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Rédaction Web : l’importance des mots en gras

vendredi 11 décembre 2015 à 08:59

Rédiger pour le web, c’est aussi rédiger ses articles de manière à les optimiser pour le référencement naturel. Pour cela, de nombreux réflexes sont à prendre lors de la rédaction. Mettre des mots-clés en gras fait partie de ses réflexes importants et qui peuvent faire la différence. Le SEO et les mots en gras font bon ménage, c’est ce que nous allons voir dans cet article.

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Des mots en gras, pourquoi ?

Tout simplement parce qu’aujourd’hui les moteurs de recherche privilégient les mots-clés indiqués en gras. Une page qui contient un mot-clé en gras sera naturellement mieux positionnée qu’une page n’ayant pas ce mot-clé en gras.

La phrase précédente doit être suffisante pour vous convaincre de l’importance des mots-clés en gras. Bien sûr, il ne s’agit pas de mettre en gras tout un article, mais plutôt des mots-clés, expressions ou passages importants et significatifs du contenu que l’on trouve dans la page.

De quelle manière mettre le texte en gras ? HTML ? CSS ?

Comme le préconise le standard W3C, il est nécessaire d’utiliser la balise “<strong>” pour mettre du texte en gras, à la place de la balise “<b>” qui est moins appréciée.

Par ailleurs, ne passait pas par une feuille de style CSS puisque les robots des moteurs de recherche ne prennent pas en compte les feuilles de style CSS. Priorisez donc le codage en dur dans le code de la page, bien que la fonction première du CSS étant justement de centraliser les effets de style dans un document à part.

Et vous, quel texte mettez-vous en gras dans vos articles ?

Test de l’Elephone M2

jeudi 10 décembre 2015 à 10:30

I. Présentation

Si vous suivez nos tests, vous noterez que c’est le troisième smartphone de chez Elephone que nous avons en test, après avoir testé l’Elephone P7000 et plus récemment l’Elephone Trunk. Aujourd’hui, c’est l’Elephone M2 qui est passé dans mes mains et qui fait l’objet de cet article.

Lancé en octobre 2015, l’Elephone M2 intègre la gamme professionnelle de chez Elephone.

Voici tout d’abord les spécifications de l’Elephone M2 :

– Écran : 5.5 pouces et Full HD – 400 ppi

– Processeur : MTK6753 cadencé à 1,3GHz, 8 cœurs – 64 bits

– Puce graphique : Mali 720-MP3 – 450MHz

– RAM : 3 Go

– Stockage : 32 Go extensibles par microSD jusqu’à 128 Go

– Appareils photo: 13 mégapixels à l’arrière (capteur Sony) et 5 mégapixels à l’avant

– Système d’exploitation : Interface Elephone (ELE UI) basée sur Android 5.1

– Dual SIM (compatible GSM 850/900/1800MHz, WCDMA 900/2100MHz, FDD-LTE B3/B7/B20)

– Bluetooth 4.0

– Wi-Fi : 802.11b/g/n (2.4 GHz)

– NFC : Non

– Batterie :  2600 mAh

– Poids : 165 grammes (avec batterie)

Ce smartphone, que l’on pourrait qualifier de phablette compte tenu de la taille de son écran propose une configuration intéressante sur le papier, proche de celle de l’Elephone P7000, mais avec quelques atouts supplémentaires.

II. Package et design

Avant de s’attaquer à l’apparence du smartphone, on trouve dans la boite : des films protecteurs d’écran (en plus de celui déjà positionné), le chargeur et son câble USB, une notice et un outil permettant de faire sortir le tiroir pour les cartes SIM (comme sur le Nexus 5).

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Ce smartphone rectangulaire aux bords arrondis intègre une coque unibody qui par conséquent ne peut pas être retirée (donc batterie non amovible). Ce tiroir permet d’intégrer deux cartes SIM ainsi qu’une carte microSD tout de même !

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Au niveau design, l’écran prend bien toute la largeur de l’appareil ce qui rend les bords fins (dommage que l’image ne soit pas aussi large…). Je vous laisse consulter la galerie ci-dessous :


Malheureusement, il y a un souci de finition sur le modèle que j’ai reçu puisque le bouton “home” n’est pas tout à fait droit.

Il est dommage aussi que l’image de l’écran n’utilise pas toute la place disponible, il y a une bande noire tout autour de l’écran qui fait perdre quelques millimètres de surface. Dommage.

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Ce modèle est disponible en couleur or, gris foncé ou blanc, personnellement je ne trouve pas la version Or forcément jolie (surement à cause des bandes noires au dos) alors que les deux autres versions sont plutôt belles. Jugez par vous-même :

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III. Android Lollipop++

On se retrouve sur l’Elephone M2 en compagnie d’Android Lollipop (5.1) avec quelques fonctionnalités supplémentaires :

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Les fonctionnalités supplémentaires ajoutées par Elephone à ce modèle M2 montrent la volonté d’apporter une couche de sécurité supplémentaire, primordiale dans le monde professionnel. Mise à part la fonction HotKnot dont je doute de l’utilité, les autres fonctionnalités sont appréciables. De plus, de base il y a peu d’applications préinstallées, un bon point également.

IV. Les performances

Le score AnTuTu de ce modèle est de 32 728, soit environ 10 000 points de moins que l’Elephone P7000 et 8 000 points de plus que l’Elephone Trunk.

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Pour voir un peu dans la pratique, je suis allais faire un tour sur le Play Store et j’ai téléchargé trois jeux qui sont dans le Top : Rayman Adventures, Subway Surf et Need For Speed. Après 30 minutes de jeu avec ces 3 différentes apps, voici ce qui en ressort : le rendu de l’image est bien, on profite bien des graphismes HD de Rayman, alors que pendant le jeu mis à part 2 ou 3 lags légers, le smartphone réagit bien et ne chauffe que légèrement.

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Globalement, l’appareil réagit bien aux différentes sollicitations, c’est plutôt la batterie qui souffre lorsque l’on sollicite l’appareil avec des applications gourmandes. D’une part parce que les composants sont mis à contribution, mais aussi parce que l’écran de 5,5″ Full HD est allumé, alors forcément cela demande de l’énergie.

V. Photos et audio

Le capteur Sony de 13 mégapixels dont est équipé l’Elephone M2 est capable de prendre de belles photos, avec un autofocus assez bien réactif, mais en difficulté (comme beaucoup) lorsque l’on est près de la cible.

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L’application photo intègre un mode “photo en direct” qui permet de faire des photos “vivantes” sous la forme de micro-films de 6 secondes. Un second mode multi-angles permet de prendre une photo sous différent angle d’un objet, ensuite on peut à l’aide d’un curseur voir la photo sous un angle différent comme si l’on faisait une rotation autour de l’objet.

Il y a d’autres fonctions comme l’anti-tremblement, le cliché sourire (photo automatique quand détection d’un sourire), un mode capture continue (rafale) jusqu’à 99 photos à la suite, etc.

Enfin concernant l’audio, il y a une très bonne puissance en sortie par contre le son arrive à saturation dès que l’on met un peu trop fort, et le son manque de grave. L’audio est correct, mais attention au volume.

VI. Conclusion

L’Elephone M2 est un bon produit, au même titre que les autres que j’ai pu tester chez ce constructeur, voici en tout cas ce que je retiendrais :

award_itconnect_bronze_lightAvantages : le lecteur d’empreintes, les fonctions de sécurité ajoutées à Android, le tiroir 3 en 1, le design (plus ou moins joli selon la couleur), l’affichage de qualité

Inconvénients : La finition n’est pas parfaite (cf le bouton), batterie non amovible, l’absence d’un kit mains libres (utile en monde professionnel), l’autonomie perfectible

Un dernier mot sur le prix, ce smartphone que l’on peut qualifier de phablette est proposé aux alentours de 160€ sur internet, très raisonnable pour la configuration de l’Elephone M2 et moins cher que l’Elephone P7000.

Retrouvez ce modèle et toute la gamme Elephone sur le site Elephone

ViewDNS : LA boite à outils pour le DNS

mercredi 9 décembre 2015 à 14:00

Lorsqu’il s’agit de débugger un nom de domaine, de connaître sa résolution ou encore de savoir si son site web est joignable, nous avons tous nos petits outils qui traînent à droite et à gauche.

Et bien c’est terminé ! Aujourd’hui je vous présente ViewDNS, une boite à outils utilisable 100% en ligne qui regroupe les outils indispensables et d’autres plus exotiques pour tout diagnostic sur un problème DNS/Web, voici la liste complète des outils en question  :

Pour décrire le rôle de quelques-uns d’entre eux :

Voici par exemple l’historique IP du domaine “neoflow.fr”, ancêtre d’IT-Connect !

dnsview-01

Voici par exemple le résultat avec IT-Connect.fr :

dnsview-02

Visiblement, it-connect a un problème du côté de Manchester 😉

En plus de ces outils très utiles est pas forcément facile à trouver, on retrouve des outils plus standards comme les IP / WhoIs / DNS Lookup ou autre Ping/Traceroute. Je vous laisse vous amuser avec cela, ça se passe par ici : http://viewdns.info/

Xiaomi Redmi Note 3 : Toujours plus à un prix toujours plus bas

mardi 8 décembre 2015 à 15:47

Xiaomi annonce le Redmi Note 3, “trois” comme le nombre de mois qui s’est écoulé depuis la sortie du Redmi Note 2, qui au passage s’est vendu à 6 millions d’unités en 100 jours.

redmi3

Fort de son succès, Xiaomi ne compte pas s’arrêter en si bon chemin et propose une configuration évoluée du Redmi Note 2. Principalement, le Redmi Note 3 sera plus endurant grâce à la batterie de 4 000 mAh qu’il contient (30% de capacité en plus), et il intègre également un lecteur d’empreintes.

Voici quelques spécifications du Redmi Note 3 qui se déclinera en deux versions différentes :

– Écran : 5,5 pouces – Dalle IPS Full HD
– Processeur : MediaTek Helio X10 (8 coeurs – 2,2 GHz) – ARM Cortex A53
– GPU : PowerVR G6200
– RAM et stockage “Type 1” : 2 Go de RAM + 16 Go de stockage
– RAM et stockage “Type 2” : 3 Go de RAM + 32 Go de stockage
– Capteurs photo : 13 mégapixels à l’arrière et 5 mégapixels à l’avant (comme le Redmi Note 2)
– Android 5.1 avec la surcouche MIUI 7

Pour les prix, Gearbest propose actuellement un prix intéressant :

Xiaomi Redmi Note 3 “Version 2 Go + 16 Go” : 169,89$

Xiaomi Redmi Note 3 “Version 3 Go + 32 Go” : 199,89$ au lieu de 209,79$ avec le code “32GBNOTE3” (seulement sur le noir et l’argent)

Avec Windows Server 2016, les licences ça va changer !

mardi 8 décembre 2015 à 15:09

Microsoft a mis à jour son modèle de licensing pour Windows Server, il prendra effet avec la sortie de Windows Server 2016, c’est-à-dire après mi-2016.

Avec Windows Server 2012 et ses deux principales éditions, Standard et Datacenter, les fonctionnalités étaient identiques, la différence était au niveau des droits de virtualisation accordés dans chaque cas. Pour l’édition Standard, il y avait l’autorisation pour deux VMs (en plus de l’hôte physique), alors que pour l’édition Datacenter c’est illimité.

Une licence était également valable pour deux sockets processeurs, il fallait donc une licence Windows Server pour chaque paire de sockets.

Avec Windows Server 2016, les choses vont évoluer et se compliquer.

En effet, les éditions Standard et Datacenter seront très différentes, l’édition Datacenter inclura par exemple des fonctionnalités de réplication du stockage, une nouvelle couche réseau avec des options de virtualisation, et un système de protection des VMs pour isoler le contenu d’une VM par rapport à l’administrateur du système d’exploitation hôte. L’édition Standard n’aura pas ces fonctionnalités.

Le modèle de licensing évolue vers le mode “core” c’est-à-dire que la licence ne fonctionnera plus au nombre de sockets, mais au nombre de coeurs (core) du processeur.  Le prix d’un pack 2-coeurs correspondra à 1/8 du prix d’une licence 2-socket pour Windows Server 2012.

Pour les configurations basiques il n’y aura pas de changement conséquent au niveau du prix, cependant, pour les configurations serveurs musclées avec 10 coeurs sur 2 voir 4 processeurs, le coût pourrait augmenter de 25% par rapport à Windows Server 2012.

licensing-ws-2016
Voici le document de Microsoft à propos de ces changements : Licensing WS 2016

Source