Fumez n’est pas bon pour la santé, ce n’est pas nouveau, mais si vous utilisez une cigarette électronique sachez que c’est également l’état de santé de votre ordinateur qui est en danger !

En effet, les e-cigarettes fabriqués en Chine contiendraient un malware qui s’active lorsque l’on connecte sa e-cigarette à son ordinateur, dans le but de la recharger.

Après investigation, il s’avère que les chargeurs infectés auraient été achetés sur eBay pour 5 dollars. Ce malware codé en dur dans le chargeur infecte les machines malgré la présence d’un antivirus à jour et d’un programme anti-malware.

Pierluigi Paganini, un expert en sécurité de chez Bit4Id n’est pas étonné par cette pratique, pour lui “les hackers sont capables d’exploiter tous les périphériques électroniques pour distribuer un malware sur un réseau mal protégé“.

Cette idée de malware se rapproche du fameux “BadUSB” dont on avait entendu parler il y a quelques semaines. Par ailleurs, Rik Ferguson, un consultant en sécurité de chez  Trend Micro explique que les entreprises pourraient envisager de désactiver les ports USB, ou au moins d’utiliser un système de gestion des périphériques qui permettra d’accepter uniquement les périphériques autorisés.

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I. Présentation

Lors de la migration de boites mails ou de manipulation sur les boites mails d’un serveur mail Exchange, il est courant d’avoir besoin d’importer le contenu d’un fichier PST (récupéré sur une ancienne boite mail par exemple) dans un nouveau compte mail. Nous allons, dans ce tutoriel, voir comment effectuer cette action en ligne de commande via les cmdlets PowerShell Exchange.

II. Utilisation des commandes Exchange Powershell

Il faut tout d’abord commencer par se rendre sur son serveur Exchange pour y lancer le module Powershell. On peut également, si les configurations le permettent, y accéder à distance. L’important étant d’avoir accès aux cmdlets spécifiques à Exchange. Une fois que l’outil Powershell pour Exchange est ouvert ou alors que le module Exchange a été chargé dans Powershell, on peut commencer l’importation. En prérequis, il faut :

• Une boite mail déjà crée sur Exchange et la connaissance de son alias
• Un fichier PST facilement accessible via un chemin UNC (\\localhost\c$\… pour accéder en local à un chemin UNC)

Une fois que nous avons ces éléments, il nous suffit d’exécuter la commande suivante, par exemple pour importer le fichier C:\pst\florian.pst dans le compte flo.it-connect  :

[PS] C:\>New-MailboxImportRequest -FilePath \\localhost\c$\pst\florian.pst -Mailbox flo.it-connect

On peut aussi très bien importer le fichier PST dans un sous dossier de la boite mail de flo.it-connect via l’option “-TargetRootFloder”  :

[PS] C:\>New-MailboxImportRequest -FilePath \\localhost\c$\pst\florian.pst -Mailbox flo.it-connect -TargetRootFolder "Backup mail"

Dès lors, la demande d’importation va être mise en file d’attente et sera traitée par Exchange, il est tout à fait possible d’effectuer plusieurs dizaines de demandes d’importation en même temps, c’est le serveur Exchange lui-même qui gérera sa file d’attente en suite pour éviter d’être surchargé. Pour voir le contenu de la file d’attente, il faut utiliser la commande suivante :

[PS] C:\> Get-MailboxImportRequest

Voici le résultat que nous pourrons avoir :

Les demandes en “Completed” sont terminées, les commandes “In Progress” sont en cours de traitement. Pour avoir plus d’information sur l’avancement des demandes en statuts “In Progress”, il faut utiliser la commande suivante :

[PS] C:\> Get-MailboxImportRequest | Get-MailboxImportRequestStatistics

Apparait alors le pourcentage d’avancement des importations.

I. Présentation

Veeam Task Manager for Hyper-V (Veeam Gestionnaire des tâches pour Hyper-V) est un utilitaire de monitoring pour un hôte Hyper-V et ses machines virtuelles.

L’objectif de cet outil gratuit est de proposer un gestionnaire des tâches qui permet de visualiser l’utilisation des ressources en temps réel, aussi bien pour l’hôte que pour les VMs qu’il contient.

Il se rapproche du gestionnaire des tâches natifs à Windows, et à mon sens il est plus pertinent que les informations fournies dans le gestionnaire Hyper-V.

Téléchargement : Veeam Task Manager for Hyper-V

II. Ce qu’il faut savoir

Avant de commencer, sachez que pour être installé sur un poste client, l’application requiert un des systèmes d’exploitation suivants : Windows 7, Windows 8, Windows 8.1, Windows Server 2012, Windows Server 2012 R2.

Si vous désirez installer directement l’application sur l’hôte Hyper-V, vous devez disposer de Windows Server 2012 ou de Windows Server 2012 R2.

Pour que l’application Veeam Task Manager for Hyper-V puisse collecter les données sur l’hôte Hyper-V, vous devez ouvrir le port TCP 445 dans votre firewall, du client vers l’hôte Hyper-V.

Avant de poursuivre, installez le package MSI de l’application. D’ailleurs, le logiciel peut être facilement installé sur une clé USB pour utilisation en mode portable.

III. Utilisation de Veeam Task Manager for Hyper-V

Ouvrez l’application et connectez-vous à votre hôte Hyper-V, sauf s’il s’agit d’une exécution en local sur l’hyperviseur la connexion sera automatique.

Vous obtiendrez alors le gestionnaire des tâches Veeam pour Hyper-V, sur la partie supérieure gauche se trouvent des informations liées à votre hôte (nom, processeur et RAM).

Le plus intéressant, c’est la section où l’on trouve l’hôte et le listing des machines virtuelles. Pour chaque élément, on peut visualiser en temps réel l’utilisation du CPU et l’utilisation de la mémoire.

Note : Les machines virtuelles qui ne sont pas démarrées ne sont pas visibles dans le gestionnaire.

Pour une machine virtuelle, le principe est le même :

Le seul paramètre auquel on a accès, c’est la fréquence des actualisations accessible dans le menu (Update Speed) : High (données collectées toutes les 3 secondes), Normal (données collectées toutes les 9 secondes), Low (données collectées toutes les 15 secondes).

Ce gestionnaire est plus agréable à utiliser que le gestionnaire Hyper-V, qui ne fournit pas ces informations sous forme de graphique. Dommage que l’application n’intègre pas de fonctions supplémentaires afin d’en faire un véritable gestionnaire de machines virtuelles.

En fait, en regardant de plus près la gamme de produits Veeam, on se rend compte que ce produit est une version light des applications Veeam One et Veeam Management Pack.

Que pensez-vous de cette application ? En connaissez-vous d’autres ?

Spécialisé dans les logiciels de sécurité, BitDefender va lancer le mois prochain une Box ayant pour objectif de protéger tous les appareils connectés au sein d’un foyer, sans s’arrêter aux PCs.

Le constat est simple : il faut multiplier les logiciels, notamment les anti-virus sur les différents types d’appareils (PCs, Mac, tablettes, smartphones, etc..), alors pourquoi ne pas utiliser un boitier capable de gérer l’ensemble de ces équipements ? C’est en tout cas ce que propose BitDefender avec cette Box.

En effet, elle viendra se connecter sur un port Ethernet de votre Box Internet afin d’être connecté à votre réseau local. Sachez que la Box BitDefender pourra également jouer le rôle de routeur autonome.

Grâce à cette connectivité, le boitier analysera les flux échangés avec les différents appareils connectés. La Box contenant une base de signatures de malwares, elle sera alors en mesure d’identifier la présence d’un logiciel malveillant. Si vous utilisez cette Box, vous n’aurez plus besoin d’installer (et de renouveler) votre anti-virus BitDefender puisqu’un utilitaire sera fournit pour permettre une interaction entre la Box BitDefender et vos équipements (notamment pour le déploiement de patchs de sécurité).

Enfin, sachez que cette Box sera commercialisée au États-Unis le mois prochain et vendue à 199 dollars, pour un abonnement d’un an. Chaque année, il sera nécessaire de renouveler l’abonnement à la Box (99 dollars) pour profiter d’une base de signatures à jour.

Reste à savoir quand est-ce que cette Box by BitDefender arrivera en France. Qu’en pensez-vous ?

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Synology a annoncé l’arrivée de 2 nouveaux NAS : DS1515+ et DS1815+ qui proposent respectivement 5 baies et 8 baies. Destinés au monde professionnel, ces NAS haut de gamme embarquent le dernier OS DSM 5.1 et proposent d’excellentes performances !

Synology met en avant les performances

En effet, ces deux nouveaux modèles sont performants il faut le dire. Les chiffres parlent d’eux-mêmes puisque vous obtiendrez 396.5 Mo/s en lecture et 450.77 Mo/s en écriture avec l’agrégation de lien pour le DS1515+. Pour le DS1815+ qui est le modèle 8 baies, vous obtiendrez jusqu’à 413.14 Mo/s en lecture et 451.44 Mo/s en écriture, là encore grâce à l’agrégation de liens.

Ces débits excellents sont largement supérieurs aux autres modèles grâce à l’agrégation de quatre liens Ethernet. Si l’on fait abstraction sur cet agrégat, comptez environ 110 Mo/s que ce soit en lecture ou en écriture, pour chacun de ces modèles.

Le Synology DS1515+

Équipé d’un processeur Intel Atom C2538, quatre cœurs et cadencé à 2.4GHz, il est épaulé par 2 Go de RAM, qu’il est possible d’étendre jusqu’à 6 Go.

Les disques durs bénéficient d’emplacements hot swap, accessibles directement en façade et prêt à accueillir 5 disques durs (2.5 ou 3.5 pouces). Le tout est ventilé par deux ventilateurs de 80 mm qui recouvrent une bonne partie de la façade arrière.

Au niveau des connectiques, on trouve également 4 ports USB 3.0, 2 ports eSATA, et pour la connectivité réseau 4 interfaces Gigabit.

Fiche produit

Son frère, le DS1815+

Le Synology DS1815+ est très proche du modèle DS1515+ à quelques différences près :

– Deux ventilateurs de 120 mm (au lieu de 80 mm)
– 8 baies (au lieu de 5 baies)

Autrement dit, même connectique, même processeur et même RAM.

Fiche produit

Déjà disponible à la vente !

Ces deux NAS sont disponibles à la vente, le DS1515+ est accessible à partir de 720€ tandis que pour le DS1815+ il faudra compter 882€.