PROJET AUTOBLOG


IT-Connect

Site original : IT-Connect

⇐ retour index

Test NiPoGi CK10 – Un mini PC avec Intel Core i5-12450H, 16 Go de RAM et un SSD NVMe

vendredi 19 avril 2024 à 17:00

I. Présentation

Dans cet article, nous allons évoquer le mini PC NiPoGi CK10 dans sa version avec un processeur Intel Core i5-12450H, 16 Go de RAM et un stockage SSD NVMe de 512 Go !

Ce test est l'occasion d'évoquer les caractéristiques techniques, le design, l'évolutivité et les performances de ce modèle compact ! Comme souvent, NiPoGi propose plusieurs configurations pour une seule référence. Le modèle CK10 est également disponible avec 32 Go de RAM et 1 To de SSD, à ne pas confondre avec la version présentée dans cet article.

II. Caractéristiques du NiPoGi CK10

Commençons par découvrir les caractéristiques principales de ce modèle :

III. Package, design et conception

La boite, entièrement blanche, est sobre, mais elle a le mérite de nous donner des précisions sur la version présente à l'intérieur. L'ordinateur et les accessoires sont correctement emballés et protégés par d'épaisses mousses. Le matériel est arrivé en parfait état, c'est ce que nous retiendrons.

Qu'avons-nous à l'intérieur de la boite ? Le mini PC est accompagné par l'alimentation externe et son câble, ainsi qu'un câble HDMI, un support VESA (et les vis), une notice d'utilisation (en français, utile si vous envisagez d'utiliser le support VESA pour fixer le PC à l'arrière d'un écran), et une rallonge SATA à utiliser si vous souhaitez ajouter un disque SATA 2.5 pouces.

Le boitier gris anthracite de ce mini PC NiPoGi est entièrement en plastique. Le plastique est rigide et semble relativement solide. Le boitier est correctement assemblé et tous les ports sont bien accessibles : aucun défaut n'est à relever. La seule chose qui me gêne réellement, c'est l'emplacement hasardeux des deux stickers sur le dessus du boitier (que l'on peut retirer facilement). En dessous, nous retrouvons 4 patins antidérapants d'une épaisseur de 4 mm. Nous constatons qu'il y a une entrée d'air sur le dessus, mais aussi en dessous du boitier, tandis que l'extraction de l'air s'effectue par l'arrière du boitier.

La façade de ce mini PC est riche en connectique puisque 2 ports USB 3.0, 1 port USB-C et une prise Jack sont facilement accessibles. À l'arrière, il y a également 2 ports USB 3.0, ainsi que 2 ports HDMI et une interface RJ45 Gigabit Ethernet (1 Gbit/s). Sur la gauche du boitier, il y a également un port VGA : ce qui est assez rare de nos jours, mais cela permet à ce modèle de se démarquer ! Ainsi, vous pouvez connecter 3 écrans : 2 en HDMI et 1 en VGA. D'ailleurs, le port VGA pourrait être utilisé pour connecter un vidéoprojecteur ou un écran qui n'est pas équipé d'un port HDMI.

Pour ouvrir le boitier et accéder à l'intérieur, il suffit de retirer les 4 vis présentes en dessous du boitier. Ceci va nous permettre de découvrir les composants et l'image ci-dessous montre l'emplacement pour disque SATA, au format 2.5 pouces.

À l'intérieur du boitier, il y a un espace confortable entre les différents composants, mais ce sera différent si vous ajoutez un disque SATA 2.5 pouces. Néanmoins, il est important de préciser que ce boitier est un peu plus grand que beaucoup d'autres modèles de mini PC. Voici ce qui est à noter :

Voici les entrailles du CK10 en photos :

IV. Évolutivité et performances

A. Mise en route et évolutivité

Ce mini PC est livré avec le système Windows 11 Pro, en version 22H2, donc il y aura des mises à jour à installer. Nous devons finaliser la mise en route, mais cela est très rapide puisque nous devons seulement définir le nom d'utilisateur. Il s'agit d'une image personnalisée par NiPoGi (probablement avec un fichier de réponse) et elle occupe 37 Go sur le disque (ce qui est beaucoup !).

Comme pour tous les ordinateurs, je vous recommande de réinstaller la machine avec une image propre et téléchargée depuis le site de Microsoft si vous souhaitez continuer sur Windows. Cette machine est pleinement compatible avec Windows 11, car elle respecte tous les prérequis (y compris la puce TPM 2.0).

À part Google Chrome qui est intégré à l'image de Windows 11, il n'y a pas d'autres logiciels supplémentaires visibles. Bien entendu, nous avons le droit à toute la panoplie d'applications de chez Microsoft.

Le mini-PC est livré avec 16 Go de RAM en DDR4, mais une mise à niveau est possible. Le processeur i5 de ce modèle supporte 64 Go de RAM, ce qui signifie que nous pouvons remplacer les 2 barrettes de 8 Go par 2 x 32 Go. De quoi faire une belle évolution si vous souhaitez utiliser ce PC pour de la virtualisation.

En résumé, pour faire évoluer la configuration de ce mini PC, vous avez plusieurs options : augmenter la RAM, ajouter un disque SATA (2.5 pouces) et ajouter un disque SSD NVMe.

B. Performances

Ce mini PC est propulsé par un processeur Intel Core i5 de 12ème génération lancé au premier trimestre 2022. Le modèle i5-12450H a 8 cœurs et 12 threads, 12 Mo de cache et sa fréquence maximale en mode Turbo est 4,4 GHz. Sachez que NiPoGi a limité la consommation d'énergie du CPU à 35 watts, ce qui affectera légèrement les performances sur du traitement multithread.

Commençons par mesurer les performances du disque SSD NVMe intégré à l'ordinateur.

Le SSD NVMe présent dans ce mini PC NiPoGi offre de belles performances : un copier-coller de gros fichiers en local (de disque à disque, sur le même volume), est effectué avec une vitesse moyenne de 834 Mo/s.

Voici un benchmark du disque effectué avec Crystal Disk Mark :

Ainsi qu'un aperçu du disque dans Crystal Disk Info :

J'ai également effectué un benchmark du CPU et du GPU avec Geekbench, vous pouvez y accéder sur ces pages :

Comment réagit le PC lors d'un stress CPU ?

Pendant le stress test du CPU (charge à 100%), la ventilation souffle un peu plus fort, mais cela reste discret. Au ralenti, les ventilateurs sont vraiment très discrets et ne vous gêneront pas du tout.

D'après HWMonitor, lorsque le mini PC est allumé sans être sollicité, la température du CPU est de 40°C. Pendant le stress test du CPU, la température du CPU monte en flèche jusqu'à 91.0°C (au bout de 5 minutes, environ). Ceci n'est pas surprenant, car l'air exfiltré par l'arrière du boitier est bien chaud ! Par contre, ensuite, la température met du temps à redescendre, comme si le système de refroidissement était un peu à la peine.

Que peut-on faire et ne pas faire avec ce modèle ?

Au quotidien, pour de la bureautique et un peu de multimédia, ce PC est parfaitement adapté. Il est très silencieux et supporte très bien la navigation sur Internet avec de nombreux onglets, la lecture de vidéos en 4K (sur YouTube, par exemple), mais également l'utilisation d'applications telles que la suite Microsoft Office. Ceci en fait un compagnon intéressant et abordable si vous recherchez ce type de mini PC.

La principale limitation, c'est la puce graphique intégrée : Intel UHD Graphics qui est un iGPU. Autrement dit, ce n'est pas une configuration adaptée au gaming. Vous pouvez envisager de jouer à des jeux peu gourmands, ou, à des jeux disponibles depuis 3 ans, 4 ans, ou plus, en ajustant les paramètres de qualité graphique, mais c'est tout. À titre d'exemple, vous pouvez jouer à GTA V : tous les effets visuels ne peuvent pas être activés, mais en Full HD, le jeu est fluide !

Voici un aperçu (à gauche, une copie d'écran - à droite, une photo de l'écran).

V. Conclusion

C'est l'heure du verdict ! Le mini PC NiPoGi CK10 n'est pas parfait, mais il y a plusieurs points à mettre en avant. Tout d'abord, sa puce Intel Core i5 de 12ème génération qui répond présente et assure un bon niveau de performances, tout comme son disque SSD NVMe qui offre de bonnes performances ! Quant à la RAM, disons que 16 Go, c'est le minimum recommandé pour utiliser un PC confortablement et pour le multitâches. Si cela ne suffit pas, vous pouvez toujours prévoir une mise à niveau de la RAM (comptez plus de 130 euros pour passer sur 64 Go), mais aussi du stockage, car vous pouvez ajouter un disque SATA au format 2.5 pouces et un second disque SSD NVMe.

NiPoGi cherche toujours à apporter un peu d'originalité au design de ses boitiers, et c'est le cas avec le CK10. J'ai apprécié la présence d'une connectique riche, avec notamment de nombreux ports USB dont 3 en façade (2 USB-A + 1 USB-C). Néanmoins, le boitier de ce mini PC est légèrement plus imposant que d'autres modèles (même s'il reste compact : 13,8 x 12,6 x 5 cm) et il y a également l'absence d'un lecteur de carte SD. C'est à préciser, car pour certains usages, cela peut avoir son importance. Par ailleurs, le port VGA présent sur le côté du boitier peut surprendre, mais c'est malgré tout un atout pour ce modèle. Ce petit détail plaira à ceux qui ont besoin d'une machine récente, compacte et équipée du VGA.

Maintenant, il est important de mettre un tarif en face de cette configuration et ce verdict. Découvrez notre offre spéciale ci-dessous.

🎁 Profitez de notre offre spéciale pour acheter ce mini PC au meilleur prix :

Grâce au code "6Q5HMH9M", vous pouvez bénéficier de 7% de réduction sur ce mini-PC ! Ce code est valide jusqu'au 12 juin 2024, à 23:59 (heure française).

Le tarif passe de 360,05 € à 334,85 € soit une réduction de 25,20 €.

Vous devez saisir ce code dans votre panier, sur Amazon.fr. Voici le lien qui mène à l'offre :

N'hésitez pas à commenter cet article si vous avez des questions.

* Le lien ci-dessus intègre notre identifiant d'affiliation Amazon.

The post Test NiPoGi CK10 – Un mini PC avec Intel Core i5-12450H, 16 Go de RAM et un SSD NVMe first appeared on IT-Connect.

Veeam ajoute la prise en charge de l’hyperviseur Oracle Linux KVM

vendredi 19 avril 2024 à 14:49

La solution Veeam Data Platform prend désormais en charge la sauvegarde et la restauration des machines virtuelles exécutées sur l’hyperviseur Linux KVM d’Oracle. Ce type de nouveautés pourrait inciter certains clients attachés à quitter VMware ! Faisons le point sur cette annonce.

Avec la prise en charge de l'hyperviseur Oracle Linux KVM et des environnements managés avec oVirt, Veeam continue d'étoffer la liste de plateformes de virtualisation et de Cloud prises en charge par sa solution Veeam Data Platform. Parmi les nombreuses plateformes prises en charge, nous avons : VMware vSphere, VMware Cloud Director, VMware Cloud on AWS, VMware Cloud on AWS Outposts, VMware Cloud on Dell Microsoft Hyper-V, Microsoft Azure Stack HCI, Microsoft Azure VMware Solution, Amazon AWS Nutanix AHV, Red Hat Virtualization, Google Cloud, Google Cloud VMware Engine, Oracle Cloud VMware Solution et IBM Cloud, et désormais Oracle Linux KVM.

Même si Veeam n'en parle de pas dans son communiqué de presse, cette nouveauté pourrait être un signe de la prise en charge imminente d'autres hyperviseurs tels que Proxmox et XCP-ng, qui sont deux alternatives à VMware ESXi. En janvier dernier, Veeam avait d'ailleurs laissé entendre que des travaux était en cours pour ajouter la prise en charge de Proxmox.

La volonté de Veeam est d'offrir de la liberté aux entreprises afin de prendre en charge toutes les plateformes et les systèmes qu'ils utilisent. « Avec la prise en charge d’Oracle Linux Virtualization Manager, nous offrons aux entreprises une liberté de choix sans équivalent sur le marché de la virtualisation en leur permettant notamment de sélectionner et de migrer vers les plateformes qui répondent le mieux à leurs besoins, tout en maintenant une gestion, une sécurité et une protection transparente des données. »

Désormais, les utilisateurs d'Oracle Linux KVM peuvent sauvegarder leur environnement et bénéficier de la restauration complète ou granulaire de leurs machines virtuelles, ainsi que la gestion sécurisée et conforme du cycle de vie des sauvegardes. L'occasion de rappeler la possibilité de créer des sauvegardes immuables pour lutter contre certaines menaces, dont les ransomwares.

Que pensez-vous de cette nouveauté ?

Source

The post Veeam ajoute la prise en charge de l’hyperviseur Oracle Linux KVM first appeared on IT-Connect.

Grâce à plus de 250 victimes, le gang de ransomware Akira a volé 42 millions de dollars !

vendredi 19 avril 2024 à 08:33

Tout roule pour les membres du gang de ransomware Akira puisqu'ils seraient parvenus à voler la jolie somme de 42 millions de dollars grâce à la compromission de l'infrastructure de plus de 250 organisations. Il s'agit de chiffres publiés par plusieurs agences, dont le FBI.

Le FBI, la CISA, le Centre européen de lutte contre la cybercriminalité (European Cybercrime Centre) et le National Cyber Security Centre (NCSC) du Pays-Bas ont travaillé sur l'écriture d'un rapport complet au sujet de la menace Akira. Ce bulletin d'alerte disponible sur le site de la CISA montre la progression fulgurante de ce gang de ransomware apparu pour la première fois en mars 2023.

Le gang de ransomware a fait des victimes partout dans le monde, même si la majorité des organisations ciblées sont situées en Amérique du Nord, en Europe et en Australie. Au début, Akira s'en prenait principalement aux systèmes Windows, mais assez rapidement, les cybercriminels ont mis au point une variante pour Linux afin de chiffrer les machines virtuelles sur les serveurs VMware ESXi.

Ainsi, au 1er janvier 2024, le groupe de ransomwares avait touché plus de 250 organisations et volé environ 42 millions de dollars grâce aux victimes qui ont pris la décision de payer la rançon demandée.

Le mode opératoire du gang de ransomware Akira

Le rapport publié sur le site de la CISA fournit des informations intéressantes sur les techniques et méthodes employées par les cybercriminels d'Akira.

L'accès initial est notamment évoqué, et d'après le FBI, ils ciblent principalement les accès VPN, les accès RDP, le spear phishing et l'utilisation de comptes utilisateurs valides qu'ils ont en leur possession. Deux failles de sécurité, liées aux équipements Cisco, sont citées : CVE-2020-3259 et CVE-2023-20269.

Pour les différentes phases de l'attaque, notamment pour la persistance, la découverte et l'exfiltration des données, le gang de ransomware Akira utilisent différents outils dont certains que vous connaissez et utilisez probablement : Mimikatz, LaZagne, SoftPerfect et Advanced IP Scanner. À cela s'ajoutent des outils accessibles facilement et peut-être même déjà présents sur certaines machines : AnyDesk, MobaXterm, RustDesk, Ngrok, RClone, les protocoles FTP et SFTP ou encore le service de stockage de fichiers Mega.

Les conseils pour se protéger du ransomware Akira

Ce rapport contient également un ensemble de conseils et recommandations pour se protéger de cette menace.

Voici la liste de ces recommandations :

Source

The post Grâce à plus de 250 victimes, le gang de ransomware Akira a volé 42 millions de dollars ! first appeared on IT-Connect.

Les 7 meilleures stratégies de marketing digital à appliquer en 2024

vendredi 19 avril 2024 à 06:00

Dans un monde où les comportements des consommateurs et les avancées technologiques se transforment à un rythme sans précédent, les stratégies de marketing numérique doivent également évoluer rapidement pour rester pertinentes.

En 2024, l'impératif pour les spécialistes du marketing est de se tenir informés des dernières tendances et d'embrasser des approches novatrices qui leur permettent de communiquer avec leur public cible de la manière la plus efficace possible.

Face à une concurrence toujours plus forte et à des consommateurs de plus en plus avertis, il devient crucial d'adopter des stratégies qui non seulement attirent l'attention mais aussi engagent et fidélisent les clients sur le long terme.

Voici les sept stratégies de marketing numérique primordiales à mettre en œuvre cette année pour assurer une présence en ligne dynamique et impactante.

Salle de travail marketing, Unsplash

1. Création d'un site internet optimisé

La création d'un site web est essentielle pour toute entreprise cherchant à établir une présence en ligne solide. Un site web bien conçu offre à votre entreprise une vitrine virtuelle où les clients potentiels peuvent en apprendre davantage sur vos produits et services.

Assurez-vous que votre site web est convivial, responsive et optimisé pour les moteurs de recherche afin d'attirer du trafic qualifié et de convertir les visiteurs en clients. L'une des premières étapes pour lancer votre présence en ligne consiste à apprendre comment créer un site internet.

2. Marketing d'influence

Les influenceurs jouent un rôle de plus en plus important dans la promotion des marques et des produits. En collaborant avec des personnes influentes dans leur domaine, les entreprises peuvent toucher un public plus large et gagner en crédibilité.

En 2024, les spécialistes du marketing devraient investir dans des partenariats stratégiques avec des influenceurs qui correspondent à leur marque et à leurs valeurs. Pour en savoir plus sur l'impact croissant du marketing d'influence, consultez cet article instructif de So Bang.

3. Optimisation pour la recherche vocale

Avec la popularité croissante des assistants vocaux tels que Siri et Alexa, l'optimisation pour la recherche vocale devient essentielle. Les entreprises doivent adapter leur stratégie de référencement pour inclure des mots-clés et des expressions utilisés dans les requêtes vocales.

Créer du contenu qui répond aux questions courantes posées par les utilisateurs de la recherche vocale peut aider à améliorer le classement dans les résultats de recherche. Découvrez comment optimiser votre stratégie de référencement vocal en lisant cet article approfondi de Digitad.

4. Expérience utilisateur améliorée

L'expérience utilisateur (UX) est un facteur déterminant dans la réussite du marketing numérique, où les sites Web et les applications conviviaux et réactifs jouent un rôle crucial en garantissant une interaction positive avec les utilisateurs.

En 2024, les spécialistes du marketing devraient se concentrer sur l'optimisation de l'UX pour offrir une expérience transparente et engageante à leurs clients potentiels, tout en intégrant des éléments de design innovants qui améliorent l'accessibilité et la navigation, renforçant ainsi l'engagement client.

5. Contenu vidéo interactif

Le contenu vidéo continue de dominer le paysage du marketing numérique, mais en 2024, la tendance est au contenu vidéo interactif. Les vidéos interactives permettent aux spectateurs de participer activement en répondant à des questions, en prenant des décisions, et en explorant le contenu de manière immersive.

Cette approche favorise l'engagement et la rétention des spectateurs, transformant le visionnage passif en une expérience dynamique et participative qui renforce la connexion entre la marque et son audience, amplifiant ainsi l'impact des messages véhiculés.

6. Marketing sur les réseaux sociaux

En 2024, l'importance des réseaux sociaux dans le domaine du marketing numérique est incontestable, représentant un canal essentiel pour les entreprises visant à augmenter leur visibilité et engagement en ligne.

Pour rester compétitifs, les spécialistes du marketing doivent élaborer des stratégies spécifiques pour chaque plateforme sociale, tenant compte de leurs particularités.

L'utilisation avancée d'outils d'analyse est indispensable pour comprendre les comportements des utilisateurs et mesurer l'efficacité des campagnes, favorisant ainsi l'ajustement des stratégies pour maximiser l'impact et le ROI.

7. Intelligence artificielle et automatisation

L'intelligence artificielle (IA) et l'automatisation révolutionnent la manière dont les spécialistes du marketing interagissent avec leur public.

En exploitant des algorithmes avancés et en déployant des chatbots sophistiqués, les entreprises peuvent automatiser de vastes processus de marketing, assurer un service client disponible 24/7, et personnaliser les interactions avec les clients à une échelle sans précédent.

Cette transformation permet une approche plus efficace et ciblée du marketing, offrant des expériences utilisateur améliorées tout en optimisant les ressources et en maximisant l'engagement des consommateurs.

Conclusion

En appliquant ces sept stratégies de marketing numérique, les entreprises améliorent leur compétitivité et atteignent leurs objectifs de croissance en 2024.

De l'optimisation web à l'utilisation de l'intelligence artificielle, ces méthodes essentielles favorisent l'atteinte du public cible, l'engagement accru, et une hausse des conversions. L'adaptabilité et l'innovation constante permettent de répondre aux attentes changeantes des consommateurs et de se distinguer.

Ainsi, ces stratégies facilitent la création de liens durables avec les clients, propulsant les entreprises vers le succès dans l'écosystème digital.

Écrit par Maxime Masse pour IT-Connect

The post Les 7 meilleures stratégies de marketing digital à appliquer en 2024 first appeared on IT-Connect.

Office LTSC 2024 : Microsoft a publié des versions « preview » pour Windows et macOS !

jeudi 18 avril 2024 à 22:30

Si vous souhaitez tester Microsoft Office LTSC 2024, c'est possible ! Microsoft a mis en ligne les premières versions "preview" de la future version perpétuelle de la suite Office, pour Windows et macOS. Faisons le point sur cette annonce !

Premières versions preview pour Office LTSC 2024

En mars 2024, Microsoft avait annoncé que les premières versions "preview" d'Office LTSC 2024 seraient publiée "un mois plus tard", c'est-à-dire en avril 2024. Nous y sommes et Microsoft a respecté son planning : les utilisateurs de Windows et macOS peuvent tester la future version de la suite Office dès maintenant.

Microsoft va continuer à proposer Office sous la forme d'une licence perpétuelle puisque Office LTSC 2024 va prendre la suite d'Office LTSC 2021. Cela signifie que cette future version bénéficiera du support Microsoft pendant 5 ans. Elle offre une alternative à la suite Microsoft 365 Apps accessible par abonnement, notamment pour les utilisateurs de Microsoft 365 (en fonction du type d'abonnement).

Voici les versions "preview" proposées par Microsoft :

Vous cherchez Publisher ? Sachez qu'il n'est plus inclus à la suite Office, car il va être abandonné par Microsoft en octobre 2026. De la même façon, Microsoft Teams est désormais proposé séparément.

Les nouveautés d'Office LTSC 2024

Soyons honnêtes : Office LTSC 2024 n'aura pas autant de fonctionnalités que la version Microsoft 365 Apps et elle restera toujours en retard. Par contre, c'est une évolution vis-à-vis d'Office LTSC 2021. Dans son article, Microsoft précise : "Office LTSC 2024 comprendra des fonctionnalités des versions précédentes d'Office ainsi qu'un sous-ensemble de nouvelles fonctionnalités déjà disponibles dans Microsoft 365 Apps for Enterprise."

Office LTSC 2024 sera livré avec certaines améliorations, telles que de nouvelles options de création de réunions et des améliorations de la recherche dans Outlook, des dizaines de nouvelles fonctionnalités d'Excel, notamment des graphiques et des tableaux dynamiques, ainsi que des performances, une sécurité et une accessibilité améliorées.

Comment télécharger Office LTSC 2024 ?

Selon si vous souhaitez tester Microsoft Office LTSC 2024 sur Windows ou macOS, référez-vous à la bonne page de la documentation. Voici les liens :

The post Office LTSC 2024 : Microsoft a publié des versions « preview » pour Windows et macOS ! first appeared on IT-Connect.