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Comment utiliser Windows File Recovery ?

vendredi 3 juillet 2020 à 09:00

I. Présentation

Windows File Recovery est le nouvel outil de Microsoft, disponible pour Windows 10 à partir de la version 2004 sortie en mai 2020, et qui permet de restaurer des fichiers supprimés par erreur (ou non d'ailleurs) et qui ne sont plus dans la corbeille.

Dans ce tutoriel, je vais vous expliquer comment utiliser Windows File Recovery sous Windows 10. Un point rapide sur les prérequis nécessaires pour utiliser WFR :

- Disposer de Windows 10, version 2004 (Build 19041) ou version ultérieure
- Télécharger l'application sur le Microsoft Store gratuitement
- La source et la destination doivent être des volumes différents : une clé USB pour la destination, ça fait l'affaire !

Par ailleurs, il faut savoir que Windows File Recovery est compatible avec les volumes NTFS, ReFS, FAT, et exFAT. Si vous souhaitez analyser un volume qui utilise un autre système de fichiers, il faudra utiliser l'analyse basée sur les signatures.

Tutoriel disponible au format vidéo :

II. Comment restaurer un fichier avec Windows File Recovery ?

Une fois installé, Windows File Recovery se présente sous la forme de l'exécutable winfr.exe sur votre système. Il suffit de l'appeler à partir de la zone de recherche de Windows 10, ou depuis PowerShell voire même dans Windows Terminal.

winfr

Lorsque l'on ouvre le logiciel, il affiche directement les options disponibles avec quelques exemples. Comme l'explique l'aide, la syntaxe de base est la suivante :

winfr LecteurSource: LecteurDestination: [/switches]

Prenons quelques exemples...

Si l'on sait exactement le fichier que l'on veut récupérer et que l'on connaître son emplacement, alors on peut le préciser directement à winfr. Imaginons que je veux restaurer le fichier "C:\WFR\confidentiel.txt" et le stocker dans "P:\".

Il va falloir préciser le volume source à savoir C:, le volume de destination donc P:, le switch /n pour préciser un filtre de recherche pour lequel nous allons préciser le chemin vers notre fichier (sans le volume).

Ce qui donne :

winfr C: P: /n \WFR\confidentiel.txt

Même pour rechercher un seul fichier, l'opération peut prendre plusieurs minutes. À la fin, il faut indiquer "y" pour afficher le dossier contenant le log et les fichiers restaurés.

Maintenant, reprenons le même principe, mais cette fois-ci pour restaurer toutes les données trouvées dans le dossier "C:\WFR", cela donne :

winfr C: P: /n \WFR\

Il est à noter que les données restaurées seront organisées par type puis par extension.

Le mode de recherche par défaut sera pertinent pour restaurer un fichier qui vient d'être supprimé. Par contre, si vous souhaitez restaurer un fichier supprimé il y a plus longtemps, ou sur une partition formatée, dans ce cas il faudra plutôt utiliser le mode segment. Le switch /r devra être ajouté, comme ceci :

winfr C: P: /r /n \WFR\confidentiel.txt

Si vous souhaitez restaurer les données d'un dossier, mais seulement pour les fichiers JPG et PNG, il faudra alors spécifier deux filtres et utiliser le wildcard (*). Ce qui donne :

winfr C: P: /r /n *.jpg /n *.png

Pour rechercher dans le même dossier que précédemment, il faudra penser à préciser le nom du dossier :

winfr C: P: /r /n \WFR\*.jpg /n \WFR\*.png

Si vous avez besoin de restaurer des fichiers sur une clé USB ou une carte mémoire d'un appareil photo, par exemple, et que le système de fichiers n'est pas NTFS, vous devrez utiliser le mode signature.

Le mode signature s'utilise grâce au switch /x. Cela va notamment permettre de ce baser sur l'en-tête des fichiers pour définir le type donc le switch /y est là en complément pour préciser des extensions.

Si je reprends l'exemple précédent :

winfr C: P: /x /y:JPG,PNG /n \WFR

Ce que je trouve intéressant avec Windows File Recovery, c'est la flexibilité que l'on a au niveau des options de récupération, on peut être vraiment précis sur les filtres de recherche. Reste à voir l'efficacité de cet outil vis-à-vis des autres solutions du marché, qui sont très nombreuses !

Pour aller plus loin, je vous propose de lister les options avancées et de les explorer en vous appuyant sur l'aide Microsoft...

winfr /!

Si tu as une question, tu peux me laisser un commentaire sur cet article 😉

Test Vasco Mini 2 : mon avis sur ce traducteur vocal haut de gamme

jeudi 2 juillet 2020 à 09:00

I. Présentation

Après une première expérience avec un traducteur vocal en 2019 avec le modèle Langogo, je remets ça cette année avec un autre modèle, d'une autre marque : le Vasco Mini 2. Un appareil indispensable pour voyager sans être frustré à cause de la barrière de la langue, qui n'est plus un frein grâce à un traducteur vocal.

Vasco Electronics est une société spécialisée dans les traducteurs électroniques, avec notamment plusieurs traducteurs vocaux et plus de 10 ans d'expérience dans le domaine. Le modèle que je vous présente aujourd'hui, le Vasco Mini 2, a remporté le meilleur prix dans la catégorie "Best Connected Consumer Device" aux Global Mobile Awards de 2020, au dernier MWC de Barcelone. Nous allons voir ce que ça donne dans la pratique avec ce traducteur vocal haut de gamme.

Le Vasco Mini 2 prend en charge plus de 50 langues différentes pour la traduction. Voici quelques exemples : français (France), français (Canada), espagnol (Espagne), espagnol (Amérique), chinois, coréen, basque, catalan, arabe, hébreu, khmer, lituanien, polonais, portugais (Brésil), portugais (Portugal), russe, turc, ukrainien, thaï, vietnamien et bien sûr l'anglais du Royaume-Uni et l'anglais des États-Unis. Pour les menus de l'appareil, il y a une grosse vingtaine de langues disponibles.

Chose très importante : il n'est pas nécessaire d'avoir une connexion Wi-Fi pour l'utiliser, il intègre une carte SIM, gratuite, que vous pouvez utiliser sans abonnement et ça, c'est vraiment top ! En complément, il intègre tout de même une puce Wi-Fi compatible avec la bande de fréquence 2,4 GHz.

L'appareil intègre un écran tactile de 2 pouces (240 x 320 pixels), mais il est pilotable également à l'aide des boutons : les deux sont complémentaires. Voici ses caractéristiques :

- Processeur : MediaTek MT6735
- Stockage : 8 Go
- RAM : 1 Go
- Batterie : Lithium-ion 1200 mAh
- Poids : 70 grammes
- Garantie : 2 ans

II. Package et design

La boîte, entièrement noire, est de qualité et s'ouvre à la manière d'un coffre. Elle contient le traducteur vocal qui est positionné dans un bloc en mousse très dure, ainsi qu'un câble USB - microUSB pour recharger l'appareil, le chargeur USB pour ce même câble, une housse de protection rigide, et une notice d'utilisation d'environ 150 pages, en plusieurs langues. Le package est vraiment complet, et c'est bien vu de la part de Vasco d'avoir intégré le chargeur USB ainsi que la housse de protection.

La housse est de qualité et bien conçue, notamment pour maintenir en place le traducteur vocal, mais aussi pouvoir ranger le câble USB et son chargeur. J'ai essayé : tout peut rentrer. La coque est bien rigide et elle ne s'écrase pas lorsque l'on appuie dessus.

Avec son look d'iPod Nano (les fans Apple apprécieront), le Vasco Mini 2 tient facilement en main puisqu'il est compact et léger. Il est entièrement gris, en plastique, avec un effet visuel granuleux sur la teinte du plastique. À l'avant, le bouton d'action central dispose d'un effet chromé alors qu'à l'arrière c'est la mention "mini" qui en bénéficie.

Le traducteur dispose de plusieurs boutons, notamment sur les côtés et sur la partie principale. En dessous de l'écran tactile, nous retrouvons deux boutons micros et en dessous, les touches directionnelles pour naviguer dans les menus sans passer par le tactile. Ce qui est très pratique c'est les deux boutons "micros" : pour traduire dans un sens, il faut utiliser le bouton de gauche, et dans l'autre sens le bouton de droite, cela facilite grandement les échanges sans devoir modifier la configuration du traducteur à chaque fois.

Sur le flanc gauche, les boutons sont utiles pour allumer/éteindre l'appareil, et pour gérer le volume. À l'opposé, nous retrouvons le bouton "Retour" ainsi qu'un emplacement pour une carte SIM, mais il y a déjà une carte SIM internationale incluse avec l'appareil. Sur le dessus, nous retrouvons une prise Jack 3.5 mm, et sur le dessous le port microUSB pour la recharge. La prise Jack peut s'avérer utile pour connecter des écouteurs et entendre la traduction clairement dans un environnement bruyant.

Le haut-parleur quant à lui est à l'arrière, alors que les micros antibruit sont représentés par quatre zones : deux sur le dessus, deux sur le dessous, de quoi optimiser la captation de la voix.

Dans l'appareil, il y a une véritable carte SIM : il ne s'agit pas d'une eSIM. Par ailleurs, il y a une microSD qui contient des fichiers indispensables au bon fonctionnement du traducteur, il ne faut pas la retirer. Quant à la carte SIM, elle peut être remplacée temporairement si vous souhaitez une carte SIM différente par rapport au pays où vous vous situez.

III. Vasco Mini 2 dans la pratique

Le moins que l'on puisse dire, c'est que la mise en route est rapide : à peine démarré, on sélectionne les deux langues, et c'est parti l'appareil est prêt à traduire ! Il n'y a pas de paramétrage à réaliser de manière obligatoire.

Pendant une phase de traduction, le texte s'écrit en temps réel sur l'écran, et il se traduit directement. En plus de traduire le texte, le traducteur vocal peut également prononcer le texte : c'est là que son haut-parleur entre en jeu. Il y a une option de prononciation automatique, que l'on peut activer ou désactiver, et il est possible de configurer la vitesse de diction.

Lorsqu'une traduction est réalisée par l'appareil, celle-ci est conservée dans l'historique : l'intérêt est de pouvoir la consulter ultérieurement et de la rejouer.

Personnellement, je trouve que les boutons physiques sont très pratiques, plutôt que l'interface tactile, surtout sur un écran de petite taille. Enfin, si l'on a des gants par exemple, grâce aux boutons physiques on peut tout à fait utiliser l'appareil.

Grâce à sa batterie de 1200 mAh et à une interface logicielle optimisée, le Vasco Mini 2 offre environ 10 heures d'autonomie pour la traduction : 10 heures de conversation, ce n'est pas négligeable.

Il manque deux fonctionnalités à cet appareil : premièrement, il ne fait pas dictaphone, et deuxièmement, il n'intègre pas de convertisseur de devise. Cela aurait pu être un plus et transformer le Vasco Mini 2 en un véritable couteau suisse.

IV. Pertinence des traductions

Pour ma part, j'ai pu tester différentes langues pour la traduction : anglais, français et espagnol. Notamment de français vers espagnol, et inversement. Bien qu'il y ait quelques couacs dans la traduction, ou parfois le moteur de traduction qui ne se déclenche pas, les traductions sont pertinentes dans l'ensemble. Suffisamment pertinente pour se comprendre facilement, même s'il y a parfois quelques erreurs sur des mots, notamment en espagnol qui est une langue rapide.

Ce que j'ai apprécié également c'est la voix qui dicte les traductions : elle donne réellement l'impression d'une naturelle, c'est agréable à écouter et l'accent est bon. La voix s'adapte automatiquement en fonction de la langue de destination, ce n'est en aucun cas une voix robotisée, et surtout c'est une "personne" différente à chaque fois. La diction est pertinente et même remarquable !

Sur cette page, vous pouvez d'ailleurs écouter les voix naturelles du Vasco Mini 2 : Extrait voix Vasco Mini 2

V. Conclusion

Ce traducteur est performant, mais il est relativement onéreux puisqu'il est proposé à 249 euros par Vasco sur Amazon. Le Vasco Mini 2 est un très bon produit, mais qui est plus adapté aux professionnels ou aux voyageurs fréquents : il n'est pas utile d'investir une telle somme pour un seul séjour d'une ou deux semaines.

Il y a un énorme avantage avec ce traducteur vocal, c'est la carte SIM internationale intégrée : il n'y a pas de coûts cachés ni de coûts supplémentaires pour pouvoir l'utiliser. Il est directement connecté à Internet, sans frais supplémentaires. En complément, la connectivité Wi-Fi pourra prendre le relais si vous êtes dans un endroit où le réseau mobile est limité, mais que le Wi-Fi est disponible.

C'est un traducteur vocal très simple d'utilisation : il suffit de l'allumer, de choisir les deux langues et de l'utiliser. Il n'y a pas besoin de se prendre la tête pour souscrire à un abonnement pour la connectivité réseau, ce qui simplifie la mise en route. J'ai apprécié la pertinence des traductions, bien qu'il y ait quelques couacs, ainsi que la qualité de la voix qui dicte les traductions.

Microsoft lance Windows File Recovery, son outil de récupération de fichiers

mercredi 1 juillet 2020 à 13:00

Windows File Recovery est le nouvel outil proposé par Microsoft directement afin de restaurer des fichiers supprimés, que ce soit volontairement ou non. Cette application s'utilise en ligne de commande.

Si un fichier est supprimé et qu'il est introuvable dans la corbeille, alors Windows File Recovery devient une alternative supplémentaire pour tenter de récupérer vos données perdues. Que ce soit sur une clé USB, une carte mémoire, un disque dur ou un disque SSD, bien que ce soit particulièrement difficile sur ce dernier.

Au niveau de la compatibilité avec les systèmes de fichiers, cet outil supporte : NTFS, FAT, exFat et ReFS. Ensuite, l'application Windows File Recovery est capable de restaurer des fichiers de différents types : les documents Office, les fichiers ZIP, ou encore les fichiers vidéos (MPEG/MP4), audio (MP3) et images (JPG/PNG) ainsi que les PDF.

Dans la pratique, l'outil permet d'effectuer une recherche selon différents critères : des noms de fichiers, des chemins, des extensions ou des mots clés.

Windows File Recovery est disponible sur Microsoft Store et il est compatible avec Windows 10 à partir de la build 19041.

PowerShell : les opérateurs -like et -notlike

mercredi 1 juillet 2020 à 09:15

I. Présentation

PowerShell propose différents opérateurs, certains pour comparer des valeurs numériques, d'autres pour vérifier si deux valeurs sont identiques, ou encore pour tester un booléen.

Il y a aussi les opérateurs -like et -notlike en PowerShell qui sont très pratique pour réaliser un filtre plus large grâce à la notion de wildcard. L'idée c'est plutôt de rechercher la présence d'une chaîne de caractères dans une autre chaîne, sans que celle-ci soit exactement la même : elle peut être présente sans représenter la chaîne complète. Nous allons voir différents exemples, ce sera plus facile à comprendre...

Tutoriel disponible au format vidéo :

Voici une liste de fichiers que l'on prendra pour exemple pour la suite de cet article :

II. PowerShell et -like

Bien souvent, nous utilisons ces deux opérateurs dans une boucle, une condition if, ou encore avec Where-Object. D'ailleurs, les exemples qui suivent s'appuient sur Where-Object (Where) mais la syntaxe de -like reste toujours la même.

Pour rechercher tous les éléments du dossier courant qui ont la chaîne "test" dans leur nom, voici la commande :

Get-ChildItem | Where { $_.Name -like "*test*" }

Dans l'exemple précédent, le fait d'ajouter "*" sert de wildcard pour préciser qu'il peut y avoir des valeurs avant ou après (peu importe le type de valeurs et le nombre de valeurs). C'est la syntaxe à utiliser pour rechercher simplement la chaîne "test", peu importe sa position dans le nom des éléments.

Maintenant, si l'on veut rechercher tous les fichiers dont le nom commence par la chaîne "test", on va devoir indiquer qu'un seul astérisque puisque l'on ne veut pas de caractères avant notre chaîne. Vous verrez que le résultat retourne bien seulement les fichiers qui commencent par test, et que le fichier "Six Test.txt" n'est plus dans la liste retournée, tout comme "Sept TEST test.txt". Ce qui donne :

Get-ChildItem | Where { $_.Name -like "test*" }

Par défaut, la commande n'est pas sensible à la casse. Les trois exemples ci-dessus vont retourner exactement le même résultat :

Get-ChildItem | Where { $_.Name -like "*test*" }
Get-ChildItem | Where { $_.Name -like "*TEST*" }
Get-ChildItem | Where { $_.Name -like "*tESt*" }

Si l'on veut préciser explicitement que le filtre n'est pas sensible à la casse, on peut utiliser -ilike plutôt que -like mais le résultat sera le même :

Get-ChildItem | Where { $_.Name -ilike "*test*" }

Pour rendre la recherche sensible à la casse, l'opérateur -clike doit être utilisé. Rien d'autre ne change.

Get-ChildItem | Where { $_.Name -clike "*test*" }

Si l'on sait qu'il y a un caractère qui peut changer dans la chaîne, on peut le remplacer par "?" dans la chaîne de référence. Par exemple, dans ma liste j'ai des noms de fichiers avec "test", "tost" et "tust". Je vais donc adapter la chaîne de référence utilisée par mon -like comme ceci :

Get-ChildItem | Where { $_.Name -like "*t?st*" }

Nous pouvons aussi utiliser l'opérateur -like (et les variantes) de façon autonome, le résultat retourné sera alors booléen. Voici un exemple :

"www.it-connect.fr" -like "*it-connect*"

Passons maintenant à la découverte de -notlike.

III. PowerShell et -notlike

L'opérateur -notlike fonctionne de la même façon que -like mais les résultats qu'il va retourner sont exactement à l'inverse de -like. En effet, là on va plutôt essayer de filtrer les résultats pour exclure les valeurs qui contiennent la chaîne de référence.

Exactement l'inverse que toute à l'heure :

Get-ChildItem | Where { $_.Name -notlike "*test*" }

Vous devez vous en douter, l'opérateur -notlike a également deux variantes : -inotlike et -cnotlike.

Voici un exemple :

Get-ChildItem | Where { $_.Name -cnotlike "*test*" }

Dans les conditions, il est bien entendu possible de coupler l'utilisation de -like et -notlike (et leurs variantes), que l'on pourra coupler également avec -and, -or, etc. L'intérêt est de réaliser un filtre encore plus fin.

Voici un exemple :

Get-ChildItem | Where { $_.Name -like "Test*" -and $_.Name -cnotlike "*TEST*"}

Ce sera le mot de la fin, maintenant à vous de mettre ces exemples en pratique !

Konyks Priska Mini Max EU : une prise connectée Schuko

mardi 30 juin 2020 à 13:00

Konyks a dévoilé cette semaine une nouvelle version de sa prise connectée Konyks Priska Mini, désormais disponible en version max.

Elle reprend la puissance de sa grande soeur, à savoir jusqu'à 3 500 Watts pour 16A, avec la mesure de la consommation électrique et un pilotage à partir de l'application mobile Konyks. Elle se connecte au réseau de votre domicile en Wi-Fi également, ce qui permet un pilotage à distance même lorsque vous n'êtes pas chez vous. Par ailleurs, le pilotage à la voix est possible aussi grâce à la compatibilité avec les différents assistants vocaux.

Qu'est-ce qu'apporte la version Max ?

Tout simplement, elle est à la norme européenne "Schuko" à l'instar de la prise connectée Konyks Priska EU dévoilée début mai 2020. Grâce au respect de cette norme, elle est compatible avec toutes les prises européennes, que ce soit du côté de l'appareil ou de la prise murale.

Grâce à ce type d'appareil, Konyks peut viser plus loin que le marché français et tenter de séduire les consommateurs à l'échelle de l'Europe.

Pour rappel :

- Test Konyks Priska+ Mini

- Konyks Priska EU