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Windows 10 : Passer du menu Démarrer à l’interface Metro

lundi 13 octobre 2014 à 09:45

I. Présentation

Avec Windows 10, le menu Démarrer et de retour, la guerre des goûts est alors déclarées ! Certains préfères le menu Démarrer classique comme on peut trouver sous Windows 7 alors que d’autres préfèrent le menu Metro que l’on trouve sur Windows 8.

Windows 10 tente d’unifier les deux. Si cela ne vous convient pas, vous pouvez toujours repasser vers l’interface Metro. Je vous explique comment procéder.

II. Menu démarrer vers interface Metro

Nous partons du principe où l’on souhaite passer du nouveau menu Démarrer de Windows 10 vers l’interface Metro “style Windows 8. Commencez par afficher le Bureau, effectuez un clic droit dans la barre des tâches et “Propriétés / Properties“.

windows10-men9

Accédez à l’onglet “Start Menu” et décochez la case “Use the Start menu instead of the Start screen” (cochée par défaut).

Validez. Un message va apparaître car il est nécessaire de se déconnecter et de se reconnecter pour appliquer le changement. Cliquez sur “Sign out and change settings” pour effectuer cela immédiatement.

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Une fois la session à nouveau ouverte, cliquez sur le bouton Démarrer et vous obtiendrez l’interface Metro comme ceci :

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Alors, heureux ?

Sauvegardes automatisées entre deux NAS Synology avec TimeBackup

vendredi 10 octobre 2014 à 09:00

I. Présentation de TimeBackup

TimeBackup est un système de sauvegarde et de versionning (archivage) des fichiers nativement présent sur DSM, le système d’exploitation des NAS de la marque Synology. Cela signifie que n’importe quel NAS Synology peut être le serveur (celui qui stocke) ou le client (celui qui va aller sauvegarder les fichiers). Dans ce tutoriel je vais vous présenter comment aller sauvegarder de manière régulière et automatisée les données d’un NAS Synology sur un autre. Cela permettra dans une infrastructure d’entreprise de garantir une certaine sécurité des données en cas de défaillance d’un NAS.

TimeBACKUP34

II. Installation du client

Il faut donc commencer par installer le logiciel TimeBackup dans le DSM, celui-ci peut par défaut être trouvé dans le “Centre de paquets” que l’on trouvera sur le bureau DSM :

Timebackup01

Dans l’onglet “Sauvegarder“, il faudra cliquer sur “Installer” dans l’icône “Time Backup” pour installer l’application :

Timebackup05

III. Activation du serveur

Après avoir installé l’application “Time Backup” sur le Synology client, il faut passer à l’activation du mode TimeBackup Serveur sur le second NAS qui recevra les données à sauvegarder. Il faut donc aller cliquer sur l’icône “Sauvegarde et réplication” du NAS “Serveur” :

Timebackup21

Puis aller dans l’onglet “Time Backup” et “Service de sauvegarde” et cocher la case “Activer le service Time Backup” :

Timebackup22

Cette option va donc permettre aux clients de communiquer entre eux via le logiciel “Time Backup” qui orchestrera la planification et la gestion des échanges et des versions.

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IV. Création d’un job de backup

Maintenant que les serveurs sont prêts à travailler, nous pouvons retourner sur le NAS “client” afin  de paramétrer un job de sauvegarde. On va donc cliquer sur l’icône “Time Backup” nouvellement présent sur DSM :

Timebackup06

On pourra cliquer sur “Créer” pour ajouter un nouveau job au tableau de gestion de Time Backup :

Timebackup08 On va alors pouvoir donner un nom à notre nouveau job :

Timebackup14

On peut donc choisir ici entre un backup local (l’intérêt sera alors seulement le versionning) que Time Backup sait gérer ou la sauvegarde distance (réseau), celle qui nous intéresse dans notre cas:

Timebackup10

On pourra alors spécifier l’adresse IP et les identifiants du NAS “Serveur” par son IP ou son nom de domaine. On pourra également activer le chiffrement du transfert, ce qui est recommandé mais aussi la compression de celui-ci pour qu’il soit effectué plus rapidement.

Timebackup12

Il est possible, une fois les champs remplis, de tester la connexion pour voir si les informations données sont correctes. Nous allons alors voir une liste de volume sur le NAS “Serveur” dans lequel les données seront sauvegardées et archivées :

Timebackup13Il va ensuite falloir la source de nos sauvegardes. Autrement dit c’est ici que nous choisissons quels dossiers locaux vont être sauvegardés sur le NAS distant :

Timebackup20

On devra alors déterminer la fréquence de ces sauvegardes. Pour avoir des paramétrages plus précis et plus avancés, on peut cocher “Calendrier avancé” :

Timebackup15

 

On peut alors choisir de façon précise la fréquence de nos backups :

Timebackup17

On pourra alors voir notre job dans le tableau de gestion des backups. Celui-ci s’activera au moment où vous l’avez paramétré dans le calendrier mais si vous souhaitez effectuer un backup tout de suite vous pouvez sélectionner la ligne du backup et cliquer sur “Sauvegarder Maintenant” :Timebackup19

V. Gestion des sauvegardes

Maintenant qu’une première sauvegarde a été faite, on peut aller les gérer. On va pour cela aller dans “Gérer les versions”  pour explorer les backups que l’on peut restaurer.

Timebackup31

On pourra alors sélectionner un dossier ou un fichier et le télécharger, le copier ou le restaurer sur le dossier source directement :  Timebackup29

 

Il faudra également choisir le comportement de la restauration lorsque le fichier ou le dossier existe dans l’espace source :

Timebackup30On pourra alors choisir d’écraser la version la plus récente par la version restaurée, ou alors renommer pour avoir les deux versions du fichier, ou alors tout simplement ne pas restaurer le fichier.

Rooter un Samsung Galaxy S3 avec Odin

jeudi 9 octobre 2014 à 15:30

I. Présentation

Dans ce tutoriel, nous verrons comment rooter un smartphone “Samsung Galaxy S3″. Bien que cette procédure retire la garantie de l’appareil, le fait de le rooter donne plus de liberté dans l’administration du système Android, ce qui est fort pratique dans de nombreux cas !

Pourquoi le Galaxy S3 ? Simplement car c’est le smartphone dont je dispose à l’heure actuelle.

II. Télécharger Odin & Co

Commencez par télécharger tout ce qui sera utile à l’opération, à savoir :

CF-Auto-Root-m0-m0xx-gti9300.zip
Odin
USB Driver pour Samsung Galaxy S3

Une fois que vous avez tout cela, on peut y aller !

III. Galaxy S3 : Activer le débogage USB

Nous allons commencer par activer le débogage USB qui est requis pour réaliser la procédure. Dans les Paramètres, accédez à A propos de l’appareil et tapotez 7 fois sur le Numéro de version pour activer le mode développeur.

Une fois que le mode est actif, revenez un cran en arrière et accédez aux Options de développement afin d’activer le Débogage USB.

Note : Dans certains cas, ce mode peut être déjà actif par défaut.

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Avant de continuer, installez le pilote USB que nous avons téléchargé précédemment.

IV. Odin – Rooter le Galaxy S3

Les choses sérieuses commencent maintenant ! Tout d’abord éteignez votre smartphone et redémarrez-le en mode Download. Pour ce faire, démarrez-le en restant appuyé simultanément sur les boutons : Power, Home et Volume Bas.

Lorsque le smartphone est en mode Download, appuyez sur Volume Haut pour continuer.

Extraire Odin sur votre machine et exécutez l’application. Dans le même temps, profitez-en pour extraire le contenu de l’archive “CF-Auto-Root-m0-m0xx-gti9300.zip” afin d’obtenir un fichier CF-Auto-Root-m0-m0xx-gti9300.tar.

Au sein d’Odin, vérifiez que les cases “Auto Reboot” et “F. Reset Time” soient cochées. Cliquez sur le bouton PDA et indiquez le chemin vers le fichier CF-Auto-Root-m0-m0xx-gti9300.tar.

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Cliquez sur “Start” et patientez.

roots33

Le smartphone va redémarrer automatiquement une fois l’opération terminée.

Votre téléphone est désormais rooté ! Vous trouverez d’ailleurs l’application SuperSU installée sur l’appareil.

Le noyau Linux 3.17 et le bug de l’année 2038

jeudi 9 octobre 2014 à 11:15

La cinquième mise à jour du noyau Linux en 2014 est sortie il y a quelques jours, le kernel passe en version 3.17. Au programme, pas de changement majeur mais tout de même l’apport d’environ 11 000 corrections et améliorations !

logo-noyau1On retrouve notamment le support de nouveaux SoC ainsi que les architectures ARM avec une amélioration de la sécurité pour l’ARM, mais aussi, la prise en charge de pilotes supplémentaires alors que d’autres, obsolètes, sont retirés.

Parmi tous ces correctifs, on en trouve un qui corrige le bug de l’année 2038. Mais alors qu’est-ce c’est ?

En fait, ce problème est connu sur les systèmes qui utilisent le système d’heure Unix pour l’affichage du temps, appelé également norme POSIX. Avec ce système, le temps est exprimé en secondes écoulées depuis le 1er Janvier 1970 à minuit.

C’est là où est le problème, puisque les ordinateurs 32 bits ne pourront plus stocker la valeur du décompte des secondes écoulées à partir du 19 Janvier 2038 à 3h14 et 7 secondes (UTC). Il sera trop grand donc il aura atteint la taille maximale supportée par les systèmes 32 bits. De ce fait, le bug fera que la date reviendra automatiquement au 13 Décembre 1901.

Year_2038_problem

Source du GIF : Wikipédia

Ce problème n’est plus qu’un lointain souvenir étant donné que ce nouveau noyau corrige le problème, plus de vingt ans à l’avance : Une belle anticipation !

Finalement ce problème de l’année 2038 et similaire au bug de l’an 2000.

Source

Apple confirme une keynote le 16 Octobre !

jeudi 9 octobre 2014 à 10:10

Une nouvelle keynote d’Apple aura lieue le Jeudi 16 Octobre, dans une semaine. Aucune information sur ce qui sera dévoilé, le carte d’invitation se contente d’indiquer : “It’s been way too long” que l’on peut traduire par “Cela fait trop longtemps”.

apple-keynote1

Il est possible qu’un iPad Air 2 et qu’un iPad Mini Retina soit dévoilés à l’occasion de cette keynote. De plus, les rumeurs parlent d’un iPad grand format doté d’un écran de 12,9 pouces.

Par ailleurs, une nouvelle gamme d’iMac Retina pourrait être annoncée. Ces nouveaux iMac tourneraient sous OS X Yosemite.

Cette keynote se déroulera dans le campus d’Apple, à Cupertino.

Quoi qu’il en soit, il faudra attendre encore quelques jours avant d’avoir les informations officielles !