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Office 2013 : Modifier le moteur de recherche

lundi 11 août 2014 à 09:30

I. Présentation

Sous Office 2013, lorsque l’on effectue une sélection et que l’on effectue un clic droit il est possible d’effectuer l’action “Rechercher avec Bing“. Si vous désirez changer de moteur de recherche, notamment pour choisir plutôt Google comme ça a pu être mon cas, suivez ce tutoriel.

searchoffice1

Pour ma part, je me trouve sous Windows 8.1 Update 1 avec Microsoft Office 2013 SP1 totalement à jour. Je remplace le moteur Bing par Google.

II. Procédure

Commencez par ouvrir l’éditeur de registre Windows (regedit), et, parcourez l’arborescence comme ceci :

HKEY_CURRENT_USER\Software\Microsoft\Office\15.0\Common\General

Note : Ce changement affectera uniquement l’utilisateur en cours étant donné qu’il s’agit d’une clé sous la ruche HKEY_CURRENT_USER.

Une fois arrivé sur la clé “General“, créez une nouvelle valeur de type chaîne en effectuant un clic droit puis “Nouveau” et “Valeur chaîne“.

searchoffice2

Nommez cette valeur “SearchProviderName” et attribuez-lui la valeur “Google” (ou autre chose… cette valeur apparaîtra dans le menu contextuel d’Office à la place du mot Bing). Cliquez sur “OK” pour valider.

searchoffice3

Recommencez l’opération en créant une valeur nommée “SearchProviderURI” et indiquez la valeur suivante :

http://www.google.com/search?q=

Ce que vous souhaitez rechercher sur Google viendra automatiquement compléter l’URL au niveau du paramètre “q=” comme une requête classique.

searchoffice4

Vous devez obtenir le résultat suivant :

searchoffice5Si vous ouvrez Word, que vous effectuez une sélection puis un clic droit, il est désormais possible d’effectuer une recherche directement sur Google !

searchoffice6

 

Google – Les sites en HTTPS privilégiés dans les résultats

vendredi 8 août 2014 à 14:20

Google a publié cette semaine un communiqué, expliquant l’importance du chiffrement des sites web. C’est pour cela que la firme souhaite privilégier les sites proposant des connexions HTTPS dans l’algorithme de leur moteur de recherche. En clair, un site dit sécurisé (par HTTPS) se verra mieux placé dans les résultats de recherche qu’un site non sécurisé (en HTTP classique).

Google_9856

Cependant, Google précise que ce critère de sécurité est pour le moment peu important, mais est destiné à prendre de plus en plus d’importance.

serrure_08765

Enfin, Google commence à donner des bonnes pratiques de sécurité, afin de sécuriser au mieux son site :

-          Utiliser des certificats avec des clés 2048 Bits

-          Utiliser des URL relatives pour les pages d’un même domaine sécurisé

-          Autoriser l’accès aux robots en retirant le fichier robot.txt

-          Vérifier le niveau de sécurité à l’aide du Qualys Lab tool

Source

France : Le « crowdsourcing » est mort, vive la « production participative » !

vendredi 8 août 2014 à 10:00

Le « crowdsourcing » est un terme désignant la mise en commun de la créativité, de l’intelligence et du savoir-faire d’un grand nombre de personnes, venant généralement d’internautes.
On peut citer en exemple l’encyclopédie Wikipédia, qui se voit enrichir chaque jour de connaissances par de nombreuses personnes à travers le monde.

Crowdsourcing_01

Étant un terme anglo-saxon très utilisé (principalement grâce à son dérivé économique « crowndfounding »), la «Commission générale de terminologie et de néologie (ayant pour mission de désigner une alternative francophone à ces nouveaux termes) a proposé la traduction et la définition suivante :

Terme : Production participative

Définition : Mode de réalisation d’un projet ou d’un produit faisant appel aux contributions d’un grand nombre de personnes, généralement des internautes.

Note :

- On trouve aussi l’expression « production collaborative ».
- On peut, par exemple, recourir à la production participative pour concevoir un logiciel ou pour élaborer une encyclopédie.

Équivalent étranger : crowdsourcing.
Source

Connexion Bureau à distance sous Linux avec rDesktop

vendredi 8 août 2014 à 09:02

I. Présentation

Aujourd’hui nous allons parler un peu de la correspondance et la communication entre des machines Windows et des machines Linux à travers l’outil rDesktop (pour Remote Desktop). Cet outil permet en effet depuis un client graphique Linux (Debian 7 dans ce tutoriel) d’ouvrir une session TSE ou Bureau à distance sur une machine cliente ou un serveur TSE Windows. Nous allons ici voir son utilisation simple et son autorisation sur les système Windows.

II. Activation du bureau à distance (Windows 8)

Nous allons dans un premier temps autoriser les connexions bureau à distance sur notre machine. Dans mon cas, il s’agit d’un client Windows 8. S’il s’agit d’un autre type de client ou d’un serveur Windows, la procédure d’activation du bureau à distance sera différente. On va donc faire un clic droit sur l’icône Windows en bas à gauche puis aller dans système :Rdesktop01

On va ensuite aller dans “Paramètres d’utilisation du Bureau à distance” :

Rdesktop02

Puis on cochera le bouton “Autoriser les connexions Bureau à distance” et on décochera la case “N’autoriser que la connexions des ordinateurs exécutant le Bureau à distance avec authentification NLA (recommandé)” :Rdesktop03

Note : L’authentification NLA  (Network Level Authentication) est une authentification spécifique entre deux machines Windows, il s’agit d’une petite fenêtre d’authentification que l’on rencontre souvent lors du montage d’un lecteur réseau à la main par exemple. Un client Linux ne supportant pas cette authentification, nous la désactivons.

III. Utilisation de rdesktop

L’outil Rdesktop est présent sur la plupart des Linux ayant une interface graphique, il est possible de l’installer si ce n’est pas le cas :

apt-get install rdesktop

Pour le lancer, rien de plus simple, il suffit de saisir la commande suivante, si ma machine Windows a l’IP 192.168.1.21 par exemple :

rdesktop 192.18.1.21

Rdesktop04

On peut directement lancer la session en mode plein écran via l’option -f :

rdesktop 192.18.1.21 -f

Petite astuce pour quitter ce mode plein écran, il faut saisir “CTRL + ALT + Entrée“. Il est également, même si cela peut être risqué, spécifier directement le nom d’utilisateur et le mot de passe dans la ligne de commande avec les options -u et -p bien que l’on puisse spécifier l’utilisateur sans spécifier son mot de passe :

rdesktop 192.18.1.21 -u username -p password

 

Outlook 2013 – Gérer les pièces jointes bloquées

jeudi 7 août 2014 à 09:30

I. Présentation

Le client de messagerie Outlook, composant de la suite Microsoft Office, protège vos machines dans sa configuration par défaut en bloquant certaines pièces jointes. Cependant, si vous devez envoyer un fichier dont le type est considéré comme dangereux par Outlook, vous allez devoir mettre les mains dans le cambouis !

Microsoft a classé 39 types de fichiers différents dit “Dangereux” pour votre système et qui sont bloqués, ce qui peut vous empêche d’accéder à la pièce jointe.

Les fichiers bloqués peuvent être des fichiers .ps1 (PowerShell), .vbs (VBScript), .msi (fichier d’installation Microsoft), ou encore .exe (fichier exécutable), etc.

Liste complète des fichiers bloqués

Ce tutoriel explique la procédure à suivre pour autoriser certains types de fichiers bloqués nativement. Nous procéderons via le registre, et, un utilitaire sera présenté afin de le faire en interface graphique simplement.

Pour ma part, j’utilise Windows 8.1 et Microsoft Outlook 2013.

II. Procédure

Commencez par vous assurer qu’Outlook soit bien fermé sur votre machine. Ensuite, exécutez “regedit” afin d’ouvrir l’Editeur de registre.

Parcourez l’arborescence comme ceci :

HKEY_CURRENT_USER\Software\Microsoft\Office\15.0\Outlook\Security

Note : Si vous utilisez une autre version d’Outlook, le chemin changera au niveau du numéro comme par exemple dans le cas d’Outlook 2013 c’est “15.0“. Pour la version 2010 ce sera “14.0“, pour la version 2007 ce sera “12.0“, et, pour Office 2003 on trouvera “11.0“.

outlookblock1

Effectuez un clic droit afin de créer une nouvelle valeur de type chaîne. Faites “Nouveau” puis “Valeur chaîne“. Nommez cette valeur “Level1Remove” en respectant la casse.

outlookblock2

Double cliquez sur la valeur afin de lui attribuer une valeur. Elle permet d’indiquer les extensions que l’on souhaite autoriser parmi celles qui sont bloquées. Par exemple, si l’on souhaite autoriser les pièces jointes en .exe et en .ps1, on indiquera :

.exe;.ps1

Cliquez sur “OK” pour validez et fermez l’éditeur de registre. Il ne reste plus qu’à ouvrir à nouveau Outlook, les extensions concernées seront maintenant débloquées.

outlookblock4

Pour ceux qui souhaitent, sachez qu’il existe l’utilitaire “OutlookTools” disponible gratuitement sur internet. Il permet de configurer facilement Outlook sur certains points notamment les fichiers bloqués grâce à l’onglet “Blocked Attachments” comme ceci :

outlookblock3