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Test du QNAP TS-251A

mercredi 12 octobre 2016 à 09:20

I. Présentation

Je vous propose aujourd’hui mon test du NAS du QNAP TS-251A, j’avais déjà réalisé le test d’un NAS QNAP qui était une version professionnelle. Il est donc intéressant de constater la différence avec une version plus familiale/PME.

Concernant les spécifications techniques de ce QNAP TS-251A :

Une configuration plutôt robuste pour un NAS à positionner chez soit donc. A noter qu’il sera également suffisant pour des PME, afin d’effectuer du partage de fichier ou des sauvegardes, mais aussi pour héberger des services web et réseau.

Je note également une connectivité très intéressante, HDMI pour la lecture multimédia sur TV, 2 ports réseau Gigabit, full USB 3.0 pour une rapidité des transferts.

II. Déballage et design

Après déballage, on retrouve les éléments suivants :

Le design de la boite plutôt agréable, en majorité blanc, ce qui s’intègre bien dans un espace de travail ou un salon, voyez plutôt :

qnap-ts251a-02qnap-ts251a-01

qnap-ts251a-05qnap-ts251a-03

Voici notamment une vue des façades avant et arrière, avec leurs connectiques respectives également une vue sur la télécommande dont je vous parlerai un peu plus bas :

qnap-ts251a-06qnap-ts251a-14

III. Montage et vue interne

Le montage du NAS est super simple, un petit coup de tournevis et le tour est joué. On commence par sortir les socles disque de leur racks, ce peut être fait en soulevant le cache en plastique blanc comme sur l’image suivante :

qnap-ts251a-04qnap-ts251a-07

 

On se retrouve donc avec les deux racks dans lesquels on va positionner nos disques. On pourra venir y visser nos disques dur avant de remettre les racks de disque dans le NAS :

qnap-ts251a-10
Le montage des disques est rapide et évite d’avoir à ouvrir le boîtier ou à visualiser les éléments internes. Ce qui évite les dégâts malencontreux :

qnap-ts251a-11qnap-ts251a-08

Il serait au passage intéressant de pouvoir monter les disques sans outillage spécifique, ce qui accélérerait encore la procédure de montage.

Au passage, nous voyons sur la photo de droite le bouton « Backup » qui permet d’exécuter une action côté NAS (souvent, l’envoi de données sur le portUSB 3.0 en dessous). Également le port micro USB 3.0 pour l’USB QuickAccess et enfin le port SD, la présence de ce dernier n’est en effet pas commune sur la façade d’un NAS. Dans l’idée, il n’y a qu’à y brancher la carte SD de son appareil photo pour ensuite visualiser les photos sur la télé ! 🙂

Les branchements minimaux pour débuter l’installation sont bien entendu le réseau (câble RJ45) et l’alimentation :

qnap-ts251a-13

IV. Installation système d’exploitation

A. Initialisation de QTS

Quelques mots sur l’installation du système d’exploitation, nommé QTS. Il existe deux modes d’installation, soit en utilisant le Cloud QNAP avec la Cloud Key présente sur notre NAS, soit via le logiciel Qfinder qui scanne le réseau afin d’y trouver notre NAS. Dans les deux cas, l’installation est simple et rapide (un quart d’heure tout au plus, initialisation des disques incluse).

Voici l’étiquette, présente sur le NAS, permettant l’installation via le Cloud QNAP. Il faut pour cela se rendre sur https://start.qnap.com avec la Cloud Key, floutée sur l’image suivante :

qnap-ts251a-09

Je procède à l’installation via Qfinder, un petit logiciel qui va automatiquement trouver le QNAP dans le réseau local et me proposer de le configurer. L’installation présentée sur le QNAP précédente est la même que pour celui-ci, pas de dépaysement donc 🙂

L’installation permet de configurer les paramètres réseaux et l’initialisation des disques. je vous conseille vivement de laisser le processus de mise à jour s’exécuter une fois l’installation terminée. Cela vous permettra d’avoir les dernières fonctionnalités de QTS, mais également les mises à jour de sécurité.

B. Fonctionnalités et applications

L’OS est plutôt agréable et regorge de fonctionnalité, un grand nombre d’applications sont disponibles via l’App Center :

qnap-ts251a-interface-001qnap-ts251a-interface-002

 

qnap-ts251a-interface-003

Je suis particulièrement intéressé par le service Owncloud qui permet notamment de ne plus avoir à utiliser gDrive, en plus des services natifs de partage fichier et gestion utilisateur/réseau :

qnap-ts251a-interface-004qnap-ts251a-interface-005

Les services médias, auxquels ont peut profiter via l’HDMI sont également très appréciables, voici quelques images de Kodi notamment :

kodi-qts

C. Les petits plus : télécommande et USB QuickAccess

Enfin, j’ajoute que le QNAP TS-251A est fourni avec une télécommande, idéale pour gérer Kodi ou le media Player par défaut de QTS. Cela évite notamment de devoir aller chercher un clavier/souris à chaque fois que l’on veut profiter de son NAS en HDMI.

Concernant le port Micro USB 3 en façade, il permet d’effectuer un accès direct aux données, sans passer par le réseau et avec un débit très intéressant. En effet, on peut brancher un cable USB 3.0 – micro USB directement entre le NAS et un poste de travail. Après avoir réalisé quelques tests, je dois dire que cette fonctionnalité est particulièrement intéressante :

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Voici la description présente dans l’interface :

« USB QuickAccess permet aux utilisateurs d’accéder aux fichiers du NAS à l’aide d’un câble USB et du protocole Common Internet File System (CIFS). Selon les besoins de sécurité et pour plus de commodité, les administrateurs peuvent faire leur choix entre trois modes. »

Les administrateurs peuvent choisir les utilisateurs/groupes autorisés à employer USB QuickAccess, et les utilisateurs/groupes devront entrer leur nom d’utilisateur et leur mot de passe avant d’accéder aux fichiers et dossiers. Grâce à cette option, seuls les utilisateurs/groupes choisis du NAS (ou utilisateurs de domaine) peuvent employer USB QuickAccess.
Également, je note qu’il existe plusieurs outils permettant de gérer et d’accéder aux services du NAS depuis un mobile, plus d’informations sur ce lien : https://www.qnap.com/fr-fr/cell_app/
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VI. Conclusion

Je suis pour ma part satisfait de ce que le QNAP TS-251A peut fournir, il rempli largement mes besoins et mes demandes. L’OS QTS est une véritable mine d’or côté application, on peut y trouver un large éventail de services qui s’installeront rapidement et sans avoir à y effectuer de configuration spécifique avant qu’ils ne soient fonctionnels.

it-connect-amazon

La partie déballage, installation et initialisation est bien rodée, ainsi un utilisateur non technique pourra largement s’en sortir sans aide particulière.

J’ajoute un point positif également pour l’USB QuickAccess qui permet un accès direct aux données sans passer par le réseau, idéal pour réaliser des backups ou le transfert de donnée lors le réseau n’est pas calibré pour par exemple. Il est alors appréciable de profiter pleinement de l’USB 3.0 !

Personnaliser votre bash avec bashrcgenerator !

lundi 10 octobre 2016 à 09:20

I. Présentation

Il y a maintenant quelques temps, je vous présentais la manière dont il est possible de personnaliser son shell sous Linux. La procédure exposée était une procédure manuelle et il pouvait être difficile d’arriver au résultat souhaité. C’est pour nous faciliter la tâche qu’a été créer le site web http://bashrcgenerator.com/ !

Ce site web permet en effet de générer notre bashrc personnalisé très facilement et de façon visuelle et interactive. Une chaîne de caractère est ensuite générée et il n’y a qu’à copier coller au bon endroit pour valider la configuration faite.

II. Utilisation de bashrcgenerator

Voici à quoi ressemble l’interface web :
bashrcgenerator-01

On peut donc, grâce au tableau « Available elements » piocher les éléments que nous souhaitons voir dans notre bash et les glisser dans la section « Your Selection » :

bashrcgenerator-02

Il est ensuite possible, pour chaque élément, de modifier sa place et sa couleur :

bashrcgenerator-03

On pourra ensuite trouver le rendu dans la partie « Preview » :

bashrcgenerator-04

Maintenant que votre PS1 (variable d’environnement définissant la structure du bash) est générée, il faut se rendre dans votre fichier .bashrc avec un éditeur de texte :

vim ~/.bashrc

Commentez les lignes commençant par « PS1 » et remplacez les par la valeur proposée par le site web bashrcgenerator. Pensez bien à ne prendre que ce qu’il y à partir de « PS1″dans la chaîne proposée. Voici un exemple :

bashrcgenerator-063Voici le mien :

bashrcgenerator-05

Mais les possibilités sont infinies et beaucoup plus facile à atteindre grâce à ce petit site très utile !

Test Xiaomi Redmi 3S

samedi 8 octobre 2016 à 17:59

I. Présentation

Ce test du Xiaomi Redmi 3S, sortie en juin 2016, nous donne l’occasion de découvrir le modèle qui succède au Xiaomi Redmi 3.

Sur le papier, le Xiaomi Redmi 3S ça donne ça :

– Écran : 5 pouces, 720p
– Processeur : Qualcomm Snapdragon 430 – Octa Core – 1.4GHz
– GPU : Adreno 505
– RAM : 3 Go
– Stockage : 32 Go en interne extensible jusqu’à 128 Go par microSD
– Caméra arrière : 13 mégapixels
– Caméra avant : 5 mégapixels
– Système d’exploitation : Android 6.0
– Dual-SIM (une microSIM et une NanoSIM)
– Lecteur d’empreintes
– Batterie : 4 100 mAh
– Poids : 144 grammes
– Prix : 117€
– Réseaux compatibles :
2G : GSM 900/1800/1900MHz
3G : WCDMA 850/900/1900/2100MHz CDMA 2000 BC0
4G : FDD-LTE 1800/2100/2600MHz

On va sans plus attendre regarde ce que nous propose Xiaomi comme package et à l’intérieur de la boite, car c’est tout de même l’essentiel.

Pour information, si vous souhaitez comparer : Xiaomi Redmi 3S VS Xiaomi Redmi 3 VS Xiaomi Redmi 3 Pro

xiaomi-redmi-3s-1

II. Design, package et affichage

Le package proposé est sympa mais ce qui est dommage c’est que ce soit écrit en chinois. Voici la liste de ce que l’on trouve dans la boite :

Je regrette que ce ne soit pas rédigé à minima en anglais, mais avec le temps espérons que ça vienne avec Xiaomi, lorsque la marque continuera son expansion à l’international. Ce qui nous donne l’ensemble suivant :

xiaomi-redmi-3s-2

Quelques photos de ce Redmi 3S prises par mes soins :


Je regrette les traces laissées par les différents autocollants situés à l’arrière du smartphone, voyez par vous même :

xiaomi-redmi-3s-12

Rassurez-vous, ces traces s’enlèvent en frottant un peu et en nettoyant ensuite… Mais c’est toujours ennuyeux.

L’écran du Redmi 3S est de bonne qualité, l’image est bien nette et dynamique aux niveaux des couleurs, la luminosité suffisante, la résolution de 720p est en adéquation avec la taille de l’écran (5 pouces).

III. Performances et fonctionnalités

A. Performances

Le Redmi 3S obtient un score de 43 347 sur l’appli de benchmark AnTuTu, ce qui lui permet d’obtenir la 30ème place du classement, avec un score équivalent au Meizu M3. Voici le détail :

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J’en ai profité pour tester quelques jeux sur le Redmi 3S afin de voir sa réactivité. J’ai pris deux jeux mis en avant sur le Play Store… Il s’agit de « NBA 2K17 » et de « Lara Croft : Relic Run ». Le premier s’exécute sans aucune difficulté, sans ralentissement au niveau des animations, notamment avec le système de distribution des cartes où il y a des animations avec différents effets. Un point positif pour le Redmi 3S. Par contre, pour le second jeu, il y a eu quelques ralentissements sur le début de certaines parties, très léger, mais à notifier tout de même. Ceci n’empêche en rien de jouer sereinement.

Globalement, le Xiaomi Redmi 3S est réactif et largement suffisant pour faire tourner la plupart des applications. Bien qu’il ne soit pas surpuissant, il peut vous permettre de jouer et de faire du multimédia.

B. Surcouche MIUI 7

Comme d’habitude avec Xiaomi, Android est accompagné d’une surcouche maison nommée « MIUI », dans sa version 7 ici.

xiaomi-redmi-3s-19

Le design de l’interface peut évoluer grâce au gestionnaire de thèmes intégrés au smartphone, ce qui vous permet d’adapter l’interface à vos gouts. Voici un exemple, avec à gauche le thème d’origine et à droite un thème que l’on peut retrouver sur le magasin de thèmes. Ces thèmes sont gratuits.

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Voici à quoi ressemble le panneau d’accès rapide, que l’on peut dérouler d’un glissement de doigt de haut en bas. Il intègre les fonctions essentielles et utilisées la plupart du temps.

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Concernant le lecteur d’empreintes, il peut être configuré facilement par un assistant intégré à Android. Le lecteur d’empreinte en lui-même réagit bien, c’est vraiment une fonctionnalité pratique et qui en plus apporte une couche de sécurité. Par contre, j’aurais préféré le voir placé sur la face avant tel un bouton « home », car je pense que c’est plus pratique.

J’ai remarqué que vous pouvez déverrouiller l’appareil en plaçant votre doigt sur le lecteur d’empreinte, sans même au préalable allumer l’écran pour « réveiller » l’appareil. Le fait de placer le doigt, allume et déverrouille directement l’écran.

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De la même manière que l’on peut retrouver sur certains smartphones, notamment chez Samsung, on retrouve ici la possibilité d’adapter la mise en page de l’écran pour les personnes qui auraient de petites mains. Xiaomi a travaillé sur l’accessibilité avec cette version de MIUI 7.

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Le verrouillage d’application est également intégré au sein d’une fonctionnalité « App Lock » pour protéger l’accès à certaines applications.

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La surcouche MIUI 7 intégrée par Xiaomi est agréable à utiliser et apporte son lot de fonctionnalités supplémentaires et utiles. Malheureusement, certaines parties, même lorsque l’appareil est en français, ne sont pas encore traduites (anglais).

IV. Caméra

L’application appareil photo intégrée permet d’appliquer des filtres sur l’image, de configurer les paramètres pour la prise de vue comme l’activation ou non du HDR. Il est à noter aussi qu’il est possible de prendre des vidéos en Full HD.

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Les photos sont de bonnes qualités, je trouve que les couleurs sont bien équilibrées. L’autofocus fonctionne bien aussi, car la stabilisation s’effectue très très rapidement.

Ci-dessous deux clichés que j’ai pris avec le Xiaomi Redmi 3S (images compressées pour la publication).

xiaomi-redmi-3s-15 xiaomi-redmi-3s-16

 

V. Conclusion

Il est l’heure de conclure sur ce Xiaomi Redmi 3S, qui est vraiment un bon smartphone avec un rapport qualité/prix très intéressant, ce qui n’est pas une surprise avec Xiaomi. Le site Gearbest propose le Xiaomi Redmi 3S à 110€, ce qui n’est pas excessif pour un smartphone avec cette configuration, notamment 3 Go de RAM et les 32 Go de stockage ! Pour ceux qui sont intéressés : Xiaomi Redmi 3S

Pour lui donner une note sur 10, je lui donne un 7,5/10. Et vous ?

Points positifs

Points négatifs

 

Windows Server 2016 officiellement disponible !

mercredi 5 octobre 2016 à 11:26

Ça y est, Windows Server 2016 est disponible en version finale ! Le dernier né de chez Microsoft arrive avec son lot de nouveautés comme d’habitude.

Que ce soit pour l’infrastructure, la sécurité, le stockage, l’administration ou encore le côté applicatif, Windows Server 2016 propose des fonctionnalités très intéressantes.

On pourrait citer rapidement : la version ultra-légère de Windows Server 2016 appelée « Nano Server », les containers Hyper-V, les VM sécurisées, Storage Replica, PowerShell 5.0, Soft Restart, etc…

Voici différentes ressources intéressantes :

On pourra ajouter à la liste les tutoriels sur IT-Connect d’ici quelques temps 😉

Office 365 : Désactiver la complexité des mots de passe

mardi 4 octobre 2016 à 09:30

I. Présentation

La politique de mots de passe par défaut sur Office 365 est relativement strict au niveau des prérequis en terme de complexité, ce qui n’est en soi pas un mal, mais peut poser des soucis si vous souhaitez avoir votre propre politique.

Le mot de passe doit faire au minimum 8 caractères et contenir au moins 3 de ces 4 types de caractères : minuscules, majuscules, nombres et caractères spéciaux.

Le centre d’administration Office 365 ne propose pas pour le moment la possibilité de désactiver la complexité des mots de passe, voire même de la modifier, il faut donc passer par PowerShell.

Note : L’expiration du mot de passe est le seul paramètre lié aux mots de passe qui peut-être configuré depuis le centre d’administration Office 365, mais aussi par le commandlet « Set-MsolPasswordPolicy« .

Dans ce tutoriel, nous allons voir comment désactiver la complexité des mots de passe pour tous les utilisateurs ou pour un seul utilisateur.

II. Désactiver la complexité pour tous les utilisateurs

Si vous souhaitez désactiver la complexité des mots de passe pour tous les utilisateurs que vous gérez dans Office 365, on va s’appuyer sur deux commandlets : « Get-MsolUser » qui permet de lister les utilisateurs et « Set-MsolUser » qui permet d’éditer les utilisateurs.

D’ailleurs, ce second commandlet intègre un paramètre qui nous intéresse et qui se nomme « StrongPasswordRequired » que l’on peut traduire part « Mot de passe fort requis ». C’est donc par le biais de ce paramètre que l’on passera à false, que la complexité va pouvoir être désactivée.

Voici la commande :

Get-MsolUser | Set-MsolUser -StrongPasswordRequired $false

Avant de pouvoir exécuter cette commande, je vous rappelle que vous devez initier une connexion à Office 365 dans votre script, notamment pour importer des commandlets et les paramètres de session.

III. Désactiver la complexité des mots de passe pour un utilisateur

Si l’on veut désactiver la complexité pour un seul utilisateur, on va effectuer une sélection directement dans le commandlet « Get-MsolUser » via le paramètre « UserPrincipalName« . Ce paramètre prend pour valeur l’identifiant unique de l’utilisateur qui est son adresse e-mail dans le cadre d’Office 365.

Voici la commande :

Get-MsolUser -UserPrincipalName "utilisateur@domain.fr" | Set-MsolUser -StrongPasswordRequired $false

Si vous avez une liste d’utilisateurs complète à modifier, il y a bien sûr différentes façons de procéder (CSV source, tableau d’adresses e-mail, etc…).

Comme je suis sympa, je vous fournit un exemple qui permet de stocker dans une variable une liste d’adresses e-mail pour cibler des utilisateurs :

$TargetUsers = @("utilisateur-1@domain.fr","utilisateur-2@domain.fr","utilisateur-3@domain.fr")

$TargetUsers | ForEach-Object{
    Get-MsolUser -UserPrincipalName $_ | Set-MsolUser -StrongPasswordRequired $false
}

 

IV. La complexité est-elle active ou inactive sur les utilisateurs ?

Pour savoir si la complexité est activée ou non sur vos utilisateurs, on peut s’appuyer sur le commandlet « Get-MsolUser » qui permet d’obtenir de nombreuses informations sur les utilisateurs Office 365.

On sélectionnera deux propriétés : UserPrincipalName et StrongPasswordRequired qui correspondent respectivement au login de l’utilisateur (adresse e-mail) et à l’état de la complexité sur ce compte. Voici la commande :

Get-MsolUser | Format-Table -auto UserPrincipalName,StrongPasswordRequired

Un tableau va s’afficher :

getmsoluser1

Voilà 🙂 Désormais vous êtes capable de gérer la complexité sur vos utilisateurs Office 365, que ce soit pour l’activer ou la désactiver, ou tout simplement lister pour avoir un état de vos comptes.