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Test du boitier Lian-Li K6S

mardi 20 septembre 2016 à 10:00

I. Présentation

Lors du dernier CeBiT, Lian-Li a annoncé la série Ebonsteel qui a pour vocation de remplacer les anciens Lancool en acier. Vous aurez donc compris que cette nouvelle gamme va s’orienter sur des boitiers en acier comparé à l’aluminium des boitiers plus haut de gammes de Lian-Li.

Ici nous présenterons la version « silencieuse » du PC-K6 car il sera décliné en version K6S et K6. Voici a quoi il ressemble : (Version « S » à gauche)

La version PC-K6S aura une porte en façade qui cachera les deux baies 5.25 et les parois sont recouvertes de matériaux isolants. Un port USB 2.0 supplémentaire sera présent pour cette version.

Le bundle reste raisonnable il n’y a rien de superflu, on y retrouve toujours une notice en français, des colliers pour les câbles et bien sur toute la visserie nécessaire au montage.

Les spécifications du boitier :

– Modèle : PC-K6S
– Couleur : Noir
– Châssis : Acier
– Dimensions : 220 x 495 x 515mm
– Poids : 8.4 Kg
– Slot d’extension : 7
– I/O Ports : Audio et USB 3.0 x 2
– Baies internes : 7 x 3.5 ou 7 X 2.5
– Carte mère : ATX / Micro-ATX
– Ventilateurs Avant : 2 x 120 mm
– Ventilateur Arrière : 1 x 120 mm
– Ventilateur Dessus : 2 x 120 mm (Option)

C’est donc parti pour le test du boitier Lian-Li K6S

II. L’aspect extérieur

D’extérieur ce boitier ne paie pas forcement de mine, nous sommes face à quelque chose de sobre et relativement simple. La plus grande partie du boitier est en acier sauf la partie avant, qui est en plastique.

On remarquera la porte de devant qui est ouverte sur les côtés afin de permettre l’arrivée du flux d’air aux deux ventilateurs en façade. D’ailleurs, en ouvrant cette porte qui est aimantée on peut apercevoir les deux emplacements 5.2 afin d’y ajouter un lecteur DVD par exemple et, on peut voir que l’intérieur de celle-ci est recouvert de mousse isolante afin de réduire le bruit de la ventilation.


Sur le haut du boitier on y découvre un cache qui permet l’accès aux 2 ports USB 2.0 et 2 ports USB 3.0, ainsi que les sorties audio.

On peut aussi voir que l’ensemble du boitier est équipé de filtre anti poussière, aussi bien en façade pour les ventilateurs, sur le haut du boitier si vous installer un système de watercooling, ou pour l’alimentation sous le boitier. L’ensemble de ces filtres anti poussière est retirable une fois le boitier fermé, ce qui ne posera aucun souci pour les nettoyer de manière régulière.

III. L’aspect intérieur

Ce boitier se voulant silencieux, on retrouve sur les deux parois du boitier de la mousse isolante ainsi que sur le haut du boitier dans le cas où vous ne souhaiteriez pas y mettre de ventilateurs ou de radiateur de Watercooling.

On constate aussi que Lian-Li permet une séparation du flux d’air entre l’alimentation et le reste du boiler, ce qui permet d’éviter d’aspirer l’air chaud de la carte graphique qui est situé juste au-dessus. C’est donc aussi pour cela que l’alimentation s’installera à l’inverse afin d’aspirer de l’air frais de sous le boitier. De plus, afin de limiter les vibrations liées à celle-ci l’emplacement de l’alimentation possède des carrés en caoutchouc.


On voit les deux plaques sur les hauts recouverts de mousse isolantes afin de réduire le bruit et de garder le flux d’air interne si on ne monte pas de ventilateurs.

On voit aussi qu’il y a beaucoup d’emplacement pour disque dur : jusqu’à 7 – Mais petite déception il faudra sortir le tournevis pour installer les disques durs.

Pour le câble management cela ne devrait pas être trop compliqué, dû au fait qu’il y a assez de place sur l’arrière pour tout faire passer.

IV. Installation

Au vu de l’ensemble de la place disponible il ne devrait pas y avoir de problème pour installer ma configuration habituelle. On commence par la carte mère qui s’installe très facilement au vu de la placedisponible, et grâce à la découpe de la place aucuns soucis pour y mettre la backpath du Corsair GTX h100. Ce qui permettra l’installation de celui-ci sans encombre l’espace étant suffisant, dans ce boitier relativement aéré.

La hauteur est relativement confortable et devrait permettre l’installation de nombreux ventilateurs, si vous ne souhaitez pas installer de Watercooling.

Pour l’installation de la carte graphique et de la carte son, il suffit de retirer les caches PCI, de placer les cartes et de les visser pour stabiliser le tout.

En ce qui concerne les disques durs il faut sortir le tournevis pour les installer. Effectivement, il faut visser l’ensemble des disques durs, chaque disque dur possède 4 rondelles en caoutchouc pour encore une fois réduire les vibrations.

L’installation de l’alimentation s’effectue sans problème et le passage de câble est bien prévu afin que l’ensemble passe par l’arrière du boitier.

Lian-Li a changé ses habitudes, car avec ce modèle le constructeur ne fournit pas de convertisseur USB 3.0 à USB 2.0 pour ceux qui aurait encore une ancienne carte mère.


Mes impressions…

Ce qui m’a étonné lorsque que j’ai allumé le PC, c’est le bruit presque inexistant. Effectivement l’ensemble des isolants et caoutchoucs mit en place par Lian-Li remplit parfaitement leurs rôles. De ce fait, le seul bruit qu’on entendra est un léger bruit « d’air » qui s’échappe du boitier.

Au vu des températures, je dirais que le flux d’air est très bon vu que j’ai gagné presque 4 degrés comparé à mon ancien boitier, ce qui s’explique aussi facilement à cause de la séparation de l’alimentation.

V. Conclusion

Le constructeur Lian-Li s’attaque à un secteur qui n’est pas forcément le sien habituellement, du moins ce n’est pas sur ce type de boitier qu’on le retrouve habituellement. Nous sommes là sur un boitier qui vise l’entrée de gamme et qui attaque ce secteur avec brio.

Au niveau tarif Lian-Li a fait un sacré effort pour nous proposer la version silence de ce boitier a 114,90€ et la version classique à 99€. Nous sommes donc face à des tarifs qui sont au niveau des concurrents mais avec tout le savoir-faire et l’expérience de Lian Li. Vous pourrez le retrouver sur Amazon :

it-connect-amazon

Je n’ai pas trouvé de gros point négatif à ce boitier, à part peut-être le poids mais ce qui est normal pour un boitier en acier mais globalement j’en suis plus que satisfait. C’est même un boitier que je recommanderais sans hésitation pour deux choses : Sa conception et la qualité des finitions.

award_itconnect_gold_lightPour la note à attribuer à ce boitier j’ai quelque peu hésité… Quand on parle de Lian-Li on s’attend à un boitier d’exception, au design Original ou innovant mais qui se traduit aussi au niveau du prix. Ici on a un boitier qui n’a pas de défaut majeur, qui fait plus que correctement son travail et qui a un prix abordable. C’est pour cela que j’ai décidé d’attribuer un Award Gold au nom de la rédaction d’IT-Connect, simplement, parce que lui attribuer celui d’argent ne correspondrait à la qualité et a l’ensemble du travail effectué sur ce boitier.

Enfin, je remercie Lian-Li pour nous avoir permis de tester un nouveau boitier. Voici nos précédents tests Lian-Li :

Arrêtez d’utiliser SMB v1.0 !

lundi 19 septembre 2016 à 18:15

« STOP USING SMB1! » : C’est le message que l’on peut lire sur l’article du même publié il y a quelques jours sur le blog officiel Windows Server Storage des ingénieurs de Microsoft. Et pour cause, la première version du protocole SMB vieille de plusieurs dizaines d’années n’est pas sécurisée du tout…

D’ailleurs, la semaine dernière un nouveau correctif de sécurité est arrivé sur les serveurs de mises à jour Microsoft pour corriger une vulnérabilité liée à SMB v1.0, cette dernière permet l’exécution de code à distance et les attaques par déni de service. Son petit nom c’est « MS16-114« .

SMB v1.0, c’est la version utilisée par l’ancêtre Windows XP, Windows 2000 ou encore Windows Server 2003. Depuis le protocole ne cesse de progresser au fil des versions de Windows et il voit sa sécurité renforcée.

SMB v1.0 n’est pas sûr !

Il n’inclus pas les protections contre les attaques notamment Man-in-the-Middle qu’intègre les versions plus récentes : 3.0, 3.0.2 et 3.1.1. La signature des messages est également améliorée (tant niveau sécurité que performance) puisque l’on est passé du MD5 au HMAC SHA-256 depuis la version 2.02, et plus récemment à l’AES-CMAC à partir de SMB 3.0+.

SMB v1.0 est old school !

Cette version a fait son temps… Elle n’intègre pas toutes les optimisations pour améliorer les performances et la productivité, comme par exemple la gestion du cache via BranchCache, le support de MTU plus large, le SMB Direct ou encore le Multichannel.

SMB v1.0 peut-il encore être utile ?

Comme le rappel les ingénieurs de Microsoft dans l’article, il peut – malheureusement – y avoir encore des cas d’utilisation du protocole SMB en version v1.0 :

– Vous utilisez toujours Windows XP ou Windows Server 2003
– Vous utilisez un logiciel qui s’appuie sur la découverte du voisinage réseau avec les droits d’admin
– Vous utilisez une imprimante qui utilise « un firmware antique » (pour les citer)

L’article nous apprend également que les partenaires de Microsoft en matière de stockage et imprimantes affirment supporter au minimum SMB v2.0 sur leurs équipements. Ouf.

Comment retirer le support de SMB v1.0 sur mes serveurs ?

Sur Windows Server 2012 R2, le support de SMB v1.0 est actif par défaut. Si vous êtes motivé pour que vos serveurs arrêtent de discuter avec les clients en SMB v1.0, vous pouvez désinstaller la fonctionnalité « Support de partage de fichiers SMB 1.0/CIFS » directement par le gestionnaire de serveur.

smbv1-0

Sinon en PowerShell ce sera plus rapide avec la commande suivante :

– Sous Windows Server :

Remove-WindowsFeature FS-SMB1

– Sous Windows « Client » :

Disable-WindowsOptionalFeature -Online -FeatureName smb1protocol

Alors, que pensez-vous de tout ça ? Quelle est votre décision par rapport à SMB v1.0 ?

Il est à noter que Windows 10 et Windows Server 2016 utilisent la version SMB 3.1.1 qui est la dernière en date.

Article original : STOP USING SMB1

Citrix – Installation, configuration de PVS

lundi 19 septembre 2016 à 10:37

I. Présentation

J’ai déjà eu l’occasion de vous parler de PVS (pour un tutoriel sur le versionning avec PVS et un tutoriel pour capturer un Disk avec BDM), Provsioning Services, sans vous d’écrire l’installation de ce dernier. Et bien aujourd’hui c’est chose faite 😉

II. Installation et Configuration

Après avoir téléchargé et monté l’ISO ProvisioningServices.ISO (à télécharger sur le site Citrix), exécuter l’EXE Autorun :

citrix-pvs-1

 

Nous allons commencer par installer la console en cliquant sur « Console Installation » et suivre les étapes de l’assistant d’installation :

citrix-pvs-2

Je ne vais pas détailler cette étape car il n’y a aucun élément de configuration à ajouter 😉

Une fois l’installation de la console réalisée, nous allons faire la même chose pour installer le rôle PVS en cliquant sur « Server Installation« .

citrix-pvs-1

 

Cette étape se compose en 2 parties. La première consiste à installer PVS, aucune action n’est nécessaire. Je ne détaillerai donc pas cette phase. Et une seconde partie qui comprend la configuration de PVS que je vais cette fois-ci détailler :

Pour commencer cliquer sur « Next » :

citrix-pvs-2

 

Sélectionner l’option appropriée à votre environnement. Pour ma part le service DHCP est installé sur un autre serveur de mon lab :

citrix-pvs-3

 

Ici, il faut choisir sur quel serveur sera hébergé le service PXE (ce service permet de démarrer un ordinateur depuis une carte réseau). Dans ce Lab, nous allons utiliser celui de PVS. Il faudra penser à modifier les options 66 et 67 du serveur DHCP (l’option 66 correspond à l’IP du serveur TFTP et l’option 67 au fichier d’amorçage du serveur TFTP) :

citrix-pvs-4

 

C’est notre premier serveur PVS, nous allons donc créer une nouvelle ferme :

citrix-pvs-5

 

A ce stade, il faut renseigner le serveur où est hébergé le service SQL ainsi que le nom de l’instance créée lors de son installation :

citrix-pvs-6.1

Sur cette fenêtre c’est à vous de choisir les noms que vous voulez donner à la ferme, au site et à la première collection, ainsi que le groupe d’utilisateurs qui aura accès à l’administration de PVS :

citrix-pvs-7

 

A présent il faut créer un espace dédié au stockage des VHDs :

citrix-pvs-8

 

Indiquer le nom du serveur de licence, pour ma part j’ai installé ce rôle sur le même serveur :

citrix-pvs-9.1

 

Choisir le nombre de jour avant mise à jour du mot de passe du compte ordinateur :

citrix-pvs-11

 

Sélectionner la ou les cartes réseaux sur lesquelles PVS doit écouter pour streamer l’image :

citrix-pvs-12

 

Cocher la case afin d’utiliser le service TFTP de PVS :

citrix-pvs-13

 

Cette étape permet d’utiliser un fichier bootstrap au démarrage d’une machine si vous voulez remplacer le boot PXE (cette technique est plus rapide 😉 ). Ce fichier contient le nom du serveur à contacter au démarrage :

citrix-pvs-14

 

Fenêtre récapitulative de la configuration du serveur PVS, cliquer sur « Finish » pour débuter l’installation :

citrix-pvs-15.1

 

citrix-pvs-17

 

III. Conclusion

Le serveur est à présent configuré :

citrix-pvs-18

Vous voilà prêt à faire vos captures grâce à l’article suivant : capture avec BDM et de jouer avec le versioning  à l’aide de cet article : Versioning avec PVS.

Active Directory : Déléguer la désactivation des utilisateurs

jeudi 15 septembre 2016 à 13:50

I. Présentation

Pour simplifier la gestion des comptes, surtout lorsqu’il y en a en grand nombre, il peut-être intéressant de déléguer certaines tâches à une personne de confiance au sein de la société. Par exemple, pour activer ou désactiver des comptes, notamment pour des comptes temporaires ou utilisé occasionnellement.

Il faut alors que l’utilisateur qui doit réaliser ces tâches au sein de votre annuaire puisse activer ou désactiver des comptes utilisateurs, pour cela la délégation est capable de lui donner ces autorisations, ni plus, ni moins. C’est ce que nous allons voir ensemble dans ce tutoriel sur l’Active Directory.

La délégation de contrôle permet de donner l’accès à certains actions de manière fine, on pourrait aussi donner l’accès uniquement à la création des utilisateurs, la modification d’un champ particulier, la possibilité de réinitialiser les mots de passe, etc…

Qu’il n’y en a pas un qui me dise qu’il donne la main en accès complet sur son AD après avoir lu cet article ! 😉

II. Créer la délégation

Ouvrez la console « Utilisateurs et ordinateurs Active Directory » puis, commencez par effectuer un clic droit sur l’unité d’organisation sur lequel vous souhaitez appliquer la délégation et cliquez sur « Délégation de contrôle…« .

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Ajouter l’utilisateur auquel vous souhaitez donner le droit d’activer/désactiver les utilisateurs, s’il y a plusieurs utilisateurs qui doivent profiter de la délégation, je vous conseille de créer un groupe avec un nom spécifique, d’ajouter ensuite ce groupe dans la délégation. Il suffira d’ajouter les utilisateurs à ce groupe pour les faire profiter de la délégation, ça évitera de devoir la modifier si vous voulez ajouter un utilisateur supplémentaire par la suite.

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Nous n’allons pas utiliser une des règles de bases proposées, on sélectionne donc « Créer une tâche personnalisée à déléguer« .

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On va limiter les actions sur les utilisateurs seulement, autant limiter au maximum. On coche « Seulement des objets suivants dans le dossier » et ensuite « Objets Utilisateur« .

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Affichez les autorisations spécifiques aux propriétés pour avoir une liste détaillée, et cochez ces deux autorisations : « Lire userAccountControl » et « Ecrire userAccountControl« . Dans un objet utilisateur, c’est cette propriété qui prend un code comme valeur pour indiquer l’état de l’utilisateur, vous pouvez le vérifier avec l’éditeur d’attributs dans les propriétés d’un utilisateur.

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Cliquez sur suivant et validez la création de la délégation. Il ne reste plus qu’à tester avec un compte utilisateur qui bénéficie de la délégation, d’ailleurs vous pouvez lui installer sur son poste la console « Utilisateurs et ordinateurs Active Directory » via les outils RSAT, comme ça, il n’a pas besoin de se connecter sur le contrôleur de domaine.

Test de la Xtorm PowerBank XB103 : 8 000 mAh et technologie QI !

mercredi 14 septembre 2016 à 10:29

I. Présentation

Les batteries externes font partie de la panoplie des smartphones addicts, et encore, ils se démocratisent de plus en plus tant les smartphones gagnent en fonctionnalités, et donc en consommation d’énergie.

On passera bien entendu les jeux vidéos, tels que Pokémon Go récemment, qui mettent à l’épreuve les batteries de nos smartphones, une batterie externe peut aussi plus généralement être utile lors de longs déplacements professionnels ou pour les vacances !

Vous l’aurez compris, une batterie externe vous permettra de recharger vos appareils en toute mobilité.

Par appareil mobile, on peut entendre tout ce qui peut se charger via une prise USB comme :

Je teste aujourd’hui pour vous la batterie Xtorm PowerBank XB103 8 000 mAh, j’en profite d’ailleurs pour signaler que Xtorm propose un (très) large panel de batterie externe, capacité multiple (2 500 a 10 000 mAh), batterie à rechargement solaire, etc.

Outre le système de rechargement, deux points importants sont à déterminer lorsque l’on veut acquérir une batterie portable :

La XB103 Powerbank de chez XTORM permet en l’occurrence un rechargement de 3 appareils simultanés, mais nous reviendrons là-dessus 😉

II. Design de la Xtorm XB103 Powerbank

À l’intérieur du package, on retrouve la batterie externe auquel est attaché un premier câble microUSB (orange), ainsi qu’un second câble microUSB (blanc):

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Le câble microUSB orange peut être rangé sur les bords de la PowerBank, comme ici :

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De l’autre côté, on retrouve un témoin de charge qui permet de connaitre l’état de charge de la PowerBank :

xtorm-xb013-03

En façade, on voit donc le port microUSB « input » permettant de recharger la PowerBank et 2 ports USB « Output 1 » et « Output 2 » permettant de recharger déjà deux appareils simultanément :

xtorm-xb013-01

Le design est plutôt agréable, on notamment une facilité de transport grâce au câble microUSB qui peut se transporter en étant intégré à la batterie externe. Les surfaces en caoutchouc permettent d’accroitre la résistance de la batterie afin de la poser n’importe où avec le smartphone dessus.

Pour les dimensions, il s’agit du 138x72x20 mm soit la dimension d’un smartphone de type Galaxy S5 (à gauche sur la photo ci-dessous) et environs deux fois sont épaisseur. Le poids de l’objet est de 260 grammes.

On peut voir ici deux smartphones en train de recharger :

xtorm-xb013-07

Xtorm XB103 en action !

On peut voir en haut du PowerBank XB103 le logo « QI technologie« , Qi est un standard pour la transmission d’énergie sans fil sur une distance allant jusqu’à 40 mm. Le système Qi comprend un support de transmission (un chargeur) et un récepteur compatible dans un appareil mobile. Pour utiliser ce système, l’appareil mobile est placé sur le support de transmission, qui le recharge alors par induction magnétique.

Avec les deux ports USB et le chargement Qi, il est possible de charger trois appareils simultanément, il faut que l’un des appareils à recharger soit bien sur compatible avec cette technologie, ce qui n’était hélas pas mon cas dans le cadre de ce test. Au niveau des temps de charge, comptez 4 à 5 heures environ pour remplir totalement la batterie externe.

Bien sûr, cela dépend de la capacité initiale de stockage d’énergie de votre smartphone, généralement entre 2 000 et 3 500 mAh.

IV. Conclusion

J’apprécie particulièrement la possibilité de recharger jusqu’à trois appareils en même temps, ce qui est idéal pour les sorties en famille (à la plage par exemple 😉 ). Le design de l’appareil est également appréciable, la possibilité de pouvoir encastrer le câble microUSB est un plus au niveau du transport.

Vous pourrez retrouver le produit sur le site du vendeur Xtorm au prix de 69,00€ : XB103 – Xtorm Power Bank Wireless 8.000

Et aussi un peu moins cher sur Amazon directement :

it-connect-amazon

Les principaux avantages  : Un design appréciable, technologie Qi et intégration du câble de recharge, la possibilité de recharger jusqu’à trois appareils !