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La Surface Pro 3 annoncée par Microsoft !

mercredi 21 mai 2014 à 10:06

Au cours d’une conférence de presse à New York, Microsoft en a profité pour présenter la Surface Pro 3. Six mois après les Surface 2 et Surface Pro 2, voici la 3ème génération de Surface !

surface32

Présentée par Microsoft comme “la tablette qui peut remplacer votre ordinateur portable“, elle dispose d’un écran 12 pouces (10.6 pouces pour les anciens modèles), fait une épaisseur de 9,1 mm (10,6 mm pour les anciens modèles) et reste légère avec ses 800 g.

Concernant l’écran, il affiche une définition de 2160 x 1440 pixels, soit un ratio de 3:2 exclusif dans cette catégorie. Ce ration semble plus adapté à une utilisation verticale, qu’un ration 16:9 ou même 16:10.

Fonctionnant sous Windows 8.1, cette tablette peut embarquer un Core i3, i5 et même un i7, tous de 4ème génération. Le ventilateur est lui-même refroidit pas un ventilateur annoncé 30% plus fin qu’auparavant et totalement silencieux.

Au niveau du stockage, comptez sur un SSD de 64, 128, 256 ou 512 Go, pour la mémoire ce sera de la LPDDR3 de 4 ou 8 Go.

Deux caméras se trouvent sur la tablette, une frontale Full HD (2 Mp) et une à l’arrière de 5 Mp, chacune dotée d’un microphone. Concernant la connectique, on retrouve bien sur le Wi-Fi 802.11ac, le Bluetooth 4.0, un port mini DisplayPort, un emplacement pour microSD ainsi qu’un port USB 3.0.

En terme d’autonomie, Microsoft annonce plus ou moins 9 heures d’autonomie cela dépend de l’utilisation.

De façon générale, l’ergonomie de la tablette est nettement améliorée ! On retrouve une béquille multi-positions permettant une inclinaison jusqu’à 150° ce qui permet quasiment de la coucher.

surface31

Un nouveau Type Cover fait son apparition, ce clavier-étui embarque un trackpad plus grand et plus fluide, ainsi qu’un second aimant qui permet de le faire maintenir plus facilement et plus fortement. La stabilité est améliorée.

Le stylet peut être utilisé avec plus de confort et de précision, de plus, en appuyant sur le bouton du stylet, on réveille la tablette automatiquement et on exécute l’application de prise de notes OneNote. Concernant le stylet, il s’aimante sur le côté de la tablette, il n’est pas possible de le ranger directement comme on peut le voir sur certains modèles.

Niveau prix, il faudra compter 799€ au minimum pour un modèle avec un Core i3 et 64 Go de stockage. Le modèle le plus cher, avec un Core i7 et 512 Go de stockage, sera quant à lui à 1949€.

Vous pouvez pré-commander la Surface Pro 3 directement sur le Microsoft Store, la livraison étant prévue pour le 31 Août 2014.

Pré-commander une Surface Pro 3

Les caractéristiques techniques et l’ergonomie proposée montre que Microsoft tente de se rapprocher de plus en plus d’un ordinateur portable, tout en conservant les avantages d’une tablette.

Je suis LE propriétaire !

mardi 20 mai 2014 à 14:00

Il y a quelques jours de cela, je reçois un mail sur l’adresse anonyme de l’entreprise (vous savez le fameux contact@votre-entreprise.fr) qui portait sur, je cite : « un constat d’atteinte aux droits de propriété intellectuelle »… Waouh…rien que cela…

Il est vrai que je lis beaucoup et que j’écris beaucoup…du coup je m’interroge avant même avoir pris connaissance du contenu du mail et je me dis, aurais-je utilisé les travaux de quelqu’un pour les faire miens ? Ce n’est pas du tout mon genre…et de plus, lorsque que je m’étale sur l’Internet, j’écris toujours sous la « couverture » d’un pseudo, pas par peur d’être repéré pour des choses répréhensibles mais plutôt pour un simple soucis de « tranquillité d’esprit» et de liberté…c’est cela aussi l’Internet !

Alors je prends enfin connaissance de ce mail qui commence par, je cite :

« Professionnel indépendant, je me permets de vous contacter à propos d’un problème d’utilisation non autorisée d’une œuvre m’appartenant ayant lieu dans un document PDF, diffusé par votre entreprise et accessible à l’adresse xxxxxxxx…. »

Puis s’en suit tout un laïus sur le juridique, sur le « c’est pas bien » etc…

Je suis donc le fameux lien, qui contiendrait la fameuse œuvre, lien qui m’amène sur un blog où est effectivement hébergée une présentation faisant référence à une application « métier » que nous avions développée. Le document date de 2011, il s’agit d’un document qui n’est pas du tout à caractère commercial et qui, effectivement n’avait rien à faire là, même s’il ne contenait rien de vraiment confidentiel, si ce n’est le nom de notre société.

vignette-proprietaireJ’ouvre donc le document afin d’y rechercher la fameuse œuvre et, je la trouve… ! Euh comment dire…en fait ce n’est pas vraiment une œuvre dans le sens où je l’entends, c’est à dire une véritable création artistique qui aurait nécessité plusieurs semaines de travail voire plusieurs mois mais plutôt d’un banal « clipart », représentant la tête d’un personnage, pas très joli d’ailleurs (à mon goût), du genre de ceux que l’on trouve à foison sur tous les sites web et autres blogs « de mauvais goût » de la planète ! Ce personnage m’est totalement inconnu et après avoir été visiter le site du« propriétaire », je comprends bien qu’il ne s’agit pas d’un personnage contenu dans une œuvre grand public… Pour que vous compreniez bien, ce n’est pas la tête de Tintin qui a été utilisée ici et encore moins celle de Spiderman ou du Capitaine America…

Bon, du coup je me dis que ce n’est pas trop grave alors…et j’essaie de me souvenir qui aurait pu être à l’origine de la création et de la mise à disposition de ce document sur ce blog… Et, effectivement, je me souviens bien d’un stagiaire de l’époque (en 2011), stagiaire qui aurait pu être à l’origine de ce document et qui, peut-être, est également à l’origine de la diffusion de ce document sur ce blog, bien que son nom ne soit pas mentionné.

Donc comme je ne suis pas du genre à laisser traîner les « affaires » j’écris de suite au « propriétaire » de ce blog pour lui demander de retirer, le plus rapidement possible, ce document qui n’a rien à faire là…car, il contient des « œuvres » dont je ne suis pas le propriétaire…

Et comme je suis bien élevé, je réponds au propriétaire de l’œuvre, en lui indiquant mes démarches et en lui indiquant également qu’il n’avait pas à s’inquiéter, le document en question n’étant pas du tout dédié à une quelconque transaction ou publicité commerciale avec qui que ce soit, en clair, notre société ne fera pas d’argent avec ce document et encore moins avec l’œuvre contenue, certes à tort, dans ce document…

En réponse à mon mail, le propriétaire me renvoie deux autres mails, l’un pour en savoir un peu plus sur le « où avez-vous trouvé (téléchargé) mon œuvre ? » histoire que je le poursuive…et le deuxième mail me donnait des consignes, voire des noms de personnes à contacter, pour que la fameuse œuvre soit retirée au plus vite et dans les meilleures conditions…

Hou la la…ça sent l’affaire d’état désormais non ?

Plus sérieusement…je ne connais pas ce monsieur (le propriétaire) de ladite œuvre et quand je visite son site, je me dis qu’il ne doit effectivement pas faire beaucoup d’affaires et qu’il faut bien que tout le monde mange…mais de là à embêter une petite boîte comme la nôtre pour un document trouvé sur un blog dont le nombre de visite doit être proportionnel à la qualité de l’œuvre en question (cela n’engage que moi…), là je m’insurge et cela m’énerve un peu, voire beaucoup…

Si vraiment il m’arrivait un jour de faire du business avec une quelconque œuvre trouvée sur le net, primo je demanderai l’autorisation du propriétaire, si elle est requise, et secundo je le rémunérerai, s’il le demande, pour son travail. Mais ce n’était pas du tout le cas ici et rien qu’à la vue de notre document sur ce blog on se rend bien compte qu’il s’agit du travail d’un gamin pour faire un rapport de stage et non du futur modèle de la nouvelle Renault…

Alors oui, faites toujours attention à ce que vous pouvez poster sur le net car vous n’êtes pas à l’abri de tomber un jour, sur un méchant propriétaire qui n’attend que ça, c’est à dire faire de l’argent à partir d’une soi-disant « création »… Eh bien à ce monsieur je dis : faites un vrai travail, de vraies œuvres, postez-les partout sur le net pour faire le buzz et vous verrez, comme par miracle, vous mangerez mieux !

Quant à moi je sens que je vais perdre un temps certain à gérer cette « affaire » puisque, à l’heure où j’écris ce billet, je n’ai pas encore eu de retour de la part de l’hébergeur et que l’autre (le proprio) risque de me prendre le chou encore un bon bout de temps…

Aaargh…, si le monde était plus libre…

Gestion des LVM sous Linux

mardi 20 mai 2014 à 09:00

I. Présentation

Nous allons ici étudier le fonctionnement et la mise en place de LVM (Logical Volume Manager). Sous Linux, il faut voir les LVM comme une couche d’abstraction entre les disques physiques (que l’on appellera PV pour Physical Volume) et les points de montages typiques à Linux (/root, /, /var, etc..). De façon basique, on peut voir le montage des partitions de la façon suivante :
LVM01

De façon très simple on a un disque dur avec une ou plusieurs partitions sur laquelle on monte nos points de montage. Cependant cela pose plusieurs problèmes comme l’impossibilité d’étendre un point de montage (/var par exemple) car celui-ci dépendra de la taille de la partition sur laquelle il est monté. Le but de LVM est d’apporter une plus grande flexibilité des espaces de stockage.
Vocabulaires :

Voici un schéma illustrant le fonctionnement des LVM

LVM02Comme nous le voyons ici, deux couches sont ici ajoutées afin de permettre une plus grande flexibilité de nos points de montages. On va ici grouper les volumes physiques (PV) dans un Volume Groupe puis rediviser ce Volume groupe en plusieurs parties, les Logical Volume, qui pourront facilement être redimensionnées par la suite, c’est sur ces Logical Volume que nous allons mettre notre système de fichiers puis nos points de montage. Dans le principe de gestion des disques physiques, cela ressemble au RAID JBOD (Just a Bunch of Disk) qui consiste à mettre à la suite plusieurs disques durs, avec les inconvénients que cela amène. Notons toutefois qu’il est possible de faire du RAID mirroring entre plusieurs Volume group pour palier aux problème de pertes de disque dur physique.

II. Création d’une structure LVM

Nous allons maintenant passer à la mise en place d’une structure LVM simple comprenant deux disques durs, un volume group que nous nommerons “VG01″ et deux volumes logiques que nous nommerons volume1 et volume2, ceux-ci seront montés dans /data/volume1 et /data/volume2 en EX4.

On commence par installer l’ensemble des commandes qui vont nous permettre la gestion des LVM :

apt-get install lvm2

ou

yum install lvm2

Note : Pour créer un LV depuis un disque ou une partition (par exemple ici le disque /dev/sdc et sa seule partition /dev/sdc1), il faut avoir créé cette partition en utilisant fdisk.

La commande « fdisk –l » permettra de voir les disques et partitions du système et donc de voir ceux non utilisés ou ceux qui viennent d’être ajoutés.

LVM03

On voit par exemple ici notre disque /dev/sdb mais on ne voit pas de partition valide sur celui-ci, il ne peut donc pas être mis en tant que PV dans un VG

Nous allons maintenant créer des partitions uniques sur nos deux disques durs “sdb” et “sdc”. Pour créer une partition qui sera formatée pour travailler en LVM, on utilise la commande suivante :

fdisk /dev/sdb

Puis :

n e8

LVM04

«e8 » est le code de partitionnement pour les Linux LVM. On peut voir ces codes en saisissant (l)

On sélectionne ensuite le numéro de partition ainsi que sa taille et on écrit sur le disque les changements via « w ». Une fois les données validées, on pourra visionner à nouveau nos partitions avec “fdisk -l” :

LVM05

On voit ici qu’une nouvelle partition est présente sur notre disque. On doit avoir au moins une partition valide au bon format pour en faire un Physical Volume pouvant intégrer un VG.

Il faut bien sûr effectuer la même manipulation pour le deuxième disque (sdc).  Une fois cela fait, on peut faire de nos partitions /dev/sdb1  et /dev/sdc1 des PV qui pourront être intégrés à un VG :

pvcreate /dev/sdb1
pvcreate /dev/sdc1

LVM06
Il est possible de visionner les PV disponibles et créés via la commande suivante :

pvdisplay

LVM07
On pourra alors ensuite créer notre Volume Group qui se nommera “VG01″ en y intégrant directement nos partitions :

vgcreate VG01 /dev/sdb1 /dev/sdc1

Il est possible de visionner les VG disponibles et créés via la commande suivante :

vgdisplay

LVM08
On voit ici le nom du VG et son format. Une autre information intéressante est le « Metadata » qui sert à afficher le nombre de PV qui compose le VG, ici 2 PV. On a également sa taille totale, le cumul de la taille de tous les PV (20 Go). Enfin, on va pouvoir créer nos LV :

lvcreate -n Volume1 -L 1g VG01
lvcreate -n Volume2 -L 2g VG01

Ici, on créer un LV nommé “Volume1″ qui fait 1Go et un autre nommé “Volume2″ qui fait 2Go. On pourra retrouver nos LV dans /dev/, par exemple :

LVM09

On pourra à partir de là les formater pour y mettre notre système de fichier (ext4 dans notre cas) :

mkfs -t ext4 /dev/VG01/Volume1
mkfs -t ext4 /dev/VG01/Volume2

Puis monter nos LV dans les dossiers que nous allons également créer :

mkdir /Volume1
mkdir /Volume2
mount /dev/VG01/Volume1 /Volume1
mount /dev/VG01/Volume2 /Volume2

On pourra vérifier les points de montages présents et les espaces via la commande suivante :

df -h

LVM10

III. Étendre un Volume Group :

Nous allons ici voir comment ajouter un disque dur dans un VG existant puis étendre notre LV ainsi que notre point de montage final (Vol1). C’est une procédure qui peut s’effectuer à chaud sur la plupart des systèmes. On partitionnera notre disque via « fdisk » comme fait en début de ce tutoriel puis on fera de cette partition un PV via pvcreate :

pvcreate /dev/sdd1

On va ensuite ajouter notre PV dans le VG01 déjà existant :

vgextend VG01 /dev/sdd1

On va ensuite étendre notre LV Volume2 en y ajoutant 5Go :

lvresize -L +5g /dev/VG01/Volume2 # redimensionnement du volume
resize2fs /dev/VG01/Volume2 # redimensionnement du système de fichier

On vient ici d’ajouter 5Go au LV puis de redimensionner le système de fichier, l’un ne vas pas sans l’autre.

Note : On peut aussi créer un nouveau LV plutôt que d’en étendre un existant, tout dépend du besoin.

 

PNY annonce un lecteur de cartes et de clés USB sans-fil

mardi 20 mai 2014 à 08:45

L’heure est au périphérique de stockage sans-fil ! De nombreux constructeurs se mettent à proposer des périphériques accessibles sans-fil, notamment pour faciliter l’accès et le stockage de données depuis un smartphone ou une tablette. Aujourd’hui, c’est PNY qui présente le Wireless Media Reader.

pny1

Cet appareil est en fait un lecteur de cartes flash et de clés USB, sans-fil, compatible avec iOS et Android. Il permet de visionner, transférer et partager vos données de tout types.

Très léger (94 grammes), il embarque une batterie de 2000 mAh qui pourra servir de batterie d’appoint pour recharger votre smartphone ou votre tablette.

Voici une vidéo de présentation du Wireless Media Reader :

Le palmarès des sociétés protégeant le mieux la vie privée des internautes

lundi 19 mai 2014 à 15:15

L’organisation non gouvernementale Electronique Frontier Foundation (EFF), basée à San Francisco et chargée de promouvoir la vie privée des internautes, vient de publier les résultats de son palmarès annuel concernant les sociétés qui assurent le mieux la protection des données internautes. Leurs clients en fait.

Depuis plusieurs années, l’EFF tente de déterminer quelles sociétés protègent le mieux vos informations personnelles lorsqu’elles reçoivent une demande d’accès formulée par une autorité gouvernementale. Ces données peuvent être des e-mails, des documents, des photos ou tout type d’informations personnelles que vous auriez communiqué.

Pour cela, six critères sont utilisés :

- L’obligation pour le gouvernement d’obtenir un mandat d’accès
- L’information de l’internaute qu’une demande a été formulée pour son compte
- La publication d’un rapport de transparence listant le nombre total de requêtes
- La publication d’un guide sur les pratiques légales
- La protection des internautes devant une cour de justice
- La protection des internautes devant le Congrès des États-Unis

Globalement, l’organisation avoue être plutôt satisfaite des efforts fournis par les géants du web. Que ce soit Apple, Dropbox, Facebook, Twitter, Yahoo! ou encore Microsoft, ils respectent les six critères. Ce qui n’est pas le cas de Pinterest, LinkedIn, Wickr, Tumblr et WordPress, qui ne sont pas prêts à défendre leurs utilisateurs devant une cours de justice.

Enfin, il est à noter également que le géant Amazon ne publie aucun rapport de transparence et n’informe pas ses utilisateurs lors d’une demande d’accès à leur compte.

Voici un aperçu du palmarès :

Aperçu du palmarès de l'EFF

Aperçu du palmarès de l’EFF

Pour consulter le rapport complet consultez cette page

Source