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Migration Active Directory de Windows Server 2003 à 2012

lundi 5 octobre 2015 à 10:00

I. Présentation

Avec la fin de support de Windows Server 2003, nous sommes de plus nombreux à faire la migration de notre infrastructure Active Directory vers Windows Server 2012.

Ce tutoriel a pour but une mise en pratique d’une des nombreuses procédures possibles pour effectuer l’opération. Notre réseau est actuellement géré par un contrôleur de domaine Active Directory sous Windows Server 2003. Nous allons donc basculer ce rôle à notre nouveau serveur sous Windows Server 2012 R2 et retirer notre ancien serveur du réseau.

Cette procédure est relativement indépendante de la version du système d’exploitation et devrait donc être applicable aux versions de Windows Server 2008 et supérieures. Je n’ai eu l’occasion de faire cette migration que vers des versions 2012 R2.

Ce tutoriel ne concerne que le rôle Active Directory (et DNS), mais ne comprend pas la migration d’autres rôles comme le Serveur d’Impression ou le Partage de Fichiers.

Pour plus de sécurité, je vous conseille d’effectuer l’opération dans un environnement virtuel afin de ne prendre aucun risque. Je vous invite donc à utiliser VirtualBox ou VMWare Workstation ainsi que l’utilitaire VMWare Converter qui permet de convertir une machine physique en une machine virtuelle.

Avant de commencer, vous pouvez consulter l’article de Florian qui donne des conseils quant à la migration Active Directory.

II. Préparation

Voici quelques informations sur l’infrastructure ainsi qu’un schéma :

Nom de domaine actuel : motors.com
Mon domaine est actuellement géré par un serveur sous Windows Server 2003 SP2 32 bits (non R2) :
Nom Netbios : motors-srv
IP : 192.168.0.2
Redirection DNS vers 192.168.0.3 (mon routeur)

schema-mig-ad

Je migre ce serveur vers un nouveau contrôleur de domaine en Windows Server 2012 R2 64 bits

Vérifiez que votre Windows 2003 Server est bien à jour avec le SP2 et installer les « Support Tools ».

Afin de vérifier que votre ancien serveur est bien maître des opérations, lancez la commande suivante :

C:\Program Files\Support Tools\netdom query fsmo

Vous devriez ainsi obtenir :

Contrôleur de schéma motors-srv.motors.com
Maître des noms de domaine motors-srv.motors.com
Contrôleur domaine princip. motors-srv.motors.com
Gestionnaire du pool RID motors-srv.motors.com
Maître d'infrastructure motors-srv.motors.com

Vérifiez que votre domaine et forêt sont bien en version 2003 :

migration-active-directory-image001

Pour le niveau fonctionnel du domaine, vous le vérifiez dans Utilisateurs et ordinateurs Active Directory en cliquant droit sur votre domaine :

Si votre domaine est au niveau 2000, passez-le en 2003.

Même chose pour votre forêt dans Domaine et approbations Active Directory en cliquant droit sur « domaine et approbations Active Directory » (attention, c’est la racine) et faire de même sur votre domaine :

migration-active-directory-image002

III. Préparation du nouveau serveur

Intégrez votre nouveau serveur fraichement installé et mis à jour dans votre domaine.

Ajouter le rôle Services ADDS depuis le Gestionnaire de serveur.

Une fois le rôle installé, promouvoir le nouveau serveur en contrôleur de domaine en l’ajoutant au domaine existant :

migration-active-directory-image003

IV. Vérification de la réplication de serveurs

Sur chaque serveur, lancez la commande dcdiag. Elle permet de vérifier que la réplication entre vos deux serveurs s’est bien passée et qu’il n’y a pas besoin de la forcer.

La réplication se trouve au début du résultat des tests :

migration-active-directory-image005En cas d’erreur de réplication (j’ai déjà eu le cas de « lenteurs »), il faut lancer la réplication manuellement :

– Ouvrez Sites et services Active Directory sur votre nouveau serveur .

– Dans l’arborescence de la console, cliquez sur Paramètres NTDS de l’ancien serveur (Sites -> Inter-Site Transport -> Premier-site-par-défaut -> Servers -> Votre nouveau serveur –> NTDS Settings).

– Dans le volet d’informations, cliquez droit sur la connexion générée automatiquement (ou celle que vous aurez créé si il y a lieu), puis cliquez sur Répliquer maintenant.

V. Transfert de la maîtrise des rôles ver le nouveau serveur

Depuis le nouveau serveur, transférez le maitre des opérations du domaine dans utilisateurs et ordinateurs Active Directory en faisant un clic de droit sur celui-ci :

migration-active-directory-image006

Effectuez l’opération pour chaque rôle RIP, CDP et Infrastructure en cliquant sur Modifier :

migration-active-directory-image008

Ouvrez ensuite la console Domaines et approbations Active Directory et changer de contrôleur de domaine. Cette opération permet de se connecter à la console du point de vue du nouveau serveur afin de lui transférer la maitrise du domaine :

migration-active-directory-image009

Choisissez votre nouveau serveur et la console va recharger les données présentes sur celui-ci (d’où l’importance de la réplication) :

migration-active-directory-image010

Transférez ensuite le maitre d’opération d’attribution des noms de domaine :

migration-active-directory-image012

Changer de contrôleur de domaine.

Enregistrez la console « Schéma Active Directory » en tapant la commande :

regsvr32 schmmgmt.dll

Lancez une MMC et ajouter le composant enfichable « Schéma Active Directory » :

migration-active-directory-image013

Changez le contrôleur de domaine Active Directory :

migration-active-directory-image015

Sélectionnez donc votre nouveau serveur :

migration-active-directory-image017

Enfin, changez le maitre des opérations sur le schéma :

migration-active-directory-image019

VI. Vérifications

Il faut ensuite vérifier que les opérations se sont bien déroulées. Dans la console des Sites et services Active Directory, vérifiez que le nouveau serveur est bien publié dans le Catalogue Global :

migration-active-directory-image020

Retirer l’ancien serveur du catalogue global :

migration-active-directory-image022

Vérifiez que le nouveau serveur est bien maitre des rôles FSMO en lançant la commande :

netdom query fsmo

migration-active-directory-image024

VII. Retrait de l’ancien serveur

Lancez la commande dcpromo pour désinstaller le rôle de contrôleur de domaine sur l’ancien serveur. Assignez un nouveau mot de passe pour le compte administrateur local.

Une fois cela fait, vous pouvez modifier le nouveau serveur pour totalement remplacer l’ancien.

Ainsi, il faut intervertir les adresses IP des deux serveurs, notre nouveau serveur sera donc en 192.168.0.2

Changez l’adresse DNS du nouveau serveur pour qu’il utilise le service DNS interne : 127.0.0.1

Vérifiez que la redirection DNS est correctement configurée dans le service DNS du nouveau serveur :

migration-active-directory-image026

A ce point, vous devez vous assurer que votre réseau fonctionne correctement et que la résolution DNS fonctionne également : ping et nslookup sont vos amis. Il y aura certainement un peu de ménage à faire dans les entrées DNS sur le nouveau serveur pour que les modifications d’adresses IP soient effectives.

Si vous souhaitez continuer à accéder à l’ancien serveur, vous pouvez le « parquer » avec une adresse IP temporaire : 192.168.0.200

Il faut également l’adresse DNS de l’ancien serveur pour qu’il utilise le nouveau serveur : 192.168.0.2

Et voilà la migration est terminée !

Référencement des images et attributs alt et title

vendredi 2 octobre 2015 à 14:25

I. Référencement des images, pourquoi ?

Parce qu’un dessin vaut souvent mieux qu’un long discours, d’autant plus par écrit, le référencement des images sur un site web est un élément à prendre en compte lorsqu’on l’on pense à sa stratégie de référencement. Nous allons ici voir comment correctement référencer ses images et quelles balises utiliser.

Il arrive parfois que certaines requêtes Google affichent en première ligne de proposition des images, un bon référencement d’image sur votre site permettra par exemple à vos images d’apparaitre à cet endroit :

referencement-images-seo-01-600x491

Affichage des images dans une page de résultat Google.

Cela touche bien sûr également les images que l’on trouvera dans la section “Images” des moteurs de recherche tel que Google ou Bing. En plus d’être potentiellement directement trouvé dans les moteurs de recherche, ce qui amènera in fine à votre page et votre site web, le bon référencement des images au sein d’une page pourra également être profitable à la page elle-même où sont situées ces images. En effet, les images d’une page sont une composante comme une autre et doivent donc être prises en compte dans le référencement de cette page ou du site.

Il faut savoir que les formats d’images les plus courants sur le net sont les formats .png (Portable Network Graphics), .jpeg (Joint Photographic Experts Group) et .gif (Graphics Interchange Format) bien que d’autres formats existent et soit également présents sur le net. Les principaux moteurs de recherche comme Google, Bing et Yahoo! font l’effort de référencer également les autres images, mais les autres moteurs de recherches privilégies pour la plupart ces trois formats qui sont donc les plus répandus.

II. Les balises alt et title

La question la plus courante à propos du référencement des images par les moteurs de recherche est le rôle des attributs “ALT” et “TITLE” que l’on ne sait pas toujours comment remplir. Nous allons ici voir leur rôle dans l’expérience utilisateur et pour les crawlers des moteurs de recherche.

La balise ALT

La balise ALT possède deux utilités principalement. La première est pour les utilisateurs qui sont dans l’impossibilité de télécharger ou d’afficher l’image en question. En effet lorsque la vitesse de connexion ne le permet pas ou lorsque des systèmes de protection sont en place interdisant l’affichage des images (ce qui est rare de nos jours), c’est le contenu de la balise ALT qui va s’afficher plutôt que l’image elle-même. Le rôle le plus important de la balise alt en ce qui nous concerne, c’est le fait que son contenu soit utilisé par les robots des moteurs de recherche pour indexer l’image en question

La balise TITLE

La balise Title a plus vocation a satisfaire l’expérience utilisateur, mais est très peut prise en compte lors du référencement. En effet, le contenu de la balise “TITLE” sera affiché lors du passage du curseur du visiteur sur l’image en question, comme l’exemple suivant :

balises-title

Vue de la balise TITLE par un utilisateur lors du passage du curseur

La balise “TITLE” a donc plus pour vocation de guider l’utilisateur sur ce qu’il voit plutôt que d’aider les robots des moteurs de recherche.

Dans WordPress, ces deux balises peuvent être gérées très simplement en cliquant sur l’icône de modification d’une image :

referencement-images-seo-011-600x398

Vue de la configuration des balises ALT et TITLE dans l’édition d’image WordPress

On retrouve dans le cadre vert pomme la balise “ALT” qui correspond donc au texte alternatif et dans le cadre vert foncé la balise “TITLE”. Lorsque l’on regarde  du côté du code HTML cette fois-ci (pour la même image qui est celle que vous trouverez tout en haut de cet article), voici ce que l’on peut voir :

balises-alt-title-html-600x75

Vue du code HTML lors de la présence de balises TITLE et ALT correctement remplies

À nouveau, on peut remarquer la présence de la balise “TITLE” en vert foncé avec son contenu qui sera vu par l’utilisateur passant son curseur sur l’image ainsi que la balise “ALT” qui sera utilisée par les moteurs de recherche et les utilisateurs ne pouvant par télécharger l’image.

III. Autres éléments importants

D’autres éléments sont également à prendre en compte lorsque l’on souhaite mettre en place un bon référencement de ses images.

Le nom de l’image

Le nom que l’on donne à nos images est l’élément le plus important parmi ceux pris en compte par les moteurs de recherche. En effet, il semblerait que ce soit l’élément le plus déterminant dans le référencement de celles-ci. Il faut donc y prêter une attention certaine et éviter à tout prix les “IMAGE_tuto_3_01″,”IMAGE_tuto_3_02”,etc. Il faut en effet plutôt privilégier une nomenclature basée sur les mots clés (qui se rapproche du contenu de la balise ALT).

De plus, il est préférable d’aller au plus simple et d’utiliser uniquement des minuscules sans accents pour ne pas gêner le travail des robots des moteurs de recherche. Pour séparer les mots, on préférera également un tiret ” – ” plutôt qu’un underscore ” _ ” qui n’est pas considéré comme un élément de séparation de mot par les crawlers. Pour avoir des exemples d’images correctement nommées :

casque-beats.png
fenetre-windows-copier-coller.jpeg
configurer-wordpress-url.png

On évitera également d’y placer des “stop words”, aussi appelées “mots vides

La légende ou le texte associé

 La légende de l’image, ou plutôt le texte environnant l’image au niveau du code HTML peut également avoir une importance dans le référencement des images dans le sens ou les robots des moteurs peuvent associer ce texte à l’image. En effet, il arrive souvent que l’on mette une image dans article puis que l’on explique ce que cette image montre : “Nous voyons par exemple dans cette image ….“. Dans WordPress, un espace “Légende” permet de fixer cette zone et la lier plus directement à l’image en question  :

legende-referencement-image-600x131

Vue de la modification et de l’application de la Légende sous WordPress

La légende ou le texte associé a donc un rôle dans le référencement des images, mais également dans l’expérience de l’utilisateur, car cela permet d’expliquer une image plus facilement avec une mise en forme déjà faite (sous WordPress du moins !).

Le poids de l’image

Le dernier élément que je présenterais ici est le poids de l’image qui a une importance cruciale pour son référencement, mais également pour le référencement global de la page dans laquelle elle se situe. En effet, une page ou une image longue a chargé (car trop lourd en poids) sera dévaluée par les moteurs de  recherche, car allant à l’encontre de l’expérience utilisateur qui sera d’ailleurs elle aussi moins bonne qu’avec des images optimisées. Ainsi il faut savoir faire un compromis entre la taille d’une image et sa qualité visuelle pour ne pas diminuer l’expérience utilisateur. Notamment pour les articles et les pages contenant des dizaines d’images comme les pages d’accueil.

Le référencement des images est un travail fastidieux, car il nécessite une attention supplémentaire sur la rédaction et la structure des pages et des articles. Néanmoins, il est nécessaire de bien remplir les champs nécessaires et de correctement formater ces images pour rester cohérents lorsque l’on met en place une stratégie de référencement. Pour finir, il est à noter que les images ayant une présence purement décorative comme les puces et les bannières peuvent tout à fait contenir une bannière ALT vide, car leur référencement n’a pas d’importance et pourrait fausser le référencement des pages dans lesquelles elles se trouvent.

Le Nexus 6P et le Nexus 5X annoncés par Google

mercredi 30 septembre 2015 à 17:15

Lors d’une conférence qui s’est déroulée hier, Google en a profité pour annoncer deux nouveaux smartphones : le Nexus 6P et le Nexus 5X.

nexus-6P-1

Google va faire confiance à un nouveau constructeur pour la production du Nexus 6P avec Huawei, mais cela n’empêche pas ces deux smartphones produits par des entreprises différentes d’avoir des ressemblances.

Voici la liste des points communs de ces appareils : l’USB Type-C, le capteur biométrique, le capteur photo Sony, les doubles haut-parleurs sur la façade, et bien entendu Android 6.0 Marshmallow.

Au niveau de la taille de l’écran, le Nexus 6P aura un écran AMOLED de 5,7 pouces (QHD 2 560 x 1 440 pixels – 518 ppp) qui occupera 74% de la surface de la façade. De son côté, le Nexus 5X aura un écran de 5,2 pouces contre 5 pouces pour le Nexus 5 actuel et déjà produit par LG.

Pour donner quelques précisions sur le capteur photo arrière, qui sera commun à ces deux Nexus, il s’agit d’un capteur Sony de 12,3 mégapixels (flash double teinte, ouverture à F:2.0, autofocus via laser infrarouge…) capable de réaliser des vidéos en 4K. Toutefois, pour le capteur avant, le Nexus 6P aura 8 mégapixels contre 5 mégapixels pour le Nexus 5X.

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Google met en avant la finition et le travail réalisé sur le design de l’appareil, notamment le fait qu’il s’agisse du premier Nexus équipé d’une coque unibody en métal. Le fait que la coque soit en métal oblige Google a ajouter cette bande noire à l’arrière de l’appareil pour laisser passer les ondes et en profiter pour positionner le capteur photo à cet endroit.

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Si l’on s’intéresse un peu plus au coeur du Nexus 6P, Huawei a sélectionné un Snapdragon 810 (version v2.1 qui sera sous-cadencée pour éviter un excès de chaleur) – au passage le même que le OnePlus 2. Pour la RAM, comptez 3 Go de RAM avec en stockage 3 déclinaisons possibles : 32, 64 et 128 Go, toujours pas extensibles sur Nexus. Pour ce qui concerne la recharge de la batterie de 3 450 mAh, la recharge par induction ne sera pas possible, mais bénéficiera tout de même du Fast Charging.

Pour le prix du Nexus 6P, les voici : 649 euros pour 32 Go, 699 euros pour 64 Go, et 799 euros pour 128 Go, sur le Google Play Store. Un prix élevé donc, surtout qu’il y aura une différence de prix conséquente entre l’Europe et les États-Unis…

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YouTube et son modèle à 10 dollars par mois

mardi 29 septembre 2015 à 15:15

Google pourrait officialiser prochainement son offre payante pour la plateforme YouTube, après avoir réalisé des tests ces derniers temps une version finale pourrait voir le jour fin octobre.

logo-youtube1L’utilisateur en payant 10 dollars par mois éviterait toutes les publicités sur YouTube ainsi que sur YouTube Music Key, le service de streaming de YouTube. Voici ce que contient donc l’offre de Google.

Pour le moment Google n’a pas officialisé cette version payante ni l’arrivée probable d’un pack comprenant l’accès à YouTube ainsi qu’à YouTube Music Key.

L’objectif de Google est de monétiser une partie de son audience grâce à ce système. Êtes-vous intéressés ?

Source

Des smartwatchs pour tous les goûts ?

mardi 29 septembre 2015 à 14:30

Le marché des smartwatchs évoluent continuellement et les constructeurs tentent tour à tour d’innover pour se démarquer, avec l’objectif de rendre indispensable un produit qui à la base ne l’est pas forcément. Au delà des constructeurs mondialement connus tels qu’Apple, Samsung, Motorola ou encore Sony, le continent Asiatique regorge de constructeurs pour certains méconnus et qui s’essaye aux smartwatchs. C’est alors que l’on trouve sur différents sites un catalogue important de smartwatchs, avec des fonctionnalités différentes, des usages différentes et un design différent. De quoi satisfaire tout le monde ? Voici quelques exemples de ce que l’on peut trouver…

– Pour 35 euros vous pouvez acquérir une smartwatch destinée aux enfants et qui dispose d’un bouton SOS pour prévenir les parents rapidement en cas de danger. La localisation GPS est également présente avec la possibilité de tracker l’enfant à distance depuis une application web accessible depuis un PC.

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– Pour 50 euros vous pouvez acquérir une montre connectée aux allures de Samsung Galaxy Gear, mais compatible aussi bien avec Android qu’iOS.

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– Pour 60 euros vous trouverez une smartwatch aux allures de véritables montres un peu dans le même esprit qu’une Motorola 360, compatible là encore iOS ou Android.

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Chaque modèle mise particulièrement sur le design plutôt que sur les fonctionnalités, bien qu’il est toujours intéressant de regarder les fonctions de chaque smartwatchs, et notamment pensez à regarder la résistance à l’eau, à la poussière, etc. Pour le prix ce sont réellement des produits très attractifs, la question est de savoir si la beauté sur le papier se ressent dans la réalité.

Je vous invite à visiter cette page pour constater par vous-même cette diversité et pourquoi pas vous laisser tenter… Catalogue Smartwatchs

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