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Sortie de Owncloud 8 : le point sur les nouveautés !

mercredi 11 février 2015 à 16:05

Owncloud 8 est dès à présent disponible au téléchargement et vient remplacer la version 7, sortie il y a près de huit mois. Mais alors qu’apporte cette nouvelle version ? La gestion des favoris, une fonction de recherche plus puissante, la catégorisation des apps et la version 2 de la fonctionnalité de partage de fichiers entre serveurs ownCloud. Faisons le point.

Un nouvel icône dans l’interface permet d’ajouter des fichiers et des dossiers à ses favoris, en les marquant d’une étoile, comme on le fait habituellement pour mettre un élément en favoris.

ownCloud 8 - Les favoris

ownCloud 8 – Les favoris

Un onglet dédié aux favoris permettra ensuite un accès rapide à ces éléments.

Jusqu’ici, lorsqu’on effectuait une recherche, elle s’appliquait uniquement à partir du dossier dans lequel on se trouve. Désormais, lorsqu’une requête de recherche est effectuée, le champ d’action est élargi puisque la recherche est effectuée sur l’ensemble des dossiers du serveur.

Avec ownCloud 7, la fonctionnalité de partage était déjà améliorée puisqu’il était possible de partager des données avec d’autres utilisateurs du même serveur ownCloud (sans passer par un lien de partage).

Le partage de données entre utilisateurs provenant de différents serveurs ownCloud passe en version 2 (Federated Cloud). Pour rappel, un utilisateur d’un serveur “ownCloud A” peut partager des données avec un utilisateur d’un serveur “ownCloud B“. En résumé, il s’agit de partage inter-ownCloud.

Le système de notification inclus de nouvelles options pour être notifié de ces partages, mais aussi pour nous proposer d’accepter ou de refuser l’accès au partage externe.

Une nouvelle disposition des applications est proposée, lorsqu’on accède au menu des applications, on les retrouve regroupées par catégorie : Activé, pas activé, recommandé, multimédia, jeux, productivité, etc.

Cela permettra de retrouver et d’installer plus facilement de nouvelles applications à installer sur votre serveur ownCloud 8.

ownCloud 8 - Organisation des applications

ownCloud 8 – Organisation des applications

Par ailleurs, on note des améliorations de performances (un classique me direz-vous), la mise à jour du PDF Viewer pour inclure la nouvelle version de pdf.js, ou encore les liens partagés qui sont automatiquement raccourcis (ça évitera les liens “à rallonge”).

Je vous laisse en compagnie de cette vidéo qui fait le tour des principales améliorations (pour voir le changelog : ownCloud 8 Details)

Google Drive : 2 Go offerts en vérifiant la sécurité de votre compte Google

mercredi 11 février 2015 à 15:35

Bénéficiez de 2 Go supplémentaires gratuitement sur votre compte Google Drive en effectuant rapide contrôle de sécurité sur votre compte Google.

Il suffit de contrôler ses informations de récupération (question secrète, numéro de téléphone, adresse de secours), contrôler l’activité récente ou encore les autorisations du compte. Au final, quatre étapes sont à valider pour pouvoir bénéficier de ces 2 Go. Jouez le jeu en profitant de cette offre en profitant pour renforcer la sécurité de votre compte Google, si besoin.

gdrive2go

Vous devez réaliser l’opération avant le 17 février 2015, une fois que c’est fait, les 2 Go seront automatiquement ajoutés d’ici la fin du mois.

Pour ceux qui sont intéressés, cliquez sur le lien ci-dessous :

Je veux contrôler mon compte !

Installation et configuration de Syncthing

mercredi 11 février 2015 à 10:30

I. Présentation de Syncthing

Syncthing, concurrent direct de BitTorrent Sync, se présente comme un système de Cloud Computing ouvert, sûr et décentralisé qui permet d’avoir des données synchronisées entre plusieurs périphériques (Windows, Mac OS et Linux pour le moment). C’est en quelque sorte un Owncloud mais fonctionnant sous le mode du Peer-to-Peer, sans serveur « central ». Toutes les communications sont chiffrées par le protocole TLS et chaque périphérique est clairement identifié avec un identifiant unique (on verra ça un peu plus loin).

Logo Syncthing

Syncthing replaces proprietary sync and cloud services with something open, trustworthy and decentralized. Your data is your data alone and you deserve to choose where it is stored, if it is shared with some third party and how it’s transmitted over the Internet.

Voici le site officiel du produit : Syncthing

II. Récupérer et lancer Syncthing

Le téléchargement de Syncthing se fait directement sur leur page GitHub, qui propose plusieurs plateformes (OpenBSD, Solaris, Linux ARM, Linux 32 & 64bits…) :

Téléchargement de Syncthing

Téléchargement de Syncthing

Dans ce tutoriel, j’installerai Syncthing sur un ordinateur sous Windows 8.1 et sous une machine virtuelle avec Xubuntu 14.04.

Sous Windows, Syncthing se présente comme un exécutable (dans un fichier *.zip) qui lancera le service et ouvrira son interface Web (http://127.0.0.1:8080 par défaut).

Une fenêtre DOS est ouverte, c’est la condition pour utiliser Syncthing sous Windows.

Sous Linux, Syncthing se trouve dans une archive *.tar.gz, pour la décompresser et lancer le service :

tar –xvf syncthing-linux-amd64-v*.tar.gz
cd
syncthing-linux-amd64-v*/
chmod +x syncthing
./syncthing

Cela lancera Syncthing sous votre utilisateur courant (il peut être lancé en root, ou pour plus de sécurité, avec un utilisateur dédié à Syncthing).

On peut également l’installer depuis le gestionnaire de paquet Apt-get (Debian-likes) par exemple.

Interface Syncthing - 1

Interface Syncthing – 1

L’interface web de Syncthing s’ouvre alors automatiquement avec votre navigateur par défaut, vous devriez avoir quelque chose de similaire, quelle que soit votre plateforme. Elle se compose de deux parties, à gauche, les dossiers partagés et à droite, les périphériques avec lesquels ce dossier est synchronisé.

Votre serveur est maintenant démarré, mais relié avec aucun périphérique (node).

Pour accéder à la configuration, cliquez sur le bouton suivant :

syncthing4

La fenêtre suivante s’ouvre et vous permet de modifier quelques options telles que le nom du périphérique, l’adresse de son interface Web, la mise en place de l’HTTPS et d’une authentification (plus que nécessaire si on y accède depuis l’extérieur).

Syncthing - Panneau de configuration

Syncthing – Panneau de configuration

Les paramètres permettent de changer le nom du périphérique, l’adresse de l’interface web (à remplacer par 0.0.0.0 :8080 pour y accéder depuis l’extérieur), forcer l’utilisation d’HTTPS et quelques autres options qui ne nous seront pas spécialement utiles pour ce tutoriel (utilisation au sein d’un réseau local).

Syncthing peut également être installé sur un serveur Linux (sans interface graphique), on ne pourra donc pas voir l’interface web, mais y accéder à distance en modifiant le fichier de configuration (en XML) :

Le fichier se trouve par défaut dans “/home/user/.config/syncthing/config.xml“, Pour accéder à l’interface web il faut modifier cette partie (changer 127.0.0.1 (localhost) par 0.0.0.0 (toutes les adresses IP)) :

127.0.0.1:8080

III. Configurer un nouveau périphérique (node)

Dans ce tutoriel, je vais mettre en place un partage de Linux à Windows et un autre de Windows à Linux, cela permettra de voir comment mettre en place plusieurs partages.

Nous allons devoir « relier » nos deux machines en cliquant sur « Ajouter un périphérique ».

Tous d’abord il faudra récupérer « l’identifiant » de notre serveur sous Windows, pour cela cliquez sur l’écrou de paramètres, puis « Montrer l’ID ».

Syncthing - Ajouter un périphérique

Syncthing – QR Code

Un pop-up apparait avec l’ID de notre appareil et un QR code. Je copie ce code et le colle dans l’ID du nouveau périphérique :

Syncthing - Ajouter un périphérique

Syncthing – Ajouter un périphérique

Les paramètres par défauts permettent d’utiliser une identification du serveur dynamique (contrairement au fait de rentrer son adresse IP et son port de synchronisation).

Dans un simple échange entre deux instances, on peut laisser en dynamique, mais pour avoir quelque chose de plus fiable, il est préférable de rentrer les paramètres « statiques ».

syncthing8

Notre nouveau périphérique apparait donc maintenant, mais n’est pas actif étant donné qu’on n’a créé aucun partage entre les deux. Il faut maintenant réaliser cette opération dans l’autre sens, dans mon cas j’ajoute mon instance Syncthing sous Linux sur mon PC sous Windows.

IV. Configurer son premier partage

On peut donc maintenant, créer notre premier partage entre nos deux serveurs Syncthing :

Cliquez sur « ajouter un répertoire » pour créer un nouveau partage, dans mon cas, il s’agit de ma machine Linux ou je vais partager le dossier “/home/valentin/Téléchargements/“.

Syncthing - Ajouter un répertoire

Syncthing – Ajouter un répertoire

L’ID du répertoire est important, car il permet d’identifier le partage depuis l’autre serveur.

J’ai coché « Répertoire maître » ce qui permet de ne jamais modifier mon répertoire Téléchargement sur Linux (sans mon autorisation) mais d’en avoir une copie conforme sur mon ordinateur Windows. Il faut également choisir le (ou les) périphérique avec lequel on veut synchroniser ce dossier.

Je répète l’opération sur mon PC sous Windows en rentrant le même ID de répertoire (important, car c’est cela qui les relie entre eux). Pour le chemin, je sélectionne le dossier ou je veux synchroniser mon répertoire de téléchargement.

syncthing10

On constate que la Synchronisation se lance automatiquement entre les deux dossiers :

syncthing12

Pour résumé, chaque dossier ou document ajouté dans le dossier du serveur Linux sera automatiquement synchronisé vers le répertoire DL-Linux de mon PC Windows. Dans le cas où j’ajoute des fichiers (ou que j’en supprime) sur mon PC Windows, mon serveur Linux n’affectera pas directement les changements (car on a coché la case « Répertoire maître »).

L’interface est bien pensée, car depuis mon serveur Linux, elle me propose de répercuter les modifications effectuées sous Windows. Ce ne serait pas le cas si ce n’était pas un Répertoire maître.

On a donc, pour l’instant, un système de type client- serveur, qui effectue la synchronisation toutes les 60 secondes, ce qui permet d’avoir un répertoire local mis à jour depuis un répertoire distant.

Si l’on veut créer un partage de type “client-client“, il suffit de créer un nouveau partage, qui ne sera pas « Maître ». Dans ce cas, chaque changement sera automatiquement répercuté sur les Périphériques reliés à ce répertoire.

syncthing13

Ce partage, « dl-win » correspond à mon dossier Download de Windows, il est donc automatiquement et intégralement copié vers mon serveur Linux. Pour information, je n’ai pas coché la case répertoire maître.

V. Exemple d’utilisation en entreprise

Nous utilisons Syncthing dans notre entreprise, pour effectuer une synchronisation du contenu du répertoire /home des utilisateurs (une quinzaine) sur des postes Ubuntu 14.04.

Pour faire cela, nous avons une instance de Synchting par utilisateurs sur un Serveur centralisé (avec des ports différents calculés selon l’UID de l’utilisateur), et du côté des postes, sur chacun d’eux, tourne également une instance de Syncthing par utilisateurs (selon les mêmes règles d’attribution des ports) reliés à son instance « maitresse ».

Cela permet à nos utilisateurs d’avoir le même contenu sur leurs sessions, quel que soit le poste sur lequel ils se trouvent. Du point de vue des performances, les instances de Synchting sont très légères (2 Mo de RAM sur Windows) donc le fait de lancer plusieurs instances ne cause pas de ralentissement (pour moins de 100 hein !).

Syncthing possède également une mini API qui permet via des requêtes GET et POST d’acquérir ou d’envoyer des informations depuis les instances, par exemple :

La commande « curl –s http://ipduserveur:port/rest/system | json_pp » retourne :

{
"alloc": 32147752, # allocated memory, in use "cpuPercent": 0.669829340548344,
"extAnnounceOK": true, # true if we are registered with the global announce server, false on failure, absent if disabled "goroutines": 34,
"myID": "P56IOI7MZJNU2IQGDREYDM2MGTMGL3BXNPQ6W5BTBBZ4TJXZWICQ",
"sys": 66463976 # allocated memory, total
}

On peut facilement récupérer l’ID (« MyID ») du serveur distant sans se rendre sur l’interface web !

Cette méthode est très pratique pour scripter le déploiement de Syncthing, par exemple nous utilisons un script à lancer sur un nouveau PC, pour qu’il crée les instances Syncthing, qu’il les lance (avec le nom/ip/port voulu) et qu’ils les relient aux instances du serveur central.

Cela permet en moins d’une minute (sans compter la synchronisation des données) d’avoir un PC intégré au réseau d’entreprise, et qui peut être utilisé par nos utilisateurs.

Bien appréhender la Supervision… Partie 1

mardi 10 février 2015 à 14:30

Devant la multiplication des services que fournit une DSI et face à la multiplication des serveurs (physiques et virtuels) la mise en place d’un outil de supervision est un passage obligé. Nos utilisateurs sont également de plus en gourmands, tant en service qu’en volumétrie des données qu’ils traitent, ils ne supportent plus (ou de moins en moins bien) les imperfections de nos « systèmes »…

La DSI se doit donc de piloter son système d’information afin de détecter la moindre anomalie avant l’utilisateur – c’est bien de cela qu’il s’agit quand on parle de supervision aujourd’hui – et afin de prévoir les évolutions de son infrastructure sans être mis devant le fait accompli !

Pour autant, j’ai vu bon nombre d’organisations s’extasier devant un mur (un grand écran…) rempli de petits voyants (plutôt rouges que verts d’ailleurs…) ou bien encore, être fières d’avoir envoyé plus de 100 mails aux techniciens, dans un même journée, mails relatant des “incidents” qui n’en sont pas vraiment ou des alarmes qui ne sont pas si critiques que cela… Bref, la mise en place d’un outil de supervision ne s’improvise pas !

Depuis quelques années, des solutions open-source sont apparues et cela a permis à bon nombre de DSI de s’y mettre, premièrement parce que l’on pouvait tester tranquillement une solution sans être harcelé par un commercial (un fournisseur) et, deuxièmement parce que le ticket d’entrée était abordable dans le sens où il ne fallait que quelques jours pour déployer une solution et un peu d’huile de coude…

Il n’y a pas non plus de bonnes ou de mauvaises solutions de supervision, il faut juste trouver celle qui vous convient et qui convient à votre organisation…en se posant tout simplement une série de questions qui vous permettront de mieux savoir à quelle porte frapper, par exemple :

Voilà, le décor est planté et si vous répondez correctement à toutes ces questions, vous devriez obtenir une bonne synthèse qui doit vous permettre de vous orienter vers un produit plutôt qu’un autre…ou d’orienter votre supervision existante vers ce dont vous avez réellement besoin !

Entrons maintenant dans le détail des fonctionnalités qui pourraient composer un bon outil de supervision… Ce pourrait être également une introduction à votre expression de besoin quant à votre recherche d’un outil de supervision… On ne parlera pas de technique ici mais juste du “fonctionnel”…

Les ingrédients nécessaires :

  1. Un gestionnaire de comptes utilisateurs pour se connecter aux systèmes à superviser
  2. Un gestionnaire d’opérateurs pour gérer les utilisateurs de la solution
  3. Une notion de “réseaux” ou d’entités pour regrouper les objets (systèmes à surveiller) entre eux
  4. Un gestionnaire de “vues” pour afficher aux utilisateurs les données qui les concernent avec plus ou moins de détails selon leur degré de responsabilité ou d’implication
  5. Un gestionnaire d’actions à réaliser suite à une alarme (ex. relancer un service, supprimer un fichier, lancer une commande, envoyer un SMS…)
  6. Un calendrier d’événements (pour les maintenances ou actions programmées ou pour les absences des opérateurs…)
  7. Les objets à superviser (un objet équivaut à un “système” à superviser, au sens large du terme)
  8. Les sondes ou moniteurs (le cœur des fonctionnalités)
  9. Un outil de reporting (un minimum s’impose…)

1/ Pourquoi un gestionnaire de « comptes » ?

En fait je suis plutôt contre les solutions qui utilisent un agent que l’on doit déployer sur les systèmes à superviser, il s’agit en effet d’un maillon faible et lourd à maintenir… C’est pourquoi on a besoin de gérer une “banque de comptes”, comptes utilisateurs (avec un certain niveau de droits) qui permettront de se connecter aux différents systèmes que l’on souhaite superviser et de récupérer les métriques (les valeurs) qui nous intéressent…

2/ Un gestionnaire d’opérateurs

Les opérateurs ou utilisateurs de la solution peuvent être répartis dans des groupes avec plus ou moins de droits. Ces droits doivent non seulement être liés aux fonctionnalités de l’outil de supervision mais aussi aux systèmes dont cet opérateur aura accès. Exemples :

etc…

3/ Une notion de « réseaux » ou d’entités

En fonction de la taille de votre organisation, vous aurez sans doute besoin de « cloisonner » l’accès aux systèmes supervisés, ou tout simplement d’organiser vos systèmes en groupes afin de rendre le tout plus « lisible », exemples :

4/ Un gestionnaire de « Vues »

Il s’agit là d’un point très important et souvent sous-estimé dans les solutions de supervision que je connais. En clair l’outil de supervision doit pouvoir proposer différentes formes d’affichages concernant le bilan de santé de votre S.I c’est à dire différentes manières de visualiser l’état des voyants car, quand on parle de tableau de bord on parle bien de petites loupiotes vertes, oranges, rouges et plus dans certains cas… L’objectif est de pouvoir obtenir des vues très globales ou très détaillées ou bien encore dédiées à un « service » ou un client en particulier.

Il est donc nécessaire de pouvoir afficher différentes vues telles que :

– une vue par « réseaux » ou par « entités » comme représentée ci-dessous

Météo du S.I des filiales

Filiale d’Athènes

Filiale de Barcelone

Filiale de Madrid

Filiale de Rome

 Filiale de Stuttgart

Siège de Paris

…/…

ou bien une vue par « clients »…

Météo du S.I des Clients

 Client A

Client B

Client C

…/…

ou bien une vue dédiée à un client ou une entité particulière…

Météo des Services du Client DUPONT

 Service A (un site web par exemple)

 Service B (une base de données par exemple)

 Service C (une application par exemple)

 Service D (un équipement réseau par exemple)

…/…

puis on peut également dédier une vue à un certain type de moniteur…

Météo des Salles Serveurs

 Température & Hygrométrie Salle A

Température & Hygrométrie Salle B

 Température & Hygrométrie Salle C

…/…

ou à des objets en particulier…

Météo des Firewalls & Proxies

 Firewall A

 Firewall B

Proxy A

 Proxy B

…là aussi…

Serveurs PostgreSQL

 Serveur A

Serveur B

 Serveur C

Serveur D

…pour arriver aux informations détaillées comme un serveur par exemple…

Météo du Serveur D

 CPU

Mémoire (avertissement – état précédent celui d’alerte)

 Interface Réseau #1

Interface Réseau #2

 I/O Disque #1

I/O Disque #2

Service 1 (en alerte)

Service 2

Service 3 (en maintenance)

Stockage 1

█ Stockage 2 (désactivé)

Fonction #1

Fonction #2

Fonction #3

…/…

…et enfin pouvoir placer soi-même ces objets sur un fond graphique (une carte, un schéma, une photo…afin d’obtenir une vision plus « marketing » de la chose…supervision-DSI-02
supervision-DSI-01

Asustor : l’ADM 2.4 arrive en beta

mardi 10 février 2015 à 11:00

Le constructeur de NAS Asustor, annonce l’arrivée en beta de la prochaine version de son système d’exploitation ADM. Quelques semaines après la disponibilité de la version 2.3, la version 2.4 arrive en bêta.

Cette prochaine version apporte son lot de nouveautés, dont quelques unes devraient ravir les entreprises.

Support de la commande TRIM pour les SSD

Cette commande permet à un OS d’indiquer à un disque SSD quels sont les blocs de données qui ne sont plus utilisés, et qui peuvent être effacés. De ce fait, cela améliore les performances d’accès.

De son côté, le SSD doit supporter cette commande TRIM.

- Support du protocole SNMP

L’ajout du SNMP séduira les personnes qui souhaitent superviser l’état du NAS, notamment en entreprise où l’on surveille l’état des différents équipements.

Amélioration du chiffrement des dossiers

Le système de chiffrement sera plus rapide et flexible

Visualiser les fichiers vidéos, audios et images dans File Explorer au sein d’un navigateur

- Mise à niveau de la fonction “Network Defender”

Les utilisateurs peuvent maintenant configurer une liste d’adresses IP de confiance, en plus de pouvoir configurer manuellement les whitelists et blacklists par rapport à l’emplacement géographique d’une IP, en s’appuyant sur le module Geo IP.

Ce n’est pas précisé par Asustor, mais il est probable que cette nouvelle version corrigera également des bugs et mettre à jour les paquets utilisés.

ADM 2.4

Pour tester cette version ADM 2.4, vous devez participer au programme bêta à l’adresse suivante :

ADM 2.4 Beta Program

Il est à noter que tous les NAS Asustor des séries 2, 3, 6, 50, 51 et 7 peuvent profiter de cette nouvelle version ! En fait, tous les NAS Asustor même ceux qui ont trois ans !

Je rappel qu’il s’agit d’une version bêta, il est déconseillé de l’utiliser sur un système sensible. Préférez l’installation sur un NAS de test, ou sur un NAS ne contenant pas de données sensibles.