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À partir de la version web du Microsoft Store, vous pouvez télécharger les exécutables d’applications !

lundi 22 avril 2024 à 13:29

Microsoft a apporté une modification importante sur la version Web de son magasin d'applications Microsoft Store. Désormais, vous pouvez directement télécharger les exécutables des applications sur votre PC Windows 10 ou Windows 11. Faisons le point sur ce changement.

C'est par l'intermédiaire de Rudy Huyn, Principal Architect chez Microsoft, que cette mise à jour de la version web du Microsoft Store a été mise en lumière. Désormais, lorsque vous visitez le Microsoft Store dans sa version web, via le site "apps.microsoft.com", vous pouvez directement télécharger l'exécutable d'une application, ce qui fluidifie l'installation d'applications à partir de la version web.

Jusqu'à présent, pour installer une application depuis la version web, il fallait cliquer sur le bouton "Installer", puis cliquer sur "Ouvrir Microsoft Store", et confirmer l'installation avec le bouton "Installer". La présence de ce second bouton installer étant là pour s'assurer que l'installation est initiée par l'utilisateur, et non par un script potentiellement malveillant. Néanmoins, "les feedbacks des utilisateurs ont indiqué que le processus d'installation comportait trop de clics.", peut-on lire dans le tweet posté sur X (Twitter) par Rudy Huyn.

Télécharger l'exécutable d'une application du Microsoft Store

Depuis plusieurs mois, Microsoft travaille sur un changement pour rendre plus simple et plus direct l'installation d'une application depuis la version web. Désormais, le fait de cliquer sur "Installer" permet d'obtenir un package au format ".exe" qui contient le code de l'application et permet de l'installer une fois le téléchargement effectué. Ainsi, nous passons de 3 clics à 2 clics, sans pour autant négliger l'aspect sécurité, car Microsoft a pris des précautions.

L'autre avantage de cette évolution, c'est qu'elle facilite le téléchargement des packages exécutables des applications publiées sur le Microsoft Store. Ainsi, il représente une source fiable pour télécharger des paquets d'installations de nombreuses applications depuis un seul endroit.

Augmenter le nombre d'installations effectuées à partir du Microsoft Store

Si la firme de Redmond a effectué cette modification, c'est également pour qu'il y ait un meilleur taux de conversion pour qu'il y ait plus d'installations.

Une enquête a été menée sur les 5 derniers mois et voici les résultats observés par Microsoft : "Cette nouvelle méthode d'installation des applications du magasin a entraîné, en moyenne, une augmentation de 12 % des installations et de 54 % du nombre d'applications lancées après l'installation."

Les résultats étant positifs, Microsoft a pris la décision d'étendre la disponibilité de cette nouveauté à tous les utilisateurs de Windows 10 et Windows 11.

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Environ 300 000 sites WordPress menacés par une faille de sécurité critique dans Forminator !

lundi 22 avril 2024 à 08:35

Utilisée par des centaines de milliers de sites WordPress, l'extension Forminator contient une faille de sécurité critique permettant à un attaquant de charger un fichier malveillant sur le serveur où est hébergé le site web. Faisons le point sur cette menace.

L'extension Forminator, développée par WPMU DEV, sert à ajouter des formulaires de différents types à WordPress, dont des formulaires de paiements, ainsi que des quiz et des sondages.

Le CERT du Japon a mis en ligne un bulletin d'alerte au sujet de la faille de sécurité critique CVE-2024-28890 présente dans Forminator et associée à un score CVSS v3 de 9.8 sur 10. "Un attaquant distant peut obtenir des informations sensibles en accédant aux fichiers du serveur, modifier le site qui utilise le plugin et provoquer un déni de service.", peut-on lire.

Par ailleurs, ce n'est pas la seule faille de sécurité évoquée, puisqu'il y en a deux autres avec une sévérité inférieure : la CVE-2024-31077, une injection SQL qui implique d'être administrateur du site WordPress pour être exploitée, et la CVE-2024-31857 (une vulnérabilité de type XSS).

Comment se protéger ?

Pour se protéger de ces trois failles de sécurité, vous devez installer Forminator 1.29.3. Cette version a été publiée le 8 avril 2024. L'extension Forminator compte plus de 500 000 installations actives, et depuis le 8 avril 2024, elle a été téléchargée environ 180 000 fois. Ce qui signifierait que la mise à jour de sécurité n'a pas été déployé sur environ 320 000 sites WordPress et qu'ils sont vulnérables à une attaque.

Pour le moment, rien n'indique qu'elles sont exploitées dans le cadre d'attaques. Néanmoins, cela pourrait évoluer compte tenu de la popularité de cette extension et du nombre de cibles potentielles.

En résumé : si vous utilisez l'extension Forminator sur votre site WordPress, vous devez passer sur la version 1.29.3 le plus rapidement possible pour vous protéger de ces 3 vulnérabilités.

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Le ransomware HelloKitty change de nom, et publie des données et des clés de déchiffrement !

lundi 22 avril 2024 à 08:03

Opération de rebranding dans le monde de la cybercriminalité : le gang de ransomware HelloKitty devient HelloGookie ! À cette occasion, des informations sensibles issues de précédentes piratages ont été publiées, ainsi que des clés de déchiffrement ! Faisons le point.

Le ransomware HelloKitty a été lancé en novembre 2020 et il est connu pour s'introduire dans le réseau d'entreprises dans le but de chiffrer les données et les systèmes, ainsi que voler de données. À l'origine de nombreuses cyberattaques, le ransomware HelloKitty est capable de chiffrer les machines virtuelles des hôtes VMware ESXi.

Désormais, HelloKitty va laisser sa place à HelloGookie ! C'est celui que l'on appelle "Gookee/kapuchin0" et qui prétend être le créateur du ransomware HelloKitty, qui a fait cette annonce il y a quelques jours. Un nouveau « site vitrine » a été mis en ligne pour le ransomware HelloGookie. À l'heure actuelle, ce site ne référence aucune victime. Malheureusement, cela risque d'évoluer...

Des données et des clés de déchiffrement divulguées !

Pour célébrer ce nouveau départ, Gookee a publié quatre clés de déchiffrement qui peuvent être utilisées pour récupérer des fichiers chiffrés lors de précédentes attaques ! Ceci devrait permettre à certaines victimes de déchiffrer leurs données, et ce gratuitement. Un outil de déchiffrement pourrait être publié dans les prochains jours.

Il a également publié des informations internes volées à l'entreprise Cisco, lors d'une attaque en 2022. Mais, ce n'est pas tout, puisqu'il a aussi mis en ligne des données issues du piratage de CD Projekt Red en 2021 : des mots de passe pour accéder au code source de Gwent, Witcher 3 et Red Engine.

À l'époque, cette cyberattaque avait fait beaucoup de bruit : les cybercriminels étaient parvenus à chiffrer les serveurs de l'entreprise CD Projekt Red, un studio de développement polonais à l'origine de plusieurs gros titres, dont Cyberpunk 2077.

Suite à la publication de ces données, un groupe de développeurs s'est penché sur le sujet. Ils sont parvenus à partager des captures d'écran et des vidéos de la version de développement de Witcher 3, après avoir réussi à compiler le jeu à partir du code source divulgué. C'est surtout pour le fun, car ce jeu est disponible depuis plusieurs années.

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Test NiPoGi CK10 – Un mini PC avec Intel Core i5-12450H, 16 Go de RAM et un SSD NVMe

vendredi 19 avril 2024 à 17:00

I. Présentation

Dans cet article, nous allons évoquer le mini PC NiPoGi CK10 dans sa version avec un processeur Intel Core i5-12450H, 16 Go de RAM et un stockage SSD NVMe de 512 Go !

Ce test est l'occasion d'évoquer les caractéristiques techniques, le design, l'évolutivité et les performances de ce modèle compact ! Comme souvent, NiPoGi propose plusieurs configurations pour une seule référence. Le modèle CK10 est également disponible avec 32 Go de RAM et 1 To de SSD, à ne pas confondre avec la version présentée dans cet article.

II. Caractéristiques du NiPoGi CK10

Commençons par découvrir les caractéristiques principales de ce modèle :

III. Package, design et conception

La boite, entièrement blanche, est sobre, mais elle a le mérite de nous donner des précisions sur la version présente à l'intérieur. L'ordinateur et les accessoires sont correctement emballés et protégés par d'épaisses mousses. Le matériel est arrivé en parfait état, c'est ce que nous retiendrons.

Qu'avons-nous à l'intérieur de la boite ? Le mini PC est accompagné par l'alimentation externe et son câble, ainsi qu'un câble HDMI, un support VESA (et les vis), une notice d'utilisation (en français, utile si vous envisagez d'utiliser le support VESA pour fixer le PC à l'arrière d'un écran), et une rallonge SATA à utiliser si vous souhaitez ajouter un disque SATA 2.5 pouces.

Le boitier gris anthracite de ce mini PC NiPoGi est entièrement en plastique. Le plastique est rigide et semble relativement solide. Le boitier est correctement assemblé et tous les ports sont bien accessibles : aucun défaut n'est à relever. La seule chose qui me gêne réellement, c'est l'emplacement hasardeux des deux stickers sur le dessus du boitier (que l'on peut retirer facilement). En dessous, nous retrouvons 4 patins antidérapants d'une épaisseur de 4 mm. Nous constatons qu'il y a une entrée d'air sur le dessus, mais aussi en dessous du boitier, tandis que l'extraction de l'air s'effectue par l'arrière du boitier.

La façade de ce mini PC est riche en connectique puisque 2 ports USB 3.0, 1 port USB-C et une prise Jack sont facilement accessibles. À l'arrière, il y a également 2 ports USB 3.0, ainsi que 2 ports HDMI et une interface RJ45 Gigabit Ethernet (1 Gbit/s). Sur la gauche du boitier, il y a également un port VGA : ce qui est assez rare de nos jours, mais cela permet à ce modèle de se démarquer ! Ainsi, vous pouvez connecter 3 écrans : 2 en HDMI et 1 en VGA. D'ailleurs, le port VGA pourrait être utilisé pour connecter un vidéoprojecteur ou un écran qui n'est pas équipé d'un port HDMI.

Pour ouvrir le boitier et accéder à l'intérieur, il suffit de retirer les 4 vis présentes en dessous du boitier. Ceci va nous permettre de découvrir les composants et l'image ci-dessous montre l'emplacement pour disque SATA, au format 2.5 pouces.

À l'intérieur du boitier, il y a un espace confortable entre les différents composants, mais ce sera différent si vous ajoutez un disque SATA 2.5 pouces. Néanmoins, il est important de préciser que ce boitier est un peu plus grand que beaucoup d'autres modèles de mini PC. Voici ce qui est à noter :

Voici les entrailles du CK10 en photos :

IV. Évolutivité et performances

A. Mise en route et évolutivité

Ce mini PC est livré avec le système Windows 11 Pro, en version 22H2, donc il y aura des mises à jour à installer. Nous devons finaliser la mise en route, mais cela est très rapide puisque nous devons seulement définir le nom d'utilisateur. Il s'agit d'une image personnalisée par NiPoGi (probablement avec un fichier de réponse) et elle occupe 37 Go sur le disque (ce qui est beaucoup !).

Comme pour tous les ordinateurs, je vous recommande de réinstaller la machine avec une image propre et téléchargée depuis le site de Microsoft si vous souhaitez continuer sur Windows. Cette machine est pleinement compatible avec Windows 11, car elle respecte tous les prérequis (y compris la puce TPM 2.0).

À part Google Chrome qui est intégré à l'image de Windows 11, il n'y a pas d'autres logiciels supplémentaires visibles. Bien entendu, nous avons le droit à toute la panoplie d'applications de chez Microsoft.

Le mini-PC est livré avec 16 Go de RAM en DDR4, mais une mise à niveau est possible. Le processeur i5 de ce modèle supporte 64 Go de RAM, ce qui signifie que nous pouvons remplacer les 2 barrettes de 8 Go par 2 x 32 Go. De quoi faire une belle évolution si vous souhaitez utiliser ce PC pour de la virtualisation.

En résumé, pour faire évoluer la configuration de ce mini PC, vous avez plusieurs options : augmenter la RAM, ajouter un disque SATA (2.5 pouces) et ajouter un disque SSD NVMe.

B. Performances

Ce mini PC est propulsé par un processeur Intel Core i5 de 12ème génération lancé au premier trimestre 2022. Le modèle i5-12450H a 8 cœurs et 12 threads, 12 Mo de cache et sa fréquence maximale en mode Turbo est 4,4 GHz. Sachez que NiPoGi a limité la consommation d'énergie du CPU à 35 watts, ce qui affectera légèrement les performances sur du traitement multithread.

Commençons par mesurer les performances du disque SSD NVMe intégré à l'ordinateur.

Le SSD NVMe présent dans ce mini PC NiPoGi offre de belles performances : un copier-coller de gros fichiers en local (de disque à disque, sur le même volume), est effectué avec une vitesse moyenne de 834 Mo/s.

Voici un benchmark du disque effectué avec Crystal Disk Mark :

Ainsi qu'un aperçu du disque dans Crystal Disk Info :

J'ai également effectué un benchmark du CPU et du GPU avec Geekbench, vous pouvez y accéder sur ces pages :

Comment réagit le PC lors d'un stress CPU ?

Pendant le stress test du CPU (charge à 100%), la ventilation souffle un peu plus fort, mais cela reste discret. Au ralenti, les ventilateurs sont vraiment très discrets et ne vous gêneront pas du tout.

D'après HWMonitor, lorsque le mini PC est allumé sans être sollicité, la température du CPU est de 40°C. Pendant le stress test du CPU, la température du CPU monte en flèche jusqu'à 91.0°C (au bout de 5 minutes, environ). Ceci n'est pas surprenant, car l'air exfiltré par l'arrière du boitier est bien chaud ! Par contre, ensuite, la température met du temps à redescendre, comme si le système de refroidissement était un peu à la peine.

Que peut-on faire et ne pas faire avec ce modèle ?

Au quotidien, pour de la bureautique et un peu de multimédia, ce PC est parfaitement adapté. Il est très silencieux et supporte très bien la navigation sur Internet avec de nombreux onglets, la lecture de vidéos en 4K (sur YouTube, par exemple), mais également l'utilisation d'applications telles que la suite Microsoft Office. Ceci en fait un compagnon intéressant et abordable si vous recherchez ce type de mini PC.

La principale limitation, c'est la puce graphique intégrée : Intel UHD Graphics qui est un iGPU. Autrement dit, ce n'est pas une configuration adaptée au gaming. Vous pouvez envisager de jouer à des jeux peu gourmands, ou, à des jeux disponibles depuis 3 ans, 4 ans, ou plus, en ajustant les paramètres de qualité graphique, mais c'est tout. À titre d'exemple, vous pouvez jouer à GTA V : tous les effets visuels ne peuvent pas être activés, mais en Full HD, le jeu est fluide !

Voici un aperçu (à gauche, une copie d'écran - à droite, une photo de l'écran).

V. Conclusion

C'est l'heure du verdict ! Le mini PC NiPoGi CK10 n'est pas parfait, mais il y a plusieurs points à mettre en avant. Tout d'abord, sa puce Intel Core i5 de 12ème génération qui répond présente et assure un bon niveau de performances, tout comme son disque SSD NVMe qui offre de bonnes performances ! Quant à la RAM, disons que 16 Go, c'est le minimum recommandé pour utiliser un PC confortablement et pour le multitâches. Si cela ne suffit pas, vous pouvez toujours prévoir une mise à niveau de la RAM (comptez plus de 130 euros pour passer sur 64 Go), mais aussi du stockage, car vous pouvez ajouter un disque SATA au format 2.5 pouces et un second disque SSD NVMe.

NiPoGi cherche toujours à apporter un peu d'originalité au design de ses boitiers, et c'est le cas avec le CK10. J'ai apprécié la présence d'une connectique riche, avec notamment de nombreux ports USB dont 3 en façade (2 USB-A + 1 USB-C). Néanmoins, le boitier de ce mini PC est légèrement plus imposant que d'autres modèles (même s'il reste compact : 13,8 x 12,6 x 5 cm) et il y a également l'absence d'un lecteur de carte SD. C'est à préciser, car pour certains usages, cela peut avoir son importance. Par ailleurs, le port VGA présent sur le côté du boitier peut surprendre, mais c'est malgré tout un atout pour ce modèle. Ce petit détail plaira à ceux qui ont besoin d'une machine récente, compacte et équipée du VGA.

Maintenant, il est important de mettre un tarif en face de cette configuration et ce verdict. Découvrez notre offre spéciale ci-dessous.

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Veeam ajoute la prise en charge de l’hyperviseur Oracle Linux KVM

vendredi 19 avril 2024 à 14:49

La solution Veeam Data Platform prend désormais en charge la sauvegarde et la restauration des machines virtuelles exécutées sur l’hyperviseur Linux KVM d’Oracle. Ce type de nouveautés pourrait inciter certains clients attachés à quitter VMware ! Faisons le point sur cette annonce.

Avec la prise en charge de l'hyperviseur Oracle Linux KVM et des environnements managés avec oVirt, Veeam continue d'étoffer la liste de plateformes de virtualisation et de Cloud prises en charge par sa solution Veeam Data Platform. Parmi les nombreuses plateformes prises en charge, nous avons : VMware vSphere, VMware Cloud Director, VMware Cloud on AWS, VMware Cloud on AWS Outposts, VMware Cloud on Dell Microsoft Hyper-V, Microsoft Azure Stack HCI, Microsoft Azure VMware Solution, Amazon AWS Nutanix AHV, Red Hat Virtualization, Google Cloud, Google Cloud VMware Engine, Oracle Cloud VMware Solution et IBM Cloud, et désormais Oracle Linux KVM.

Même si Veeam n'en parle de pas dans son communiqué de presse, cette nouveauté pourrait être un signe de la prise en charge imminente d'autres hyperviseurs tels que Proxmox et XCP-ng, qui sont deux alternatives à VMware ESXi. En janvier dernier, Veeam avait d'ailleurs laissé entendre que des travaux était en cours pour ajouter la prise en charge de Proxmox.

La volonté de Veeam est d'offrir de la liberté aux entreprises afin de prendre en charge toutes les plateformes et les systèmes qu'ils utilisent. « Avec la prise en charge d’Oracle Linux Virtualization Manager, nous offrons aux entreprises une liberté de choix sans équivalent sur le marché de la virtualisation en leur permettant notamment de sélectionner et de migrer vers les plateformes qui répondent le mieux à leurs besoins, tout en maintenant une gestion, une sécurité et une protection transparente des données. »

Désormais, les utilisateurs d'Oracle Linux KVM peuvent sauvegarder leur environnement et bénéficier de la restauration complète ou granulaire de leurs machines virtuelles, ainsi que la gestion sécurisée et conforme du cycle de vie des sauvegardes. L'occasion de rappeler la possibilité de créer des sauvegardes immuables pour lutter contre certaines menaces, dont les ransomwares.

Que pensez-vous de cette nouveauté ?

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