ASUSTOR a dévoilé sa nouvelle carte d'extension AS-T10G2, correspondant à la deuxième génération de carte PCIe 3.0 proposée par le fabricant pour ajouter un port Ethernet 10 Gigabit à votre NAS !
Pour cette nouvelle version, ASUSTOR a choisit un contrôleur AQC-107 de chez Aquantia dont l'objectif est d'améliorer les performances d'une part, mais aussi d'être moins gourmand en énergie d'autre part. Le fabricant précise qu'en utilisant le NAS ASUSTOR Lockerstor 16R Pro, les taux de transfert peuvent atteindre 1 127 Mo/s en lecture et 1 124 Mo/s en écriture.
Voici les caractéristiques techniques de la carte AS-T10G2 qui est dotée d'un port Ethernet RJ45 10 Gbps et qui bénéficie d'une garantie d'1 an :
1 x port Ethernet RJ45 @ 10 Gbps
Prise en charge des Jumbo Frame 16K octets
Calculs de somme de contrôle IP, TCP, UDP
Compatible quatre voies de PCI Express 3.0
Même si ce serait dommage d'en arriver là, cette carte prend en charge les connexion 100 Mbit/s, 1 Gbit/s et 2.5 Gbit/s (très répandues chez ASUSTOR), en plus de la norme pour laquelle elle est taillée : le 10 Gbit/s (IEEE 802.3an 10GBase-T). En complément, voici la liste des autres normes prises en charge :
IEEE 802.3az : Green Ethernet
IEEE 802.1p
IEEE 802.3x : Contrôle de flux
IEEE 802.1Q : VLAN Tag
IEEE 802.1Qav : Pontage Audio-Vidéo
IEEE 1588 v2 : Precision Time Protocol
Il me semble important de préciser que cette carte d'extension est compatible avec certains NAS ASUSTOR mais vous pouvez aussi l'intégrer dans votre PC ! Elle n'est pas réservée à une utilisation dans un NAS. Les systèmes Windows et Linux sont pris en charge.
Au niveau des NAS ASUSTOR, les modèles suivants sont pris en charge : AS7112RDX / AS7116RDX / AS6504RD / AS6504RS / AS6512RD.
Le tarif n'est pas précisé, mais sur le Store d'ASUSTOR, on retrouve la carte à 119 dollars.
Lorsque l'on utilise PowerShell, on peut se retrouver face à une certaine confusion, si l'on ne maîtrise pas bien le fonctionnement des simples quote ( ' ) et des doubles quotes, c'est-à-dire les guillemets ( " ). Microsoft parle de guillemets simples ( ' ) et de guillemets doubles ( " ). Bien que l'écriture soit très proche, on peut avoir tendance à les mélanger, sauf que cela peut avoir un impact sur le fonctionnement de votre bout de code PowerShell.
Dans ce tutoriel, je vous propose différents exemples pour bien comprendre comment fonctionne le simple quote et le double quote.
Si vous êtes prêt pour le match du jour "Simple quote VS double quote", alors, c'est parti !
II. PowerShell : guillemets simples VS guillemets doubles
Pour que ce soit facile à comprendre, nous allons progresser à l'aide d'exemples. Tout d'abord, commençons par ce premier exemple :
Tiens, c'est intéressant : lorsque l'on utilise de simples quote ( ' ), la console ne renvoie pas la valeur de la variable, mais le nom de la variable en lui-même. À l'inverse, lorsque l'on utilise les doubles quote ( " ), la console renvoie bien la phrase complète, où la variable est remplacée par sa valeur.
En voilà une sacrée différence ! En effet, lorsque l'on utilise de simples quote, les variables et les commandes éventuelles ne sont pas "exécutées" : elles sont traitées comme du texte ! Cela peut avoir un intérêt dans certains cas, mais généralement on souhaite récupérer la valeur de notre variable, et non son nom.
Lorsque l'on utilise les doubles quote, on est capable d'aller chercher une valeur contenue dans une variable externe à la commande que l'on exécute, ici un simple Write-Host. Plus précisément, les doubles quote vont tenir compte de la présence du caractère "$".
Si je précise une commande, par exemple Get-Date pour récupérer la date en PowerShell, le résultat est le même dans les deux cas :
PS> Write-Host 'Bonjour, nous sommes le Get-Date -Format dd/MM/yyyy'
Bonjour, nous sommes le Get-Date -Format dd/MM/yyyy
PS> Write-Host "Bonjour, nous sommes le Get-Date -Format dd/MM/yyyy"
Bonjour, nous sommes le Get-Date -Format dd/MM/yyyy
Par contre, si j'englobe ma commande Get-Date avec $(), là c'est différent : ma commande sera bien exécutée dans un cas. Ce qui donne :
PS> Write-Host 'Bonjour, nous sommes le $(Get-Date -Format dd/MM/yyyy)'
Bonjour, nous sommes le $(Get-Date -Format dd/MM/yyyy)
PS> Write-Host "Bonjour, nous sommes le $(Get-Date -Format dd/MM/yyyy)"
Bonjour, nous sommes le 16/06/2021
De la même façon, pour faire un simple calcul :
PS> Write-Host "Une année est composée de 6 + 6 mois"
Une année est composée de 6 + 6 mois
PS> Write-Host "Une année est composée de $(6 + 6) mois"
Une année est composée de 12 mois
L'importance d'englober la commande à exécuter dans $() ne fait plus de doute !
Si l'on veut écrire du texte entre guillemets (double quote), tout en appelant une variable, on peut se retrouver dans une situation délicate. On pourrait simplement mixer l'utilisation des deux types de quote, comme ceci :
PS> Write-Host 'Bonjour, voici un "texte" entre guillemets pour $Prenom'
Bonjour, voici un "texte" entre guillemets pour $Prenom
Le problème, c'est que la variable ne sera pas traitée. En fait, pour que cela fonctionne, il faut doubler les guillemets comme ceci, tout en utilisant des guillemets pour la chaîne globale :
PS> Write-Host "Bonjour, voici un ""texte"" entre guillemets pour $Prenom"
Bonjour, voici un "texte" entre guillemets pour Florian
Ce principe fonctionne aussi avec les guillemets simples :
Avec ces différents exemples, vous devez être en mesure de maîtriser cette notion indispensable !
Pour finir sur le sujet, je me suis amusé à comparer les performances via Measure-Command lorsque l'on utilise les guillemets simples ou les guillemets doubles. La différence est mineure, mais les guillemets doubles semblent plus rapides malgré tout pour afficher une simple chaîne ! Par contre, si l'on commence à ajouter des commandes à traiter (comme Get-Date), forcément cela aura un impact ! Mais bon, de toute façon, nous n'avons pas le choix lorsque l'on veut inclure ce type de traitement.
Si vous souhaitez vous amuser, voici deux boucles pour écrire la même phrase en boucle, mais de deux façons différentes :
$Var = "Le match !"
$SimpleQuote = Measure-Command {
for ($i = 0; $i -lt 300; $i++) { Write-Host 'Simple quote VS double quote : $Var' }
}
$DoubleQuote = Measure-Command {
for ($i = 0; $i -lt 300; $i++) { Write-Host "Simple quote VS double quote : $Var" }
}
# Afficher les résultats :
$SimpleQuote
$DoubleQuote
Vous êtes désormais en mesure de maîtriser les guillemets simples (simple quote) et les guillemets doubles (double quote) en PowerShell !
L'équipe de Tor Project a publié une nouvelle version du navigateur Tor pour corriger des bugs, mais aussi une vulnérabilité qui permettait aux sites de suivre l'utilisateur, ce qui est plutôt gênant. Tor Browser 10.0.18 est disponible !
En mai dernier, la société FingerprintJS, spécialisée dans le code JavaScript, a découvert une vulnérabilité qui permet de suivre l'activité des utilisateurs d'un navigateur à un autre grâce à l'empreinte des applications installées sur la machine de l'utilisateur.
Lorsqu'un utilisateur cherche à ouvrir une application directement depuis le navigateur, par exemple un lien "zoommtg://" qui va suggérer d'ouvrir Zoom sur votre machine, un profil de suivi est créé. Si le prompt s'affiche, on peut considérer que l'application est installée sur la machine. Donc, en vérifiant la présence de différents gestionnaires d'URL, la vulnérabilité peut créer un ID basé sur la configuration unique des applications installées sur le poste de l'utilisateur. Un ID qui peut être suivi d'un navigateur à l'autre, dont Tor Browser, Chrome, Edge, Firefox ou Safari.
Il faut dire que cette vulnérabilité est particulièrement gênante pour les utilisateurs de Tor ! Et bien oui, car on utilise généralement ce navigateur pour protéger son identité en ligne et masquer son adresse IP. Puisque cette vulnérabilité permet de suivre les utilisateurs au travers des navigateurs, elle pourrait permettre aux sites web de récupérer l'adresse IP réelle de l'utilisateur lorsqu'il passe de Tor Browser à un navigateur "non anonyme", comme Google Chrome par exemple.
Pour corriger cette vulnérabilité, l'équipe de Tor Project a positionné le paramètre "network.protocol-handler.external" avec la valeur "false" (faux). Ce paramètre sert à désactiver les gestionnaires d'URL qui permettent d'ouvrir les liens d'applications à partir du navigateur.
Vous pouvez mettre à jour Tor Browser dès à présent sur votre machine ou le télécharger depuis le site officiel. En plus des quelques bugs corrigés, cette nouvelle version permet à Tor en lui-même de passer en version 0.4.5.9.
Suite à la collaboration de Google et de Canonical, la distribution Ubuntu Pro est désormais disponible sur Google Cloud. Cette version premium s'adresse directement aux environnements de production et aux entreprises.
Les images d'Ubuntu Pro sont disponibles pour plusieurs versions : 16.04 LTS, 18.04 LTS et 20.04 LTS, directement au sein de la Marketplace de Google Cloud. Grâce à Ubuntu Pro, vous pouvez bénéficier d'un suivi des mises à jour pendant 10 ans, même si ce sera limité à 8 ans pour Ubuntu 16.04 LTS. Il faut dire que cette version est disponible depuis 2016. Ce support étendu sur le long terme n'est pas sans rappeler les versions LTSC de Windows.
Avec Ubuntu Pro, Canonical veut miser sur la sécurité avec notamment un suivi très précis des mises à jour de sécurité pour vous protéger contre les CVE critiques via les dépôts universe d'Ubuntu qui couvrent 30 000 paquets.
L'éditeur précise également qu'Ubuntu Pro pourra bénéficier de la fonctionnalité "Kernel livepatch" qui permet de mettre à jour en live le noyau Linux de la machine. Ce qui permet de maintenir ses machines à jour sans impacter l'uptime.
Google et Canonical ont également travaillé pour que l'intégration soit en conformité avec différentes réglementations au sujet du traitement des données ou la standardisation d'un environnement Cloud : FedRAMP, HIPAA, PCI, GDPR, et ISO.
D'ici la fin de l'année, Canonical va proposer des composants supplémentaires, respectant les normes FIPS 140-2. Nous aurons le droit à un nouveau tableau de bord dédié à la sécurité baptisé "Security Command Center" mais aussi une solution pour gérer les applications.
Rappelons que cette intégration existe déjà sur Azure, le Cloud de Microsoft. Cela n'est pas une surprise, car on sait que Microsoft et Canonical sont assez proches depuis quelques années. Dans les deux cas, pour obtenir Ubuntu Pro, il faudra payer.
Même si aujourd'hui et demain c'est l'Amazon Prime Day, il ne fallait pas espérer qu'AliExpress reste sans rien faire ! Le géant du e-commerce propose également des promotions et il y a quelques offres sur les produits Xiaomi !
Si vous recherchez un smartphone, c'est peut-être le moment de vous laisser tenter.... Et de faire un combo avec un bracelet connecté et une paire d'écouteurs sans-fil ! En effet, plusieurs produits sympathiques de chez Xiaomi sont en promotion sur AliExpress, notamment l'excellent Redmi Note 10 Pro.
Xiaomi Redmi Note 10 Pro (Version globale) - 6 Go RAM - 64 Go de stockage
Il y a plusieurs versions et coloris disponibles à chaque fois : je vous laisse jeter un coup d'oeil si cela vous intéresse. Toutefois, prenez bien la version Globale pour avoir un appareil adapté au marché français.
Voici également quelques codes utiles applicables pour les produits de l'entrepôt "FRANCE" :
5 euros de réduction dès 30 euros d'achat : FRJUNE3
10 euros de réduction dès 80 euros d'achat : FRJUNE8
20 euros de réduction dès 160 euros d'achat : FRJUNE15
25 euros de réduction dès 200 euros d'achat : FRJUNE20