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Soldes GoodOffer24 : 30% sur les licences Windows 10, Office 2019 et antivirus

mercredi 17 juillet 2019 à 15:00

À l'occasion de l'été, GoodOffer24 propose une remise intéressante sur les licences Windows 10, Microsoft Office 2016/2019 ainsi que sur les licences de solutions antivirus. C'est le moment de profiter de ces offres à durée limitée.

Windows 10 et Office : un prix élevé sur les licences

Comme le rapporte Greg Keizer de ComputerWorld, le coût de la suite Office 2019 (Famille & Étudiant) reste au même prix que la version Office 2016, soit 149 euros en France. Avec la restriction de pouvoir l'utiliser seulement à usage personnel.

Pour la version Office 2019 "Famille et Petite Entreprise", il faut compter 299€ sur le store Microsoft et environ 255 euros sur Amazon... Un prix fort et qui a en plus augmenté de plus de 10% par rapport à la version Office 2016. Avec ce prix, Microsoft incite clairement les utilisateurs à basculer vers l'offre Office 365...

Concernant Windows 10 Famille, il est proposé à 145€ sur le site de Microsoft. Un prix qui peut monter jusqu'à 259€ pour l'édition Pro.

Bien que Windows soit préinstallé sur la majorité des postes que l'on achète dans le commerce, si vous souhaitez acheter à la fois Windows 10 et Office 2019, la facture sera salée !

Les soldes "Microsoft" chez GoodOffer24

Au fait : depuis plus de 10 ans, GoodOffer24 propose des licences pour des logiciels et les jeux vidéos.

Avec le code promo "MgItco25", GoodOffer24 vous propose de profiter de 25% de réduction sur une sélection de produits Microsoft. Sachant qu'à la base les licences sont déjà nettement moins coûteuses ! Ce qui nous donne les tarifs suivants (après réduction) :

- Windows 10 Pro à $11.38
- Microsoft Office 2016 Pro (1 PC) à $28.19
- Package Windows 10 Pro + Office 2016 Pro à $33.69

En complément, avec le code "MgItco30", vous pouvez obtenir 30% de remise immédiate sur Office 2019. Ce qui donne :

- Microsoft Office 2019 Pro Plus (1 PC) à $49.65
- Package Windows 10 Pro + Office 2019 Pro à $53.80

Les offres "Sécurité" chez GoodOffer24

En complément de ses offres sur les produits Microsoft, nous retrouvons des soldes sur les produits de sécurité. D'ailleurs, GoodOffer24 se lance dans la commercialisation de licences pour les produits de sécurité, ce qui n'était pas le cas jusqu'ici.

Grâce au code promo "MgItcoAN30", obtenez jusqu'à 30% de remise notamment sur les produits ESET 🙂

Voici la liste des offres :

- ESET NOD32 Antivirus pour Windows (1 PC/1 an) à $16.55
- ESET Internet Security pour Windows (1 PC/1 an) à $17.37
- ESET Cyber Security pour Mac (1 Mac/1 an) à $17.38
- McAfee Total Protection Unlimited (1 an) à $16.55

Après avoir réalisé le paiement en ligne, vous recevez votre licence directement par e-mail. L'achat est sécurisé par l'intermédiaire de PayPal.

En Allemagne, Windows 10 et Office 365 sont interdits dans les écoles !

mercredi 17 juillet 2019 à 14:00

Windows 10 et Office 365 viennent d'être bannis des écoles allemandes par l'équivalent de la CNIL en Allemagne, pour non-conformité avec le RGPD et un manque de respect de la vie privée.

La DHBDI (Der Hessische Beauftragte für Datenschutz und Informationsfreiheit), c'est-à-dire la CNIL du länder de la Hesse en Allemagne, exige aux écoles de ne plus utiliser les services SaaS bureautique et collaboratif de Microsoft, ainsi que Windows 10. Il en va de même pour Google et Apple.

Pour Michael Ronellenfitsch, commissaire à la DHBDI, les produits Microsoft cités précédemment ne répondent pas aux exigences en matière de confidentialité afin d'assurer une bonne protection des données personnelles des élèves.

Ce qui gêne Michael Ronellenfitsch, c'est que les données soient potentiellement accessibles par les autorités américaines. D'autant plus qu'il y a près d'un an, Microsoft a arrêté son offre Cloud Germany qui permettait de choisir d'héberger ses données en Allemagne exclusivement.

Au niveau de Windows 10, c'est la télémétrie qui pose problème (même lorsqu'elle est définie au minimum) puisque l'on ne sait pas réellement quelles sont les données transmises. Michael Ronellenfitsch estime qu'il n'y a pas eu de clarification malgré des demandes répétées auprès de Microsoft. Ce même type de données est récolté au niveau d'Office 365.

Le DHBDI demande aux écoles allemandes d'arrêter d'utiliser Office 365 et de retourner vers la version locale d'Office. Pour Windows 10, il est demandé de faire machine arrière et de retourner sur une version antérieure. Cela est problématique quand on sait que Windows 8 est un peu sur le même esprit que Windows 10... et que le support "gratuit" de Windows 7 se termine en janvier 2020.

Toutefois, la porte n'est pas fermée et le DHBDI est prêt à entendre Microsoft et voir comment la firme de Redmond peut améliorer la situation, mais aussi la clarifier.

Accéder aux données de son PC via OneDrive

vendredi 4 novembre 2016 à 09:31

I. Présentation

Le client OneDrive pour Windows intègre une option qui permet de parcourir les données de son PC directement depuis l’interface en ligne de OneDrive, sans que vos données soient réellement synchronisées sur le Cloud de Microsoft. OneDrive agit alors comme un explorateur de fichiers à distance, ce qui peut permettre également de récupérer à distance via OneDrive des fichiers qui à l’origine ne sont pas synchronisés.

Je réalise l’opération depuis Windows 10, mais vous pouvez le faire depuis des versions antérieures de Windows à condition d’avoir un client OneDrive suffisamment à jour.

Attention, cette manipulation ne fonctionne pas avec un compte professionnel Office 365, l’option sera uniquement proposée dans les options si vous utilisez un compte personnel.

La configuration s’effectue en deux étapes : autoriser la fonctionnalité dans le client OneDrive du poste sur lequel on souhaite accéder, et ensuite autoriser l’accès au PC depuis l’interface de OneDrive via un code.

II. Configurer le client OneDrive

Pour activer l’option, il suffit d’effectuer un clic droit sur le client OneDrive dans la barre des tâches de Windows, plus cliquez sur « Paramètres ».

onedrive-remote-1

Dans l’onglet « Paramètres » activez l’option « Me laisser utiliser OneDrive pour récupérer des fichiers sur ce PC« .

onedrive-remote-2

Validez, et le tour est joué pour l’activation de la fonctionnalité.

III. Autoriser l’accès à votre PC

Rendez-vous sur l’interface de OneDrive avec votre navigateur préféré, après vous êtes authentifié si besoin, sur la gauche vous devez voir apparaître le nom de votre PC, cliquez dessus.

Cliquez sur « Se connecter avec un code de sécurité » pour obtenir un code de vérification.

onedrive-remote-3

Microsoft va alors vous fournir un code pour valider l’accès en guise de double authentification, l’intérêt est de ne pas ouvrir trop les accès si vous veniez à vous faire pirater votre compte Microsoft. Je vous encourage à conserver cette protection étant donné que la fonctionnalité permet d’explorer votre disque dur à distance.

onedrive-remote-4

Dès lors que le code est saisit, voici ce que vous obtenez :

onedrive-remote-5

Tiens ! Le contenu de mon disque dur apparaît sur l’interface OneDrive ! Voilà, vous connaissez désormais une astuce supplémentaire avec OneDrive !

Ajouter un horodatage à la commande history

jeudi 3 novembre 2016 à 10:21

I. Présentation

Dans ce petit article, nous allons voir comment ajouter un horodatage à la fameuse commande « history » sous Linux.

La commande « history » permet de retrouver un historique des commandes saisies par l’utilisateur courant. Elle est en général très pratique dans bien des cas.

Voici un exemple de sortie de la commande « history » :

command-history-horodatage-01

commande history sans horodatage

Nous pouvons ici observer un point qui fait souvent défaut : le manque d’horodatage. On ne sait pas quand une commande a été saisie, ni le jour, ni l’heure. C’est pourtant une information qui pourrait nous être bien utile

II. Ajouter l’heure et la date à l’historique des commandes

La manipulation à effectuer pour cet ajout est relativement simple. Il suffit de modifier la manière dont les commandes sont envoyées à l’historique. Pour cela, nous allons modifier le fichier d’initialisation du shell utilisateur avec l’export de la variable d’environnement suivante :

export HISTTIMEFORMAT="%F %T : "

Il faut donc ajouter cette entrée dans le fichier « .bashrc » du home de votre utilisateur. « /root/.bashrc » pour l’utilisateur root et « /home/<user>/.bashrc » pour l’utilisateur « <users>« .

Suite à cet ajout, pensez à relancer une nouvelle session pour que la variable d’environnement soit prise en compte. Vous pourrez ensuite constater l’horodatage de vos commandes en exécutant à nouveau la commande « history » :

command-history-horodatage-02

commande history avec horodatage

Noter qu’exécuter la commande « export… » dans le shell courant fonctionnera aussi mais la modification ne sera pas gardée après une extinction de votre session

Comment déployer Nano Server sur une VM ?

mercredi 2 novembre 2016 à 09:00

I. Présentation

A. Nano Server, c’est quoi ?

Nano Server, c’est l’une des nouveautés qui accompagne Windows Server 2016, et cette version de Windows se veut, comme son nom l’indique, extrêmement légère et peu gourmande en ressource. Pour ceux qui connaissent le mode « Core » de Windows Server, sachez que Nano Server est nettement plus léger, Microsoft ayant seulement laissé l’essentiel.

De part sa légèreté, une VM Nano Server peut-être déployée en 3 minutes environ, ce qui est très rapide comparé au 15-20 minutes habituelle pour installer Windows. Nano Server doit être considéré comme une brique de base sur laquelle on va venir greffer des éléments pour constituer un serveur avec uniquement le nécessaire, pas de superflu.

L’administration de Nano Server s’effectue exclusivement à distance par l’intermédiaire de PowerShell via PowerShell Remoting ou PowerShell Direct, sinon par des outils de gestion de configuration ou encore des consoles.

Au passage, qui dit moins d’éléments, dit surface d’attaque réduite et donc moins de mises à jour de sécurité à installer sur Nano Server.

nano-server-comparaison

B. Déploiement de Nano Server

Dans ce tutoriel, nous allons déployer Nano Server sur une machine virtuelle, en premier lieu on va générer un VHDX avec l’image déployée de Nano Server, puis dans un second temps on va créer une VM qui va utiliser ce VHDX. Il y a différentes manières de procéder, et surtout on peut personnaliser le déploiement de Nano Server, mais pour ce premier déploiement on va rester sur quelque chose de basique et simple.

Avant de commencer, assurez-vous d’avoir un ISO de Windows Server 2016.

II. Créer une VM Nano Server

Je manipule directement depuis l’hôte Hyper-V. Commencez par monter l’ISO sur l’hôte en double cliquant sur le fichier ISO pour qu’il soit monté dans un lecteur virtuel. Ensuite, parcourez le contenu et dans le dossier « NanoServer » copiez le sous-dossier « NanoServerImageGenerator » sur le serveur, dans le répertoire que vous voulez.

deployer-vm-nano-server-2

Dès que ce sera fait, ouvrez une console PowerShell et importez le module , en se positionnant au préalable dans le répertoire « NanoServerImageGenerator » que vous avez copié sur le serveur.

Import-Module .\NanoServerImageGenerator

Si l’on active le mode verbeux sur l’importation du module, voici ce que l’on obtient :

COMMENTAIRES : Chargement du module à partir du chemin
« V:\NANO\NanoServerImageGenerator\NanoServerImageGenerator.psd1 ».
COMMENTAIRES : Chargement du module à partir du chemin
« V:\NANO\NanoServerImageGenerator\NanoServerImageGenerator.psm1 ».
COMMENTAIRES : Importation de la fonction « Edit-NanoServerImage ».
COMMENTAIRES : Importation de la fonction « Get-NanoServerPackage ».
COMMENTAIRES : Importation de la fonction « New-NanoServerImage ».

Ça tombe bien, on va utiliser la commande « New-NanoServerImage« .

New-NanoServerImage -Edition Standard -DeploymentType Guest -MediaPath E:\ -TargetPath V:\VM\VHDX\NanoServer-01.vhdx -ComputerName NanoServer-01

Dans l’exemple ci-dessus, je déploie NanoServer en version Standard (l’autre possibilité c’est Datacenter) en m’appuyant sur l’ISO de Windows Server 2016 monté sur le lecteur E:\ (MediaPath), et je veux stocker le VHDX dans « V:\VM\VHDX\NanoServer-01.vhdx » pour un serveur qui se nomme « NanoServer-01 » (nom du serveur dans Windows).

Note 1 : DeploymentType – Le type « Guest » permet d’inclure les drivers invités Hyper-V alors que si l’on souhaiterait créer un VHD(X) pour déploiement sur un hôte physique, on aurait indiqué « Host ».

Note 2 : Si l’on nomme le disque virtuel « VHD » c’est pour créer une VM de Génération 1, si on le nomme VHDX c’est pour créer une VM de Génération 2.

Quand vous validerez la commande, un mot de passe vous sera demandé. Il s’agit du mot de passe pour le compte Administrateur de la VM Nano Server.

Le déploiement sur le disque virtuel va prendre 2-3 minutes…

deployer-vm-nano-server-3

A la fin de l’opération on obtient un disque virtuel de 500 Mo environ, pour un serveur installé c’est vraiment light.

deployer-vm-nano-server-4

Maintenant, il faut créer une VM sur Hyper-V et lui indiquer ce fichier VHDX comme étant le disque virtuel pour la VM. Pour ceux qui souhaitent, on peut le faire en PowerShell :

New-VM -Name NanoServer-01 -SwitchName "LAN" -VHDPath "V:\VM\VHDX\NanoServer-01.vhdx" -Generation 2 -MemoryStartupBytes 512MB -BootDevice VHD

Je crée une VM nommé « NanoServer-01 » que je connecte au vSiwtch « LAN » et à laquelle j’affecte 512 Mo de RAM ainsi que le VHDX « V:\VM\VHDX\NanoServer-01.vhdx ». Enfin, je précise qu’elle est de génération 2 et que le VHD est prioritaire pour l’ordre de démarrage.

Ensuite, on démarre la VM :

Start-VM NanoServer-01

 

deployer-vm-nano-server-5

A partir du gestionnaire Hyper-V, vous pouvez vous connecter à la VM et saisir le compte « Administrateur » et le mot de passe définit lors du déploiement du VHD/VHDX. Attention, le clavier est en QWERTY.

deployer-vm-nano-server-6

Il n’y a pas d’accès en ligne de commande sur la VM directement, comme je le disais en introduction tout s’effectue à distance. Ce que vous pouvez faire en local c’est configurer une IP ou visualiser les paramètres IP, ou définir des règles de firewall.

On arrive sur la console « Nano Server Recovery Console ». Si l’on va dans Networking…

deployer-vm-nano-server-7

Puis qu’on appuie sur entrée pour valider le choix de la carte réseau…

deployer-vm-nano-server-8

On arrive sur un écran qui affiche l’IP du serveur obtenue en DHCP mais ceci vous permet aussi de définir une IP statique si besoin en appuyant sur F11.

deployer-vm-nano-server-9

Ensuite, pour commencer à configurer le serveur il faut se connecter à distance depuis une machine sur la VM Nano Server, par exemple en PowerShell Remoting. Cependant, la politique de sécurité de WinRM par défaut n’autorise pas à se connecter sur un hôte distant « inconnu », il faut donc qu’on ajoute la VM Nano Server dans la liste de nos hôtes de confiance :

Set-Item WSMan:\localhost\Client\TrustedHosts -Value "NanoServer-01,192.168.1.2"

Dans la commande ci-dessus adaptez l’adresse IP et le nom, sachant que vous n’êtes pas obligé de mettre les deux, le nom suffira si vous arrivez à la résoudre (DNS).

Enfin, on va ouvrir session PowerShell distante sur notre hôte Nano Server :

Enter-PSSession -ComputerName 192.168.1.2 -Credential (Get-Credential)

Il faudra saisir les credentials, c’est à dire « Administrateur » avec le mot de passe définit lors de la création du VHD.

deployer-vm-nano-server-10

Votre machine virtuelle Nano Server est prête à l’emploi ! Nous verrons au travers d’autres tutoriels comment utiliser et configurer Nano Server. Pour ceux que ça intéresse, j’ai publié sur GitHub un script qui permet d’automatiser la création d’une VM NanoServer au sein d’Hyper-V à partir de l’ISO Windows Server 2016 : New-NanoServerVM

Enfin, il est important de préciser que la commande « New-NanoServerImage » et donc le module que l’on a utilisé dans ce tutoriel, peut-être utilisée sur Windows 8.1 et Windows 10, ainsi que sur Windows Server 2012 R2 et bien entendu Windows Server 2016.