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Doogee F5, une phablette sous Android

lundi 14 septembre 2015 à 09:30

Aujourd’hui je vous présente le DOOGEE F5 4G, une phablette de 5.5″ qui est une exclusivité du site Gearbest, revendeur d’appareils high-tech et smartphones.

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Pour parler un peu de cette phablette, elle tourne sous l’OS Android 5.1 et dispose 3 Go de RAM et 16 Go de stockage extensible avec une carte Micro SD (jusqu’à 64 Go).

Parmi les spécificités de ce smartphone / phablette, un CPU MTK6753 64bit octa-Core, une caméra arrière de 13 MP et avant de 5 MP. Comme souvent sur les produits de ce genre, on retrouve la technologie Dual-SIM et la connectivité Bluetooth, GPS et 2/3/4G.

Le design du DOOGEE F5 est assez élégant avec une coque arrière recourbée. Également, on retrouvera à l’arrière de l’appareil, juste en dessous de l’œil de la caméra, un lecteur d’empreinte permettant de déverrouiller l’appareil en une demi seconde et pouvant enregistrer 5 empreintes différentes.

Il est intéressant de noter que le capteur d’empreinte fonctionne à 360° c’est à dire que le doigt peut être positionné dans tous les sens, le capteur sera capable de reconnaître votre empreinte.

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Pour une durée limitée, vous pourrez retrouver le DOOGEE F5 et d’autres modèle de cette marque en promotion sur le site Gearbest, plus précisément sur ce lien pour des prix plutôt intéressants : Offre limitée marque Doogee

Ulefone uWear : Une smartwatch à 20 euros

jeudi 10 septembre 2015 à 10:15

Ce n’est surement pas la smartwatch du siècle, mais à ce prix, elle mérite d’être présentée et surtout d’être testée. L’uWear de chez Ulefone est une smartwatch chinoise à seulement une vingtaine d’euros. Mais alors à ce prix, quelles fonctionnalités sont proposées ?

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Voici une liste des fonctions intégrer à cette smartwatch disposant d’un écran de 1,44 pouce 2,5D incurvé :

– Tracking d’activité (podomètre, suivi du sommeil…)
– Notifications des appels, des SMS, les réseaux sociaux, les e-mails
– Contrôle à distance de la caméra du smartphone
– Contrôle à distance du lecteur multimédia
– Localisation de son smartphone à distance

Au niveau couleur, elle est proposée en noire ou en argent, avec un boitier en acier inox IP65 waterproof et le bracelet en élastomère. Enfin, sachez que l’uWear fonctionne aussi bien avec un appareil sous Android qu’iOS, et qu’elle serait rechargeable en seulement 15 minutes par MicroUSB avec une autonomie de 7 jours en veille.

De quoi tester l’univers des montres connectées à moindre coût et de tester l’utilité d’un tel accessoire.

Proposée pour le moment à 22$ sur le site Gearbest, un prix de lancement qui devrait grimper progressivement à partir du 11 septembre (20h) alors profitez-en !

Gearbest – Ulefone uWear

Asustor : 4 nouveaux NAS et Kodi 15

jeudi 10 septembre 2015 à 09:15

Asustor lance des nouveaux modèles de NAS au sein des séries 61 et 62, comprenant 2 ou 4 baies selon le modèle, on a le droit à un processeur Celeron Braswell ce qui montre la volonté de la marque de continuer avec Intel. Par ailleurs, Asustor annonce la disponibilité du lecteur multimédia Kodi 15, disponible depuis fin juillet et qui continue d’évoluer et de remplacer XBMC (son ancien nom).

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Revenons en aux NAS, avec plus précisément les nouveaux modèles qui sont : AS6102T, AS6104T, AS6202T et AS6204T.

Ces NAS reprennent le boitier en métal habituel chez Asustor, avec du côté des connectiques pas de surprises non plus : 2 ports réseau en 1 Gbit/s, cinq USB au total avec 3 en USB 3.0 et 2 en USB 2.0, auxquels on ajoutera 2 eSATA, et pour le multimédia le couple habituel S/PIDF et HDMI 1.4b (4K Ultra HD compatible).

Ce qui est intéressant avec l’écran du modèle AS6204T c’est qu’il dispose d’un écran LCD en façade, il faut avouer que ça apporte un plus au design et un côté fonctionnel (selon ce que permet cet écran).

Pour le processeur de ces NAS, il s’agit d’un Intel Celeron de la génération Braswell, soit un N3050 (Dual Core à 1,6 GHz) couplé à 2 Go de RAM pour les NAS AS6102T et AS6104T. Par ailleurs, ceux de la série 62, à savoir le AS6202T et le AS6204T embarque un N3150 (Quad Core à 1,6 GHz) et 4 Go de RAM DDR3L, plus costaud donc. Pour ceux qui souhaitent plus de mémoire vive notamment pour faire de la virtualisation avec VirtualBox ou du traitement vidéo, sachez qu’il est possible d’augmenter jusqu’à 8 Go sur l’ensemble de ces modèles. Par ailleurs, le chiffrement AES-NI est pris en charge.

Asustor annonce les taux de transferts suivants : 224 Mo/s au maximum en lecture et 188 Mo/s en écriture pour les AS61, et 224 Mo/s au maximum en lecture également pour les AS62, avec par contre 220 Mo/s en écriture.

Pour les prix, Asustor n’a pour le moment pas communiqué à ce sujet, il faudra donc encore attendre pour comparer ces modèles à la concurrence sur le papier.

Enfin pour terminer et à propos de Kodi 15, il est à noter que la plupart des NAS équipés d’une sortie HDMI peuvent en profiter. Oui la plupart et plus particulièrement tous ceux des séries suivantes : 50, 51, 61, 62 et 7. Asustor continue sur sa lancée avec Kodi, puisqu’ils étaient déjà les seuls à proposer la version 14 de l’application multimédia.

Outlook 2013 : exporter et réimporter ses profils

mercredi 9 septembre 2015 à 11:30

I. Présentation

Ce tutoriel pourra vous faire gagner du temps si vous êtes amené à changer de machines, réinstaller votre machine, ou tout simplement si vous utilisez plusieurs machines. On ne va pas se le cacher, refaire sa configuration d’Outlook c’est ennuyeux, surtout si l’on a plusieurs comptes de messageries, avec des configurations particulières… Pour se simplifier la tâche, voici ce que je vous propose d’exporter et de réimporter :

Pour information, j’utilise Windows 8.1 avec Outlook 2013. Il y a surement plusieurs manières de procéder (peut être même des outils ?), en tout cas voici une méthode manuelle et fonctionnelle.

II. Exporter ses profils

La première étape – même si l’ordre n’a pas d’importance – consiste à exporter ses profils c’est à dire la configuration des différents comptes de messagerie dont vous disposez au sein de votre Outlook, au sein de votre session.

Pour réaliser cette tâche, on va exporter une partie du registre de Windows, qui comme d’habitude doit être manipulé avec précaution.

Commencez par ouvrir l’éditeur de registre (regedit), comme ceci :

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Parcourez le registre jusqu’à être positionné sur la clé suivante :

HKEY_CURRENT_USER\Software\Microsoft\Office\15.0\Outlook\Profiles\Outlook

Ensuite, sélectionnez-la et cliquez sur “Fichier” puis “Exporter“.

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Stocker le fichier d’export sur une clé USB – par exemple – pour l’importer facilement sur la machine de destination. Vérifiez bien lors de l’enregistrement que l’option “Branche sélectionnée” est active.

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Une fois l’export réalisé, vous obtiendrez un fichier .reg de quelques kilo-octets. Pour réinjecter ces données du registre sur la machine de destination, il suffit de double-cliquer sur le fichier .reg (sur la machine de destination où vous souhaitez que vos comptes soient présents) et d’accepter l’injection des données. Au final, vous allez obtenir le message suivant :

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Maintenant, démarrez Outlook. Un profil nommé “Outlook” doit apparaître, il contient nos comptes, cochez au passage “Définir comme profil par défaut” pour l’ouvrir automatiquement dans Outlook sous votre session. Cliquez sur “OK“.

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Pour chacun de vos comptes, il faudra ressaisir le mot de passe correspondant car par sécurité ils ne sont pas stockés dans le registre. Vous pouvez cocher l’option “Enregistrer ce mot de passe dans votre liste de mots de passe” pour ne plus avoir à le saisir à nouveau.

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Cette première phase de transferts de données est terminé, pendant qu’Outlook s’occupe de récupérer vos mails et de réaliser l’indexation, on va s’occuper du transfert des autres données.

III. Exporter et réimporter les contacts Outlook

Intéressons-nous aux contacts, sachant que selon la configuration de votre serveur ils sont peut-être stockés dessus et vous n’aurez pas à les réimporter, ils seront automatiquement chargés dans Outlook suite à la réimportation des comptes. Sinon, procédez comme suit.

Pour exporter les données, nous allons utiliser la fonctionnalité d’exportation intégrée à Outlook. Pour cela sur la machine où se situe vos contacts, cliquez sur “Fichier” et sous “Ouvrir et exporter” choisissez “Importer/Exporter“. Vous l’aurez compris, pour réimporter sur la seconde machine il faudra passer à nouveau par cette option.

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On sélectionne “Exporter des données vers un fichier“, cliquez sur “Suivant“.

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Pour obtenir les données dans un fichier de données CSV, on choisit “Valeurs séparées par une virgule“.

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Maintenant, il faut indiquer ce que l’on souhaite exporter, c’est à dire nos contacts dans ce cas précis.

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On indique le fichier de sortie, là encore on peut directement le sauvegarder sur une clé USB sous la forme d’un fichier .csv.

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Ce que l’on souhaite exporter ce sont les contacts, il faut donc cocher la case à gauche. De plus, en cliquant sur “Champs personnalisés” vous pouvez voir les données de la fiche contact qui seront ajoutées dans le fichier de sortie, vous pouvez en ajouter ou en retirer. Cliquez sur “Terminer“.

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Passons maintenant à l’importation des contacts dans Outlook.

Comme je le disais précédemment, mais cette fois-ci sur la machine de destination, on va dans l’assistant d’importation et d’exportation, choisissez cette fois-ci l’option “Importer à partir d’un programme ou fichier“.

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Indiquez le chemin vers le fichier CSV que l’on a obtenu suite à l’exportation. Pour l’option en dessous, vous pouvez demander à remplacer les doublons au cas où, mais normalement il y a des chances pour que votre liste de contacts soit vide.

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Enfin, il faut effectuer le mappage entre les données du fichier CSV et les champs de la fiche contact dans Outlook. Pour cela, procédez par glisser-déposer, par exemple prenez le nom du contact et faite le glisser sur la droite sur le champ “Nom“, etc. Cliquez sur “OK” pour exécuter l’importation.

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C’est terminé pour les contacts, passons à la dernière étape : les règles.

Note : Si besoin et si certaines données contiennent des erreurs, n’hésitez pas à éditer le fichier CSV qui n’est autre qu’un fichier de données en mode texte pour éditer les données comme vous le souhaitez.

IV. Exporter et réimporter les règles

Pour les règles, un assistant spécifique doit être utilisé. Au sein de l’interface Outlook, cliquez sur “Règles” puis sur “Gérer les règles et les alertes“.

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Tout simplement, cliquez sur “Options” et sur “Exporter les règles“. Enregistrez sous un fichier que vous devez transférer sur l’autre machine.

Vous devez exporter le règles pour chaque compte, il ne s’agit pas d’un fichier global. Il faudra ensuite réimporter tout vos fichiers de règles, il y en a un par compte. Il suffit au préalable de sélectionner votre adresse e-mail dans la liste de la fenêtre “Règles et alertes” et de refaire un export.

export-outlook-20Sur la seconde machine, effectuez la même opération en choisissant “Importer les règles” et indiquer le chemin vers votre fichier. La réimportation va s’effectuer… Il se peut que quelques règles soient en erreur, dans ce cas corrigez-les. Généralement, il s’agit de corrections mineures à apporter, si correction il y a…

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Le transfert des données est désormais terminé, tout doit être fonctionnel. Il manquera quelques éléments, comme par exemple vos signatures (rapide à recréer), ou encore le cache de saisie des adresses e-mails lorsque l’on saisit un mail, mais l’essentiel est là !

Acer Revo Build : Un mini-PC modulaire

jeudi 3 septembre 2015 à 11:10

À l’occasion du salon IFA 2015 qui a lieu en ce moment, de nombreux fabricants présentent de nouveaux produits. Aujourd’hui, je vous présente rapidement la machine Acer Revo Build qui propose un concept intéressant.

La gamme des PCs miniatures Revo de chez Acer est actualisée et voit un nouveau membre rejoindre la famille, le Revo Build, une machine modulaire.

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Vous allez me dire, les ordinateurs de bureau sont toujours modulaires puisqu’il suffit d’ouvrir le boitier et on peut ajouter ou retirer des pièces. Certes, mais ce n’est pas toujours une chose simple pour tout le monde et ça demande de manipuler les pièces… Acer propose avec son Revo Build d’ajouter des blocs de son choix avec une superposition par aimants, pour permettre de changer la configuration de la machine de façon simple. Le contact quant à lui est effectué par des connecteurs à pins.

De base, le Revo Build est un boitier carré de 125 mm, sur lequel on pourra envisager d’ajouter dans un premier temps un bloc audio qui contient des enceintes et un micro ou encore un bloc pour le stockage qui pourra être utilisé comme disque dur externe quand on le débranche.

La configuration d’entrée de gamme comprenant un processeur Intel Celeron, 2 Go de RAM et 32 Go de stockage sera proposée à 199 euros. Pour monter un peu en gamme, à savoir avec un Intel Pentium, 8 Go de RAM et 1 To de stockage il faudra compter entre 450 et 500 euros. Pour le prix des blocs, il n’y a pas d’indication pour le moment.

Enfin, le Revo Build devrait être disponible au mois d’octobre.

Source