Aujourd’hui, les réseaux sociaux sont devenus des outils incontournables dans le monde du marketing digital. Ils permettent de donner de la visibilité à votre entreprise et à vos produits tout en générant un trafic important. Partout dans le monde, les statistiques d'utilisation des réseaux sociaux révèlent un nombre très élevé d'utilisateurs actifs chaque jour.
Par conséquent, vendre sur les réseaux sociaux permet à vos clients d'accéder directement à vos produits sans avoir besoin de se rendre sur votre site. Comment vendre sur Instagram ? Comment créer sa boutique sur Facebook ? Autant de questions auxquelles nous répondrons dans cet article.
Vendre sur le réseau social Facebook : que faut-il faire ?
À ce jour, le réseau social Facebook est celui qui touche le plus de monde. Vous pouvez également interagir aisément avec votre communauté. Parallèlement à cela, vous avez l'outil Facebook Ads qui vous permet de diffuser des annonces publicitaires afin d'atteindre un public cible.
En effet, cet outil est une grosse opportunité pour mettre son produit en avant et atteindre une audience plus importante. Facebook Ads vous permet de cibler votre audience en fonction de la zone géographique, l'âge, la ville, la profession, les centres d'intérêt, etc.
Facebook met à votre disposition des outils tels que des pages de ventes optimisées via la publicité. Ce qui vous permet de faire apparaître vos publicités sur le fil d'actualités des internautes.
Un bouton Buy est intégré, permettant à vos clients d'acheter directement les produits de leur choix sans jamais quitter la plateforme.
L'interface comprend également une fonction Product Ads qui assure le défilement de plusieurs produits ou services en même temps. Vous pouvez donc créer des carrousels de publication organiques pour afficher vos meilleures offres.
Si l'un des internautes a visité votre site e-commerce sur zyro, la fonction retargeting lui envoie automatiquement une de vos annonces sur Facebook.
Il est même possible de créer une boutique directement sur Facebook à partir de laquelle, vous pourrez promouvoir vos produits, annuler ou rembourser les commandes.
En bref, le réseau social met à votre disposition autant de possibilités qui vous permettent d'organiser au mieux vos ventes. Vous pouvez également espionner la concurrence, et visualiser le taux de clic sur vos annonces et le nombre de visiteurs. De précieuses informations qui vous permettront d'optimiser votre taux de conversion.
Comment vendre sur Instagram ?
Le réseau social Instagram offre également la possibilité de vendre ses produits en ligne. Le but premier de ce réseau social est de connecter les passions. Vous pouvez tirer profit de cet état de choses afin de créer un lien fort avec votre marque. Différents outils sont à disposition pour vous permettre d'immerger vos prospects visuellement tout en les incitant à l'action.
Depuis 2018, les entreprises ont la possibilité de créer une nouvelle expérience d'achat grâce à l'identification des produits dans leurs publications organiques sur Instagram. Les grandes enseignes tout comme les petites n'hésitent pas à adopter la fonctionnalité Shopping pour entrer en contact avec leurs clients.
Avec Shopping sur Instagram, vous avez à disposition une vitrine permettant d'explorer les nouveautés des entreprises. Les internautes peuvent cliquer sur la publication de leur choix dans le fil d'actualité pour accéder au profil de l'entreprise en question.
Grâce à son processus d'achat simplifié, les clients et les vendeurs bénéficient d'un confort maximum dans l'utilisation de la plateforme.
Taggez les produits : comme vous le savez, Facebook et Instagram partagent le gestionnaire de publicité. Ainsi, pour afficher les produits sur Instagram, vous devez au préalable les uploader sur Facebook. Vous devrez également renseigner les prix, photos et liens de la fiche produit. Ensuite, il vous suffira de tagger vos produits à chaque fois que vous téléchargez une image.
Servez-vous d'un lien dans la story : cette option est disponible à condition d'avoir plus de 10 000 followers sur sur Instagram. Dans ce cas, vous pouvez inclure un lien direct vers votre site Web hébergé sur la plateforme Zyro ou vers une landing page.
Faites de la publicité dans la story : c'est la chose à faire si vous êtes loin d'avoir les 10 000 abonnés. Vous pouvez payer pour afficher votre produit dans les stories. Instagram affichera votre pub entre les stories des utilisateurs que vous aurez ciblés.
Mettez votre lien dans la bio : la bio c'est le seul emplacement dans lequel Instagram autorise un lien sortant. A vous de l'utiliser à bon escient.
Faites appel aux influenceurs : il est possible de payer un utilisateur disposant de plusieurs followers afin qu'il fasse la promotion de votre produit. Celui-ci prendra une photo avec le produit ou alors fera une publication avec vos tags dessus.
5 astuces pour vendre plus sur les réseaux sociaux
Comment vendre sur Instagram et exploser son chiffre d'affaires ? Voici 5 astuces pour vous.
Faire de la publicité : une stratégie de vente sur le social media sans investir en pub s'avère infructueuse. Particulièrement sur Facebook. Alors prévoyez un budget publicité minimum pour atteindre votre cible sur Facebook et Twitter.
Obtenir des recommandations de ses acheteurs : n'hésitez pas à récompenser chaque client qui accepte de recommander votre produit sur les réseaux sociaux. Vous pouvez par exemple offrir un coupon de réduction de 5 % sur leur prochain achat en contrepartie d'une recommandation.
Rediriger ses acheteurs vers des landing pages : Redirigez tous vos utilisateurs sur la page du produit où l'offre que vous publiez. Assurez-vous d'avoir une fiche produit bien rédigée pour ne pas perdre ce trafic généré.
Offrir des promotions exclusives : chacun de vos réseaux sociaux, Facebook, Instagram, Twitter ou encore Pinterest à ses propres utilisateurs. Certaines plateformes généreront plus de visiteurs que d'autres sur certains produits. Créez donc des offres personnalisées pour chaque plateforme.
Créer le sentiment d'urgence : avant de passer à l'achat, on a tendance à trop réfléchir, à comparer les offres les unes aux autres. Pour accélérer la prise de décision, n'hésitez pas à créer le sentiment d'urgence. Pour ce faire, rien de tel que de publier une offre à durée limitée dans le temps. Vous pouvez offrir une promo pour les 100 premières personnes qui commentent une photo en moins de 10 minutes sur Instagram. Vous créerez ainsi un engagement plus rapide et moins réfléchi.
Ça y est vous avez tout ce qu'il faut pour cartonner sur les réseaux sociaux et vendre vos produits à la sellette. La question de savoir comment vendre sur Instagram ne se pose plus, car vous disposez dans cet article d'autant d'astuces à tester sur votre boutique e-commerce zyro.
Aujourd'hui, j'ai envie de dire que l'on se retrouve pour l'épisode 2 de la série "Déploiement de logiciels par GPO" puisque j'ai déjà publié un article au sujet des logiciels au format MSI. Dans la continuité, je vais vous parler aujourd'hui du déploiement d'un logiciel au format EXE par GPO, et nous allons voir que c'est différent et que ce n'est pas toujours gagné d'avance !
Le deuxième épisode est également disponible au format vidéo :
Pour les retardataires, retrouvez le premier épisode ci-dessous :
Lorsqu'il s'agit de déployer un exécutable, il n'est pas possible d'utiliser une GPO de type "Installation de logiciels" comme pour un package MSI. Si l'on n’est pas équipé d'un logiciel tiers de déploiement de logiciels, c'est possible de le faire par GPO à l'aide d'un script qui va s'exécuter au démarrage de la machine.
L'idée est la suivante :
Récupérer le fichier exécutable à déployer
Rechercher les options pour installer cet exécutable en mode silencieux (et prier pour qu'il y en ait)
Créer le script pour installer le logiciel sur les postes
Faire en sorte que le logiciel n'essaie pas de s'installer à chaque fois
J'insiste sur l'étape n°2 "Rechercher les options pour installer cet exécutable en mode silencieux" : si l'exécutable n'a pas d'options pour une installation silencieuse, il ne sera pas possible de l'installer sans interaction de l'utilisateur. Cela remet en cause la possibilité de déployer cet exécutable par GPO en l'état....
II. Le partage pour héberger les exécutables
Ce que je vous propose, c'est d'utiliser le partage "Applications$" accessible à l'emplacement "\\SRV-ADDS-01\Applications$" et que nous avons appris à créer dans le premier article.
Nom du partage : Applications$
Droits sur le partage : "Tout le monde" en contrôle total (la restriction sera appliquée par les droits NTFS)
Chemin réseau : \\SRV-ADDS-01\Applications$
Je ne vais pas m'attarder sur cette partie puisque j'ai détaillé la création du partage dans la première vidéo.
III. Déployer un exécutable par GPO
Pour déployer un exécutable, au format EXE donc, par GPO, il faut avant tout faire preuve de méthodologie.
A. A la recherche du commutateur magique !
Après avoir récupéré le fichier d'installation, il faut regarder s'il propose des commutateurs pour l'installation silencieuse.
Pour visualiser les commutateurs disponibles sur un fichier exécutable, vous pouvez essayer les méthodes ci-dessous où l'on va chercher à consulter l'aide. Néanmoins, c'est possible qu'aucune ne fonctionne !
En fait, cela dépend en partie du logiciel utilisé pour compiler le logiciel. Il y a quelques commutateurs classiques que vous pouvez tester et qui ont la réputation de permettre une installation silencieuse :
Prenons quelques exemples de logiciels que vous pourriez avoir besoin de déployer : Photofiltre 7 et SuperCopier. Pour Photofiltre 7, à première vue, les commutateurs d'aide ne retournent rien... Cependant, l'utilisation du commutateur "/S" permet de réaliser une installation silencieuse !
.\pf7-setup-fr-7.2.1.exe /S
Dans le même esprit, le logiciel SuperCopier supporte lui aussi ce commutateur :
Voici deux exemples, mais qui ne sont pas une généralité. Maintenant que l'on connaît le commutateur à utiliser, on peut commencer à construire notre script.
B. Script PowerShell - Première étape : installer un exécutable
La tendance étant à l'utilisation de Windows 10, cela présente l'avantage d'avoir des machines équipées de PowerShell, dans une version récente. Pour créer le script, on pourrait tout bêtement inclure la ligne ".\pf7-setup-fr-7.2.1.exe /S" et puis basta... Mais bon, cela veut dire que l'on va chercher à installer le logiciel en boucle : pas top !
Il faut tenir compte de cette contrainte dans notre script : comment faire pour installer le logiciel une fois et ne pas chercher à le réinstaller à chaque fois, sauf s'il ne s'est pas bien installé ?
Commençons par nous occuper de la gestion de l'installation, et nous allons traiter cette contrainte juste après. Reprenons Photofiltre 7 en tant qu'exemple.
J'estime qu'il est préférable de copier en local l'exécutable le temps de l'installation et de le supprimer une fois l'opération terminée. Cela vous évitera aussi d'avoir des problèmes si vos partages ne sont pas déclarés comme emplacement sûrs.
Commençons par définir quatre variables :
### Variables
# Chemin UNC vers le partage qui contient l'exécutable
$SharedFolder = "\\srv-adds-01.it-connect.local\applications$"
# Chemin vers le dossier temporaire local sur le poste
$LocalFolder = "C:\TEMP"
# Nom de l'exécutable
$ExeName = "pf7-setup-fr-7.2.1.exe"
# Argument(s) à associer à l'exécutable
$ExeArgument = "/S"
Ces variables seront à modifier en fonction du logiciel à installer. Ensuite, nous allons :
Vérifier si le chemin réseau vers l'exécutable existe
Si c'est le cas, on crée le dossier temporaire en local et on copie l'exécutable à l'intérieur
Si l'exécutable est bien copié en local, on lance l'installation du logiciel via Start-Process et l'option -Wait pour rester en attente tout le temps que l'installation s'effectue
On supprime l'exécutable en local
Ce qui donne :
# Si le chemin réseau vers l'exécutable est valide, on continue
if(Test-Path "$SharedFolder\$ExeName"){
# Créer le dossier temporaire en local et copier l'exécutable sur le poste
New-Item -ItemType Directory -Path "$LocalFolder" -ErrorAction SilentlyContinue
Copy-Item "$SharedFolder\$ExeName" "$LocalFolder" -Force
# Si l'on trouve bien l'exécutable en local, on lance l'installation
if(Test-Path "$LocalFolder\$ExeName"){
Start-Process -Wait -FilePath "$LocalFolder\$ExeName" -ArgumentList "$ExeArgument"
}
# On supprime l'exécutable à la fin de l'installation
Remove-Item "$LocalFolder\$ExeName"
}else{
Write-Warning "L'exécutable ($ExeName) est introuvable sur le partage !"
}
À partir de là, nous avons un script de base qui est capable d'installer un logiciel à partir d'un exécutable stocké sur un emplacement réseau.
C. Script PowerShell - Deuxième étape : le logiciel est-il installé ?
Il est temps de traiter la contrainte évoquée précédemment : le logiciel est-il installé ? Il y a plusieurs façons de regarder si un logiciel est installé ou en tout cas d'en trouver une trace.
Le cmdlet PowerShell "Get-Package" (minimum PowerShell 5.1) qui permet de lister les logiciels installés sur la machine
Le Registre Windows qui contient des entrées pour tous les logiciels installés
Les fichiers créés lors de l'installation du logiciel
Si l'on prend l'exemple du logiciel Photofiltre 7 (qui remonte avec ce nom dans Windows) et de Get-Package, on peut tester que le logiciel est bien installé avec ce bout de code :
if(Get-Package -Name "Photofiltre 7"){
Write-Output "Le logiciel Photofiltre 7 est présent sur la machine !"
}
Pour obtenir le nom exact du logiciel dans Windows, il faut l'installer une fois et exécuter la commande Get-Package pour récupérer le nom. Ce qui est dommage dans le cas de Photofiltre, c'est que la commande ne retourne pas la version installée :
On peut s'orienter vers le Registre Windows pour essayer de récupérer une information plus précise, mais avec Photofiltre ce n'est pas gagné. Pour lister les logiciels installés en s'appuyant sur le registre, il y a deux commandes intéressantes :
Dans les deux cas, Photofiltre 7 ne ressort pas. Nous avons une troisième option : les fichiers dans le répertoire d'installation.
On sait que Photofiltre 7 s'installe dans le répertoire "C:\Program Files (x86)\PhotoFiltre 7" sur une machine 64 bits. On sait aussi que son exécutable, une fois installé, se nomme "PhotoFiltre7.exe". Si l'exécutable est présent, il y a de fortes chances que le logiciel soit correctement installé... On peut même récupérer la version exacte installée (on aura fini par l'avoir) :
Ce qui retournera la valeur : 7.2.1.0 - De cette façon, on peut estimer que si l'on trouve l'exécutable, le logiciel est bien installé.
D. Script PowerShell - Troisième étape : le logiciel est-il à jour ?
Installer le logiciel une fois, c'est bien, le maintenir à jour c'est mieux. Nous allons exploiter le numéro de version que l'on peut récupérer au sein de l'exécutable pour comparer ce numéro à celui de l'exécutable que l'on veut installer.
On va ajouter trois variables à notre script
# Version cible de l'exécutable
$ExeVersion = "7.2.1.0"
# Chemin vers l'exécutable une fois l'installation terminée
$ExeInstallPath = "C:\Program Files (x86)\PhotoFiltre 7\PhotoFiltre7.exe"
# Le logiciel est-il déjà installé dans la bonne version ? Ici, sur une machine 64 bits
$InstalledVersion = (Get-ItemProperty -Path "C:\Program Files (x86)\PhotoFiltre 7\PhotoFiltre7.exe" -ErrorAction SilentlyContinue).VersionInfo.FileVersion
À partir de la valeur de $InstalledVersion (numéro de la version installée sur la machine) :
On peut déterminer si le logiciel est installé ou non : si $InstalledVersion est null c'est qu'il n'a pas trouvé l'exécutable
On peut comparer les deux numéros de version pour déterminer s'il faut mettre à jour ou non le logiciel
Ainsi, il y a deux cas pour lesquels il faut mettre à jour le logiciel :
$InstalledVersion est null
$InstalledVersion n'est pas null et $InstalledVersion est différent de $ExeVersion, autrement dit la version actuelle est différente de la version à installer
Nous venons de gérer notre contrainte initiale, afin d'avoir un script léger, mais fonctionnel qui va permettre d'installer le logiciel seulement s'il n'est pas déjà installé, et de le mettre à jour si nécessaire.
E. Tester le script en local et manuellement
Voici le script complet que je vous invite à tester en local et manuellement sur une machine type de votre parc. Ce script est une base qui ne demande qu'à être améliorée si vous le souhaitez. Le code est à mettre dans un fichier qu'il faut enregistrer avec l'extension PS1.
### Variables# Chemin UNC vers le partage qui contient l'exécutable
$SharedFolder = "\\srv-adds-01.it-connect.local\applications$"
# Chemin vers le dossier temporaire local sur le poste
$LocalFolder = "C:\TEMP"
# Nom de l'exécutable
$ExeName = "pf7-setup-fr-7.2.1.exe"
# Argument(s) à associer à l'exécutable
$ExeArgument = "/S"
# Version cible de l'exécutable (obtenue sur une installation manuelle)
$ExeVersion = "7.2.1.0"
# Chemin vers l'exécutable une fois l'installation terminée
$ExeInstallPath = "C:\Program Files (x86)\PhotoFiltre 7\PhotoFiltre7.exe"
# Le logiciel est-il déjà installé dans la bonne version ?
$InstalledVersion = (Get-ItemProperty -Path "C:\Program Files (x86)\PhotoFiltre 7\PhotoFiltre7.exe" -ErrorAction SilentlyContinue).VersionInfo.FileVersion
if(($InstalledVersion -eq $null) -or ($InstalledVersion -ne $null -and $InstalledVersion -ne $ExeVersion)){
# Si $InstalledVersion n'est pas null et que la version est différente : c'est qu'il faut faire une mise à jour
if($InstalledVersion -ne $null){
Write-Output "Le logiciel va être mis à jour : $InstalledVersion -> $ExeVersion"
}
# Si le chemin réseau vers l'exécutable est valide, on continue
if(Test-Path "$SharedFolder\$ExeName"){
# Créer le dossier temporaire en local et copier l'exécutable sur le poste
New-Item -ItemType Directory -Path "$LocalFolder" -ErrorAction SilentlyContinue
Copy-Item "$SharedFolder\$ExeName" "$LocalFolder" -Force
# Si l'on trouve bien l'exécutable en local, on lance l'installation
if(Test-Path "$LocalFolder\$ExeName"){
Start-Process -Wait -FilePath "$LocalFolder\$ExeName" -ArgumentList "$ExeArgument"
}
# On supprime l'exécutable à la fin de l'installation
Remove-Item "$LocalFolder\$ExeName"
}else{
Write-Warning "L'exécutable ($ExeName) est introuvable sur le partage !"
}
}else{
Write-Output "Le logiciel est déjà installé dans la bonne version !"
}
Une fois que le script fonctionne sur un poste, on peut le mettre en place dans une GPO pour automatiser le déploiement du logiciel. Pensez à le désinstaller sur le poste sur lequel vous avez fait le test pour retester par GPO.
F. Mettre en place le script dans une GPO
Basculez sur le contrôleur de domaine, où nous allons créer une nouvelle stratégie de groupe pour exécuter au démarrage de l'ordinateur le script PowerShell qui sert à installer le logiciel.
Par défaut, une machine Windows 10 utilise la politique d'exécution "Restricted", ce qui signifie que les scripts PowerShell ne sont pas autorisés à s'exécuter. Forcément, cela va poser problème pour exécuter notre script par GPO.
Nous allons devoir modifier la politique d'exécution pour permettre l'exécution des scripts (vous l'avez peut-être déjà fait pour d'autres besoins) en ajustant la politique machine.
Ouvrez la console de Gestion des stratégies de groupe et créez une nouvelle GPO. Pour ma part, ce sera la GPO "Deployer-EXE-Photofiltre7".
Ensuite, parcourez les paramètres de GPO de cette façon :
Configuration ordinateur > Paramètres Windows > Scripts (démarrage/arrêt) > Démarrage
Dans le paramètre "Démarrage", accédez à l'onglet "Scripts PowerShell", cliquez sur "Ajouter" puis sur "Parcourir". Vous allez arriver dans un dossier au sein de la GPO où le chemin se termine par "Machine\Scripts\Startup" : c'est à cet endroit que vous devez coller votre script (voir copie d'écran ci-dessous).
Lorsque le script est positionné au bon endroit, sélectionnez-le et cliquez sur "Ouvrir". Il va être intégré à la GPO (voir ci-dessous), ensuite modifier le paramètre "Pour cet objet de stratégie de groupe, exécuter les scripts dans l'ordre suivant" et sélectionnez "Exécuter les scripts Windows PowerShell en premier", même si c'est le seul script de la GPO.
Pour finir avec cette GPO, nous allons modifier la politique d'exécution des scripts pour la définir sur "Remote Signed", accédez au paramètre suivant :
Configuration ordinateur > Modèle d'administration > Composants Windows > Windows PowerShell
Ouvrez le paramètre "Activer l'exécution des scripts", cliquez sur "Activé" et choisissez la valeur suivante : "Autoriser les scripts locaux et les scripts signés distants". Validez.
La GPO est prête ! Avant de basculer sur le poste client pour réaliser un test, liez la GPO à une OU pour valider le bon fonctionnement. Une OU de test bien sûr
IV. Tester la GPO
Pour finir, rendez-vous sur un poste client. Windows 10 pour ma part, il y a de fortes chances que ce soit le cas chez vous aussi. Il va falloir redémarrer la machine, avant cela ouvrez une console et exécutez la commande ci-dessous pour actualiser les GPO :
gpupdate /force
Puisqu'il s'agit d'un script qui s'exécute au démarrage de la machine, il est indispensable de redémarrer pour tester.
Au redémarrage, vous devez trouver le logiciel installé sur la machine ! Il se peut qu'il ne soit pas présent dès le démarrage de la machine, le script peut mettre quelques minutes à s'exécuter (comportement normal) : patientez avant de vous inquiéter
Par ailleurs, on constate que la politique d'exécution déployée par GPO s'applique bien sur la machine. C'est grâce à cette modification que le script a pu s'exécuter :
V. Conclusion
Le déploiement d'un logiciel au format exécutable par GPO n'est pas quelque chose de simple ! En comparaison du déploiement d'un logiciel au format MSI, c'est le jour et la nuit. Néanmoins, on a vu que c'est possible, mais que l'on doit avoir recours à un script PowerShell pour réaliser l'installation proprement : ne pas chercher à l'installer en boucle et gérer les mises à jour du logiciel dans le temps.
Il existe des alternatives à PowerShell, à l'ancienne j'ai envie de dire : un script Batch ou VBS. Je préfère m'orienter directement vers PowerShell et cette solution, bien que complexe au premier abord, fonctionne bien. Le tout c'est de bien tester étape par étape et ensuite d'adapter les quelques variables dans le script. Si l'on fait abstraction des scripts, nous en revenons aux logiciels de déploiement, mais le challenge ici, c'était de vous proposer une solution à l'aide des outils de base.
La dématérialisation des paiements n'est pas une nouveauté, mais cette méthode de paiement a bien évoluée au fil des années notamment grâce à l'évolution des nouvelles technologies et du petit bijou high-tech que l'on a tous ou presque dans notre poche : le smartphone. Aujourd'hui, que l'on soit équipé d'un iPhone ou d'un appareil sous Android, on peut payer avec son smartphone, mais comment ça marche ?
I. La France et le paiement mobile
L'objectif de la dématérialisation des paiements est de permettre d'effectuer des transactions sans avoir à utiliser de l'argent en espèce. La pionnière dans le domaine et c'est également le meilleur exemple, est la carte bancaire. Ensuite, d'autres méthodes ont vu le jour, nous pouvons citer par exemple : le paiement sur Internet, le paiement sans contact à l'aide de la technologie NFC, et le paiement mobile.
Le paiement mobile est loin d'être la méthode de paiement la plus utilisée en France, mais elle est en constante évolution. Pour l'année 2021, on s'attend même à atteindre le cap des 10 millions d'utilisateurs actifs en France. Pendant ce temps, c'est en Asie et plus particulièrement en Chine où le paiement mobile est fortement adopté. D'après le rapport de Statista, le paiement mobile en Chine a un taux de pénétration de plus de 35%, contre un peu plus de 2% en France. En fait, c'est en grande partie grâce à l'application de messagerie WeChat qui intègre directement des fonctionnalités de paiement.
Depuis que des solutions telles qu'Apple Pay, Samsung Pay et Google Pay sont arrivées sur le marché, le paiement mobile a commencé à séduire plus de citoyens. À commencer par les jeunes, adeptes des nouvelles technologies. Résultat, les banques l'ont bien compris et aujourd'hui une banque qui est compatible Apple Pay bénéficie d'un argument de vente supplémentaire pour séduire de nouveaux clients.
II. Comment fonctionne le paiement mobile ?
Payer avec son mobile directement, pourquoi pas, mais comment cela fonctionne en fait ? Déjà, il faut réunir plusieurs conditions pour pouvoir utiliser le paiement mobile :
La banque ou plutôt votre banque, elle doit être compatible avec le fournisseur de paiement mobile que vous désirez utiliser. Si vous avez un iPhone, elle doit prendre en charge Apple Pay. Ce n'est pas une évidence pour toutes les banques, vous devez vous renseigner. La solution la plus prise en charge est celle d'Apple.
Le smartphone doit prendre en charge la technologie NFC pour que le paiement mobile soit possible à l'aide du sans contact, sur le même principe qu'avec le paiement sans contact par carte bancaire. Le paiement mobile est également intégré à d'autres appareils, par exemple à la montre connectée Apple Watch ou sur les montres Samsung.
La carte bancaire que vous souhaitez utiliser pour le paiement mobile doit être enregistrée dans une application sur votre smartphone. Par exemple, sur un iPhone il faudra enregistrer sa carte dans le "Wallet" alors que sur un smartphone Samsung, vous pouvez utiliser l'application Samsung Pay. De manière générale, sur Android il y a l'application Google Pay ou Paylib.
Si vous êtes prêt, il y a un dernier point à prendre en compte :
La boutique où vous souhaitez payer avec votre mobile doit prendre en charge le paiement sans contact. Généralement, c'est le cas dans la majorité des boutiques puisque l'on peut payer sans contact avec sa carte bancaire quasiment partout.. Même s'il peut y avoir des exceptions. De toute façon, c'est mis en évidence grâce à des logos affichés auprès du terminal de paiement. Par exemple, Apple Pay est pris en charge si vous avez l'un de ces deux logos (le premier étant celui générique pour le paiement sans contact) :
Au moment du paiement, il suffira de dégainer son smartphone et de le rapprocher de la zone "paiement sans contact" du terminal de paiement. Le smartphone s'occupe du reste pour valider la transaction.
Le paiement mobile est plus sécurisé qu'un paiement avec la carte bancaire, qu'il soit avec ou sans contact. Il n'est pas nécessaire de saisir le code de sécurité de sa carte lorsque l'on paie avec son mobile, l'authentification est différente. Pour valider la transaction, le paiement mobile implique de vérifier votre identité à l'aide de l'empreinte digitale ou la reconnaissance faciale (en fonction de l'appareil). Contrairement à un code carte qui peut être communiqué ou volé, ces deux méthodes d'authentifications ne sont pas falsifiables.
III. Paiement mobile : est-ce qu'il y a un plafond ?
Lorsque l'on effectue un paiement classique par carte bancaire, il y a un plafond élevé qui dépend de sa carte bancaire. Lorsqu'il s'agit d'un paiement sans contact avec sa carte bancaire, il y a un plafond réduit : il est passé de 30 euros à 50 euros maximum, depuis le 11 mai 2020.
Concernant le paiement mobile, bien qu'il soit sans contact, il n'y a pas de plafond de 50 euros. Le plafond sera celui de votre carte bancaire, ce qui permet d'utiliser le paiement mobile avec les mêmes limitations que sa carte. Un atout intéressant pour cette méthode de paiement.
Il est à noter que certains fournisseurs de paiement mobile reprennent le principe du paiement sans contact par carte bancaire : pas d'authentification nécessaire pour les petits montants et authentification biométrique pour les paiements plus importants.
IV. Paiement mobile : que faire en cas de vol du smartphone ?
En cas de vol de votre smartphone, il sera préférable de contacter votre banque pour faire opposition à la carte bancaire. Sur le même principe que si vous perdez votre carte bancaire en elle-même. Néanmoins, il faut savoir que les solutions (Google Pay, Apple Pay, Samsung Pay, etc.) stockent de façon sécurisée les informations de paiement et qu'il sera indispensable de s'authentifier pour faire usage de la carte bancaire. Mais bon, comme on dit, on est jamais trop prudent...
Que pensez-vous du paiement mobile ? Utilisez-vous cette méthode de paiement ?
Firefox 86 est disponible et cette nouvelle version du navigateur de Mozilla intègre deux nouveautés majeures : la protection totale contre les cookies et le picture-in-picture multiple.
Picture-in-picture multiple
Déjà disponible depuis plusieurs semaines dans Firefox, mais désactivée et masquée, cette fonctionnalité est désormais stable et opérationnelle. Cela va permettre de regarder plusieurs vidéos en même temps, en mode incrusté, tout en poursuivant sa navigation sur Internet.
Sur YouTube par exemple, un icône apparait au niveau du lecteur vidéo pour vous proposer de basculer en mode incrustation, c'est-à-dire picture-in-picture. La vidéo va venir se positionner en bas à droit de l'écran et vous pouvez poursuivre la navigation dans les autres onglets.
Cette nouveauté est disponible sur Windows, Linux et MacOS.
Total Cookie Protection
La fonctionnalité Total Cookie Protection intégrée à Firefox 86 s'attaque aux cookies et agit comme une protection supplémentaire contre le pistage. L'objectif est d'éviter le cookie-tracking en isolant les cookies de chaque site. D'ailleurs, Mozilla fournit sur son site un schéma très clair et qui illustre bien le fonctionnement de cette nouveauté :
Cette nouveauté est disponible sur les versions bureau de Firefox ainsi que la version Android. Cette fonctionnalité sera activée lorsque le mode "Strict" est actif dans la protection contre le pistage.
Au sein de Firefox 85, Mozilla avait déjà apporté une nouveauté pour combattre les cookies en bloquant les "supercookies", c'est-à-dire les cookies suffisamment vicieux pour se cacher dans le navigateur et persister même après suppression des données (même des cookies). Désormais, Firefox isole les supercookies.
Après la sortie de sa puce Exynos 2100 qui s’avère convaincante, bien qu’en dessous du Snapdragon 888, Samsung ne compte pas s’arrêter en si bon chemin !
La société coréenne va s’attaquer au GPU, c’est-à-dire la puce graphique, qui accompagne son SoC principal. Un partenariat existe entre Samsung et AMD depuis 2019. Il pourrait se concrétiser cette année ou l'année prochaine, avec l'intégration des technologies Radeon dans les prochaines puces pour smartphones et tablettes.
D'après le leaker Ice Universe, généralement bien informé, on devrait en savoir plus dès le mois de juin prochain, où AMD et Samsung devraient présenter du concret. Est-ce que ce sera une annonce officielle pour nous présenter le GPU ou seulement des informations sur les caractéristiques ? Il faut attendre pour le savoir.
Quoi qu'il en soit, Samsung prépare le Galaxy Z Fold 3 pour le deuxième semestre de 2021, ce sera peut-être l'occasion d'intégrer une nouvelle puce Exynos accompagnée par un GPU AMD à la place du GPU Mali. À moins que ce soit pour un autre modèle qui pourrait sortir cette année : le Galaxy Note 21 ?
Il y a également des rumeurs, au sujet de la prochaine puce Exynos de Samsung, qui couplée à un GPU AMD, serait plus performante que la puce A14 Bionic d'Apple.
Taggez les produits : comme vous le savez, Facebook et Instagram partagent le gestionnaire de publicité. Ainsi, pour afficher les produits sur Instagram, vous devez au préalable les uploader sur Facebook. Vous devrez également renseigner les prix, photos et liens de la fiche produit. Ensuite, il vous suffira de tagger vos produits à chaque fois que vous téléchargez une image.
Le deuxième épisode est également disponible au format vidéo :
Que pensez-vous du paiement mobile ? Utilisez-vous cette méthode de paiement ?
