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Il va falloir arrêter de dire “il va falloir apprendre à vivre avec le virus”

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Voilà une petite phrase qu'on a tous entendue, partagée par bien des gens, toutes sensibilités politiques confondues, « il va falloir apprendre à vivre avec le virus ». Cette phrase n'est pas juste, car nous vivons tous avec le virus depuis un moment. Qu'y a-t-il donc derrière cette petite phrase anodine, qui est prononcée par votre collègue, ami, membre de la famille comme si elle était du ressort du bon sens, de la modération, de l'entre-deux (sous-entendu : je ne suis ni complotiste, ni extrémiste du tout-sanitaire, je suis raisonnable) ?

Voilà une petite phrase qu'on a tous entendue, partagée par bien des gens, toutes sensibilités politiques confondues, " il va falloir apprendre à vivre avec le virus". Cette phrase n'est pas juste, car nous vivons tous avec le virus depuis un moment. Qu'y a-t-il donc derrière cette petite phrase anodine, qui est prononcée par votre collègue, ami, membre de la famille comme si elle était du ressort du bon sens, de la modération, de l'entre-deux (sous-entendu : je ne suis ni complotiste, ni extrémiste du tout-sanitaire, je suis raisonnable) ? Outre le fait que cette personne nie éventuellement vos propres risques si vous êtes malade chronique, cardiovasculaire, immunodéprimé, (ou juste si vous n'avez pas envie de tenter le covid long), cette phrase vous appelle à changer votre comportement et à arrêter de prendre des précautions, quelles qu'en soient les conséquences pour vous et vos proches. Au vu de ce que cette phrase sous-entend, il faudrait peut-être rétorquer tranquillement à l'émetteur “il va falloir apprendre à assumer son validisme” ?

Quelques éléments sont donc à rappeler :

  • “Apprendre à vivre avec un virus” ne veut pas dire “faire comme s'il n'existait pas”. Toute ressemblance avec le film "don't look up", en mode déni, n'est pas fortuite en France, en 2022, avec le covid. Les gens disent qu'ils veulent vivre avec, mais agissent exactement comme en 2019, sans rien s'imposer, tout en râlant contre des confinements qui n'existent plus depuis un moment.

Les personnes vulnérables, les "fragiles", les malades chroniques, ont déjà appris à vivre avec le covid, depuis 2020. Ils ont également appris à vivre avec leur pathologie, parfois depuis leur naissance. Ils ont souffert, souvent dans l'indifférence du reste de la population, ils connaissent DEJA la résilience. Donc la phrase n'a aucun sens pour eux, si ce n'est le fait qu'elle révèle que ceux qui l'utilisent sont majoritairement en bonne santé. Mais alors, que signifie-t-elle réellement quand elle est utilisée ? Certainement, elle signifie, nous on est du "bon côté", ceux qui ont peu de risques, on a eu très peur en 2020 quand on savait pas exactement nos risques individuels, mais maintenant qu'on sait (ou qu'on croit savoir ! les chiffres officiels des décès ne tiennent pas en compte les nombreuses séquelles, les PIMS des enfants, etc !) qu'on ne risque pas grand chose, on veut que tout redevienne comme avant et qu'on laisse les fragiles avec leurs énormes risques maintenus et une vie isolée qui ne les protègera que très partiellement, vu que les lieux essentiels à la survie sont redevenus non masqués.

Quand on démêle les fils de cette phrase, on comprend qu'elle signifie " il faut apprendre à accepter le fait d'être contaminé". Cette idée ne constitue pas une politique sanitaire, mais un laisser-faire qui ne va rien arranger pour personne. Elle nous emmène dans des phases épidémiques successives ou quasi permanentes, avec une vigilance inconsciente permanente pour tout le monde, des arrêts de travail successifs, et surtout, c'est impossible à entendre pour les personnes à risque et leur entourage, car cela voudrait dire qu'il faudrait qu'ils acceptent de développer une forme grave, voire d'y passer, ou d'être malade à long terme. Donc, il faudrait qu'ils acceptent de se sacrifier (et avec le sourire et sans agressivité SVP, merci !).

  • L'idée n'est évidemment pas que plus personne ne vive des moments de sociabilité, mais d'adapter des espaces safe (masque en intérieur, aérer aérer aérer, malgré les courants d'air ! faire les choses dehors quand c'est possible à la belle saison) pour que tout le monde puisse venir. Les personnes vulnérables ne sont pas "sous-cloche", elles font des choses, veulent faire des choses, ont une vie sociale, mais sont contraintes par les usages collectifs de se mettre à l'écart d'une énorme partie de la vie en société pour ne pas se mettre en danger. 28000 morts depuis début 2022, c'est énorme, ces personnes ne veulent pas venir gonfler ce chiffre et c'est leur droit le plus essentiel. Comment la société peut-elle se passer de toute une partie de la population ? Les “fragiles” ne leur manquent pas ?
  • Les lieux sans masque aujourd'hui peuvent être considérés comme les lieux qui n'ont pas aménagé un accès pour les personnes à handicap. Or ce n'est pas un handicap mais des personnes fragiles en général, encore plus nombreuses et variées, pas âgées ou au bord du tombeau, qui sont exclu.e.s de fait de tous ces lieux publics. L'école n'est donc plus inclusive. Une petite fille greffée du rein, à risque ++ (20% de chances de décéder si elle est contaminée, même vaccinée), devra retourner en classe en étant la seule à porter son masque. Elle ne sera pas protégée car c'est beaucoup moins efficace, les parents ont donc le choix entre la laisser et risquer sa vie et sa santé, ou la retirer de l'école (s'ils y arrivent). Ceci est un exemple parmi tant d'autres, un cas (ou plusieurs) comme celui-ci existe dans chaque petite école du territoire. Ils sont très peu médiatisés, et pourtant ils existent bel et bien, partout. Et je ne parle même pas des enfants de personnes à risques, qui sont encore plus nombreux.
  • Le pass sanitaire ne sert plus à rien en effet, à partir du moment où le vaccin n'empêche pas la contamination. Le pass ne sert qu'à dresser les personnes les unes contre les autres. Soit on rend le vaccin obligatoire (comme d'autres), soit on laisse réellement le choix en en assumant les conséquences sanitaires. Donc on arrête d'en parler, en fait.
  • Le “on en a assez”, ou le tabou/l'interdiction de parler du covid : ce sujet a été volontairement absent du débat à la présidentielle. 150000 morts n'ont pas suffi à provoquer un hommage national, ou du moins à parler de cette problématique qui a pourtant régi notre vie pendant deux ans. Les décès ont été totalement invisibilisés, bien plus qu'aux USA par exemple. Même les enfants morts du covid n'ont pas ou très peu été évoqués, pas une seule image de ces mômes, or en 2022, il y en a eu plus que pendant tout le reste de l'épidémie. Toutes ces personnes rayées de la carte manquent à leurs proches, représentent un drame humain. Les cacher est très malsain, cela révèle une société malade, et c'est la meilleure manière pour qu'il y en ait de nombreux autres. La réponse doit être politique. Elle nécessite des investissements dans de nombreux domaines. En en faisant un sujet tabou parce “qu'on en a marre”, on fait le jeu du gouvernement : on se cache la tête dans le sable, et on s'expose à la réitération permanente des vagues de variants. (Par ailleurs, les fragiles en ont encore plus marre, ils sont bien plus isolés que les autres, et parfois dans la précarité financière extrême faute d'avoir pu reprendre le travail dans des conditions correctes).

Au final, vous l'aurez compris, je préférerais qu'on évite d'utiliser cette phrase, ou du moins on pourrait en changer le sens, par exemple pour dire : “il faut vivre avec le virus”, et donc prendre des précautions, se tester, se masquer quand il faut, réclamer avec nous des moyens pour purifier l'air intérieur des endroits clos essentiels tels que les écoles et lieux de soin, exiger une politique sanitaire efficace. Après 2 ans de mensonges et de minimisation pour éviter de mettre en place ce chantier, le gouvernement doit faire face à ces demandes. Tout le monde y gagnerait, car notre santé est notre bien le plus précieux : c'est même l'essentiel de ce qu'on a, pour la plupart d'entre nous qui ne sommes pas actionnaires chez Total. Nous devons protéger les plus fragiles et nos enfants (qui héritent déjà d'une planète détruite !), contre un virus aux conséquences inégalitaires et dont on ne connaît pas précisément l'impact à long terme sur la santé.

Lendemain d'election – de merde- sur « Le Siège de l'Empereur ».

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Ni expert, ni dieu, ni maitre, ni patrie, ni patron, ni le pen, ni macron, ni tous ces enfoiré.es de politicard.es qui nous enfument dans leurs urnes funéraires !

Lendemain d'élection – de merde- sur « Le Siège de l'Empereur ».
Ni expert, ni dieu, ni maitre, ni patrie, ni patron, ni le pen, ni macron, ni tous ces enfoiré.es de politicard.es qui nous enfument dans leurs urnes funéraires !
Je pourrais écrire une jolie analyse avec de bons mots, mais pas envie de jolies lettres, de blabla au style universitaire qui m'emmerde. Ils jouent leurs petites gueules affichées en couleur, ils comptent leurs points pour poser leurs culs sur Le Siège de l'Empereur, et nous culpabilisent, en plus, de refuser leur jeu puant ! Et même certains anars te prennent la tête pour que tu ailles -aïe- voter ! J'hallucine ! Merde vous me faites chier avec vos conneries ! Vous êtes heureux.ses du résultat entre un psychopathe et une facho ? Super réjouissons -nous : la fille du borgne n'est pas passée ! C'est super la politique du moins pire ?
Ras le bol du moins pire, après tout ce qu'on se prend, entends çà : « Le moins pire connard est arrivé en tête pour Le Siège de l'Empereur », tu comprendras pourquoi j'ai envie de hurler ma rage ! Vomissure sur vos urnes !
Bien sur mon pote sans papier ne sera pas viré directement car la fille du borgne n'est pas passé, mais mon pote il se cachait déjà dès qu'il voyait un bleu, désormais il attend dans un CRA pourri. Oui, la mise au pas d'un peuple se fait peu à peu, entends le bruit des bottes, le lit de la peste brune est bien mis en place depuis des années : par ces politicards chialant du « Front républicain », des syndicalistes socios-traitres absents des luttes, ramollis à la paté pour chiens des subventions d'état.
Déjà les autres tarés politicards qui ont raté « Le Siège de l'Empereur », s'excitent avec d'autres élections – de merde - des législatives, et c'est là où tu pourras piger que leurs jeux calculateurs ne s'arrêtent jamais, entre celui qui veut être le premier sinistre, l'autre ministre, l'autre député qui chiale parce qu'avec 3000 euros il ne peut pas vivre... ! Vomissure sur vos urnes !
Ici nous comptons les pièces jaunes pour acheter à bouffer ! Oui, ici en attendant le prix des pâtes et des sardines en boîte augmentent de ouf ! En attendant chaque mois nous sommes menacé.es d'expulsion au bout de 30 jours d'impayés, énergie réduite avant coupure, donc nous prenons la douches à l'eau froide et le chauffage est coupé depuis longtemps, et tu te demandes comment tu vas vivre ...
Et tu repenses à l'autre Merlu – tu vois l'ex-sénateur qui prétendait sauver le monde - qui chiale pour devenir premier ministre !
Sans déconner ils n'ont pas honte de toute leur merde ? Vomissure sur vos urnes !

Nous ne négocions pas notre vie, nous arracherons notre liberté avec les dents !
Bisou aux minoux sauvages et aux chats noirs
et VIVE LE FEU !

Des nouvelles de la grève à La conquête du pain

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Nous, travailleurs et travailleuses de la coopérative La conquête du pain décidons d'arrêter la production boulangère. Nos conditions de travail ne sont plus tolérables. 

Nous, travailleurs et travailleuses de la coopérative La conquête du pain décidons d'arrêter la production boulangère. Nos conditions de travail ne sont plus tolérables. 

Il existe un climat totalitaire de sur-pression et d'intimidation de la part de notre gérante qui ne nous laisse pas d'autre choix que de faire la grève. 

Oui, on arrête de produire le pain que la population de Montreuil consomme. 

On veut que nos pains continuent à être vendus avec le symbole de la liberté d'une boulangerie qui n'a pas de patron. Nos pains expriment la capacité d'un collectif à se mettre d'accord et à produire une marchandise sans qu'un patron soit derrière nous, à nous exploiter en profitant de notre travail.

C'est pour ça qu'aujourd'hui nous nous révoltons et décidons de mettre fin à des conditions qui vont à l'encontre de nos idées et de nos principes. La discussion autour de ces dysfonctionnements est rendue impossible au cours des AG de salarié.es ; c'est pourquoi nous demandons la convocation d'une Assemblée des coopérateur.ices avec la présence des salarié.es de La conquête afin de régler la situation.

On invite tous les collectifs, associations, et toute la population montreuilloise à nous soutenir car nos demandes sont justes et permettront de donner une continuité à ce beau projet auquel nous tenons énormément :

Nous demandons une autogestion réelle de La conquête du pain et que ça ne soit pas seulement une étiquette qui permette de justifier certaines dérives autoritaires.

Nous demandons la révocation du mandat de la gérante actuelle.

Nous voulons de la transparence sur les aspects financiers et administratifs de la coopérative.

Nous voulons le respect du pouvoir décisionnel des salarié.es concernant les décisions à prendre au cours des AG des salarié.es.

Le travail que nous fournissons doit être respecté et non dénigré dans des logiques de victimisation et de culpabilisation qui nous forceraient à accepter des conditions de travail intolérables. Ces dynamiques, en plus du flou financier, ont fini par précipiter le départ de la pâtissière.

Nous voulons de la stabilité dans l'équipe ! Ras le bol de voir nos collègues de boulot partir les uns après les autres dans un état lamentable, générations de salarié.es après générations de salarié.es.

Nous réclamons la paie des heures sup non comptabilisées alors qu'elles ont été effectuées !

Nous réclamons le recrutement de plusieurs personnes afin d'alléger la charge de travail notamment au fournil ; cela permettrait d'arrêter de faire 60h sup par mois.

On veut pour nous la boulangerie entière, et pas juste des miettes !
On paralyse la production pour mobiliser nos droits et la révolte !
On ne veux plus se faire rouler dans la farine !
Du pain et des roses pour nous tous.tes !

Solidairement,

Des salarié.es de La conquête du pain.
Contact : laconquetedupainengreve@gmail.com

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La Frontière Tue, la Police Aussi

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Le 16 juin 2022, un homme est décédé des suites d'une blessure à la tête causée par un tir policier en traversant la fonriète franco-italienne. C'est passé relativement inaperçu alors que cela s'inscrit dans dans la continuité d'une série d'épisodes récents de personnes tuées par la police pour des refus d'obtempérer.

Le 16 juin 2022, un homme est décédé des suites d'une blessure à la tête causée par un tir policier. A part quelques articles de presse locale (ici ou ici) ce qu'il s'est produit à la frontière franco-italienne le 15 juin 2022 est passé inaperçu. Pourtant, cela s'inscrit dans la continuité d'une série d'épisodes récents ayant suscité un vif débat sur l'usage de la violence par la police en cas de refus d'obtempérer par des automobilistes.

Ce que l'on sait

Selon le communiqué du procureur de la République de Nice, la PAF aurait reçu de la part de ses homologues italiens le signalement d'une camionnette transportant des personnes en situation irrégulière, circulant entre la vallée de la Roya et Nice, sur l'une des voies de passage bien connues de la zone frontalière. Dans le PV de l'enquête (que nous avons pu consulter), la PAF admet que le contrôle effectué cette nuit là s'est effectué dans le cadre de la réintroduction des contrôles aux frontières intérieures de l'espace Schengen (cf. infra). Repérée en amont, la camionnette aurait refusé d'obtempérer une première fois entre Fanghetto (Italie) et Sospel (Sospel). S'enclenche alors une course-poursuite de 40 kilomètres sur une route de montagne très sinueuse. A Cantaron, dans les hauteurs de Nice la police aurait de nouveau tenté de bloquer la route. C'est là que, le conducteur forçant de nouveau le passage, la police aurait tiré à 4 reprises en justifiant d'une situation de légitime défense. L'une des personnes qui était à l'arrière du camion a alors reçu une balle dans la tête.

Suivie par plusieurs véhicules de police, la camionnette a continué sa fuite jusqu'au quartier des Moulins à Nice. Le conducteur ainsi que 2 personnes assises à l'avant auraient pris la fuite, abandonnant le véhicule. Bloqués à l'arrière, le blessé et 4 autres passagers auraient été retrouvés sur place par la police. Deux impacts de balles au niveau des feux avant et des roues ont été constatés par le procureur, l'un ayant transpercé la carrosserie. Suite à cela le blessé grave (et un autre blessé léger en état de choc) a été transporté à l'hôpital où il a succombé à ses blessures le lendemain. Tandis que celui-ci agonisait à l'hôpital, ses compagnons de route ont été arrêtés puis conduits au Centre de Rétention Administrative (CRA) de Nice.

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Cantine de soutien aux ateliers de rue porte d'Aubervilliers

jeudi 1 janvier 1970 à 01:00

Les Brigades de Solidarité Populaire IDF vous invitent à un repas (végan & à prix libre), le 25 juin, pour soutenir les ateliers de rue menés avec les exilé·s depuis plus d'un an

Après des mois de maraude sur le canal Saint-Denis à la rencontre d'exilé.e.s dormant là, à la merci des traques policières, naît l'envie chez les militant.e.s des Brigades de solidarité populaire d'établir d'autres liens avec les personnes exclues que ceux définis par l'urgence de répondre aux besoins primaires de dormir et manger.
L'idée d'un atelier de rue vient donc de cette volonté de créer un espace d'échange libre et ouvert en allant à la rencontre des exilé.e.s, des personnes nouvellement arrivées et des personnes précaires qui fréquentent ce quartier.
L'atelier de rue existe depuis fin janvier 2021. Il se tient tous les vendredis soirs de 18h30 à 20h30 à la Porte d'Aubervilliers.

Le repas de soutien permettra de financer du matériel difficilement récupérable (livres en différentes langues, feutres, papiers, jeux spécifiques, etc.).
RDV le samedi 25 juin de 12h à 15h à la cantine des Pyrénées, 77 rue de la Mare à Paris 20e