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Korben

source: Korben

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Edito du 09/10/2023

lundi 9 octobre 2023 à 09:50

Hey salut tout le monde,

Je vous espère en forme et que la rentrée s’est bien passée pour vous. Cet été c’était la grande pause et c’était vraiment cool, car je ne me suis pas ennuyé. J’ai même creusé une mare naturelle avec des grenouilles qui se sont rapidement installées. Mare qui est encore un peu vide vu le manque de flotte en ce moment.

J’ai également passé 2 semaines en Bretagne en août, esquivant la canicule puis en septembre, j’ai décidé de passer à la semaine de 3 jours, car, vous le savez, la vraie richesse, c’est pas le pognon, mais le temps libre. En gros, lundi, mardi et mercredi, je bosse à fond, je rush, je streame, je fais mes conf call, je tourne mes vidéos, j’écris mes articles et j’essaye de tout torcher asap.

Et le mercredi soir, je suis « officiellement » en week-end. Alors je sais, ça fait rêver, mais la réalité, c’est que c’est plutôt un semi-weekend. C’est-à-dire que je bosse quand même un peu durant ces jours-là, car j’ai évidemment des trucs que je n’ai pas eu le temps de finir, mais je le fais sans pression. Je réponds plus au téléphone, je suis moins sur mes emails, ce qui me laisse plus de temps pour avancer dans le monde réel, pour réfléchir et expérimenter des trucs que je pourrais ensuite partager avec vous, et puis évidemment me faire plaisir, à savoir écrire des articles sur mon site, jouer à Starfield ou mater la nouvelle série OnePiece sur Netflix.

La réalité, c’est que c’est plus un combat entre mon Moi qui veut du temps libre et qui se dit « Et si on se lançait dans un nouveau Side-project n° 15456 ? » et mon Moi qui se dit « Oui, mais t’as pas le temps de t’amuser, y’a encore ça à faire, puis ça, puis ça, et la semaine prochaine, y’a ça, encore ça…« .

Bref, je tente et on verra si ce luxe tiendra dans la durée.

Allez, passez un bon mois d’octobre et on se capte sur mes réseaux 🙂

Sauvegardez et restaurez votre bureau Linux avec SaveDesktop

lundi 9 octobre 2023 à 09:00

Vous êtes-vous déjà retrouvé dans une situation où vous deviez réinstaller ou configurer un nouvel environnement de bureau Linux ? Et comme si ça ne suffisait pas, vous auriez aimé que tout soit exactement comme avant ? Si oui, vous allez adorer SaveDesktop !

SaveDesktop est une application open-source qui vous permet de sauvegarder et de restaurer facilement les configurations d’environnements de bureau Linux tels que GNOME, Xfce, Cinnamon et d’autres. Elle enregistre les icônes, thèmes, paramètres, fonds d’écran, extensions et applications Flatpak installées. Pour l’installer, vous aurez besoin de GTK4 et LibAdwaita comme prérequis.

Vous pouvez l’installer en utilisant une commande Git ou Flatpak.

Voici comment l’installer en utilisant Git :

git clone https://github.com/vikdevelop/SaveDesktop /tmp/SaveDesktop && sh /tmp/SaveDesktop/install_native.sh --install

Et voici comment l’installer en utilisant Flatpak :

flatpak install flathub io.github.vikdevelop.SaveDesktop

L’interface utilisateur de SaveDesktop est minimaliste et facile à utiliser. Cependant, il y a quelques limitations à garder à l’esprit. Par exemple, il ne prend pas en charge les applications Snap pour le moment, et il y a quelques problèmes avec certaines icônes qui ne sont pas sauvegardées correctement. Malgré ces petits défauts, SaveDesktop reste un outil très utile pour les utilisateurs de Linux.

En résumé, SaveDesktop est une excellente application pour ceux qui cherchent à sauvegarder et restaurer facilement leurs configurations de bureau Linux. Si vous êtes un utilisateur de Linux et que vous n’avez pas encore essayé SaveDesktop, je vous encourage vivement à le faire. Cela pourrait vous faire gagner beaucoup de temps et d’efforts lors de la configuration de vos environnements de bureau Linux à l’avenir.

Découverte du AK1PLUS – Le Mini PC Intel Alder Lake-N95 de NiPoGi

dimanche 8 octobre 2023 à 16:35

Si vous me lisez depuis longtemps, vous savez que je parle très peu matos sur ce site, car je suis du genre à garder mon matériel longtemps. Mais là, j’avais besoin d’un petit PC récent pour faire mes tests sous Windows et Linux.

Pas besoin d’une grosse machine de gamer, ni d’un truc cher, donc je suis parti lurker un peu du côté des Mini PC. Et je suis tombé ce MiniPC AK1PLUS de la marque NiPoGi équipé d’un processeur Alder Lake-N95 (jusqu’à 3,4 GHz), de 16 Go de DDR4 ainsi que d’un SSD M.2 NVMe de 1 TB. Il peut également accueillir 2 écrans 4K et intègre tout le confort moderne en matière de connectivité USB, Ethernet, Wifi et Bluetooth.

Alors oui, je sais que le Alder Lake-N95 c’est vu comme le fond du panier de chez Intel, mais vu que ça ne consomme pas grand-chose et que j’ai pas prévu de faire du gaming dessus (mis à part du Xbox Cloud), je n’en ai rien à faire. Moi j’ai juste besoin d’un truc qui ne prend pas de place, et sur lequel je pourrais faire un dual boot Windows / Linux pour bidouiller.

De base, je trouve que ce AK1PLUS est plutôt cher vu le peu de matos qu’il y a dedans (439 euros au catalogue).

Mais j’avais déjà pris un PC de chez eux et j’en suis content.

Mais hors de question de l’acheter à ce prix là… Toutefois, ce qui m’a vraiment décidé c’est le bon de réduction de 210 € proposé sur Amazon qui fait qu’au final, je l’ai payé 229 euros. Je trouve que c’est son juste prix, surtout qu’à config équivalente, c’est le moins cher rapport à ses concurrents.

Bref, pour une fois, je me suis dit que ce serait sympa de vous le présenter en détail sachant que ça fait bien longtemps que je n’avais pas testé un PC ici.

Dans la toute petite boite, vous trouverez un manuel d’utilisation qui ne sert à rien, un support VESA pour le fixer au mur, derrière un écran ou encore sous un bureau ainsi qu’une alimentation et un câble HDMI.

Au niveau du look de la bête, rien de spécial… C’est une petite boite noire d’environ 13 cm de côté sur 5 cm de haut avec un peu de LEDs bleues qui s’allument quand il fonctionne (ça peut se débrancher facilement si vous ne voulez pas que ça éclaire chez vous). Bref, c’est tout petit, parfait pour les amateurs de minimalisme, car ça peut même se planquer derrière un écran ou dans un tiroir.

Niveau connectivité, y’a un port USB et le bouton d’allumage sur le côté droit afin que ce soit accessible et le reste de la connectique se trouve à l’arrière. Soit au total 4 ports USB, 2 HDMI, 1 Ethernet et une prise casque.

Un truc que j’avais pas capté en achetant ce truc, c’est qu’il dispose d’un socle amovible dans lequel on peut rajouter un SSD. Donc ça fait une bonne extension en matière d’espace disque pour ceux qui ont besoin de place, par exemple si vous voulez vous en faire un média center. Pour ma part, je l’ai retiré pour le moment.

Ensuite au niveau de l’install de l’OS, rien à dire de spécial si ce n’est que c’est livré avec un Windows 11 Pro.

Je m’interrogeais quand même sur la possibilité de mettre un Linux là-dessus, et c’est passé comme une lettre à la poste en dual boot (c’est de l’UEFI). J’ai juste dû passer sur un noyau Linux 6.5.6 pour avoir un bon support du processeur graphique d’Intel qui est quand même récent et donc avoir ainsi une résolution d’écran correcte.

Par contre, attention, si vous vous lancez là-dedans, sachez que le seul port USB réellement bootable est celui qui se trouve à l’arrière. J’ai perdu pas mal de temps à essayer de comprendre pourquoi ma clé USB ne voulait pas booter alors que je l’avais branché dans les ports USB situés à droite de la machine.

Comme j’ai 1 TB sur le Nvme, j’ai divisé le disque en 2 partitions de 500 GB chacune, ce qui sera largement suffisant pour ce que je vais en faire.

Évidemment comme je suis curieux, je l’ai démonté pou voir à quoi ça ressemblait dedans. C’est assez facile, il suffit d’enlever les patins du dessous, qui cachent les vis. Puis de l’ouvrir délicatement par le haut, en prenant garde de ne pas arracher les fils pour les LEDs bleues.

Voici l’intérieur de la bête.

Comme vous le voyez, l’alimentation des LEDs peut être facilement déconnectée. Et ensuite, c’est assez basique, y’a pas grand chose. Un gros radiateur / ventilo vraiment très silencieux. Et un NVme de marque BiWIN… Aucune idée de ce que vaut ce dernier, mais comme on peut le remplacement facilement, je ne suis pas inquiet.

J’ai enlevé le radiateur quand même pour voir le processeur avec sa bonne dose de pâte thermique.

Voilà pour le petit retour côté matos. C’est donc un mini PC silencieux et discret, avec un CPU récent et performant pour peu que vous vous contentiez de faire de la bureautique / internet / mater des films avec.

Ça conviendra bien à ceux qui ont un petit budget, qui veulent un minimum d’encombrement et surtout du silence 🙂 et comme ça supporte très bien Linux, y’a de quoi faire aussi d’autres trucs cool.

Par contre, encore une fois, oubliez les usages qui demandent du GPU. C’est loin d’être un PC avec lequel on peut jouer à des jeux récents ou faire de la 3D.

Notez que d’autres modèles sont également dispo chez NiPoGi avec moins d’espace disque, moins de RAM, donc moins chers (et également de chouettes bons de réduction).

À voir maintenant ce que ça donnera sur le long terme.

Au cœur de l’action avec Trepang2

dimanche 8 octobre 2023 à 14:09

— Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

Parfois pour se défouler, rien de mieux qu’un jeu d’action bien rapide et fun, un jeu de tir où on dézingue des ennemis à la dizaine avec classe ! C’est ce que nous propose Trepang2, un FPS à la John Wick avec une pointe d’horreur, autant vous dire que c’est sanglant. 😀

Contrairement à ce que son titre pourrait laisser penser, Trepang2 n’est pas une suite, c’est d’ailleurs le premier jeu Trepang Studios, toute nouvelle équipe de seulement 4 personnes ! Ils ont fait un boulot de dingue, franchement c’est super maîtrisé, à la hauteur de pas mal de titre créés par de groooosses équipes. 🙂 Pas étonnant que Team17 décide de publier le jeu.

Le gameplay est super bien foutu, simple et accessible à appréhender mais bien nerveux, et permet d’être assez créatif. En plus de tirer avec ses flingues (on peut porter jusqu’à 2 armes à la fois, à nous de choisir celles qui nous semblent les plus adaptées), de balancer des grenades, de faire des glissades ou de se servir d’un ennemi comme bouclier, on peut se rendre invisible mais aussi activer un mode « bullet time » qui s’avèrera bien pratique !

Graphiquement c’est super propre, fluide, mais surtout y a une excellente ambiance qui s’installe. Y a un côté John Wick / Matrix, mélangé à du surnaturel et parfois même de l’horreur… Je vous ai dit que c’était sanglant ? 😀 Je ne sais pas si vous vous souvenez de F.E.A.R., mais c’est assez similaire : faut pas avoir peur du noir ! Le scénario est assez basique mais on se laisse porter. Efficace.

Des infos complémentaires sont dispo en retrouvant des logs via ordinateurs, téléphones, parchemins (?!) sur lesquels les personnages ont laissé des notes. On peut aussi trouver des améliorations d’armes, c’est sympa mais les niveaux n’invitent pas forcément à l’exploration, perso je pense être passé à côté de pas mal de trucs. Il va falloir fouiller pour obtenir le 100% !

L’aventure est structurée en missions, entre chaque mission on revient à la base pour personnaliser un peu son personnage / ses armes, et choisir son prochain objectif : en effet certaines missions sont facultatives, à nous de choisir ce qu’on veut faire ou pas. Il est aussi possible de rejouer les niveaux déjà terminés, en changeant la difficulté par exemple. Enfin, il y a un mode « survie » avec des vagues d’ennemis de plus en plus nombreux et puissants, bref, de quoi allonger la durée de vie. 🙂

L’histoire principale se boucle une première fois en 4-5h, et je pense qu’on peut largement doubler le temps de jeu avec ce contenu supplémentaire. C’est une expérience assez concise mais bien construite, et sur laquelle on peut revenir si on veut + de challenge : en mode normal, perso, je suis mort plus d’une fois, et ce n’est que le deuxième mode de difficulté sur… Six ! Le mode rage risque de vous faire ragequit. 😀

En conclusion, c’est un excellent jeu de tir « défouloir », super fun, avec quelques moments bien flippants, et une bonne liberté dans notre manière d’appréhender les différentes situations périlleuses dans lesquels les développeurs adorent nous coincer. Bien sûr, faut aimer le genre, mais si c’est votre cas je pense qu’on peut lui accorder un 💥💥💥💥/5

Il y a une démo de disponible si vous voulez tester. 😉

Acheter Trepang2 sur Steam, GoG, XBox ou Playstation

Opal – Un lecteur de musique pour rester détendu au boulot

dimanche 8 octobre 2023 à 09:00

Il y a des jours comme aujourd’hui, où l’on a besoin de s’évader un peu, tout en restant concentré sur son travail. Si vous travaillez sur un projet important, mais votre esprit est distrait par le bruit environnant, voici un excellent moyen de vous recentrer rapidement, sans pour autant quitter votre bureau de rage.

Opal est un lecteur de son d’ambiance relaxant conçu pour vous aider à rester concentré. Il dispose de plus de 30 pistes sonores apaisantes, allant du fond sonore de l’open space au bruit de la pluie, en passant par la forêt ou le café voire des sons plus imaginaires comme un château hanté ou une grotte mystérieuse.

Ce qui rend Opal particulièrement intéressant, c’est sa capacité à combiner des sons à différents volumes. Ainsi, vous pouvez créer votre propre mélange sonore afin que ça corresponde à votre humeur ou à votre environnement de travail. Si comme moi, vous avez toujours rêvé de travailler au milieu d’une forêt enchantée avec une légère pluie tombant sur les feuilles, pas de problème, Opal vous permettra de créer cette atmosphère en un clin d’œil.

En plus de cela, Opal propose un minuteur pour ceux qui aiment programmer des sessions de concentration. Vous réglez le minuteur, et Opal s’arrêtera automatiquement une fois le temps écoulé. Comme ça, plus besoin de surveiller l’heure sur l’ordi !

Opal est open-source et est dispo pour Linux et Windows. Vous pouvez le télécharger et l’essayer vous-même en visitant le site de CodeDead.

Bonne écoute et bonne détente avec Opal !