PROJET AUTOBLOG


Paris-luttes.info

Site original : Paris-luttes.info

⇐ retour index

J'ai envie d'aller manifester samedi contre l'extrême-droite

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Suis-je la seule ?
Voilà mon coup de gueule / appel à foutre le bordel écrit à l'arrache ce matin, faites-en ce que vous voulez :

NOUS NE VOUS LAISSERONS PAS FAIRE

89 députés RN à l'Assemblée Nationale française. Ça vous dégoûte ou ça vous révolte ? 89 députés qui suivront Macron sur sa réforme des retraites, le travail forcé imposé aux allocataires du RSA, le renforcement de la loi asile-immigration ou les attaques contre l'Éducation Nationale ou les services publics en général. Oh, ça ne sera pas gratuit : la mère lepen va négocier des amendements dont on devine la teneur (interdictions du voile, préférence nationale, restrictions des soutiens monétaires familiaux vers les pays d'origine ou des pensions pour les binationaux... et j'en passe)

Nous sommes là. Nous sommes en embuscade. Nous ne laisserons pas la droite dure gouverner grâce à l'extrême-droite, nous ne laisserons pas la frange la plus pauvre et la plus fragile de la population souffrir davantage pour le bien de vos petits calculs stratégiques, visant à imposer un programme économique et social dont personne ne veut.

Tout.e.s dans la rue dans toutes les villes samedi prochain !
On vous aura prévenu.

J'encaisse, je dis rien, mais j'oublie rien. Message d'une première ligne aux Nupesiens

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

La suppléante de Mathilde Panot serait donc Farida Chikh ?

Cette infirmière qui fut condamnée pour « violences contre dépositaires de l'autorité publique » ?

Cette même Farida qui a caillassé les fdo en 2020 et leur a fait des ouads ?

Si je vous dis que ça sent, ça pue les élections

Le LFI est devenue tout à coup le grand défenseur des révoltes et des révolutions ?

… Parce que si on remonte un peu dans le temps, le Méluch a bien craché sur le mouvement.

On se rappelle ?

On se rappelle comment ce chef de parti a humilié ceux.celles qui montrent leur colère face aux voraces forces capitalistes, ce fléau qui détruit petit à petit nos vies, la Terre, le monde, notre présent et notre futur proche.

Il a vomi l 'action de ceux.celles qui ont eu aussi envie que le changement s'opère en faisant du bruit et de la même manière que l'a fait Farida

En 2018 à propos du 1er Mai quels étaient ses mots déjà à propos de certains militants vêtus de noir ?... Ah oui, ça me revient :

« Quand je suis arrivé, j'ai bien vu qu'il s'agissait d'autre chose », a-t-il admis. « Cet autre chose je veux le condamner et l'expliquer : parce que c'est mon rôle de l'expliquer aux plus jeunes qui peuvent se laisser embarquer là-dedans. Ceci n'est pas une activité révolutionnaire. [...] L'activité révolutionnaire consiste à rendre conscients, à organiser, discipliner des millions de gens qui comprennent quels sont les enjeux du moment politique. »

Donc, apparemment entre le 18/05/2022 et le 1er tour : 12 juin 2022 , les révoltes ont dorénavant un sens aux yeux des NUPESIENS.

Humm...

Quand on condamne des luttes que quand cela nous arrange,
Quand on réprimande, on discipline et véhicule des idées paternalistes afin d 'éteindre des revendications,
Quand on étouffe un combat en le réduisant à du vandalisme .
Qu'est que l 'on est dans le fond ?

On change sa conviction en l'espace d'une élection Mr et on cherche à attirer les convaincus du contraire ?
Ceux·elles du changement radical, les amoureux.euses des révoltes et des révolutions, les courreur.euses de fond, les esquiveur.euses de manif, les jeunes motivé.e.s, les inquiet.e.s du vivant, les différent.e.s, les militant.e.s, les acharné.e.s...

Au final tous ceux·elles qui sont là pour vous rappeler Mr que :

« Le roi assit sur son trône n est simplement assis que sur son cul »

Vous vendrez autant de rêves à autant de rêveurs que vous voudrez, nous avons décidé de vivre les notre avec ou sans vous car dans votre infime besoin « de défendre l'opprimé ». Vous avez maintes fois prouvé le contraire et vous entendrez encore certainement ceci lors de nos prochaines rencontres.

« On éteint pas une révolution, Mr, on la vit. NI DIEU NI MAÎTRE NI MELENCHON »

KARA

Il va falloir arrêter de dire “il va falloir apprendre à vivre avec le virus”

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Voilà une petite phrase qu'on a tous entendue, partagée par bien des gens, toutes sensibilités politiques confondues, « il va falloir apprendre à vivre avec le virus ». Cette phrase n'est pas juste, car nous vivons tous avec le virus depuis un moment. Qu'y a-t-il donc derrière cette petite phrase anodine, qui est prononcée par votre collègue, ami, membre de la famille comme si elle était du ressort du bon sens, de la modération, de l'entre-deux (sous-entendu : je ne suis ni complotiste, ni extrémiste du tout-sanitaire, je suis raisonnable) ?

Voilà une petite phrase qu'on a tous entendue, partagée par bien des gens, toutes sensibilités politiques confondues, " il va falloir apprendre à vivre avec le virus". Cette phrase n'est pas juste, car nous vivons tous avec le virus depuis un moment. Qu'y a-t-il donc derrière cette petite phrase anodine, qui est prononcée par votre collègue, ami, membre de la famille comme si elle était du ressort du bon sens, de la modération, de l'entre-deux (sous-entendu : je ne suis ni complotiste, ni extrémiste du tout-sanitaire, je suis raisonnable) ? Outre le fait que cette personne nie éventuellement vos propres risques si vous êtes malade chronique, cardiovasculaire, immunodéprimé, (ou juste si vous n'avez pas envie de tenter le covid long), cette phrase vous appelle à changer votre comportement et à arrêter de prendre des précautions, quelles qu'en soient les conséquences pour vous et vos proches. Au vu de ce que cette phrase sous-entend, il faudrait peut-être rétorquer tranquillement à l'émetteur “il va falloir apprendre à assumer son validisme” ?

Quelques éléments sont donc à rappeler :

  • “Apprendre à vivre avec un virus” ne veut pas dire “faire comme s'il n'existait pas”. Toute ressemblance avec le film "don't look up", en mode déni, n'est pas fortuite en France, en 2022, avec le covid. Les gens disent qu'ils veulent vivre avec, mais agissent exactement comme en 2019, sans rien s'imposer, tout en râlant contre des confinements qui n'existent plus depuis un moment.

Les personnes vulnérables, les "fragiles", les malades chroniques, ont déjà appris à vivre avec le covid, depuis 2020. Ils ont également appris à vivre avec leur pathologie, parfois depuis leur naissance. Ils ont souffert, souvent dans l'indifférence du reste de la population, ils connaissent DEJA la résilience. Donc la phrase n'a aucun sens pour eux, si ce n'est le fait qu'elle révèle que ceux qui l'utilisent sont majoritairement en bonne santé. Mais alors, que signifie-t-elle réellement quand elle est utilisée ? Certainement, elle signifie, nous on est du "bon côté", ceux qui ont peu de risques, on a eu très peur en 2020 quand on savait pas exactement nos risques individuels, mais maintenant qu'on sait (ou qu'on croit savoir ! les chiffres officiels des décès ne tiennent pas en compte les nombreuses séquelles, les PIMS des enfants, etc !) qu'on ne risque pas grand chose, on veut que tout redevienne comme avant et qu'on laisse les fragiles avec leurs énormes risques maintenus et une vie isolée qui ne les protègera que très partiellement, vu que les lieux essentiels à la survie sont redevenus non masqués.

Quand on démêle les fils de cette phrase, on comprend qu'elle signifie " il faut apprendre à accepter le fait d'être contaminé". Cette idée ne constitue pas une politique sanitaire, mais un laisser-faire qui ne va rien arranger pour personne. Elle nous emmène dans des phases épidémiques successives ou quasi permanentes, avec une vigilance inconsciente permanente pour tout le monde, des arrêts de travail successifs, et surtout, c'est impossible à entendre pour les personnes à risque et leur entourage, car cela voudrait dire qu'il faudrait qu'ils acceptent de développer une forme grave, voire d'y passer, ou d'être malade à long terme. Donc, il faudrait qu'ils acceptent de se sacrifier (et avec le sourire et sans agressivité SVP, merci !).

  • L'idée n'est évidemment pas que plus personne ne vive des moments de sociabilité, mais d'adapter des espaces safe (masque en intérieur, aérer aérer aérer, malgré les courants d'air ! faire les choses dehors quand c'est possible à la belle saison) pour que tout le monde puisse venir. Les personnes vulnérables ne sont pas "sous-cloche", elles font des choses, veulent faire des choses, ont une vie sociale, mais sont contraintes par les usages collectifs de se mettre à l'écart d'une énorme partie de la vie en société pour ne pas se mettre en danger. 28000 morts depuis début 2022, c'est énorme, ces personnes ne veulent pas venir gonfler ce chiffre et c'est leur droit le plus essentiel. Comment la société peut-elle se passer de toute une partie de la population ? Les “fragiles” ne leur manquent pas ?
  • Les lieux sans masque aujourd'hui peuvent être considérés comme les lieux qui n'ont pas aménagé un accès pour les personnes à handicap. Or ce n'est pas un handicap mais des personnes fragiles en général, encore plus nombreuses et variées, pas âgées ou au bord du tombeau, qui sont exclu.e.s de fait de tous ces lieux publics. L'école n'est donc plus inclusive. Une petite fille greffée du rein, à risque ++ (20% de chances de décéder si elle est contaminée, même vaccinée), devra retourner en classe en étant la seule à porter son masque. Elle ne sera pas protégée car c'est beaucoup moins efficace, les parents ont donc le choix entre la laisser et risquer sa vie et sa santé, ou la retirer de l'école (s'ils y arrivent). Ceci est un exemple parmi tant d'autres, un cas (ou plusieurs) comme celui-ci existe dans chaque petite école du territoire. Ils sont très peu médiatisés, et pourtant ils existent bel et bien, partout. Et je ne parle même pas des enfants de personnes à risques, qui sont encore plus nombreux.
  • Le pass sanitaire ne sert plus à rien en effet, à partir du moment où le vaccin n'empêche pas la contamination. Le pass ne sert qu'à dresser les personnes les unes contre les autres. Soit on rend le vaccin obligatoire (comme d'autres), soit on laisse réellement le choix en en assumant les conséquences sanitaires. Donc on arrête d'en parler, en fait.
  • Le “on en a assez”, ou le tabou/l'interdiction de parler du covid : ce sujet a été volontairement absent du débat à la présidentielle. 150000 morts n'ont pas suffi à provoquer un hommage national, ou du moins à parler de cette problématique qui a pourtant régi notre vie pendant deux ans. Les décès ont été totalement invisibilisés, bien plus qu'aux USA par exemple. Même les enfants morts du covid n'ont pas ou très peu été évoqués, pas une seule image de ces mômes, or en 2022, il y en a eu plus que pendant tout le reste de l'épidémie. Toutes ces personnes rayées de la carte manquent à leurs proches, représentent un drame humain. Les cacher est très malsain, cela révèle une société malade, et c'est la meilleure manière pour qu'il y en ait de nombreux autres. La réponse doit être politique. Elle nécessite des investissements dans de nombreux domaines. En en faisant un sujet tabou parce “qu'on en a marre”, on fait le jeu du gouvernement : on se cache la tête dans le sable, et on s'expose à la réitération permanente des vagues de variants. (Par ailleurs, les fragiles en ont encore plus marre, ils sont bien plus isolés que les autres, et parfois dans la précarité financière extrême faute d'avoir pu reprendre le travail dans des conditions correctes).

Au final, vous l'aurez compris, je préférerais qu'on évite d'utiliser cette phrase, ou du moins on pourrait en changer le sens, par exemple pour dire : “il faut vivre avec le virus”, et donc prendre des précautions, se tester, se masquer quand il faut, réclamer avec nous des moyens pour purifier l'air intérieur des endroits clos essentiels tels que les écoles et lieux de soin, exiger une politique sanitaire efficace. Après 2 ans de mensonges et de minimisation pour éviter de mettre en place ce chantier, le gouvernement doit faire face à ces demandes. Tout le monde y gagnerait, car notre santé est notre bien le plus précieux : c'est même l'essentiel de ce qu'on a, pour la plupart d'entre nous qui ne sommes pas actionnaires chez Total. Nous devons protéger les plus fragiles et nos enfants (qui héritent déjà d'une planète détruite !), contre un virus aux conséquences inégalitaires et dont on ne connaît pas précisément l'impact à long terme sur la santé.

Lendemain d'election – de merde- sur « Le Siège de l'Empereur ».

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Ni expert, ni dieu, ni maitre, ni patrie, ni patron, ni le pen, ni macron, ni tous ces enfoiré.es de politicard.es qui nous enfument dans leurs urnes funéraires !

Lendemain d'élection – de merde- sur « Le Siège de l'Empereur ».
Ni expert, ni dieu, ni maitre, ni patrie, ni patron, ni le pen, ni macron, ni tous ces enfoiré.es de politicard.es qui nous enfument dans leurs urnes funéraires !
Je pourrais écrire une jolie analyse avec de bons mots, mais pas envie de jolies lettres, de blabla au style universitaire qui m'emmerde. Ils jouent leurs petites gueules affichées en couleur, ils comptent leurs points pour poser leurs culs sur Le Siège de l'Empereur, et nous culpabilisent, en plus, de refuser leur jeu puant ! Et même certains anars te prennent la tête pour que tu ailles -aïe- voter ! J'hallucine ! Merde vous me faites chier avec vos conneries ! Vous êtes heureux.ses du résultat entre un psychopathe et une facho ? Super réjouissons -nous : la fille du borgne n'est pas passée ! C'est super la politique du moins pire ?
Ras le bol du moins pire, après tout ce qu'on se prend, entends çà : « Le moins pire connard est arrivé en tête pour Le Siège de l'Empereur », tu comprendras pourquoi j'ai envie de hurler ma rage ! Vomissure sur vos urnes !
Bien sur mon pote sans papier ne sera pas viré directement car la fille du borgne n'est pas passé, mais mon pote il se cachait déjà dès qu'il voyait un bleu, désormais il attend dans un CRA pourri. Oui, la mise au pas d'un peuple se fait peu à peu, entends le bruit des bottes, le lit de la peste brune est bien mis en place depuis des années : par ces politicards chialant du « Front républicain », des syndicalistes socios-traitres absents des luttes, ramollis à la paté pour chiens des subventions d'état.
Déjà les autres tarés politicards qui ont raté « Le Siège de l'Empereur », s'excitent avec d'autres élections – de merde - des législatives, et c'est là où tu pourras piger que leurs jeux calculateurs ne s'arrêtent jamais, entre celui qui veut être le premier sinistre, l'autre ministre, l'autre député qui chiale parce qu'avec 3000 euros il ne peut pas vivre... ! Vomissure sur vos urnes !
Ici nous comptons les pièces jaunes pour acheter à bouffer ! Oui, ici en attendant le prix des pâtes et des sardines en boîte augmentent de ouf ! En attendant chaque mois nous sommes menacé.es d'expulsion au bout de 30 jours d'impayés, énergie réduite avant coupure, donc nous prenons la douches à l'eau froide et le chauffage est coupé depuis longtemps, et tu te demandes comment tu vas vivre ...
Et tu repenses à l'autre Merlu – tu vois l'ex-sénateur qui prétendait sauver le monde - qui chiale pour devenir premier ministre !
Sans déconner ils n'ont pas honte de toute leur merde ? Vomissure sur vos urnes !

Nous ne négocions pas notre vie, nous arracherons notre liberté avec les dents !
Bisou aux minoux sauvages et aux chats noirs
et VIVE LE FEU !

Des nouvelles de la grève à La conquête du pain

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Nous, travailleurs et travailleuses de la coopérative La conquête du pain décidons d'arrêter la production boulangère. Nos conditions de travail ne sont plus tolérables. 

Nous, travailleurs et travailleuses de la coopérative La conquête du pain décidons d'arrêter la production boulangère. Nos conditions de travail ne sont plus tolérables. 

Il existe un climat totalitaire de sur-pression et d'intimidation de la part de notre gérante qui ne nous laisse pas d'autre choix que de faire la grève. 

Oui, on arrête de produire le pain que la population de Montreuil consomme. 

On veut que nos pains continuent à être vendus avec le symbole de la liberté d'une boulangerie qui n'a pas de patron. Nos pains expriment la capacité d'un collectif à se mettre d'accord et à produire une marchandise sans qu'un patron soit derrière nous, à nous exploiter en profitant de notre travail.

C'est pour ça qu'aujourd'hui nous nous révoltons et décidons de mettre fin à des conditions qui vont à l'encontre de nos idées et de nos principes. La discussion autour de ces dysfonctionnements est rendue impossible au cours des AG de salarié.es ; c'est pourquoi nous demandons la convocation d'une Assemblée des coopérateur.ices avec la présence des salarié.es de La conquête afin de régler la situation.

On invite tous les collectifs, associations, et toute la population montreuilloise à nous soutenir car nos demandes sont justes et permettront de donner une continuité à ce beau projet auquel nous tenons énormément :

Nous demandons une autogestion réelle de La conquête du pain et que ça ne soit pas seulement une étiquette qui permette de justifier certaines dérives autoritaires.

Nous demandons la révocation du mandat de la gérante actuelle.

Nous voulons de la transparence sur les aspects financiers et administratifs de la coopérative.

Nous voulons le respect du pouvoir décisionnel des salarié.es concernant les décisions à prendre au cours des AG des salarié.es.

Le travail que nous fournissons doit être respecté et non dénigré dans des logiques de victimisation et de culpabilisation qui nous forceraient à accepter des conditions de travail intolérables. Ces dynamiques, en plus du flou financier, ont fini par précipiter le départ de la pâtissière.

Nous voulons de la stabilité dans l'équipe ! Ras le bol de voir nos collègues de boulot partir les uns après les autres dans un état lamentable, générations de salarié.es après générations de salarié.es.

Nous réclamons la paie des heures sup non comptabilisées alors qu'elles ont été effectuées !

Nous réclamons le recrutement de plusieurs personnes afin d'alléger la charge de travail notamment au fournil ; cela permettrait d'arrêter de faire 60h sup par mois.

On veut pour nous la boulangerie entière, et pas juste des miettes !
On paralyse la production pour mobiliser nos droits et la révolte !
On ne veux plus se faire rouler dans la farine !
Du pain et des roses pour nous tous.tes !

Solidairement,

Des salarié.es de La conquête du pain.
Contact : laconquetedupainengreve@gmail.com

<style type="text/css"> .balise-lien-modele article { padding-top: 0.5rem; padding-right: 0.5rem; padding-bottom: 0.5rem; background-color: #f6f6f6; border-width: 2px 0px 2px 0px; border-style: solid; border-color: #a30006; margin-bottom: 1rem; margin-left: 1rem; } .balise-lien-modele a { display: inline-block; text-decoration: none !important; } .balise-lien-modele h4 { display: inline; margin: 0; font-size: 1.1rem; line-height: 1.6rem; font-weight: 400; color:#a30006; } .balise-lien-modele h4 span { color: #696969; } .balise-lien-modele img.logo-article-modele { margin-left: 5px; } .balise-lien-modele p { font-size: 0.889rem; line-height: 1.5rem; margin-top: 0.4rem; } .balise-lien-modele time { font-size: 0.889rem; color: #696969; font-style: normal; }