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Test OnePlus Buds Z : mon avis sur ses écouteurs à 40 euros

mardi 23 février 2021 à 16:00

I. Présentation

Après le test du smartphone OnePlus N10, je me suis attaqué à un autre produit de chez OnePlus : les écouteurs intra-auriculaires OnePlus Buds Z, présentés en 2020. C'est la seconde paire d'écouteurs lancée par OnePlus qui se lance définitivement sur ce nouveau marché.

Chaque écouteur est équipé d'un haut-parleur avec 1 driver de 10 mm (sensibilité : 97 dB ± 3dB @ 1 KHz) et la connexion avec votre appareil s'effectue en Bluetooth 5.0. Il y a une certification IP55 sur ses écouteurs, ce qui assure une protection légère contre la poussière et les éclaboussures d'eau (donc la pluie).

L'étui de charge quant à lui intègre une batterie de 450 mAh et se recharge grâce à un port USB-C. Au total, il permettra aux écouteurs d'avoir une autonomie globale de 20 heures. Le tout pour un poids de 40 grammes.

Ils sont disponibles deux coloris, ou plutôt deux éditions : l'édition White qui est blanche et que je vous présente dans cet article, et l'édition Steven Harrington qui est très colorée !

Pour l'édition "White", le prix affiché est de 59 euros à la sortie, mais actuellement, on peut trouver les écouteurs à moins de 40 euros sur le Net. Compte tenu de la fiche technique et du prix, OnePlus pourrait bien nous offrir un produit avec un rapport qualité/prix très intéressant. Est-ce bien le cas ? Réponse à la fin de ce test.

⭐ Site officiel

II. Package et design

La boîte est sobre, aux couleurs de OnePlus, mais heureusement qu'elle est là, car elle a souffert pendant le transport... À l'intérieur, on peut découvrir les écouteurs OnePlus, ou tout du moins le boîtier de charge dans un premier temps.

Dans le détail, OnePlus nous propose une boîte qui regroupe les éléments suivants : la station de charge et ses deux écouteurs, une notice, un câble USB-A / USB-C et deux paires d'embouts en silicone, en plus de ceux préinstallés.

Test OnePlus Buds Z

Le boîtier de charge est compact et propose un format en longueur, que l'on pourrait comparer à une grosse gélule de par sa forme bombée 😉. Le boîtier est entièrement blanc brillant, en plastique, avec le sigle "OnePlus" sur le dessus. À l'avant, nous retrouvons une LED d'état qui passera au vert lorsque la station est chargée, et à l'arrière le port USB-C pour la recharge, avec en complément un bouton, discret, mais utile puisqu'il permet de mettre les écouteurs en mode appairage. Néanmoins, cela n'est pas utile pour le premier appairage, nous y reviendrons.

Grâce à ce format compact, on peut facilement ranger ce boîtier dans son manteau ou sa sacoche de PC portable, voire même dans la poche d'un jean.

Le design des écouteurs est sobre. Entièrement en plastique blanc et brillant, la tige n'est pas totalement cylindrique. La partie en prolongement de l'écouteur, à l'extérieur, est plate. La partie ronde, en haut de la tige, correspond à la surface tactile de l'écouteur. Chaque écouteur dispose de deux micros.

Les écouteurs se rangent très facilement dans la station de charge : le rangement à plat est pratique et il y a des aimants pour faciliter le positionnement des écouteurs.

III. Utilisation au quotidien

Après avoir trouvé la paire d'embouts silicones adaptés à ses oreilles, il ne reste plus qu'à tester les écouteurs dans la pratique. Les écouteurs tiennent bien en place et ne sont pas gênants, ce qui est rassurant pour la suite.

La connexion s'effectue très simplement, et c'est en partie grâce à l'utilisation de la fonction Google Fast Pair. En gros, si vous ouvrez le boitier à proximité de votre smartphone la première fois, une connexion entre les deux va s'établir et il vous sera proposé de valider la connexion. Il est à noter que les écouteurs ne sont pas compatibles avec le Bluetooth multipoint.

Note : la connexion Bluetooth sur le smartphone permet de remonter le pourcentage de batterie de chaque écouteur (indépendamment) et de la station de charge.

✔ Configuration des écouteurs

Pour configurer les écouteurs afin de gérer le contrôle tactile, il existe l'application "HeyMelody". Néanmoins, sur les smartphones OnePlus et Oppo, cette gestion est intégrée au système. Une double pression sur la surface tactile d'un écouteur permet d'effectuer une action : malheureusement, cela nous limite à une action par écouteur, car c'est la seule option. La seule liberté que l'on a c'est de choisir l'action associée : piste suivante, piste précédente, pause/lecture et l'assistant vocal.

C'est par ce biais également que l'on pourra effectuer la mise à jour du firmware des écouteurs.

✔ Stabilité et usage

La reconnexion Bluetooth des écouteurs sur un smartphone déjà associé et vraiment très rapide, je dirais même instantané. La connexion est stable, je n'ai pas rencontré de problème à ce niveau, même lors des appels téléphoniques. On peut également utiliser qu'un seul des deux écouteurs, ce qui s'avère pratique pour les appels téléphoniques, enfin en ce qui me concerne je préfère mettre qu'un seul écouteur pour téléphoner.

Enfin, il est à noter que ces écouteurs ne disposent pas de fonctionnalités de réduction de bruit active ou de mode transparent. La seule isolation est celle créée naturellement lors de l'insertion des écouteurs dans vos oreilles.

Test OnePlus Buds Z

✔ Qualité audio

Comme d'habitude pour évaluer la partie audio, j'ai dégainé mon smartphone et Spotify, ainsi que YouTube pour la partie vidéo. Concernant la musique, je trouve que le rendu manque de détail, c'est un peu brouillon au niveau des médiums et des graves. Du coup, ce manque de détail se ressent aussi au niveau de la perception des paroles où elles sont un peu étouffées par le reste.

Pour écouter des vidéos, le son est bon et il n'y a pas de décalage notoire entre le son et la vidéo.

L'application HeyMelody ne permet pas d'ajuster l'audio grâce à un égaliseur. Le rendu audio ne pourra pas être ajusté.

Lors des appels téléphoniques, la qualité de l'audio est médiocre. Bien que cela n'empêche pas d'effectuer l'appel, je trouve que ce n'est pas d'une grande clarté. Décevant sur ce point.

✔ Autonomie

OnePlus annonce 5 heures d'autonomie et d'après mes essais, on peut dire que cette promesse est respectée. La bonne nouvelle, c'est qu'une charge de 10 minutes doit permettre de récupérer 3 heures d'écoute grâce à la recharge rapide. Une performance ambitieuse. Pour la charge complète, il faudra compter quasiment 2 heures.

IV. Conclusion

Lorsque l'on découvre les écouteurs OnePlus Buds Z, on est plutôt emballé puisque l'on découvre le boîtier de charge compact, avec les écouteurs à l'intérieur, le tout plutôt harmonieux. Ensuite, la connexion avec le smartphone s'effectue automatiquement grâce à Google Fast Pair, et lorsque l'on met les écouteurs dans ses oreilles, on est agréablement surpris par le confort.

Jusqu'ici tout va bien. C'est après que ça se gâte un peu : les contrôles tactiles sont très limités et on se rend compte que la partie applicative est quasi-inexistante. La qualité audio pour la musique est cohérente par rapport à la gamme de ce produit, même si on attend toujours plus de OnePlus. En revanche, pour les appels c'est vraiment médiocre.

Fort heureusement, les écouteurs OnePlus Buds Z sont vendus au prix de 59 euros, ce qui m'amène à penser qu'il y a quand même un rapport qualité/prix intéressant. D'autant plus que le prix a baissé depuis leur sortie et que maintenant on peut les trouver à moins de 40 euros.

👀 Disponible sur AliExpress (entrepôt en France) à 35 euros : OnePlus Buds Z sur AliExpress

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Installer et configurer un serveur DHCP sous Windows Server 2019

mardi 23 février 2021 à 12:45

I. Présentation

Dans ce tutoriel, nous allons voir comment installer et configurer un serveur DHCP sous Windows Server 2019. L'objectif est d'être le plus complet possible sur l'utilisation courante d'un serveur DHCP, notamment sur la mise en œuvre, mais également sur les journaux du DHCP.

🎥 Tutoriel disponible au format vidéo :

Dans ce tutoriel, je vais utiliser deux machines virtuelles :

Ces deux machines virtuelles seront sur un hôte Hyper-V et elles seront connectées sur un switch virtuel de type "Privé" : il permet de créer un réseau isolé entre les deux VMs (même l'hôte physique est isolé vis-à-vis de ce réseau virtuel).

Avant de commencer : pour en savoir plus sur le protocole DHCP en lui-même, retrouvez notre cours DHCP ainsi que la vidéo "Le DHCP pour les débutants" :

II. Installation du rôle DHCP sous Windows Server 2019

La première étape consiste à installer le rôle DHCP sur notre serveur Windows. Pour réaliser cette action, il y a deux possibilités : à l'aide de PowerShell ou de l'interface graphique.

⭐ Installer le rôle DHCP avec PowerShell

Au sein du Gestionnaire de serveur, cliquez sur "Gérer" et "Ajouter des rôles et fonctionnalités".

Choisissez l'option "Installation basée sur un rôle ou une fonctionnalité" et poursuivez.

Poursuivez directement, car le serveur local est déjà sélectionné.

Dans la liste des rôles, cochez "Serveur DHCP" et au sein de la fenêtre qui s'affiche vérifiez que l'option "Inclure les outils de gestion" soit cochée. Elle permet d'ajouter la console de gestion DHCP sur le serveur. Cliquez sur "Ajouter des fonctionnalités".

installer un serveur DHCP

L'assistant nous rappelle qu'il faut avoir une adresse IP statique sur le serveur DHCP avant de procéder à l'installation de ce rôle. C'est bien le cas, cliquez sur "Suivant".

serveur DHCP sous Windows Server 2019

Voici la dernière étape de l'assistant, cliquez sur "Installer". Il ne sera pas nécessaire de redémarrer le serveur à la fin de l'installation.

Lorsque l'installation est terminée, passez à l'étape suivante.

III. Autoriser le serveur DHCP dans l'Active Directory

Dans le Gestionnaire de serveur, il y a un avertissement en haut à droite. Cliquez sur l'icône puis sur "Terminer la configuration DHCP".

Serveur DHCP Windows Server

Cette étape consiste à effectuer deux actions auprès de l'Active Directory :

Cliquez sur "Suivant".

Si vous êtes déjà connecté en tant qu'administrateur ou avec un compte qui est administrateur de l'entreprise, vous pouvez continuer avec l'option "Utiliser les informations d'identification de l'utilisateur suivant". Sinon, il faudra renseigner un compte en activant l'option "Utiliser d'autres informations d'identification".

Cliquez sur "Valider".

Vous devriez obtenir "Terminé" pour chaque action. Cliquez sur "Fermer".

Si l'on s'intéresse à notre annuaire Active Directory, on retrouve deux groupes dans le container Users :

Le serveur DHCP est fin prêt, nous pouvons passer à la phase de configuration.

IV. Configurer le serveur DHCP sous Windows Server 2019

Pour la configuration, je vous propose de voir la création d'une étendue DHCP et d'une réservation d'adresse IP. Je vous invite à ouvrir la console "DHCP" qui se trouve dans les Outils d'administration de votre serveur.

⭐ Signification des icônes dans la console DHCP

A. Créer une étendue DHCP

Une étendue DHCP va permettre de déclarer une plage d'adresses IP que le serveur DHCP peut distribuer aux postes clients qui se connecteront au réseau.

Dans cet exemple, je vous rappelle que le serveur a l'adresse IP "192.168.1.50". Nous allons créer une étendue pour distribuer les adresses IP de 192.168.1.200 à 209.

Il est important que la plage IP à distribuer soit sur le même segment réseau que le serveur pour notre test. Bien sûr, un serveur DHCP peut contenir plusieurs étendues et distribuer des adresses IP sur des réseaux différents du sien, mais ceci implique l'utilisation de la fonctionnalité relais DHCP. Cette fonctionnalité sera à configurer sur l'équipement qui effectue le routage entre vos réseaux (vos VLANs, par exemple), car les trames DHCP ne peuvent pas passer les routeurs par défaut.

Dans la console DHCP, effectuez un clic droit sur "IPv4" puis sur "Nouvelle étendue".

Nommez l'étendue, par exemple "LAN_Virtuel". Ce nom sera affiché dans la console DHCP. Poursuivez.

Désormais, il faut définir la plage d'adresses IP que l'on veut distribuer aux clients DHCP. Pour ma part, je vais définir une plage de 10 adresses sur le même réseau que celui sur lequel est connecté mon serveur DHCP. Il faut également spécifier le masque de sous-réseau adéquat.

Pour la partie "Ajout d'exclusions et de retard", on peut l'utiliser pour exclure certaines adresses IP de la plage définie précédemment.

Imaginons qu'au sein de cette plage de 10 adresses, qui va de ".200" à ".209" on souhaite exclure l'adresse IP ".205". On peut imaginer que cette adresse IP en plein milieu de la plage est déjà utilisée par une imprimante, par exemple. Dans ce cas, il faudrait indiquer "192.168.1.205" comme adresse IP de début et "192.168.1.205" comme adresse IP de fin, puis cliquer sur "Ajouter". Ainsi de cette façon, l'adresse IP ne sera pas distribuée aux clients bien qu'elle soit dans la plage de notre étendue.

La durée du bail correspond à la durée pendant laquelle le client pourra bénéficier de l'adresse IP fournie par le serveur DHCP.

Lorsqu'il s'agit d'une étendue qui sera utilisée par les postes de votre établissement, vous pouvez utiliser une durée sur plusieurs jours, par exemple 8 jours. Pourquoi ? Simplement, car les postes de votre établissement seront amenés à se connecter régulièrement, voire même tous les jours, donc autant leur attribuer une adresse IP sur plusieurs jours pour éviter qu'il effectue une demande trop fréquemment auprès du serveur DHCP.

À l'inverse, si vous utilisez une étendue à destination d'un réseau Wi-Fi de type "Hotspot" où se connecteront des visiteurs, une durée de quelques heures ou une journée pour le bail DHCP est une bonne idée. En effet, un visiteur qui est là aujourd'hui ne le sera peut-être pas demain, alors pourquoi maintenir un bail DHCP sur cette adresse IP pendant plusieurs jours alors que l'appareil ne sera plus là ? Autant libérer l'adresse IP plus rapidement de manière à pouvoir la réattribuer à un autre appareil. Sinon, tout le temps que le bail est en cours, l'adresse IP sera bloquée même si l'appareil n'est plus connecté au réseau, à moins de supprimer soi-même le bail dans la base de données du serveur DHCP, mais ce n'est pas le but.

A l'étape suivante, sélectionnez "Oui, je veux configurer ces options maintenant" et poursuivez. Cela va permettre de définir des paramètres supplémentaires comme l'attribution d'une passerelle et d'un DNS.

Commençons par le routeur à attribuer aux clients DHCP de cette étendue, autrement dit la passerelle par défaut de votre réseau. Indiquez l'adresse IP et cliquez sur "Ajouter".

De la même façon pour l'étape "Nom de domaine et serveurs DNS", vous pouvez spécifier le nom de domaine Active Directory dans la zone "Domaine parent" s'il s'agit d'une étendue à destination des postes de votre entreprise. Ensuite, indiquez le(s) serveur(s) DHCP à distribuer à vos clients : là encore s'il s'agit d'une étendue pour vos postes intégrés au domaine, indiquez vos contrôleurs de domaine.

La résolution WINS étant obsolète, il n'est pas nécessaire de renseigner un serveur. Laissez vide et poursuivez.

Pour finir, cliquez sur "Oui, je veux activer cette étendue maintenant" et continuez jusqu'à la fin.

Notre étendue DHCP "LAN_Virtuel" apparaît bien dans la console DHCP et elle est active : à partir de ce moment-là, les postes clients peuvent obtenir une adresse IP à partir de notre serveur. Dans la section "Options d'étendue", on retrouve bien les options définies précédemment : le routeur, les DNS et le nom de domaine.

Il est à noter qu'il y a aussi la section "Options de serveur" : si une option DHCP est définie dans cette partie, elle sera héritée par l'ensemble des étendues automatiquement. Par contre, si une option DHCP est définie au niveau de l’étendue directement, dans "Options d'étendue", elle sera prioritaire vis-à-vis de la valeur dans "Options de serveurs".

Dans cette même console, la section "Baux d'adresses" permet de visualiser tous les baux d'adresses distribués à vos clients avec plusieurs informations : nom de l'hôte, fin du bail et l'adresse MAC de l'appareil. Pour information, un bail = des baux.

B. Créer une réservation d'adresse IP

Il y a une autre section à connaître dans la console DHCP, c'est celle qui est nommée "Réservations". Elle va permettre de réserver l'utilisation d'une adresse IP à un appareil spécifique.

Prenons un exemple, vous avez une imprimante connectée au réseau et configurée en DHCP, pour faciliter le partage de cette imprimante avec les postes clients, ce serait mieux que son adresse IP soit toujours la même. Dans ce cas, il n'est pas obligatoire de configurer l'imprimante en IP fixe. On va choisir une adresse IP, récupérer l'adresse MAC de l'imprimante, dans le but de dire au serveur DHCP que cette IP est réservée à l'appareil qui a cette adresse MAC. Cela revient à faire ce que l'on appelle une réservation d'adresse IP par adresse MAC.

Une réservation se crée facilement, il suffit de faire un clic droit sur "Réservations" et de cliquer sur "Nouvelle réservation".

Ensuite, on donne un nom à la réservation, l'adresse IP à réserver et l'adresse MAC associée. Pour le format de l'adresse MAC, retirait tous les séparateurs habituels, notamment ":" et "-". Pour la prise en charge, choisissez "Les deux" ou "DHCP", la partie "BOOTP" étant un protocole d'amorçage pour faire démarrer des machines sur le réseau notamment pour le déploiement d'une image.

Cliquez sur "Ajouter" puis sur "Fermer" : le tour est joué. Maintenant, il est temps de tester notre serveur DHCP.

V. Tester le serveur DHCP

Basculons sur la machine Windows 10 qui fait office de client DHCP pour valider le bon fonctionnement de notre serveur DHCP. Si l'on regarde la configuration réseau active sur la machine, on peut constater qu'elle a déjà reçu une adresse IP dans le cas où elle est configurée en DHCP (adressage dynamique).

L'adresse IP qu'elle a reçue correspond à la première adresse IP de notre étendue "LAN_Virtuel" : 192.168.1.200. Il y a une autre information très intéressante, au niveau de la valeur "Serveur DHCP IPv4" : le serveur DHCP qui a distribué l'adresse IP à notre machine est bien celui que l'on vient de configurer ! 👍

Il y a deux commandes à connaître sous Windows pour gérer un bail DHCP. La première commande va permettre de libérer le bail DHCP au niveau du serveur DHCP, ce qui implique que le PC va perdre son adresse IP :

ipconfig /release

Ensuite, on peut effectuer une nouvelle demande d'adresse IP auprès du serveur DHCP grâce à cette seconde commande :

ipconfig /renew

Normalement, vous devez récupérer une adresse IP, en l'occurrence l'adresse IP "192.168.1.200".

Pour finir ce tutoriel, jetons un oeil aux logs générés par le serveur DHCP sous Windows.

VI. Les logs du serveur DHCP Windows

Le serveur DHCP sous Windows Server génère des journaux dans le dossier suivant :

C:\Windows\System32\dhcp

Vous allez retrouver plusieurs fichiers de logs quotidiens, d'une part pour les étendues IPv4 et d'autre part pour les étendues IPv6. Prenons le fichier "DhcpSrvLog-Ven" à titre d'exemple.

Logs DHCP Windows Server

Dans ce fichier, il y a la partie supérieure qui est intéressante, car elle donne la signification des ID. En effet, chaque ligne du journal commence par une colonne "ID" qui donne un numéro correspondant à une action. Si l'on regarde le fichier de plus près, on retrouve trois lignes correspondantes à notre PC "PC-W10" que l'on a utilisé pour les tests.

Ce fichier de log est très complet et il est vraiment à connaître ! 😉

Dans l'observateur d'événements de Windows Server, on peut obtenir des journaux complémentaires, correspondant à la partie configuration du serveur.

Les journaux en rapport avec le serveur DHCP sont disponibles à deux endroits différents :

Vous avez désormais toutes les informations nécessaires pour la mise en service d'un serveur DHCP sous Windows Server 2019 au sein de votre entreprise.

N'hésitez pas à laisser un commentaire si vous avez une question (ou même deux) 🙋‍♂️

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Le Samsung Galaxy Z Fold 3 serait équipé du S-Pen

mardi 23 février 2021 à 11:00

Le Samsung Galaxy Z Fold 3 se dévoile petit à petit et il serait équipé du S-Pen. Est-ce la fin de la gamme Note ?

L'annonce du nouveau smartphone pliable de la firme coréenne est attendue pour l'été. Et comme pour chaque nouveau smartphone de la marque les rumeurs commencent à arriver. Celle de la compatibilité et de l'ajout du S-Pen au Galaxy Z Fold 3 en est une dont on entend parler depuis quelque temps déjà. Cela est un très bon point pour cette gamme, qui deviendra encore plus polyvalente si cette rumeur se confirme au moment de l'annonce officielle.

Mais quid de la gamme Note ? Est-ce sa fin ? On peut voir qu'il y a de moins en moins de différences entre la gamme S et la gamme Note. Surtout depuis l'arrivée des Samsung Galaxy S+ et Ultra. C'est d'autant plus vrai cette année puisque la gamme S est devenue compatible avec le S-Pen, jusqu'ici réservé à la gamme Note, bien qu'il n'y ait pas le slot intégré au smartphone pour le ranger.

Est-ce que le Samsung Galaxy Z Fold 3 sera également seulement compatible ? Pour moi je ne pense pas. En tout cas, réponse dans quelques semaines avec l'annonce officielle de ce smartphone.

Qu'en pensez-vous ? La gamme Note va-t-elle disparaitre ? Pour ma part, je n’espère pas étant attaché à cette gamme et ne pouvant pas encore passer sur le Fold.

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Microsoft Word va – enfin – bénéficier de la saisie prédictive !

mardi 23 février 2021 à 08:57

C'est une fonctionnalité attendue par de nombreuses personnes et Microsoft l'affirme : à partir du mois prochain, le logiciel de traitement de texte Word aura une fonctionnalité de saisie prédictive !

Concrètement, lorsque vous allez saisir du texte, Word va sortir sa boule de cristal pour vous suggérer la suite de la phrase. Sur le même principe que ce que l'on retrouve sur Gmail lors de la saisie d'un e-mail. Nous retrouvons également une fonctionnalité similaire dans Windows 10 directement. En soi, ce n'est pas révolutionnaire.

Microsoft affirme que cette fonctionnalité sera disponible en mars 2021 pour tous les utilisateurs. Depuis septembre 2020, elle était en test auprès des membres du programme Office Insiders.

Dans l'exemple ci-dessus, on peut voir que la suggestion apparaît en gris. Si vous souhaitez valider cette suggestion, il suffit d'appuyer sur la touche tabulations du clavier. L'objectif étant de réduire les erreurs d'orthographes et de grammaires grâce à cette fonctionnalité. Ce qui est bien et pas bien à la fois, à mon avis.

Le machine learning sera bien sûr de la partie pour être plus précis dans les prédictions en se basant sur les documents rédigés au fur et à mesure. Pour les utilisateurs d'Office 365, les données collectées resteront au niveau de votre tenant.

Pour les personnes les plus pressées, vous pouvez rejoindre le programme Office Insiders pour tester cette fonctionnalité dès maintenant.

Source

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Silver Sparrow : ce malware infecte 30 000 Mac dans le monde

mardi 23 février 2021 à 08:17

Le nouveau malware Silver Sparrow  infecte environ 30 000 Mac, dans 153 pays, avec une partie de l'activité concentrée dans certains pays, notamment la France.

La semaine dernière, je vous parlais des nouveaux malwares qui ciblaient les nouveaux MacBook équipés du processeur Apple M1. Les Mac sous architecture x86 avec un processeur Intel ne sont pas épargnés non plus, la preuve avec cette nouvelle annonce et ce malware qui s'attaque aux deux mondes.

Les chercheurs en cybersécurité de Red Canary ont baptisé ce malware "Silver Sparrow" et ils ont pu identifier deux versions différentes de ce malware :

Néanmoins, l'objectif de ce malware reste flou à ce jour : la charge s'est pas encore clairement manifestée sur les machines infectées. Lorsqu'il est exécuté, il affiche un message "Hello, World!" ou "You did it!" en fonction de l'architecture de la machine infectée.

Silver Sparrow

Ce qui est certain, c'est que les deux versions fonctionnent de la même façon. Le malware s'appuie sur macOS Installer pour exécuter du code JavaScript qui donne lieu à deux scripts déposés sur la machine infectée. D'une part, le script "agent.sh" qui se connecte à un serveur C2 (Command and Control) chez AWS. D'autre part, le script "verx.sh" qui s'exécute toutes les heures pour se connecter au serveur C2 et récupérer du contenu à exécuter.

D'après les chercheurs en sécurité, le malware Silver Sparrow serait capable de s'autodétruire sur les machines sur lesquelles il est déployé : de quoi le rendre furtif.

En date du 17 février 2021, il y au moins 29 139 Mac infectés par ce malware, le tout réparti dans 153 pays. D'après les données de Malwarebytes, il y a des pays où la concentration d'appareils infectés est plus forte : France, Canada, Allemagne, Grande-Bretagne et les États-Unis.

Pour empêcher de nouvelles installations, Apple a révoqué les deux certificats de développeurs associés aux deux versions de Silver Sparrow.

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