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Outlook.com s’ouvre à Gmail et Google Drive

vendredi 22 novembre 2019 à 09:38

Aujourd'hui, on va parler Outlook.com et Google. En effet, Microsoft va proposer une intégration entre Outlook.com et les services de Google (Drive, Agenda et Gmail). Ce titre peu paraître étonnant, mais finalement plus tant que ça puisque Microsoft s'ouvre aux autres depuis quelques temps maintenant...

En bref, Microsoft souhaite qu'à partir de l'interface Outlook.com vous puissiez consulter votre agenda, vos e-mails de Gmail et accéder à vos fichiers de votre Google Drive, notamment pour les joindre à un e-mail. Microsoft teste actuellement cette intégration auprès de certains utilisateurs du service Outlook.com.

Finalement, c'est plutôt intéressant si vous avez un compte Gmail et un compte Microsoft, cela permettra de tout gérer à partir d'une interface unique ! 🙂

Draw.io : une alternative à Visio, multiplateforme et 100% gratuite

jeudi 21 novembre 2019 à 09:15

I. Présentation

Il y a plusieurs mois, je vous présentais le logiciel Edraw en tant qu'alternative à Visio et un dénommé @moubai avait laissé un commentaire pour mentionner l'outil Draw.io. J'ai pris le temps de regarder cet outil et il me semble tout à fait intéressant donc il mérite que j'écrive quelques lignes à son sujet 😉

L'outil Draw.io sert à dessiner des diagrammes en tout genre et il est entièrement gratuit ! Il n'existe pas de version payante permettant d'accéder à des fonctions supplémentaires.

II. Draw.io : un outil multiplateforme

Comme mentionné dans le titre de cet article, Draw.io est un outil multiplateforme car il est accessible de différentes manières. En effet, tout d'abord simplement à l'aide de votre navigateur en accédant à l'adresse draw.io et c'est parti !

A part ça, Draw.io peut-être installé en tant que client lourd pour les systèmes d'exploitation suivants :

Directement disponible à partir de GitHub : Draw.io client lourd

III. Draw.io en mode intégration

Au-delà de la version web disponible à tous, il y a également la possibilité d'auto-héberger Draw.io sur son propre serveur, ce qui est plutôt intéressant 🙂

Pour intégrer Draw.io sur votre infrastructure locale, il y a plusieurs options :

L'intégration est également possible avec OneDrive et Google Drive pour stocker les fichiers directement sur le Cloud. Sur le même principe, ceux qui utilisent Nextcloud apprécieront de pouvoir sauvegarder les schémas directement sur leur Cloud privé.

IV. Draw.io et les fichiers VSDX

Parlons maintenant d'un point important : la compatibilité entre Draw.io et Visio. Le format VSDX est celui utilisé par le logiciel Visio de Microsoft. Sachez qu'un fichier VSDX peut-être ouvert et modifié avec Draw.io 👍

En complément, il sera aussi possible d'exporter une création au format VSDX pour continuer l'édition dans Visio par la suite (fonctionnalité en version bêta). C'est interopérabilité entre les deux logiciels est une bonne nouvelle et peut éviter bien des galères. La compatibilité s'applique aussi aux fichiers VSD (Visio d'ancienne version).

Au sujet de l'importation de gabarits Visio dans Draw.io, ça ne fonctionne pas avec les fichiers VSS correspondant aux anciennes versions de Visio. Par contre, avec les fichiers VSSX ça fonctionne parfaitement. Il y a un très beau pack d'icônes à récupérer sur le site Technet à cette adresse : Visio VSSX exemple

On peut ensuite ouvrir l'un des fichiers dans Draw.io :

Sinon, nativement Draw.io intègre déjà un nombre d'icônes conséquent, beaucoup autour de l'administration système et réseau (ça tombe bien) mais aussi des icônes plus généralistes.

Comme sur Visio, il est possible de gérer la taille des formes, de créer des liaisons entre les éléments (traits courbés ou traits droits), là où Draw.io se montre light c'est sur la personnalisation des formes. En effet, il n'est pas possible de modifier la couleur d'une forme, comme on pourrait le faire dans Visio grâce aux différents thèmes de couleurs qui permettent en deux clics de changer tout le design d'un schéma.

J'aurais tendance à dire que pour faire des schémas, Draw.io est amplement suffisant. Après, peut-être que pour des créations avancées et vraiment lourdes, qui vont au-delà du simple schéma il montrera ses limites. N'empêche que Draw.io reste une bonne solution pour créer des schémas propres sans débourser un centime ! 😉

A partager sans modération...

Amazon Music devient gratuit, avec des publicités

mercredi 20 novembre 2019 à 13:20

Jusqu'ici, le service de streaming Amazon Music était accessible uniquement sur abonnement, ou partiellement pour les membres Amazon Prime. Désormais, le service est accessible gratuitement, avec des publicités.

Il y avait tout de même une exception à la règle : le service était depuis peu gratuit lorsque l'on utilisait Alexa pour démarrer la musique, que ce soit à partir d'une enceinte Amazon Echo ou un autre appareil qui intègre l'assistant d'Amazon.

Amazon veut frapper fort puisque cette gratuité s'étend désormais aux applications Android, iOS, en ligne et via Fire TV. En contrepartie, le financement est réalisé à l'aide de la publicité.

Pour accéder gratuitement au service Amazon Music, il suffit de disposer d'un compte Amazon. Il n'est pas nécessaire d'être membre du club Amazon Prime. La bonne nouvelle c'est qu'aucun numéro de carte bancaire ne sera demandé. Par contre, cette version est tout de même bridée comme celle de Spotify : accès uniquement à des playlists et des pseudo-radios liées à des styles de musiques et des artistes.

Pour rappel, les membres Amazon Prime accèdent gratuitement à une sélection de 2 millions de titres, alors que pour les personnes abonnées (9,99 € par mois), il y a plus de 50 millions de titre et aucune publicité.

Suite à cette annonce, l'action en bourse de Spotify a chuté de 5% dans la foulée. Celle d'Amazon a grimpée de 0,5%.

Pour ceux qui veulent, jusqu'au 6 janvier 2020, Amazon propose une offre pour profiter d'un abonnement Amazon Music Unlimited à 0,99 euro pour 4 mois, au lieu de 9,99 euros par mois.

Pour en profiter : Promo Amazon Music Unlimited

NTP : la synchronisation temporelle avec Chrony

mercredi 20 novembre 2019 à 09:20

I. Présentation

On a déjà mentionné l’utilisation d’une synchronisation temporelle de type NTP dans des tutoriels ou des cours. Mais, je veux aujourd’hui vous parler d’un petit utilitaire qui peut parfaitement effectuer le travail du protocole NTP : à savoir chrony et de ses outils, permettant de mettre en place une synchronisation temporelle efficace et sécurisée sur l’ensemble des serveurs d’une même infrastructure.

Son installation est des plus simples et son utilisation est vraiment basique, ce qui fait de ce logiciel un allié précieux pour ce qui touche à la synchronisation de l’horloge des machines d’un réseau. Chrony s’appuie sur une implémentation souple du protocole Network Time Protocol (abrégé en NTP). Il est utilisé pour synchroniser les horloges système de différents serveurs NTP, ou d’horloges de référence, ou encore pour être manipulé de façon manuelle.

L’outil Chrony est généralement installé avec deux programmes essentiels à son bon fonctionnement :

II. Installation de chrony

Nous effectuerons cette installation sur une distribution CentOS7, aussi, la commande à exécuter est la suivante :

# yum -y install chrony

Bien évidemment, sur un système un tant soit peu sécurisé, il n’est pas nécessaire d’utiliser le compte root pour piloter Chrony. On peut parfaitement exécuter la commande depuis un compte avec délégation :

$ sudo yum -y install chrony

Après son installation, il convient de démarrer le service via la commande suivante :

$ sudo systemctl start chronyd

Il faut également vérifier son état afin de voir s’il n’y a eu aucune erreur au démarrage. Il suffit d’exécuter la commande ci-dessous :

$ sudo systemctl status chronyd

Il convient également d’activer le service dès le démarrage du système. Pour cela, on doit alors exécuter la commande suivante :

$ sudo systemctl enable chronyd

Normalement, on devrait voir l’affichage suivant :

III. Vérification de synchronisation

Afin de vérifier si le serveur est actuellement synchronisé il suffit d’utiliser la commande chronyc avec l’option tracking.

$ sudo chronyc tracking

Cette dernière fournit des informations précise sur l’état de la synchronisation temporelle :

Quelques explications concernant les différentes valeurs. On trouve en premier lieu, la référence temporelle Reference ID (à la fois sous forme d’une chaîne hexadécimale (5E171485) et aussi sous la forme littérale correspondant au serveur de référence (ici, il s’agit du serveur ah.e-lista.pl), dont l’adresse est 94.23.20.133.

Ensuite, on trouve respectivement les valeurs suivantes :

Après quoi, on peut vérifier la ou les sources de synchronisation en interrogeant encore la commande chronyc avec l’option sources :

$ sudo chronyc sources

Cela permet de faire afficher l’ensemble des sources de synchronisation. Celle utilisée par défaut est marquée d’un caractère ‘*’ en début de ligne :

IV. Configuration de chrony

La configuration de Chrony se fait via le fichier /etc/chrony.conf pour une distribution CentOS. Dans le fichier on trouve généralement les lignes principales suivantes :

# NTP servers à utiliser pour la synchronisation
server 0.centos.pool.ntp.org iburst
server 1.centos.pool.ntp.org iburst
server 2.centos.pool.ntp.org iburst
server 3.centos.pool.ntp.org iburst

# Quelle distance doit être ajoutée par stratum à la synchronisation source
stratumweight 0

# localisation et nom du fichier contenant les données de drift
driftfile /var/lib/chrony/drift

# correction automatique graduelle en accélérant ou ralentissant l’horloge
makestep 10 3

# Fichier de traces et logs
logdir /var/log/chrony

REMARQUE : on peut également souhaiter fixer l’horloge système immédiatement et ignorer les ajustements de configuration. Pour cela, on doit exécuter la commande ci-dessous.

$ sudo chronyc makestep

Une modification importante consiste à forcer la synchronisation via des serveurs français pour être au plus près de notre infrastructure. Pour cela, il suffit de fixer les serveurs aux valeurs suivantes :

server 0.fr.pool.ntp.org iburst
server 1.fr.pool.ntp.org iburst
server 2.fr.pool.ntp.org iburst
server 3.fr.pool.ntp.org iburst

Si l’on souhaite limiter Chrony à la machine locale on doit indiquer dans le fichier de configuration les lignes suivantes :

allow 127/8
bindcmdaddress 127.0.0.1

Il est également possible de transformer le serveur Linux en serveur NTP. Pour se faire, le port UDP/123 réservé au protocole NTP doit être ouvert et il suffit ensuite d’ajouter les lignes ci-dessous au fichier de configuration :

allow 127/8
allow 10/8
allow 172.16/12
allow 192.168/16
bindcmdaddress 0.0.0.0

V. Sécurisation de chrony

Étant donné que l’accès via chronyc autorise à modifier le daemon chronyd à l’instar de la modification directe au travers du fichier de configuration, l’accès à chronyc doit être restreinte. On peut ainsi spécifier des mots de passe en ASCII ou hexadécimal, dans un fichier de clé afin de limiter l’utilisation de la commande chronyc.

Une directive est utilisée pour restreindre l’utilisation de commandes opérationnelles et est désignée comme étant la commande clé. Dans la configuration par défaut de chronyc, une commande clé de commande aléatoire est automatiquement générée à l’initialisation du service. On ne devrait donc pas à avoir à la spécifier ou à la modifier manuellement.

REMARQUE : il existe d’autres directives dans le fichier clé pouvant être utilisées comme clé NTP afin d’authentifier les paquets reçus de serveurs ou d’unités NTP distantes.

Les deux membres d’un échange NTP doivent partager une clé avec un identifiant (que l’on retrouve dans le champ Reference ID), un type de hachage et un mot de passe identique, au sein de leur fichier de clé. Cela nécessite alors la génération manuelle des clés. Il faut également les copier au moyen d’une méthode sécurisée telle que SSH.

En résumé, si l’identifiant clé est 25, alors les systèmes agissants en tant que client doivent disposer d’une ligne dans leur fichier de configuration sous le format suivant :

server A.B.C.D key 25
peer A.B.C.D key 25

L’emplacement du fichier de clé est généralement mentionné dans le fichier /etc/chrony.conf. L’entrée par défaut est spécifiée sous la forme :

keyfile /etc/chrony.keys

Le numéro de la clé de commande est également mentionné dans le fichier de configuration via la directive commandkey. Cela mentionne la clé que le daemon chronyd utilisera pour l’authentification des commandes utilisateurs :

commandkey 1

Voici un exemple du format que le fichier /etc/chrony.keys peut prendre :

En début de ligne on retrouve l’ID de la clé (ici 1), suivi du mode de hachage (SHA1) et du format de la clé en hexadécimal. Cette clé est générée aléatoirement lorsque le daemon a été initialisé pour la première fois. Une entrée manuelle dans le fichier de clé, utilisée pour authentifier les paquets de certains serveurs ou référence NTP peut être aussi simple que la ligne suivante :

25 MyKey

25 est bien sûr l’identifiant clé et ‘MyKey’ est la clé d’authentification secrète. Par défaut, le hachage utilisé est MD5 et le format de la clé est présenté sous forme ASCII.

De plus, par défaut, le daemon chronyd est configuré pour écouter les commandes en provenance de localhost (127.0.0.1 et/ou ::1 en IPv6), sur le port 323. Ainsi, pour accéder à chronyd à distance via la commande chronyc, toutes les directives bindcmdaddress devront être supprimées du fichier de configuration, afin de permettre l’écoute sur toutes les interfaces pour l’ensemble des interfaces.

Toutefois, la directive cmdallow devra être activée pour autoriser uniquement les commandes en provenance de l’adresse IP distante. On peut également sélectionner un réseau ou un sous-réseau distant. Bien sûr, le port 323 doit être ouvert au niveau des pare-feu pour autoriser les connexions d’un système distant.

REMARQUE : la directive allow permet l’accès NTP et la directive cmdallow active la réception des commandes distantes. Il ne faut les confondre. Toutefois, on peut activer une option via le mode interactif chronyc. Mais, pour rendre les modifications permanentes, il faut modifier le fichier /etc/chrony.conf et redémarrer le service.

L’utilisation de ce service doit être autorisé en exécutant les commandes authhash et password suivante :

chronyc> authhash SHA1
chronyc> password HEX:7A2A67C0DBC1F0F16651B233EAC17361E81EA765

Si la commande chronyc est utilisée pour configure le daemon local chronyd, ces commandes peuvent être passées directement via l’option -a.

VI. Conclusion

Voilà, cela fait un moyen supplémentaire sécurisé d’ajuster la synchronisation temporelle entre serveurs. Il s’agit là d’une technique simple et pratique. Le seul package à installer est celui de Chrony. De plus, cet utilitaire fournit une interface en ligne de commande permettant de dialoguer interactivement avec le système :

Rien de mieux pour interroger les différentes commandes et connaître les options à utiliser dans un script ou une tâche planifiée. Les communications entre le daemon chronyd et le mode commande chronyc s’effectue en UDP. Il convient évidemment de l’autoriser pour pouvoir exécuter des commandes opérationnelles.

Test Aukey Key Series EP-T10, les écouteurs 100% sans-fil

mardi 19 novembre 2019 à 13:28

I. Présentation

La société AUKEY conçoit et fabrique des produits et accessoires électroniques pour le grand public, comme nous avons déjà pu le voir au travers des articles récents sur AUKEY. Ils proposent notamment différents modèles d’écouteurs Bluetooth (modèle avec ou sans-fil) avec la série AUKEY Key Series. Aujourd’hui, je vais vous présenter le modèle d’écouteurs AUKEY EP-T10, de la série Key Series, 100% sans-fil.

Voici quelques caractéristiques :

- Boutons multifonctions tactiles

- Protection IPX5

- Fréquence : 20 Hz - 20 KHz

- Connexion Bluetooth 5.0

- Un microphone dans chaque oreillette (puce MEMS)

- Sensibilité du microphone : 42dB +3dB

- Poids : 9 grammes (la paire)

Pour rappel, l'indice de protection IPX5 indique une résistance aux jets d'eau mais pas à la submersion.

II. Package et Design

Commençons par regarder le contenu du carton. Les écouteurs sont livrés avec :

Continuons maintenant en regardant le design des écouteurs et du boitier.

Les écouteurs sont gris foncé. Le logo propre à la série Key Series est inscrit en argenté sur les boutons multifonctions. Sous le logo, une LED permet d’indiquer l’état des écouteurs.

Passons maintenant à la base. Elle est de la même couleur que les écouteurs (grise), le logo est lui aussi présent en argenté sur le dessus. Les écouteurs sont fixés de façon magnétique sur deux connecteurs permettant leur rechargement. Un couvercle pivotant permet de refermer la base et de protéger les écouteurs.

Sur le devant de la base, on remarque 4 voyants qui indiquent le niveau de chargement de celle-ci. A l’arrière un port USB-C permet de la recharger.

III. Utilisation

A. Connexion à l’appareil

Maintenant que nous avons déballé notre nouveau joué, regardons comment il fonctionne.

Pour démarrer les écouteurs, il faut tout simplement les retirer du boitier de charge. Une notification vocale dit « Power On » pour vous informer que les écouteurs ont bien démarré. Une autre notification « pairing » vous indiquera que les deux écouteurs sont connectés entre eux et l’indicateur d’état LED sur l’écouteur droit clignotera en blanc rapidement.

Depuis votre téléphone, les écouteurs vont maintenant apparaître dans la liste des appareils Bluetooth sous le nom « Aukey EP-T10 ». Si un code pin est requis pour l’appairage entrez « 0000 ». Vous entendrez la notification « Connected » qui vous signalera la réussite de l’appairage.

Remarque : Au démarrage les écouteurs essaierons de se connecter au dernier appareil auxquels ils ont été appairé.

B. Fonctionnalités

Nos écouteurs étant appairés la question est, mais qu’est-ce que l’on peut faire avec ?

Pour répondre à cette question je vais vous présenter les deux types d’utilisation :

- Utilisation avec un seul écouteur (le droit) : L’écouteur droit est appelé « Hôte », c’est-à-dire qu’il peut être utilisé seul contrairement à l’écouteur gauche. Ce mode de fonctionnement est pratique pour téléphoner car vous gardez une oreille de libre pour vous entendre parler ce qui est plus agréable à mon goût 😊. Pour décrocher ou mettre fin à un appel il suffit d’appuyer une fois sur le bouton multifonction de l’écouteur. Vous avez également la possibilité de rejeter un appel en maintenant enfoncé ce même bouton pendant 2 secondes.

Remarque : Ces actions fonctionnent également avec l’écouteur gauche si vous souhaitez téléphoner avec les deux écouteurs

- Utilisation avec les deux écouteurs : Pour écouter de la musique ou une vidéo il est plus pratique d’utiliser les deux écouteurs pour bénéficier de toutes leurs fonctionnalités. En appuyant une fois sur l’écouteur droit ou gauche cela déclenche l’action lecture/pause du média que vous avez lancé. En appuyant deux fois sur l’écouteur de droite cela vous permettra de passer à la musique suivante, la même manipulation sur l’écouteur de gauche vous fera revenir à la musique précédente. En restant appuyé sur l’écouteur droit vous pourrez augmenter le volume tandis que la même action sur l’écouteur gauche vous permettra de baisser le volume.

En appuyant 3 fois sur le bouton multifonction (droite ou gauche) cela lancera l’assistant vocal de votre appareil (Siri, Cortana, Google Assistant).

Remarque : Si vous utilisez un écouteur et qu’en cours de route vous vous dites avec deux ce serait mieux, il vous suffit de sortir l’écouteur du boitier, il se synchronisera automatiquement avec le premier. Efficace.

C. Qualité sonore

Je trouve la qualité sonore très satisfaisante. Il y a de bonnes basses et un son équilibré. En poussant le volume au maximum le son ne sature pas.

Une fois sur vos oreilles, les écouteurs vous isoleront du monde extérieur. Vous n’entendrez quasiment pas les bruits environnants.

La qualité des micros est correcte : si vous téléphonez et qu’une personne discute non loin de vous votre interlocuteur aura des difficultés pour vous entendre.

D. Confort et autonomie

Les écouteurs ont une autonomie de 7 heures, ce qui est tout à fait correct. La base de rechargement quant à elle permet d’effectuer 3 rechargements complet.

Le temps de chargement complet du boitier de recharge et des écouteurs est d’1h30.

J’ai utilisé les écouteurs pendant une dizaine de jours pour mon travail, je n’ai pas eu à recharger la base pour le moment, il me reste une LED d’allumée et pourtant je suis souvent au téléphone.

La porté max des écouteurs est de 10 mètres, cela vous permet de vous balader en toute liberté sans votre téléphone. J’ai par exemple pu téléphoner en me baladant dans mon appartement sans être déconnecté (~70 m²).

Les différentes tailles d’embouts d’oreilles en silicone disponible permettent d’adapter les écouteurs à votre oreille pour une meilleure tenue et un meilleur confort. Ils peuvent être utilisés pour faire du sport. A noter que pendant un footing les vibrations et la transpiration provoquée par la course les feront un peu bouger, vous devrez les repositionner de temps en temps mais leur tenu reste très correct.

IV. Conclusion

Avec ce modèle, nous avons entre les mains un produit de bonne qualité de part son design, des matériaux utilisés et de sa qualité sonore. Je trouve la boite de rechargement vraiment pratique et classe avec son couvercle pivotant. La prise en main est vraiment facile, les actions à réaliser avec les boutons tactiles sont intuitives et réagissent très bien.

Pour la somme de 99.99€ sur Amazon vous pourrez vous offrir ses petits bijoux qui valent le détour !

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