bénéficier maintenant de nos riches fonctionnalités de partage de données et de diffusion multimédia à un prix d’entrée de gamme“. En effet, ce modèle est disponible à moins de 90€ (75€ HT).

ds115j

Au niveau des performances, Synology annonce une vitesse de lecture de 103 Mo/s dans un environnement Windows. Cela représenterait un gain de 28% par rapport à son prédécesseur. Quant à la mémoire RAM, 256 Mo sont intégrés et accompagnés par un processeur Marvell Armada 370 cadencé à 800 MHz.

Pour en revenir à la consommation, il est à noter que le DS115j ne consomme que 3,85 watts lorsque le disque dur passe en mode hibernation, et moins de 13 watts en fonctionnement normal.

Si vous désirez utiliser ce NAS pour enregistrer les vidéos provenant de caméras de surveillance, sachez que le DS115j est fourni avec deux licences gratuites de caméra IP et gère jusqu’à cinq caméras.

Plus d’infos sur la fiche de l’article : DS115j

Test du Synology DS213j

lundi 8 septembre 2014 à 09:00

I. Présentation du NAS DSL213j

Voici sur IT-Connect un nouveau test de NAS effectué cette fois-ci sur un NAS de la marque Taiwanaise Synology qui est maintenant reconnue pour la performance et la qualité de ses NAS étant donné qu’il s’agit de sa spécialité. Il faut WP_20140807_001souligner que Synology produit très bien de petit NAS dédiés aux particuliers mais aussi des NAS plus robustes dédiés aux infrastructures d’entreprise comme les gammes DS2411+ et DS3611xs qui peuvent accueillir jusqu’à 12 disques durs.

Bref ! Aujourd’hui nous allons présenter le NAS DS213j plutôt dédié aux particuliers, aux petites entreprises ou aux utilisateurs ayant des besoins de stockage raisonnables. Cette gamme de NAS peut en effet accueillir jusqu’à deux disques durs, voici ses caractéristiques matérielles principales :

Capacité interne maximale 12 TB (6 TB HDD X 2) (La capacité peut varier en fonction du type de RAID

Disques durs internes :

Disques durs externes :

On a maintenant un meilleur aperçu de ce que l’on va pouvoir tirer de ce NAS, plusieurs possibilités de stockage en interne comme en externe (via les deux ports USB 2.0 du NAS), le tout supporté par le fameux DSM (DiskStation Manager). J’oubliais ! Ce NAS est, comme beaucoup aujourd’hui, compatible DLNA :

La Digital Living Network Alliance ou DLNA  est un groupement de plusieurs centaines de fabricants d’appareils électroniques, de périphériques informatiques, d’ordinateurs, de téléphones mobiles, opérateurs de services et de contenus. Le but de DLNA est de définir un standard entre les périphériques dans un objectif d’interopérabilité permettant la lecture, le partage et le contrôle d’appareils multimédia indépendamment de leur marque ou de leur nature.

Passons maintenant au déballage du NAS ;)

II. Déballage et design du NAS

Nous allons maintenant voir l’allure physique du NAS, le montage des disques avant de le mettre sous tension et de commencer à l’explorer. Voici à quoi ressemble ce qu’il y a dans le carton et les composants fournis :

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On remarque, à l’arrière du boitier, les différents connectiques de celui-ci ainsi que la sortie du ventilateur :

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En dessous du NAS, on voit l’entrée d’air permettant sa circulation dans le boitier :

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Un NAS assez discret de par son design qui passera très bien dans un salon ou un bureau.

III. Montage  des disques durs et vue interne

Nous allons maintenant installer nos disques dans le boitier, pour rappel, il s’agit de connecteurs SATA et les réceptacles sont faits pour accueillir deux disques 3″5. Pour installer les disques, il suffit de tirer la partie gauche de la coque vers l’avant du boitier :

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On finit donc par enlever totalement cette moitié de coque pour voir les entrailles de la bête ;)

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Il faut ensuite enlever les embouts en caoutchouc présents sur cette photo :

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On pourra donc ensuite insérer nos disques l’un au-dessus de l’autre, les disques seront donc à la verticale une fois le NAS mis sur ses pieds :

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Il nous suffira ensuite de visser les 8 visses pour fixer correctement nos disques durs :

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On finira par remettre la partie de coque sur le boitier pour finaliser l’opération !

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IV. Installation du système d’exploitation DSM (DiskStation Manager)

Maintenant que le NAS est prêt à fonctionner, il ne reste plus qu’à le brancher ! On plug donc les connectiques d’alimentation et de réseau, on peut très bien brancher le NAS au niveau réseau directement sur sa box pour y accéder via le réseau ou sur un switch dans le cadre d’un réseau d’entreprise. On notera aussi la possibilité d’y mettre un adaptateur Wifi mais il faut pour cela dans un premier temps installer le DSM. Une fois que le DS213j est branché sur le réseau, on va installer le DSAssistant sur PC via le CD fournis dans la boite, une fois le CD dans le PC, on se dirige dans « Windows » (s’il s’agit de votre OS ;)) puis dans « DSAssistant » pour exécuter « SynologyAssisstantSetup…exe » :

DS213j_01On va alors installer le logiciel sur notre poste pour initialiser ensuite notre NAS, on commence par choisir notre langage :

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On accepte les conditions d’utilisation :DS213j_03

A la fin de l’installation, on pourra lancer le Synology Assistant qui va partir à la recherche de notre nouveau NAS sur le réseau, voici l’affichage que j’ai sur mon réseau :

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Si vous avez plusieurs Synology sur votre réseau local, regardez bien le numéro de série et la marque de chaque ligne pour identifier le bon. On voit donc le modèle de NAS ainsi que son IP, nous allons ici faire un clic droit sur la ligne de notre nouveau NAS puis sélectionner « Connecter » :

DS213j_05Le logiciel va alors nous faire ouvrir notre navigateur préféré pour passer à l’installation du NAS en arrivant sur cette page :

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On note bien l’avertissement concernant les disques durs que nous venons d’installer, ceux-ci seront vidés de tout contenu lors de l’installation, on passe ensuite à l’installation du DSM, on peut choisir de le télécharger sur Internet pour avoir la dernière version, ce qui est recommandé. Sinon, on pourra alors chercher le CD d’installation contenant l’image DSM via le bouton « Parcourir » :

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On saisit ensuite les informations de connexion de l’utilisateur « admin » qui nous permettront de gérer le NAS par la suite et aussi de créer d’autres utilisateurs si voulu :

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Nous avons ici un second avertissement concernant les données présentes sur les disques durs, sinon nous sommes certains de leur contenu, nous pouvons cocher « Je comprends… » puis sur « OK » :

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Une fois que ces données seront saisies, il nous suffit d’attendre quelques minutes (une dizaine) pour que DSM s’installe sur notre nouveau NAS ;). Un peu de temps pour se prendre un petit café !

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Une fois l’installation terminée, le DS123j va redémarrer (émettant un ou deux « beep » pour nous avertir), on pourra alors, lorsque l’on retournera sur l’interface web de notre NAS, voir cette page d’authentification :

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Une fois authentifié, on aura ce beau message d’accueil et quelques paramétrages encore à faire avant de pouvoir en profiter ;)

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Nous aurons ici la possibilité de configurer QuickConnect, un service proposé gratuitement par Synology qui vous permettra très facilement d’accéder à votre NAS depuis internet via une simple URL. Cette fonctionnalité n’est pas une obligation à l’installation, si vous ne souhaitez pas la mettre en place, il suffit de cocher « Omettre cette étape », je vais néanmoins l’installer pour vous montrer comment son installation (très simple), s’effectue. On commence donc par créer un compte si nous n’en avons pas, on saisit donc une adresse email et un mot de passe ainsi qu’un identifiant qui sera présent dans l’URL que nous aurons à saisir sur Internet pour accéder à notre NAS à distance :

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Une fois les informations saisies, on clique sur « Suivant » et le compte va se créer (si votre QuickConnect ID est déjà pris, il va falloir en saisir un autre). Nous aurons ensuite la possibilité de glisser le petit marque page vert sur le bureau pour n’avoir ensuite qu’à cliquer dessus pour accéder à l’interface web de notre NAS (que ce soit depuis Internet ou dans le même réseau que le NAS) :

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On arrive maintenant à la fin de l’initialisation de notre petit NAS, le DSM nous propose maintenant d’aller ouvrir le centre de paquets. Le Centre de paquets DSM est l’endroit dans lequel nous allons pouvoir chercher, trouver, installer et désinstaller les applications qui vont se trouver sur notre NAS et étendre ses possibilités :

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Nous avons également un avertissement nous indiquant que le système va utiliser quelques ressources dans le but de vérifier l’état des disques, le temps de la vérification dépendra de la taille des disques présents mais ne devrait pas gêner l’utilisation du NAS :

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V. Applications DSM et configuration

La configuration basique du NAS se trouvera facilement en allant cliquer directement sur les raccourcis bureau mais aussi via le bouton en haut gauche du Bureau web du DSM on aura alors une suite d’icônes dont celui du panneau de configuration :

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Voici les éléments configurables du Panneau de configuration :

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Pendant que nous y sommes, il est judicieux de voir si notre NAS est à jour et de le mettre à jour si besoin, on clique pour cela sur « Mise à jour et restauration » :

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De la même manière, on peut obtenir le centre de paquets qui lui permet d’installer et de gérer les applications optionnelles qu’il est possible de mettre sur notre NAS :

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A première vue on voit déjà quelques applications intéressantes :

Surveillance Station : Cette application permet de gérer des caméras IP et surtout de regarder et enregistrer les vidéos capturées par votre ou vos caméras IP. Cela peut être utile aux particuliers comme aux petites entreprises.

Cloud Station : Permet la synchronisation des fichiers entre produits Synology, on peut par exemple installer un client DS Cloud sur son mobile pour synchroniser les fichiers présents sur notre Synology avec notre mobile ou notre pc portable.

Photo Station : Cette application plus dédiée aux particuliers permet de gérer des albums photos directement sur le Synology

On peut aussi se tourner vers des applications plus dédiées aux entreprises, on va pour cela dans l’onglet « Entreprise » du centre de paquet  :

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On retrouve alors un panel assez conséquent d’applications comme des CMS/serveurs web (WordPress, Tomcat, Drupal, Joomla, MediaWiki…).

VI. Les performances du DS213j

Un ensemble de moniteurs de journaux nous permet d’avoir une vue détaillée de l’utilisation des ressources, voici par exemple le cadre gestionnaire de stockage qu’il est aussi possible d’avoir en miniature sur le bureau  :

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Ainsi que des graphiques sur chacun des composants du NAS :

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Les performances de ce NAS sont idéales pour la gestion et l’hébergement de fichier, c’est là où les utilisateurs pourront faire leur choix. Pour le situer sur un transfert de fichier, j’ai effectué un test sur un simple RAID JBOD, je souligne que ce n’est pas la configuration idéale pour la performance disque mais plus pour l’optimisation de l’espace. Sinon préférez un RAID 0 (mirroring) qui est aussi supporté sur le DS213j. Sur un fichier de plusieurs gigaoctets (LAN à 100 Mb/s) :

DS213j_28Sur plusieurs fichiers :

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On voit donc bien que le transfert est très stable ce qui est plutôt une bonne chose ! Au niveau de ses caractéristiques globales, je vous propose ce tableau qui vous permettra de le situer par rapport à un produit inférieur et supérieur de Synology :

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VII. L’avis final

Après avoir utilisé ce NAS pendant plusieurs jours, je dois dire que j’en suis assez satisfait. Parmi les fonctionnalités plus poussées que j’ai utilisé jusque-là et qui ne sont pas détaillées ici, je peux vous citer :

Il n’y a pas à dire, je trouve qu’il remplit très bien son rôle. Il faudra toutefois bien identifier vos besoins dans le cas où vous êtes une entreprise avec des utilisations plus avancées potentielles. On profite totalement de la plate-forme DSM et de ses fonctionnalités, on voit bien que la facilité d’accès et d’usage a été la cible des efforts de Synology et c’est le gros point fort de la plupart des produits de cette marque.

J’oubliais ! Au niveau du bruit que produit le NAS : il est assez discret la plupart du temps, on entend jusque quelques vibrations lors des gros traitements sans que cela soit gênant pour autant, on peut d’ailleurs gérer la vitesse du ventilateur et son mode de refroidissement global :

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C’est sur cette dernière fonctionnalité que ce test se termine, pour plus d’informations techniques je vous oriente vers la page Synology du DS213j.

D’autres tutoriels plus avancés sur l’utilisation de DSM suivront certainement cette présentation au vue de la grande utilité de celles-ci !

KSC 10 – Ajout et déploiement d’une clé de licence

vendredi 5 septembre 2014 à 09:30

I. Présentation

Procédure qui décrit la marche à suivre pour ajouter une nouvelle clé de licence sous Kaspersky Security Center 10, et, comment créer une tâche pour déployer cette nouvelle licence sur les postes clients.

Ce type de procédure est généralement effectué tous les ans lorsque l’on renouvelle les licences anti-virus des applications installées sur les postes du parc informatique. Il est toujours intéressant de savoir comment s’y prendre !

II. Ajouter une clé

Commencer par ouvrir la console d’administration puis sous l’arborescence du serveur d’administration accédez à « Stockages » et « Clés ».

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Sur la droite de la console, cliquez sur « Ajouter une clé » cela ouvrira un assistant.

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Généralement les clés sont fournies sous la forme de fichiers « .key » donc nous choisissons « Indiquer le fichier de clé ».

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Indiquez le chemin vers votre fichier de clé en cliquant sur le bouton « Sélectionner » et décochez la case « Diffuser automatiquement sur les ordinateurs administrés », car, il n’est pas toujours souhaité de diffuser une seule clé sur tous les postes (on peut avoir plusieurs clés !).

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Validez et vous obtiendrez un message « L’assistant d’ajout de la clé a réussi » et votre clé apparaîtra dans la liste. Recommencez l’opération pour ajouter la clé propre au Kaspersky Security Center si besoin.

III. Lier la clé au serveur

Dans le cas où l’on dispose d’une clé dédiée au Security Center, il faut l’ajouter dans la configuration du serveur. Pour cela, effectuez un clic droit sur « Serveur d’administration - <nom-serveur> » puis « Propriétés » comme ceci :

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Sur la gauche, cliquez sur « Clés » et au niveau de la clé active cliquez sur « Modifier ». Dans la liste qui apparaît, choisissez la clé dédiée au Security Center. Cela peut être déterminé en cliquant sur « Propriétés » pour afficher le détail de la clé et il est mentionné « License : Security Center » en fin de ligne pour le champ « Informations de l’application ».

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Validez et redémarrez la console d’administration pour prendre en compte la nouvelle clé.

IV. Déployer la nouvelle clé

Enfin, nous allons créer une tâche automatisée pour déployer la nouvelle clé de licence sur les postes clients. Cliquez sur « Tâches pour les ensembles d’ordinateurs » et sur « Créer une tâche ». Nommez-la.

Au niveau du type de tâche, sélectionnez « Ajout d’une clé » en choisissant cela dans la section correspondante à votre application pour laquelle est destinée la licence.

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Cliquez sur « Sélectionner » et « Clé du stockage Kaspersky Security Center » afin de sélectionner la clé que nous avons ajouté au préalable. De plus, décochez « Ajouter la clé en tant que clé complémentaire » car il s’agit d’une clé principale que l’on veut ajouter dans le cadre d’un renouvellement.

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Ensuite on choisit l’option comme ci-dessous pour sélectionner les ordinateurs directement dans la liste des ordinateurs déjà administrés.

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Pour finir, configuration la programmation de la tâche, je recommande le mode manuel pour l’exécuter manuellement.

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Cliquez sur « Suivant » et ensuite vous pouvez cocher « Lancer la tâche à la fin de l’Assistant » pour commencer le déploiement de la clé sur les postes sélectionnés !

Serveur FTP rapide sous Windows avec TypoSoft FTP Server

jeudi 4 septembre 2014 à 09:00

I. Présentation de TypoSoft FTP Server

Il arrive parfois que l’on ait besoin d’un serveur FTP très rapidement et de façon sporadique comme pour la sauvegarde d’une configuration temporaire ou pour charger un fichier rapidement. Il est alors souvent plus long de monter un serveur FTP sous Linux que d’essayer de trouver une autre méthode de transfert de fichier. Nous allons ici voir un petit outil qui permet de mettre en place un serveur très rapidement sous Windows. Il s’agit de TypoSoft FTP Server qui peut être récupéré facilement en le cherchant sur un moteur de recherche ou directement sur Sourceforge.

II. Mettre en place un serveur FTP rapidement sous Windows

Une fois l’outil téléchargé et son contenu décompressé, on se retrouve avec ce répertoire contenant quelques fichiers de configuration et un exécutable  :

TypoFTP04Il nous suffit donc d’exécuter l’exécutable pour lancer le serveur, Windows peut alors vous demander la permission administrateur afin d’ouvrir quelques ports sur votre pare-feu dans le cas où celui-ci serait actif. On dispose alors directement d’un serveur FTP opérationnel. On peut tout de même établir quelques configurations, on commence par aller dans “Setup” puis dans “Usager” afin de gérer nos utilisateurs :

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Il faudra en créer un en cliquant sur “Nouveau Usager” puis en remplissant les différents champs utiles comme le répertoire racine, le mot de passe de l’utilisateur si besoin, les droits que l’utilisateur aura sur ce répertoire, le “chroot” de l’utilisateur qui correspond au “Répertoire en Mode Virtuel“, etc.

On peut également restreindre les IP qui pourront accéder au serveur FTP via le menu “Setup” puis “Restriction IP” :

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Les paramètres généraux du serveur FTP quant à eux se situent dans “Setup” puis “FTP” :

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On a ici la possibilité de changer le port du FTP qui est par défaut 21, de limiter le nombre d’utilisateurs simultanés, différentes options concernant les logs et le démarrage du service FTP. Les logs sont directement affichés dans la fenêtre principale et on a la possibilité de les effacer via “Fichier” puis “Effacer Historique”. Pour arrêter le serveur, cela peut se faire directement dans la fenêtre via “Serveur” puis “Arrêter” ou en fermant l’application.

Les serveurs HP ProLiant G9 annoncés par HP

mercredi 3 septembre 2014 à 10:00

HP en arrive à la neuvième génération de ses serveurs ProLiant, et c’est avec fierté que Peter Schrady, directeur Rack & Tower de la division HP Servers affirme que « Plus d’un tiers de l’informatique mondiale tourne sur des serveurs HP ! ».

Il revient également rapidement sur l’histoire des serveurs HP : « Il y a 25 ans, HP lançait le premier serveur x86. Depuis, nous avons apporté de nombreuses innovations comme la supervision d’infrastructures convergées OneView, les serveurs lames BladeSystem, les serveurs compacts et pour traitements spécifiques Moonshot, et le HPC/Supercomputing Apollo. La nouvelle gamme de serveurs HP Proliant Gen9 annonce une nouvelle ère de l’informatique d’innovation pour 25 nouvelles années de leadership HP.»

Avec cette nouvelle génération de serveurs, HP compte bien répondre le mieux possible aux besoins actuels et à venir des clients, aussi bien pour une PME que pour une multinationale.

Concernant cette nouvelle gamme HP ProLiant Gen9, elle se décline en quatre formats de serveurs : tour, rack, blade (BladeSystem) et HPC (Apollo).

hpgen9

Il est à noter que tous les modèles de cette nouvelle génération seront dotés de “HP StoreVirtual VSA” (Software Defined Storage maison), de ports Smart Storage à 12 Gbit/s, mais aussi de la DDR4 SmartMemory qui augmentent légèrement les performances et les capacités de calcul serveur.

L’accélération des tâches est également mise en avant et assurée par des accélérateurs PCIe, les systèmes convergés mais aussi par le SmartCache qui permet de combiner les SSD et disques durs.

Afin de vous encourager à migrer votre infrastructure, HP affirme que ses quelques clients qui ont déjà déployé cette nouvelle génération de serveurs et les nouveaux outils HP ont observé une progression. On parle même de 3 fois plus de performances processeur avec un TCO réduit, des performances globales 4 fois plus rapides et une fourniture de service accélérée jusqu’à 66 fois.