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AG féministe Paris Banlieue

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

AG féministe Paris Banlieue le 23 janvier à 19h à la Bourse du Travail.

L'Assemblée Générale Paris Banlieue est un cadre féministe créé il y a plus d'un an organisé autour de la perspective de la grève féministe le 8 mars.
L'AG s'investit aussi dans tous ce qui concerne les grèves des secteurs féminisés, les grèves des travailleur.euses et plus généralement tout ce qui concerne les luttes d'indépendances et de libération.
Toutes les AG sont ouvertes et elles ont lieu toutes les deux semaines.

La prochaine AG féministe Paris Banlieue aura lieu le 23 janvier à la bourse du Travail de Paris.
Vous pouvez venir dès 18h30 pour un temps de rencontre informel et l'ag commencera à 19h.

Au programme retour sur les luttes en cours, préparation de soirée, organisation de manifestations et préparation de la grève féministe du 8 mars.

Assemblée ouverte aux individu.es et aux collectifs.
Assemblée en mixité choisie sans homme cisgenre.
Pas d'accès PMR

À mardi !

3 rue du Château d'Eau 75010

Le ciné de la Commune vous propose « Chkoun les sauvages »

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Le Ciné de la Commune vous propose Chkoun les sauvages à Publico le 17 janvier à 20h. Un documentaire de Raphaëlle Bruyas, témoignages des habitants du quartier de Montreynaud à Saint-Étienne. Projection organisée par l'Université populaire et libertaire du 11e arrondissement, Commune de Paris.

Chkoun les sauvages un documentaire de Raphaëlle Bruyas

Témoignages des habitants du quartier de Montreynaud à Saint-Étienne

« C'est qui les sauvages » ? C'est la première question que se sont posé les habitants du quartier de Montreynaud à Saint-Étienne, choisi comme décor principal pour la série Canal Plus, Les Sauvages. Un témoignage sur les représentations en quartier populaire.

Le mercredi 17 janvier 2024 à 20h à la librairie Publico, 145 rue Amelot 75011 Paris.
Téléphone : 01 48 05 34 08 Courriel : librairie-publico@sfr.fr
Métro : Ligne 5 Oberkampf, ou ligne 8 Filles du Calvaire

Rencontre-Débat sur Michel Ragon et la littérature prolétarienne avec Thierry Maricourt et Raphaël Romnée

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Samedi 27 Janvier à 16h, rencontre-Débat sur Michel Ragon et la littérature prolétarienne avec Thierry Maricourt et Raphaël Romnée .
Une après midi consacrée à Michel Ragon et à la littérature prolétarienne au travers la présentation de trois publications : » Nous sommes 17 sous une lune très petite « de Michel Ragon aux éditions Prolit's / » Une Rage de lire : le jeune Michel Ragon « de Thierry Maricourt publié par L'Echappée / le N°8 de la Revue Fragments du CCLOPS

Samedi 27 Janvier à 16H : Rencontre-Débat sur Michel Ragon et la littérature prolétarienne avec Thierry Maricourt et Raphaël Romnée

  • "Nous sommes 17 sous une lune très petite" de Michel Ragon aux éditions Prolit's
    Le titre choisi par Michel Ragon pour ce « roman d'action révolutionnaire » est l'une des dernières phrases du journal d'Ernesto « Che » Guevara, écrite quelques heures avant son exécution par l'armée bolivienne le 9 octobre 1967.
    Michel Ragon nous plonge dans une période essentielle de la seconde moitié du xxe siècle et nous emporte d'un continent à l'autre, là où jaillissent les flammes de l'incendie, là où sévissent les émeutes, la torture, la guerre. En filigrane les visages de Castro, Lumumba, Malcom X et de bien d'autres, nous accompagnent. Ombres plus ou moins tutélaires qui demeurent au centre des pensées du groupe de militants investis dans cette guerre : Carlos, donc, Henri, jeune Parisien, Mimo, l'Italien, Rolf, l'Autrichien.
  • Une Rage de lire : le jeune Michel Ragon de Thierry Maricourt publié par L'Echappée
    « Je n'avais qu'un seul désir, pratiquement irréalisable, complètement déraisonnable, utopique : être écrivain. » Michel Ragon le deviendra, auteur d'œuvres aussi remarquables que La Mémoire des vaincus ou Les Mouchoirs rouges de Cholet. Pourtant, rien ne le prédestinait à une telle vie, lui, le pupille de la nation élevé en Vendée dans un milieu social extrêmement modeste, obligé d'exercer mille métiers avant de pouvoir vivre de sa plume. Rien, ou peut-être le principal : une rage de lire.
    Dès petit, il lit partout. Même dans la rue, en marchant, comme tant d'autres autodidactes (bien qu'il ignore alors ce mot) contraints de voler du temps au temps car persuadés de ne pas en détenir suffisamment pour absorber la totalité du savoir, qu'ils devinent infini. Pourquoi un tel besoin ? Car lire c'est réfléchir, et réfléchir, c'est s'emplir la tête d'idées pas comme il faut ; et c'est forcément se mettre en porte-à-faux avec de plus forts que soi. De plus fortunés. De plus féroces, de plus hargneux. Et à ce jeu, la mère du petit Michel lui dit qu'on ne gagne jamais. Pourtant, lui triomphera.
    Thierry Maricourt nous raconte, avec tendresse et passion, la jeunesse de Michel Ragon, dont il a été très proche, de Fontenay-le-Comte à Paris en passant par Nantes, de la chorale de l'église aux milieux artistiques, littéraires et anarchistes. Voici un sublime hommage aux grands oubliés de beaucoup d'histoires du livre : les lecteurs.
  • Le N°8 de la Revue Fragments du CCLOPS
    Raphaël Romnée anime le CCLOPS (Cercle Culturel de Litterature Ouvrière Paysanne et Sociale) qui publie la revue Fragments, réalise l'émission de Radio Libertaire Et pourtant elle existe cette Littérature… et a créé les éditions Prolit's.
    « Les damnés de la littérature existent. Un voile opaque dissimule des écrits et, paradoxe, il n'est aucunement nécessaire de recourir à la censure ou à la pratique de l'autodafé pour organiser cet ostracisme. Certes le roman policier a mis plusieurs décennies, quasiment un siècle, pour conquérir ses lettres de noblesse et être reconnu comme genre littéraire à part entière. Aujourd'hui le polar ou la BD sont connus, reconnus, il y a même inflation en la matière. Pour les écrits façonnés par la plume d'ouvriers, de paysans, d'employés, de vagabonds, de gens du petit peuple il n'en va pas de même. Ce courant littéraire aux origines anciennes, qui a fait irruption sur la scène publique dans la première partie du XXe siècle sous le terme générique de littérature prolétarienne, demeure en marge, ne suscitant pas la curiosité de lecteurs potentiels. Il y a des explications rationnelles à cette relative indifférence, et d'autres, conjoncturelles. »

Le CCLOPS organisera un colloque consacré à Michel Ragon les 08 et 09 Juin Prochain à l'AGECA https://www.helloasso.com/associations/cercle-culturel-de-litterature-ouvriere-paysanne-et-sociale

Comment réagir face à une garde-à-vue

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Quels sont nos droits en garde-à-vue ? comment ça se passe ? comment se préparer ? comment réagir si moi ou un de mes proches se retrouve en garde-à-vue ?
Dimanche 21 janvier 17h30 au bar Le Saint Sauveur

Après ce samedi de fête, nous vous proposons un atelier de discussion/formation « comment réagir face à une garde-à-vue », pour tenter de voir ensemble comment réagir quand on ou un de nos proche est en garde-à-vue, et quand on passe en procès ensuite.
Quels sont nos droits en garde-à-vue ? comment ça se passe ? comment se préparer ? comment réagir si moi ou un de mes proches se retrouve en garde-à-vue ?
Il y aura aussi un infokiosk antirep, avec des brochures sur différents sujets.
Rendez-vous au bar le Saint Sauveur (11 rue des Panoyaux, Métro Ménilmontant), de 17h30 à 19h30. Nous resterons un peu plus tard pour papoter également.

Caisse de solidarité : kutt.it/stoprep
stoprepression@riseup.net
https://rajcollective.noblogs.org/les-collectifs-locaux/paris

Qu'est ce que la coordination antirepression ?
Qu'est-ce que la coord antirep et la legal teamp Paris ?
La Coordination, c'est vous, c'est nous, ce n'est ni un syndicat, ni un parti, ni une association, elle ne vit qu'à la seule force de nos volontés collectives !

Depuis 7 ans maintenant, depuis Nuit debout et le mouvement contre la loi Travail, il y a toujours eu des gens pour se relayer, faire vivre la solidarité, reprendre les mandats, assurer les permanences téléphoniques et les réunions hebdomadaires du mardi soir à la Bourse du travail mais aussi distribuer nos Sortez couvert.es et aller en soutien au tribunal...

Pour nous, les violences policières et la répression sont des violences d'État, qui visent à nous isoler, à nous effrayer, à nous détourner de la lutte collective pour la justice sociale et à écraser notre dignité, que ce soit dans les quartiers, envers les migrant.es, en manifestation, dans les comicos ou dans les tribunaux.

Si nous ne pouvons pas nous substituer aux personnes qui subissent les interpellations, la Garde à vue, les Comparutions Immédiates, parfois même la prison ou le Centre de Rétention, nous avons la possibilité d'atténuer la répression en mettant en place un numéro d'appel, en tenant des permanences, en informant/échangeant/conseillant, en prenant en charge les frais d'avocat.es. C'est notre manière de faire vivre la force du Collectif ! Notre solidarité sera toujours notre arme !

C'est pourquoi nous nous sommes entendu.es au préalable sur des tarifs planchers proches de ceux de l'aide juridictionnelle avec des avocat.es (un soutien en GAV coûte 100 à 200euros, une comparution immédiate 400euros, et quand on fait appel c'est plutôt 700euros). Nous donnons des conseils pour faire face à la garde-à-vue et aux contrôles d'identité. Nous aidons également les personnes à connaître leurs droits, à faire face aux avocat-es, au tribunal, aux juges, expliquer comment se passe cette répression policière et judiciaire.

Nous avons soutenu beaucoup de mouvements - les Gilets Jaunes, les mobilisations contre la réforme des retraites, les contestations des lois Sécurité Globale et Séparatisme, les manifs contre le pass sanitaire, les occupations de facs ou de lycées, les manifs Palestine, les contestations collectives d'amendes en manif ou dans les quartiers et on en passe pleins d'autres.

Enormément d'interpellations ont eu lieu depuis janvier en Île-de-France, pendant ce mouvement des retraites, sûrement un millier. Et depuis les révolté-es interpellé-es ou incarcéré-es suite au meurtre de Nahel ont alourdi ce sinistre décompte. Depuis janvier, nous avons été contactée.es pour 800 personnes environ dont 200 qui ont eu ou vont avoir des procès dans lesquels nous les aidons, et plusieurs dizaines de rendez-vous de le délégué du procureur. Pour un bilan de cette année :

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Nous avons soutenu, entre les années précédentes et cette année, des milliers de personnes et nous comptons bien en soutenir encore le plus qu'on peut avant qu'on ait aboli l'État, les flics et les patrons !

Pour en savoir plus sur nous : https://paris-luttes.info/+-coordination-contre-la-repression-1010-+

Réunion publique Saccage2024

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Réunion publique du collectif Saccage2024 qui lutte contre les Jeux Olympiques et Paralympiques.

Saccage 2024 est un collectif de sensibilisation, d'organisation et de soutien aux mobilisations anti-Jeux Olympiques et Paralympiques. Nous sommes entré-e-s en résistance face aux saccages écologiques et sociaux que provoquent les Jeux Olympiques et Paralympiques de Paris en 2024. Nous, habitant-e-s de Seine-Saint-Denis et de ses alentours, associations et collectifs, sommes rassemblés pour défendre les espaces où l'on vit, où l'on habite, où l'on se rencontre, où l'on tisse des liens et ou l'on s'amuse, menacés par la préparation et la tenue de ces jeux.

Réunion publique jeudi 18 janvier !
Au programme :

  • Présentation du collectif
  • Actus sur les Jeux
  • Groupes de travail pour avancer sur des projets et des thématiques précises.

À 19h30 salle Victor Griffuelhes à la bourse du travail de Saint Denis.
À jeudi !

Vous pouvez nous contacter par mail : saccage2024@protonmail.com
Les journalistes voulant écrire sur le collectif et/ou les JOP ne sont pas les bienvenu.es aux réunions publiques.

Présentation de notre lutte, par le collectif Saccage 2024

Nous sommes entré-e-s en résistance face aux saccages écologiques et sociaux que provoquent les Jeux Olympiques de Paris en 2024. Nous, habitant-e-s de Seine-Saint-Denis et de ses alentours, associations et collectifs, sommes rassemblés pour défendre les espaces où l'on vit, où l'on habite, où l'on se rencontre, où l'on tisse des liens et ou l'on s'amuse, menacés par la préparation et la tenue de ces jeux.

Saccage 2024 est un collectif de sensibilisation, d'organisation et de soutien aux mobilisations anti-JOP

Les chantiers des JO ont commencé malgré la crise sanitaire et les résistances locales, et les retards accumulés accélèrent leurs cadences et dégradent les conditions de travail.. Les conséquences sont nombreuses : quartiers irrespirables (accélération de la bétonisation et de la pollution), inabordables (spéculation immobilière, entraînant l'expulsion des pauvres et des modestes), policés (imposition des normes des investisseurs et du tourisme, surveillance et répression), implantation de grandes enseignes, réduction des espaces publics et des parcs, disparition d'espèces protégées, … et la liste est encore longue. Les différents saccages engendrés par les Jeux Olympiques ne font qu'accélérer les problèmes écologiques et les injustices sociales dans nos villes, et nous privent des moyens de décider collectivement de ce qui nous entoure.

Depuis octobre 2020, nous, collectifs, associations et habitant-e-s, mêlons nos voix et nos envies d'agir au sein de la coalition Saccage 2024, en composant avec les positionnements et les stratégies différentes des un-e-s et des autres, pour que ce désastreux héritage ne soit pas imposé sur les territoires concernés. Cette coalition vise à renforcer notre force d'action face aux transformations urbaines. Elle symbolise aussi que ces projets, aussi éparpillés qu'ils paraissent, s'inscrivent tous dans une vision que nous rejetons – celle de la transformation de nos espaces de vie en une métropole toujours plus mondialisée, inégale et ravageuse pour nos environnements.

C'est dans la résistance que d'autres futurs se construisent ! et nous souhaitons contribuer à ce qu'ils émergent, en partant des personnes les plus affectées par ces changements, en lien avec celles et ceux qui s'organisent déjà pour résister à la métropolisation et qui développent l'entraide, en solidarité avec toutes les luttes d'habitant-e-s contre les projets métropolitains mortifères.