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ProtonMail ouvre la bêta de ProtonCalendar à tous les utilisateurs

jeudi 15 avril 2021 à 12:45

ProtonCalendar, le calendrier chiffré de bout en bout de chez ProtonMail est désormais disponible pour tous les utilisateurs, toujours dans sa version bêta. Jusqu'ici, l'accès était réservé aux utilisateurs payants de ProtonMail.

ProtonMail, y compris tous les services et tous les serveurs associés, sont basés en Suisse. Ce service mise sur la sécurité et le respect de la vie privée des utilisateurs, notamment en s'appuyant sur du chiffrement de bout en bout, et aussi en hébergeant l'intégralité de ses données en Suisse.

ProtonCalendar s'inscrit totalement dans cette démarche et pour le moment les fonctionnalités proposées sont plutôt basiques : créer, modifier et supprimer un événement, qu'il soit unique ou récurrent, définir des rappels et gérer des invitations de rendez-vous. Le tout dans le respect de la vie privée et de la confidentialité de l'utilisateur. Il y a tout de même un mode sombre, ce qui devrait ravir certains utilisateurs 😉

La bonne nouvelle, c'est qu'il est possible d'importer un calendrier existant pour faciliter la transition vers ProtonCalendar, par exemple à partir de Google Agenda. L'importation est limitée à 15 000 événements, ce qui est déjà confortable.

ProtonCalendar est accessible depuis un navigateur, que ce soit sur votre ordinateur, sur smartphone ou tablette. Pour Android, il existe une application tandis que pour iOS, le développement est en cours : actuellement l'application est en bêta. L'adresse pour accéder à ce service est la suivante : calendar.protonmail.com. Il suffit d'utiliser ses identifiants ProtonMail pour se connecter.

Pour rappel, ProtonMail est proposé gratuitement avec certaines limitations et il existe des abonnements payants pour débloquer des fonctionnalités supplémentaires. En complément, la solution VPN baptisée ProtonVPN est également incluse dans les offres payantes, tout comme la possibilité d'avoir un espace de stockage de quelques giga-octets. La formule payante commence à partir de 6,25 euros par mois et par utilisateur.

➡ A vous de jouer : ProtonMail

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Chrome 90 : HTTPS comme protocole par défaut, 37 vulnérabilités corrigées, etc.

jeudi 15 avril 2021 à 09:29

Google Chrome 90 est disponible au téléchargement ! Cette nouvelle version s'accompagne de quelques changements et nouveautés, mais Google a corrigé également 37 failles de sécurité, dont une Zero-Day.

Chrome 90 : 37 failles de sécurité corrigées

Près de 40 failles de sécurité corrigées par Google à l'occasion de la sortie de Chrome 90. Il semblerait que Google ait pris la décision de repousser d'une journée la sortie de Chrome 90 pour corriger la faille Zero-Day dévoilée publiquement sur Twitter en début de semaine. Pour rappel, il s'agit d'une faille utilisée aussi lors de la compétition de hacking Pwn2Own.

Rien que pour cette raison, je vous recommande de mettre à jour Chrome dès que possible. Pour le faire sur votre machine, il suffit d'ouvrir le menu en haut à droite, d'aller dans "Aide" puis "A propos de Google Chrome". Ensuite, le navigateur va automatiquement vérifier la présence d'une nouvelle mise à jour.

La liste de toutes les CVE corrigées est disponible ici.

Nouveautés Chrome 90

Chrome 90 : HTTPS par défaut, encodeur AV1, protection attaque NAT Slipstreaming, etc.

➡ HTTPS par défaut

Avec Chrome 90, le protocole HTTPS devient le protocole par défaut à la place de HTTP : qu'est-ce que cela signifie ? Lorsque vous tentez d'accéder à un site via la barre d'adresse sans spécifier le protocole, c'est-à-dire sans indiquer "http://" ou "https://" en début d'adresse, Chrome va automatiquement utiliser le protocole HTTPS et ajouter "https://". Un changement qui n'est pas sans conséquence pour tous les sites non sécurisés et toutes les applications en entreprise accessible par via HTTP : il va falloir prévenir vos utilisateurs ou déployer des favoris dans le navigateur Chrome si ce n'est pas déjà fait, simplement pour éviter les problèmes.

Pour les sites accessibles en HTTPS, il y a généralement une redirection HTTP vers HTTPS : le fait d'ajouter HTTPS nativement va permettre d'éviter cette redirection, ce qui peut représenter un léger gain en performance.

Google précise que pour les adresses basées sur une adresse IP ou un nom réservé comme "localhost" ou "test", le protocole par défaut restera HTTP.

➡ Encodeur AV1

Chrome 90 intègre un nouvel encodeur AV1 qui a pour objectif d'améliorer les performances avec les outils de webconférences qui s'appuie sur la technologie WebRTC. Pour améliorer les perfs, cela passe par une compression plus efficace, ce qui se traduira par une réduction de la consommation de la bande passante et une meilleure qualité vidéo. Google met en avant un gain sur le partage d'écran mais aussi sur l'utilisation de la vidéo sur des réseaux avec une bande passante très faible.

➡ Recherche dans les groupes d'onglets

Google continue de déployer la fonctionnalité "Tab Search" à tous les utilisateurs, nativement, sans avoir à l'activer dans la configuration du navigateur. Elle permet de rechercher un onglet facilement : vous saisissez un mot clé et le navigateur vous sort tous les onglets ouverts correspondants. Bien pratique si l'on a plusieurs dizaines d'onglets ouverts en même temps : une pratique courante, je dis ça, je dis rien 😁

➡ Attaque NAT Slipstreaming

Pour vous protéger des attaques du type "NAT Slipstreaming", Google a pris la décision de bloquer les requêtes HTTP, HTTPS et FTP qui s'appuient sur le port 554. Ce port a déjà été bloqué mais Google l'avait débloqué car les développeurs n'étaient pas content. Après analyse, Google a pris la décision de le bloquer une nouvelle fois puisqu'il y aurait seulement 0,00003% des requêtes qui utilisent ce port. Avec une attaque de type NAT Slipstreaming, l'attaquant peut passer outre le NAT de votre routeur et accéder à votre réseau local.

Source

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Faut-il opposer SEO et SEA ?

jeudi 15 avril 2021 à 06:00

La présence sur internet est aujourd'hui incontournable pour toute entreprise souhaitant se développer rapidement. Toutefois, dans un contexte où la concurrence est de plus en plus rude, il ne suffit plus seulement d'être présent sur la toile, il faut également y être visible. Pour ce faire, il existe plusieurs solutions, dont le SEO et le SEA. Mais faut-il donc opposer ces deux techniques ou au contraire, les combiner ? Découvrez quelques éléments de réponse dans cet article.

SEO et SEA : en quoi diffèrent ces deux techniques de référencement ?

Tout comme le SEA (Search Engine Advertising) ou référencement payant, le SEO (Search Engine Optimization) ou référencement naturel est une technique qui permet d'améliorer la visibilité d'une entreprise et plus précisément de son site web sur internet. Et ce, dans le but de générer plus de trafic qualifié sur le site web en question.

Concrètement, le SEO consiste à positionner le site web d'une entreprise sur la première page de résultats des moteurs de recherche, notamment de Google. Lorsqu'il est bien mené, il permet de faire apparaître le site web de votre entreprise sur la ligne de flottaison, c'est-à-dire dans la partie visible des résultats qui ne nécessite pas de faire descendre la fenêtre d'exploration. Il permet donc non seulement d'être visible, mais aussi et surtout d'être bien positionné dans les résultats des moteurs de recherche. Pour ce faire, il est nécessaire d'avoir recours à différents critères on-page (choix des mots-clés, architecture du site, structure des liens internes, vitesse de chargement des pages…) et des critères off-page (netlinking, popularité du site, benchmark concurrentiel…)

En ce qui concerne le SEA, ou le recours aux Google Adwords, il consiste à engager une campagne publicitaire pour faire apparaître le site web de l'entreprise en fonction des mots-clés recherchés par les internautes.

SEO et SEA

Le coût

Comme leurs noms l'indiquent, la principale différence entre référencement naturel et payant réside surtout dans leur coût de mise en œuvre. En effet, recourir au SEO n'entraîne aucun coût si vous ne faites pas appel à une agence spécialisée, mais que vous vous en chargez en interne au sein de votre entreprise.

Dans ce cas, il faudra s'assurer que vous disposez des talents nécessaires pour ce faire et que ces derniers pourront affecter du temps suffisant en ce sens. Et pour cause, le SEO requiert d'une part un travail d'investigation assez conséquent pour l'identification des bonnes expressions-clés et d'autre part, la maîtrise de plusieurs techniques pour l'adaptation des contenus du site web au bon référencement naturel de celui-ci.

Contrairement au SEO, le SEA demande un investissement financier pour chaque action publicitaire que vous allez mener en faveur de votre site web. Et ce, que vous le confiiez à une agence spécialisée ou non.

Dans les faits, le SEA se fonde sur un système d'enchères. Vous achetez un ou plusieurs mots-clés – tout dépend de votre budget – qui permettront de rendre visible le site web de votre entreprise lorsque les internautes font une recherche contenant le(s) mot(s)-clé(s) choisi(s).

De manière générale, le coût d'une action publicitaire est calculé sur le nombre de clics. Mais il peut également dépendre du nombre d'impressions de l'annonce publicitaire (coût pour mille) ou encore d'une action précise telle que l'acquisition d'une adresse électronique suite au remplissage d'un formulaire de contact par exemple.

La stratégie

Si vous recherchez des résultats immédiats, ou du moins rapides, il est vivement conseillé d'opter pour le SEA. Ce type de référencement vous permet de booster rapidement la visibilité de votre site web avec une bonne maîtrise des coûts.

Toutefois, pour que cette stratégie porte ses fruits, il est primordial de bien choisir les mots-clés et de bien travailler la qualité des annonces. Il faut garder à l'esprit que plus le choix des mots-clés sera volumineux, plus vous devrez mettre en place des campagnes publicitaires, ce qui pourra demander un budget relativement important.

Si vous raisonnez sur le moyen ou le long terme par contre et que vous recherchez des résultats pérennes, tournez-vous vers le SEO. Sa mise en place peut prendre du temps, mais les résultats sont durables.

SEO et SEA : pourquoi faut-il les combiner ?

De nos jours, tous les moyens sont bons pour rendre visible le site internet de votre entreprise. Ainsi, il n'est aucunement nécessaire de choisir entre le SEO et le SEA. Combiner ces deux techniques de référencement complémentaires vous permettra de booster de manière significative les visites sur votre site web. Cette démarche vous permettra par ailleurs de ne pas être trop dépendant de l'une ou l'autre de ces techniques, ce qui vous assure de générer un minimum de trafic en toutes circonstances.

Le SEO vous permet d'améliorer naturellement et durablement la visibilité du site internet de votre entreprise. Il garantit votre présence sur les moteurs de recherche. Le SEA de son côté vous permet d'obtenir un trafic de qualité en temps voulu. Il permet de cibler un public bien précis, ce qui promet un retour sur investissement optimal.

SEO VS SEA 2021

En combinant ces deux techniques donc, vous vous assurez d'attirer du trafic rapidement grâce au SEA, et ce, en attendant que les effets du SEO se fassent ressentir sur le moyen ou le long terme. Toutefois, recourir à deux stratégies de référencement en même temps vous permet également de :

Il faut savoir que si le SEA impacte fortement le SEO, et la réciproque est aussi vraie. En effet, le Quality score d'une campagne publicitaire augmentera automatiquement dans Google Ads sur un site web optimisé pour le SEO. Pour rappel, le Quality Score est une note affectée à chaque mot-clé et attribuée par Google – le moteur de recherche le plus utilisé en France – afin d'évaluer la pertinence d'une campagne publicitaire.

Cette note impacte le classement des annonces publicitaires et par conséquent les performances des campagnes publicitaires, car Google accorde beaucoup de crédit à la pertinence des résultats proposés aux internautes du fait que c'est ce qui lui assure la fidélité des utilisateurs.

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Patch Tuesday – Avril 2021 : la NSA découvre 4 nouvelles failles dans Exchange

mercredi 14 avril 2021 à 21:03

Ce Patch Tuesday d'Avril 2021 est encore riche en correctifs ! Au total, Microsoft a corrigé 108 vulnérabilités, dont 5 failles Zero-Day. La NSA de son côté a dévoilé quatre failles au sujet de Microsoft Exchange.

Parmi ces 108 failles de sécurité, il y en a 89 qui sont classées comme étant importantes et 19 considérées comme critiques. Ce qui est plus gênant, ce sont les 5 vulnérabilités zero-day corrigées par ce correctif mensuel. Les produits touchés sont divers et variés comme chaque mois, en voici quelques-uns : Hyper-V, Visual Studio Code, Windows Installer, le noyau Windows, le pilote TCP/IP de Windows, Windows Media Player, etc... mais aussi de nombreuses failles dans Windows RPC Runtime.

Pour Windows 10, voici les mises à jour cumulatives d'Avril 2021 :

- KB5001340 pour Windows 10 version 1507
- KB5001347 pour Windows 10 version 1607
- KB5001339 pour Windows 10 version 1803
- KB5001342 pour Windows 10 version 1809
- KB5001337 pour Windows 10 version 1909
- KB5001330 pour Windows 10 v2004 (20H1) et 20H2

Cinq failles Zero-Day

Parlons de ces failles Zero-Day... La bonne nouvelle, c'est qu'il n'y en a 4 parmi les 5 qui n'ont pas été exploitées par les hackers pour le moment. Il y a notamment une faille qui touche le système de fichiers NTFS et qui permet une attaque par déni de service. Voici le nom des vulnérabilités en question :

- CVE-2021-27091
- CVE-2021-28312
- CVE-2021-28437
- CVE-2021-28458

La mauvaise nouvelle, vous l'aurez compris, c'est qu'il y en a une qui est déjà exploitée. En l'occurrence, la faille référencée sous le nom CVE-2021-28310 serait exploitée par le groupe BITTER APT, mais aussi d'autres groupes, d'après l'éditeur Kaspersky. D'ailleurs, c'est le chercheur en sécurité de chez Kaspersky, Boris Larin, qui a fait cette découverte. Cette vulnérabilité permet une élévation de privilèges au sein de Windows à partir d'une attaque locale. Windows 10 est concerné par cette vulnérabilité, mais également Windows Server.

La NSA découvre quatre nouvelles failles dans Exchange

La solution de messagerie Microsoft Exchange continue sur sa lancée du mois dernier, même si l'on s'en serait bien passé. Dans la continuité des failles critiques déjà corrigées le mois dernier par Microsoft, cette fois-ci c'est la NSA, l'Agence de Sécurité Américaine, qui dévoile 4 failles critiques situées dans Exchange. Il s'agit de quatre vulnérabilités qui permettent une exécution de code à distance, voici leur petit nom :

- CVE-2021-28480
- CVE-2021-28481
- CVE-2021-28482
- CVE-2021-28483

Plusieurs versions d'Exchange sont touchées : Exchange 2013, Exchange 2016 et Exchange 2019. Plus précisément, des mises à jour sont disponibles pour les versions suivantes : Exchange Server 2013 CU23, Exchange Server 2016 CU19 et CU20, et Exchange Server 2019 CU8 et CU9. Il est à noter qu'il faut installer la bonne CU avant de pouvoir installer le correctif, comme l'explique Microsoft :

Failles NSA Exchange

Microsoft en profite pour préciser que les utilisateurs d'Exchange Online ne sont pas concernés par cette vulnérabilité. Plus d'informations sont disponibles sur une page dédiée pour ces nouvelles vulnérabilités qui touchent Exchange : CVE Exchange - Avril 2021

J'en profite également pour vous informer que Google a publié une mise à jour pour Chrome dans le but de corriger la faille de sécurité zero-day diffusée sur Twitter par Rajvardhan Agarwal, un chercheur en sécurité. Edge bénéficie lui aussi d'une mise à jour pour corriger plusieurs failles de sécurité.

Source

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Comment arrêter ou redémarrer Debian 10 ?

mercredi 14 avril 2021 à 09:15

I. Présentation

Dans ce tutoriel, je vais vous expliquer comment arrêter Debian 10 ou comment redémarrer Debian 10 à l'aide de la commande systemctl intégrée à Systemd.

Comme d'autres distributions, Debian 10 intègre Systemd et hérite par conséquent de nombreux outils pour manipuler le système. On retrouve notamment l'utilitaire "systemctl" qui va permettre de gérer les services, mais aussi l'alimentation du système, comme nous allons le voir.

II. Commande pour arrêter Debian 10

Que ce soit pour arrêter ou redémarrer le système Debian 10, il faut disposer des droits nécessaires. Vous pouvez utiliser le compte "root" ou sinon "sudo" avec votre utilisateur, à condition d'avoir la délégation nécessaire pour utiliser ces commandes.

Pour arrêter Debian 10, on va utiliser l'option "poweroff", ce qui donne :

systemctl poweroff

Suite à l'exécution de cette commande, la machine va arrêter tous les processus et services dans le but de s'éteindre complètement. Disons qu'elle va se mettre hors tension. Par contre, si l'on utilise "halt" à la place de "poweroff", la machine va s'arrêter et interrompre l'exécution du système, mais sans s'éteindre complètement.

Voici la commande à titre indicatif, mais préférez celle ci-dessus :

systemctl halt

Enfin, pour planifier un arrêt, je n'ai pas connaissance d'une option avec "systemctl poweroff", par contre on peut réutiliser la commande "shutdown" si elle est disponible sur votre système.

Il suffit de spécifier l'heure à laquelle vous souhaitez arrêter le système. Par exemple, pour éteindre le serveur à 23:00 :

shutdown --poweroff 23:00

La machine s'éteindre complètement à l'heure que vous le souhaitez.

III. Commande pour redémarrer Debian 10

Dans le même esprit, on va simplement remplacer "poweroff" par "reboot" pour redémarrer Debian 10 :

systemctl reboot

Quelques commandes très simples, mais qu'il faut connaître, que ce soit vos premiers pas avec Debian ou que vous venez de passer d'une ancienne version à celle-ci. Pensez à utiliser l'option "poweroff" plutôt que l'option "halt" qui n'éteint pas complètement la machine.

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