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Korben

source: Korben

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OpenBase – Pour vous aider à bien choisir une lib JS

vendredi 14 août 2020 à 09:00

Si vous êtes développeur, vous utilisez forcément des libs / packages JS dans vos projets. Mais il n’est pas toujours évident de savoir lequel choisir sachant qu’il y en a beaucoup dont une grande partie qui font des choses similaires ou qui se recoupent. Et tous ne sont pas de même qualité.

Heureusement, il existe un site baptisé OpenBase qui regroupe pour le moment, plus de 1,3 million de packages JS avec pour chacun d’entre eux des tonnes d’informations comme les numéros de version, les bugs ouverts, les temps de réponse à ces bugs, les pull requests, le nombre de téléchargements hebdomadaire, les notes Github, le nombre de contributeurs, les dépendances, la date du dernier commit, la licence, le nombre de commits dans le mois, ainsi qu’une série de notes relatives à la qualité de la documentation, les performances, les possibilités de personnalisation, la qualité du code et j’en passe.

Vous trouvez également des commentaires de gens qui utilisent ces libs et qui bien sûr donnent leur retour d’expérience dessus. De quoi faire votre choix en toute objectivité et sécurité avant d’intégrer une lib dans votre projet.

site openbase.io

OpenBase propose pour le moment des packages uniquement pour du JS mais il est prévu que ce soit étendu à d’autres langages de développement.

En fonction de ce qui vous intéresse, vous pourrez afficher des comparaisons côte à côte avec différents packages mais également avoir un accès direct à la doc, à des tutos, aux contributeurs, aux dépendances sans oublier les différentes versions des paquets et les libs alternatives / clones.

À tester ici.

Et dans le même genre, vous avez aussi npmjs ou encore le rapide Yarnpkg.

Parallèles s01e14 – Le militantisme relax 🧸 (avec Pouhiou)

jeudi 13 août 2020 à 11:36

Podcast Parralèles Korben

Habituellement je sors un podcast toutes les 2 semaines, et cela depuis 6 mois. Mais si vous suivez les choses de près vous avez remarqué que j’ai zappé un rendez-vous, la cause à une panne d’ordinateur, à l’été et à la position de Vénus dans le vide spatial. Bad combo ou la malchance du numéro 13 qui a encore frappée !

Pour 14e épisode de mon podcast, j’ai reçu Pouhiou. Le pseudo ne vous dit peut-être rien, mais vous devez connaitre au moins l’une de ses nombreuses activités. Par exemple si je vous dis Framasoft, ça vous parle ? Et bien, sachez qu’il est co-directeur de cette association très connue qui milite pour la promotion du libre en France depuis très longtemps. Au fil de l’interview, vous apprendrez que Pouhiou c’est bien plus que cela.

Ancien comédien et ancien Youtubeur, mon invité du jour est un homme aux multiples facettes : militant du libre (comme mentionné plus haut) ou encore des droits LGBT+, cuisinier, tricoteur, auteur … vous allez découvrir ses combats aussi bien que ses hobbys durant les 97 minutes du podcast.

De sa découverte de l’Internet au partage de la culture au plus grand nombre en passant par le sous-titrage de séries TV, ses chroniques radio autour du sexe ou la création de pièces de théâtre, vous suivrez tout son parcours au fil des années.

Pour aller plus loin (on en parle dans le podcast) :

Les recommandations de Pouhiou :

Pouhiou se livre très librement, il partage ses hauts comme ses bas. Ainsi que sa philosophie de vie, à la fois simple et profonde. J’espère que vous apprécierez son partage autant que je l’ai fait, merci pour ça, Pouhiou !

À dans 2 semaines pour le prochain épisode 😉

Pour vous abonner au Podcast, c’est par ici : https://paralleles.org/ Aussi disponible sur ma chaine YouTube.

Webosaures – Culturosaure 7 : NOFX, Permaculture, Kickban …

jeudi 13 août 2020 à 11:36

Les Webosaures - émission web et Tech

1 mois ! 1 mois sans nouvel épisode des Webosaures, saleté d’été (et d’ordinateur en rade). C’est pas quelque chose à faire aux fans du monde entier de notre émission de vieux dinosaures du web ! On n’est pas passé loin de l’incident diplo docus matique.

Bon, trêve de bavardages, cette semaine Rémouk et tonton Korben reviennent avec un nouveau Culturosaures (le 7e) dans lequel nous vous partageons nos découvertes culturelles de ces dernières semaines. Et depuis notre sélection précédente du 15 juin, il y a de quoi faire !

De mon côté je suis pas mal la tête dans les choux, à savoir je m’intéresse pas mal à tout ce qui touche à la permaculture, forêt comestible, etc. Bref je suis à fond sur mon nouvel objectif de m’installer en pleine campagne, le tout payé par ma chaine Twitch. Wep, Bill Gates m’a dit de viser haut.

Rémi de son côté est beaucoup plus éclectique que moi en ce moment. Série et film, livre et musique, il se renseigne et fait de tout ! Même sortir un second album avec son groupe Kickban, force et courage à lui dans cette nouvelle aventure !

Pour aller plus loin (on en parle dans la vidéo) :

Bon j’espère que vous profiterez bien de cet épisode, car on va prendre quelques vacances pour revenir en septembre. C’est donc une petite émission ponctuelle pour ne pas vous laisser trop longtemps sans news.

Et pour être prévenu (un peu) en avance, n’hésitez pas à suivre nos différents réseaux : InstagramTwitterFacebookTwitchYouTube ou au format podcast sur toutes les plateformes du moment.

BitMidi – Retrouvez les meilleurs fichiers MIDI old school

jeudi 13 août 2020 à 09:00

BitMidi est un service en ligne, mais également une application Android, réalisée par Feross qui est entre autres l’auteur de WebTorrent. Et comme j’ai trouvé le site sympa, je vais vous le présenter.

Sur ce site, vous trouverez une base de plus de 100 000 fichiers MIDI à écouter et à télécharger pour agrémenter vos soirées raclette, vous lancer dans des karaokés de folie ou en ce qui me concerne récupérer quelques mélodies pour votre logiciel de MAO (DAW genre Ableton).

Super Mario 64 midi sur Bitmidi

Au delà du côté « archive » musicale intéressant, les sources de BitMidi sont également disponibles sur Github. Et petit truc amusant, BitMidi peut également faire office de lecteur de fichier midi. Pour cela, il vous suffit de glisser-déposer votre .mid sur les pages du site pour entendre s’en échapper la douce mélodie stridente.

Amusez-vous bien !

A la découverte de Surfshark

mercredi 12 août 2020 à 23:22

sponsorisé par Surfshark

Les VPN ont le vent en poupe. Jadis méconnus et considérés comme des outils « nerdy », peu accessibles et réservés à des gens aux besoins spécifiques (et parfois douteux), ils sont depuis quelques années en pleine lumière et n’hésitent plus à se montrer et faire du pied au grand public. Il faut dire que pour ce dernier, les atouts sont de plus en plus évidents et la question d’adopter un outil de ce type se pose grandement.  

Surfer anonymement, améliorer son offre SVOD en agrégant plusieurs catalogues de grandes plateformes comme Netflix ou Disney + ou encore renforcer sa protection face aux cyberattaques de plus en plus fréquentes et sophistiquées, voilà de louables raisons d’investir dans un abonnement à un VPN. Problème :  l’offre est pléthorique et l’internaute moyen peut vite se retrouver perdu face à ce déluge d’informations, de comparaisons, de revendications et d’offres promotionnelles … Du freemium, du (vraiment) gratuit, du payant, il y en a pour tous les goûts, les attentes et les bourses. Difficile d’évoluer avec aisance dans cette jungle et à moins de vouer un culte à ces systèmes, vous n’aurez pas envie de tous les essayer et les comparer.  

Il semble donc plutôt cohérent, en bon agent rationnel que vous êtes (non), de vous tourner vers des valeurs sûres. Quelques noms sortent du lot : NordVPN est probablement le plus connu, ExpressVPN ou CyberGhost font office d’outsiders sérieux mais des petites nouveaux aux atouts bien galbés passent leur tête par la fenêtre. Et parmi ceux-ci, le plus prometteur est surement Surfshark. Derrière ce nom qui sent bon la folie carnassière et la tripaille saline se cache une entreprise ambitieuse, fondée en 2018 et implantée aux Iles Vierges britanniques, qui souhaite faire de son offre une référence pour ceux qui cherchent un bon compromis entre accessibilité et performance. Petit tour du propriétaire ci-dessous, histoire que vous vous fassiez votre propre avis ! 

Le prix le prix le prix ! 

Le nerf de la guerre avec la performance. Le prix est évidemment une composante essentielle de toute offre, et Surfshark se distingue de ce côté par une politique tarifaire tout simplement imbattable. 

C’est bien simple, aucun VPN de qualité ne propose une offre aussi abordable sur 12 et 24 mois.  A titre indicatif, NordVPN propose actuellement (article rédigé fin juillet 2020) une offre de 6,22€/mois pour un engagement annuel et 4,44€/mois pour un engagement de deux ans. Cyberghost, considéré comme un VPN performant et peu onéreux, propose à son niveau 2,75€ sur 18 mois. …  C’est bien simple, l’offre de 24 mois de Surfshark est le must have du moment en rapport qualité/prix. 

Rappelons avant de poursuivre que le marché du VPN est très dynamique et que les offres changent continuellement. Nous vous conseillons donc de régulièrement vérifier les prix mais à date, aucun autre VPN de qualité ne parvient à concurrencer Surfshark sur les tarifs.  

Des performances et fonctionnalités à la hauteur ? 

Si le prix est évidemment une alléchante promesse, il ne justifie pas à lui seul de s’orienter vers un VPN plutôt qu’un autre. Les performances et les fonctionnalités sont à traiter avec autant si ce n’est davantage d’attention. Et de ce côté-là aussi, Surfshark n’est pas à la traine, proposant malgré son jeune âge un package intéressant de possibilités et des résultats à la hauteur. On fait le point. 

  1. Le débit 

Un VPN va par définition ralentir votre navigation. Un truisme technologique qu’il est bon de rappeler et contre lequel il est impossible de lutter. En passant par un serveur tiers, de la latence « se forme » et vous allez forcément perdre un peu de vitesse. La différence entre un bon et un mauvais acteur du VPN se situe en grande partie là, sur le pourcentage de perte et la capacité à proposer un confort de navigation et de visionnage de bonne facture malgré la surcouche VPN. 

Les tests réalisés ci-dessus se basent sur 3 connexions différentes au même moment de la journée : le premier screenshot correspond à notre connexion classique, sans surcouche VPN quand les deux suivants correspondent à des serveurs US et japonais. On peut donc constater une élévation marquée du ping et des débits descendant/ascendant en baisse. En comparaison d’autres VPN, les chiffres se situent dans la moyenne. La perte est très acceptable sur le download, l’upload est quant à lui un peu en retrait. L’ensemble se tient bien et à l’usage, nous n’avons pas constaté de réel inconfort de navigation. 

A noter que Surfshark propose près de 2000 serveurs dans une soixantaine de pays. Un chiffre en retrait par rapport aux géants du secteur, ce qui est relativement logique étant donné la jeunesse du service. Surfshark continue ses efforts de déploiement et ne devrait pas tarder à compenser une partie importante de son retard. Mais à l’heure actuelle, il ne peut rivaliser sur ce point qui pourrait à terme s’avérer problématique en cas de grande popularité du service (et donc de connexions nombreuses sur les différents serveurs de la société). 

  1. La praticité

Surfshark propose une application épurée, lisible et facilement compréhensible. Le tout s’installe très facilement, même pour un profane. Ci-dessous un screen du dashboard PC qui ne brille pas par sa complexité et c’est tant mieux. 

  1. Le streaming

Si certains VPN ont abandonné cet angle, il reste pourtant un must-have pour de nombreux utilisateurs. L’utilisation peut être double : bénéficier en France du catalogue d’autres pays (le prolifique catalogue de Netflix US par exemple) ou à l’inverse continuer à bénéficier de ses programmes français lorsque vous vous déplacez. Parallèlement, le VPN peut servir à contourner les restrictions géographiques et à bénéficier de chaines étrangères non accessibles normalement depuis la France. 

Après plusieurs essais, tout va bien pour Surfshark qui arrive aisément à accéder à Netflix US, Japon ou Allemagne (les 3 testés). Ne comptez en revanche pas sur ce VPN ni aucun autre pour accéder à Prime Video US, Amazon étant à la pointe sur le sujet et bloquant toute tentative de visionnage de contenu hors catalogue domestique.  

  1. Sécurité et confidentialité

Il s’agit bien évidemment de la promesse de base d’un VPN. Bien nous protéger, assurer notre confidentialité. De ce point de vue-là, Surfshark remplit tous les critères, nos tests montrant que notre IP ne ressortait plus une fois les connexions achevées. Que ce soit à NY, Tokyo ou Tirana, aucun problème rencontré. Le VPN propose aussi un système de double VPN, baptisé ici MultiHop. Cette double protection a néanmoins un effet néfaste sur le débit, elle est à utiliser avec parcimonie. 

A noter que le protocole basique de Surfshark est IKEv2/IPsec mais que ce dernier est modifiable à convenance. 

Côté confidentialité, l’application se targue de ne pas conserver les logs. L’entreprise étant située sur les Iles Vierges britanniques, elle n’est pas tenue de rendre des comptes à qui que ce soit (pas même à la perfide Albion malgré le nom confusant). Surfshark s’engage donc à ne conserver aucune de vos données. 

  1. Les connexions 

Gros point pour Surfshark ici ! Alors que la société propose des tarifs très agressifs comme cela a été évoqué plus haut dans cet article, elle ne restreint pas pour autant le nombre de connexions simultanées. A vrai dire c’est même tout l’inverse puisque Surfshark propose un nombre illimité de connexions simultanées ! Vous pouvez donc faire profiter toute la famille, les amis et même dans votre grande mansuétude vos ennemis. Une exclusivité très intéressante qui renforce le sentiment de très bon plan de Surfshark. Si vous prenez l’offre 24 mois et que vous partagez votre accès avec quelques personnes de votre entourage, faites le calcul et vous verrez qu’il est difficile de faire moins cher que cela pour un tel degré de performance. 

  1. Les fonctionnalités annexes

En sus de tous ces fondamentaux, Surfshark propose quelques appréciables petites fonctionnalités :  

Cleanweb est un adblock stéroidé pour faire simple, proposant une navigation dénuée de pubs et autres trackers. Les différents tests effectués ont montré une belle efficacité de cet outil qui pourrait à terme remplacer vos adblockers traditionnels si vous en utilisez (pas bien !). 

Whitelister permet comme son nom l’indique de désigner et exclure des sites ou applications du protocole VPN. Cela peut être utile si vous voulez éviter de recevoir des messages d’alerte toutes les 5 minutes à cause d’une connexion à l’autre bout du monde.  

Hacklock permet de recevoir en temps réel des alertes lorsque vos mails et mots de passe sont susceptibles d’être compromis. Après essai, j’ai donc été informé que mon mail était compromis à cause d’une fuite de 2016 chez un acteur majeur de la livraison de repas. Ce n’est pas le service le plus ébouriffant mais cela reste une addition intéressante. 

– Enfin Blindsearch est, selon le langage officiel, « un outil de recherche puissant et léger qui n’affiche que les résultats purement organiques. Effectuez des requêtes de recherche web en toute confidentialité sans pubs, sans journaux et sans trackers. ». La curiosité nous a poussés à essayer mais malgré quelques résultats convaincants, nous ne voyons pas dans cette fonctionnalité autre chose qu’un gadget sans intérêt majeur. 

Conclusion  

Au global, quelle belle surprise que Surfshark ! Le VPN fait plus que le café alors qu’il ne coûte pas plus cher que ce dernier. L’entreprise propose des fondamentaux solides, une politique tarifaire très agressive et une absence de restriction sur les connexions. Des points séduisants qui font de ce nouvel acteur un très bon choix ou a minima une alternative plus que crédible aux mammouths du secteur.