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Microsoft Edge plus performant que Chrome ?

jeudi 16 juillet 2015 à 14:00

Microsoft a publié cette nuit la build 10240 de Windows 10, il s’agit de la version RTM du prochain OS de Microsoft qui sortira officiellement dans moins de 15 jours. Cette version RTM (Release to Manufacturing) signifie que Windows 10 est terminé est prêt à être envoyé en usine pour une reproduction avant la commercialisation.

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Qui dit nouvelle version de Windows 10, dit corrections de bugs et améliorations, notamment au niveau du remplacement d’Internet Explorer : Microsoft Edge.

Gabe Aul de chez Microsoft a fournit les statistiques suivantes quant aux performances du navigateur Edge comparée à Chrome :

WebKit Sunspider : Edge est 112% plus rapide que Chrome
Google Octane : Edge est 11% plus rapique que Chrome
Apple JetStream : Edge est 37% plus rapide que Chrome

Les solutions citées ci-dessus sont des logiciels de Benchmark par rapport au JavaScript.

Pour montrer les améliorations apportées par Microsoft, il est précisé qu’avec SunSpider 1.0.2 Edge est près de 1,4 fois plus rapide dans la Build 10240 que dans la Build précédente, à savoir 10166.

Par ailleurs, Chrome reste meilleur avec le HTML5 puisque sur le site html5test.com il obtient un score de 526 sur 555 alors que Edge obtient un score de 402. A titre de comparaison, Internet Explorer 11 obtient quant à lui le score de 336. Microsoft améliorera sans aucun doute Edge à ce niveau-là.

Enfin, je vous invite à venir échanger à propos des navigateurs dans notre forum : “Quel navigateur utilisez-vous ? Vous envisagez Edge ?

Source

En 2015, on assure aussi le numérique

jeudi 16 juillet 2015 à 11:00

L’informatique et les nouvelles technologies révolutionnent aujourd’hui toutes les couches de notre société, chaque entreprise et chaque business doit se mettre au niveau. Parmi elles, les assurances qui couvrent de plus en plus les entreprises et les particuliers contre les risques liées au numérique.

Ce phénomène de l’e-assurance s’applique en effet aussi bien dans le cas des particuliers que des entreprises. On peut ainsi observer que certaines assurances se mettent à couvrir les frais liées au vol de vos appareils numériques (smartphone, tablette, montre connectée…) en tant qu’objet de valeur, mais également des données qu’ils contiennent si celles-ci ont de la valeur.

Également, pour les entreprises, on peut retrouver des assurances liés au piratage informatique. Ces “e-assurance” vont alors au delà de l’assurance des serveurs en tant que matériel et prennent alors en compte les dégâts financiers que peut causer le vol de données et plus globalement le piratage d’un SI ou de certaines données stratégiques. Voici quelques points qui sont alors soulignés par exemple :eassurance

Pour aller au delà du piratage, nous voyons alors bien que le numérique se met à représenter une vraie valeur, et un coût pour les entreprises, si bien qu’il devient “assurable”.

On peut alors se faire assurer contre le temps perdu si le système tombe en panne pendant plusieurs heures sur un système de site web e-commerce, pour prendre l’exemple le plus parlant et le plus frappant. En effet, pour certaines sociétés, une perte de connectivité de quelques minutes peut représenter plusieurs millions d’euros de perte financière, l’intérêt d’une assurance dans ce cas est alors plus facile à cerner.

Avec l’arrivée des objets connectés qui sont présents sous de nombreuses formes, la collecte de nos informations est permanente ce qui représente un levier supplémentaire pour les assureurs. Cette masse de données importante – Big Data – est une mine d’or pour tous, ce qui implique que d’une part on doit protéger nos données et que d’autre part ces données peuvent être utilisées par les assureurs. On peut aussi imaginer que les assureurs puissent proposer des offres sur mesure à leurs clients, qui seront prêts à payer pour une offre qui couvre les risques qu’ils souhaitent.

Ainsi, si l’on mêle ces informations collectées à nos besoins, les assureurs ont toutes les cartes en main pour nous proposer une solution adaptée, à un prix adapté. L’e-assurance est en marche.

Storage Migration avec Hyper-V

jeudi 16 juillet 2015 à 10:30

I. Présentation

Avec ma machine sous Windows 8.1, j’utilise Hyper-V en guise d’hyperviseur pour virtualiser mes différents tests. Jusqu’ici, mes machines virtuelles étaient stockées en local sur ma machine, mais j’ai décidé de m’amuser un peu et de tester la possibilité de migrer le stockage d’une VM offerte par Hyper-V.

Ce tutoriel dédié à la Storage Migration part du principe où l’on dispose déjà d’un serveur de fichiers avec un partage adapté à Hyper-V. Pour voir comment procéder, suivez mon tutoriel : Créer un partage pour Hyper-V.

Lorsque l’on parle de Storage Migration, on entend modifier l’emplacement du stockage de la machine virtuelle. Par exemple, on déplace la machine virtuelle stockée localement vers un espace partagé et accessible par le réseau. Passer à un espace de stockage centralisé permet ensuite d’envisager une Live Migration, à condition d’avoir au moins deux hyperviseurs, c’est-à-dire que les deux hyperviseurs accèdent à l’espace de stockage où se trouve la machine virtuelle et on peut l’exécuter sur un hyperviseur, puis la basculer sur le second, sans toucher au stockage.

Note : Le déplacement n’est pas obligatoirement réalisé vers un partage réseau, on peut imaginer déplacer la machine virtuelle d’une partition vers une autre partition.

Vous êtes prêt à réaliser du Storage Migration, alors c’est parti !

II. Réaliser une Storage Migration

Une fois votre serveur de fichiers opérationnel, vous pouvez suivre cette étape.

Pour ma part, je vais réaliser la migration d’une machine virtuelle nommée “SRV-AD01″ qui est un contrôleur de domaine sous Windows Server 2012 R2, actuellement en fonctionnement. On verra qu’il n’y a pas d’interruption de service lors d’une storage migration.

Je tiens à préciser que c’est important d’avoir un réseau stable et performant entre l’hôte Hyper-V et l’espace de stockage, pour assurer une bonne performance des VMs et avoir une bonne disponibilité. Si le lien entre les deux éléments coupe, la VM deviendra inaccessible et passera sur l’état Critique dans Hyper-V. Concernant les performances, cet article est intéressant (en) : Hyper-V over SMB performances considerations.

En premier lieu, on peut voir dans les paramètres de ma VM que le disque dur “SRV-AD01.vhdx” est stocké dans “F:\” qui correspond à un disque local de ma machine. Ceci va changer une fois la storage migration réalisée.

Emplacement actuel de la VM sous Hyper-V

Emplacement actuel de la VM sous Hyper-V

Pour démarrer l’assistant de migration, il suffit d’effectuer un clic droit sur la machine à déplacer puis cliquer sur “Déplacer“, comme ici dans le cas de la VM “SRV-AD01“.

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Comme l’indique la seule proposition présente, on choisit de déplacer le stockage de la VM. Lorsque la configuration le permet, un autre choix correspondant à une live migration apparaît.

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Cette étape est cruciale, car on doit indiquer ce que l’on souhaite déplacer. La première proposition correspond à ce que l’on veut faire : déplacer tous les fichiers de la VM (disques durs virtuels, fichiers de conf…) vers un répertoire commun. La seconde option permettra de définir un emplacement pour chaque élément, par exemple les disques durs virtuels sur un espace partagé et les fichiers de configuration sur un autre espace partagé. Enfin, la troisième option permet de déplacer uniquement un ou plusieurs disques virtuels associés à cette VM (VHD/VHDX) vers un autre emplacement.

Si votre objectif est de déplacer vos machines virtuelles pour faire ensuite de la Live Migration, choisissez l’option “Déplacer toutes les données de l’ordinateur virtuel vers un seul emplacement”, car tous les fichiers doivent être déportés, centralisés.

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On précise le chemin UNC vers le répertoire de stockage de destination, ici un partage réseau accessible via SMB v3 et configuré pour Hyper-V.

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Le récapitulatif montre bien que l’on déplace tous les éléments de la VM : disque dur virtuel attaché, la configuration, la pagination intelligente et les fichiers de snapshots. Cliquez sur “Terminer” pour initier le déplacement de la VM.

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Dans la console Hyper-V, on peut voir que la machine virtuelle est en cours de déplacement, pendant que la machine virtuelle est toujours en ligne et utilisable !

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Dès lors que la synchronisation est terminée entre l’ancien espace de stockage et le nouveau, si l’on retourne voir dans les propriétés de la VM, on remarque que l’emplacement de stockage a changé !

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Ce tutoriel touche à sa fin, vous êtes désormais en mesure de déplacer vos machines virtuelles par une storage migration en toute sérénité !

Google Drive s’enrichit d’une fonctionnalité anti-copie

jeudi 16 juillet 2015 à 09:30

D’ici quelques jours, une nouvelle fonctionnalité sera intégrée à la version web de Google Drive afin de protéger le contenu de votre Drive, que vous partagez avec d’autres personnes. De nombreux types de données sont stockés sur le Drive, que ce soit des photos, des fichiers textes, des tableurs ou encore des présentations.

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L’aspect collaboratif de Google Drive, et les utilisateurs n’hésitent pas à se partager des données entre-eux. Afin de protéger les données, Google intègre une nouvelle fonctionnalité qui permet uniquement la visualisation du document, sans pouvoir le télécharger, le repartager, le copier ou encore l’imprimer. Bien entendu, rien n’empêche de réaliser une copie d’écran et de l’imprimer ensuite…

Pour le moment, cette configuration est accessible via les options avancées de partage, depuis l’interface web. On peut espérer que ça arrive rapidement au sein des applications mobiles.

Précisions supplémentaires :

– Seul le propriétaire peut mettre en place cette restriction sur un document, ce qui est logique.

– Ces options ne sont pas activées par défaut

Source

OUKITEL U10 : Une Phablette Dual SIM

mercredi 15 juillet 2015 à 14:30

Entre les smartphones et les tablettes, on parle maintenant de phablette. Celles-ci se caractérisent par une écran assez grand (au delà de 5″) avec les fonctionnalités propre à un téléphone portable. Autrement dit la possibilité de prendre en compte une carte SIM. On profite alors de la largeur d’une tablette pour faire tourner des applications sur un écran relativement grand, tout en gardant les fonctionnalités d’une smartphone (appel, envoie de SMS..)

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Dans cette catégorie des phablettes, je vous présente l’OUKITEL U10. Une Phablette sous Android 5.1, à savoir la dernière version d’Android à ce jour. Il s’agit d’un appareil disposant de 3 Go de RAM avec un espace de stockage interne de 16 Go, ce qui est plutôt correcte à l’heure actuelle.

Concernant les spécificités de cet appareil, on peut notamment trouver deux cameras : 5 mégapixels sur le devant, 13 mégapixels à l’arrière

Pour résumé, il s’agit donc d’une petit bout de technologie de choix, il se démarque notamment par les fonctionnalités de Dual SIM, d’écran incurvé, le tout sous Android 5.1.

Vous pourrez notamment trouver cet appareil aux alentours de 159$ sur le site Gearbest, une remise de 28% par rapport à son prix d’origine qui est de 223$ : Oukitel U10