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Korben

source: Korben

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Test du casque Bose QC35 II

mercredi 30 janvier 2019 à 11:36

Ça fait un petit moment que je teste le casque Bose QuietComfort 35 II et je me décide enfin à vous faire un petit retour sur mon expérience.

Tout d’abord, j’en avais assez des casques audio avec fil, alors je lurkais un peu du côté des Airpods d’Apple, mais lâcher 180 balles pour un truc sur lequel les gosses vont marcher, que j’oublierai probablement au fond d’un jeans parti pour un tour de machine à laver, voire qui m’échapperait dans la rue ou au fond d’un sac… hmm…

Puis je suis tombé sur le casque sans fil Bose QC35. Pas le même style, plus encombrant, mais tellement génial que je ne saurai plus m’en passer.

Ce casque présente plusieurs avantages. Comme c’est un casque Bluetooth, il sait s’appairer avec plusieurs appareils (et 2 en simultanée), propose une autonomie de 20h ce qui est énorme, et comme il se plie, on peut le ranger facilement dans sa petite sacoche rigide.

Au-delà du son réputé de Bose, ce que j’apprécie le plus c’est sa fonction antibruit. Une fois sur les oreilles, tout devient calme et paisible. Et quel bonheur !

Par exemple, dans le train, la semaine dernière, je me suis tapé des gros boulets qui ont braillé tout le long du trajet (3h30 de TER, vive l’Auvergne). Et bien sans mon casque, je peux vous dire que j’aurai eu du mal à me concentrer sur ma partie de RimWorld ou sur mon bouquin.

Même chose à la maison… Je peux enfin lire quand les enfants matent leurs épisodes de LadyBug en hurlant debout sur le canap (pour encourager l’héroïne).

Et je n’ai pas pris l’avion depuis que je l’ai, mais vu comme le bruit ambiant dans mon train est annulé, je me dis qu’en avion, ça doit être moins douloureux niveau boucan.

Et niveau poids, et bien je le trouve assez léger et je peux rester plusieurs heures avec sans être gêné.

Le QC 35 II offre aussi la possibilité de téléphoner en mains libres et ça, c’est idéal quand je prépare le repas du soir et que je continue de bosser. (ceux qui me suivent sur Instagram savent de quoi je parle)

Il se recharge avec un câble micro USB, permet de monter / baisser le volume, de mettre en pause la musique ou de décrocher un appel, et offre aussi un bouton fonction qui peut servir soit à régler le niveau de filtrage du bruit ambiant (pour ceux qui ont un peu de mal avec l’effet bocal) soit à parler avec votre « OK Google » ou votre « Amazon Alexa » (je n’utilise pas ces trucs, donc je ne peux pas vous en dire plus).

Et pour ceux que ça intéresse, il possède un port mini-jack 2.5 pour le connecter à votre walkman (il faudra un adaptateur donc).

Par contre, ce qui pique un peu, c’est son prix. Le mien, je l’ai chopé en promo sur Amazon à 276 euros au lieu des 379 euros actuellement. Mais si vous vous décidez, attention, car les prix sont différents selon les coloris. Au moment de mon achat, c’était le bleu (pardon, le « Triple Midnight ») qui était soldé. Maintenant c’est cette couleur la plus chère… Il existe aussi en version argentée et en version noire.

Voilà pour mon modeste retour sur ce casque Bose QuietComfort 35 II. J’imagine qu’il y a mieux, plus cher, moins cher, ou que sais-je mais en ce qui me concerne, j’en suis très satisfait.

A la découverte de RimWorld

mardi 29 janvier 2019 à 22:09

Si vous me lisez depuis longtemps, vous savez que je joue très peu par manque de temps et d’intérêt. Les gens qui me connaissent un peu, savent que je n’ai que 2 jeux installés sur mes ordinateurs : Age of Empires 1 et Sim City 2000.

Des jeux assez anciens maintenant, mais auxquels je prends toujours plaisir à jouer.

Puis dernièrement, j’avais vraiment besoin de décompresser. Red Dead Redemption n’étant pas encore disponible sur PC (!!), je cherchais quelque chose de divertissant et pas trop prise de tête.

Puis en suivant les échanges de HowTommy et Sebsauvage (salut les gars), j’ai découvert RimWorld. Développée par le studio Ludeon, au Canada, cette œuvre est un jeu de gestion où vous devez assurer la survie de quelques colons venus de l’espace et malencontreusement crashés à la surface d’une planète plus ou moins hostile selon l’endroit choisi.

Je ne suis pas testeur de jeu, donc je vais vous en parler avec le coeur, mais je pense qu’il vaut le détour si vous aimez les jeux de gestion.

Au delà de l’univers à l’ambiance très « The 100 » pour ceux qui connaissent la série, le truc formidable avec RimWorld, c’est le degré de détails dans l’histoire de vos parties.

En effet, au-delà de sélectionner l’IA qui vous lancera de nombreux défis (comprenez « catastrophes » inopinées), et le site d’atterrissage, vous allez devoir aussi choisir vos colons.

Et ils ont tous une histoire personnelle, une enfance, des capacités, des blessures et des liens amicaux ou familiaux. Et cela va assurément influer sur votre jeu. Ce souci du détail se retrouve ensuite dans l’exécution du jeu lui-même ou chacun devra accomplir son travail (extraire de la roche, chasser, cultiver, nettoyer, soigner, couper du bois, préparer la bouffe, coudre de nouveaux vêtements, construire différents objets ou structures et j’en passe) pour survivre.

Et vous, le joueur, vous allez devoir guider vos colons du mieux que vous le pourrez en prenez en compte leurs forces et surtout leurs faiblesses qui si vous n’y prêtez pas attention pourra rapidement couter la vie à toute votre colonie.

Par exemple, il n’est pas rare que suite à la mort dans d’atroces souffrances de son animal domestique, attaqué par une panthère, le petit Jezack de tape un coup de démence, saccageant tout dans la maison. A vous de faire attention à ce que vos personnages puissent dormir correctement, aient du temps pour jouer, se reposer, et évoluent dans un environnement agréable fait d’œuvres d’art, de tapis en poil d’Alpaga, de parquets en bois et j’en passe. Chaque détail compte et la situation peut se retourner très vite en votre défaveur…

Un ennemi peut attaquer l’un de vos colons et même si vous arrivez à le secourir, il est possible qu’il décède d’une infection. Que ferez-vous alors ? Prélever ses organes, l’enterrer ou le mettre au frigo pour le consommer plus tard ?

Eh oui, car au-delà des constructions, de la production, du travail et du mobilier, vous devrez aussi pensez à gérer l’énergie électrique, le chauffage, mais aussi les loisirs de vos pauvres colons affamés et épuisés.

C’est un jeu complexe, sans repère vous assurant la victoire et d’une étendue narrative sans commune mesure. Je suis un total noob à RimWorld, car j’ai découvert le jeu il y a 10 jours environ, et je ne m’en lasse pas. Il n’y a pas beaucoup de littérature structurée sur ce jeu sorti en beta en 2013 et en version 1.0 à la fin 2018 à part un wiki très fourni. Toutefois, on trouve pas mal de petits articles d’astuces et de vidéos YouTube pour guider les débutants comme moi.

Pour le moment, je joue uniquement avec une IA cool, sur un mode « Atterissage forcé » (3 colons et des vivres) et en mode Engagement uniquement (pas de sauvegardes multiples). Et j’en chie. Mais c’est hyper plaisant.

Le mode « Brutalité Nue » vous propulse seul et à poil sur la planète et vous n’avez pour ainsi dire que vos mains et pas de couteau pour survivre et créer une colonie de toute pièce. C’est chaud !

Même si je n’ai pas encore creusé cette partie, sachez que RimWorld supporte aussi des mods qui permettent d’ajouter des fonctionnalités dans le jeu.

Je suis loin d’avoir encore exploré tout cet univers (est-ce possible d’ailleurs ?), mais tous les détails ont leur importance, qu’ils soient physiques ou psychologiques. Et même si cela ne semble pas avoir de fin, l’objectif est d’évoluer suffisamment pour se construire un vaisseau spatial et quitter cette planète…

Je vous rassure, pour le moment, je n’y suis pas encore arrivé.

Voilà pour une première introduction à ce jeu qui coute la modique somme de 35$ (dispo aussi sur Steam) pour des heures de fun en perspective.

Et si vous aimez ce jeu, je serai ravi de lire vos astuces dans les commentaires.

PenguinProxy – Un service de VPN communautaire, gratuit et anonyme

mardi 29 janvier 2019 à 16:33

Si vous cherchez un petit VPN pour un besoin ponctuel, pourquoi ne pas tester Penguin Proxy ?

Ce service de VPN anonyme et gratuit fonctionne sur un principe communautaire. Vos requêtes sont transmises au travers du logiciel Penguin Proxy aux serveurs du service, puis sont relayées aux clients PenguinProxy des autres utilisateurs. Cela permet de masquer son identité et de malmener le tracking publicitaire lors de vos séances de surf.

C’est un mix en un service VPN et un réseau p2p (très éloigné de Tor mais c’est l’idée), mais en beaucoup plus limité.

Évidemment, en utilisant PenguinProxy, votre machine aussi servira de relai pour les requêtes des autres utilisateurs. Évitez donc de l’utiliser sur des connexions dont la donnée est limitée et surtout connectez-vous uniquement en HTTPS aux sites que vous visitez. HTTPS Everywhere est votre ami.

PenguinProxy supporte uniquement le HTTP/S. Exit donc les autres protocoles comme Bittorrent, SMTP, SOCKS et j’en passe. C’est conçu uniquement pour le surf de base.

À vous ensuite de configurer votre navigateur pour qu’il utilise ce PenguinProxy. Vous pouvez le faire manuellement ou installer ces extensions pour Google Chrome et Firefox.

Ça ne remplacera pas une véritable connexion Tor, ou un accès VPN solide et il convient de prendre ses précautions pour éviter qu’un des relais ne puisse récupérer le contenu de votre surf (d’où la nécessité de rester en HTTPS), mais ça permet de dépanner lorsqu’on souhaite anonymiser un peu son surf.

Vous pouvez télécharger PenguinProxy ici pour Windows, Mac, Linux, Android et iOS.

Une faille dans Facetime permet d’entendre et de voir son correspondant avant qu’il ne décroche

mardi 29 janvier 2019 à 10:31

Des chercheurs en sécurité viennent de découvrir un bug dans l’application de messagerie vidéo Facetime d’Apple, permettant de voir et d’entendre quelqu’un que vous appelez, avant même que celui-ci ne décroche.

Voici une vidéo démo réalisée par Buzzfeed.

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Apple a dégradé le service lié aux appels de groupe Facetime le temps de proposer un correctif, mais voici comment cela fonctionne.

Il faut lancer un appel vidéo Facetime avec un contact enregistré dans votre iPhone et pendant que ça compose, swiper vers le haut et appuyez sur « Ajouter une personne ».

Ajoutez ensuite votre propre numéro de téléphone et cela aura pour effet de démarrer un appel de groupe Facetime qui vous inclura, et vous permettra d’entendre et de voir la tierce personne, même si elle n’a pas accepté l’appel.

Bien vicieux 🙂

En attendant qu’Apple corrige le problème, il est donc recommandé de désactiver Facetime sur vos appareils.

Et arrêtez de m’appeler pendant que je suis sous la douche, ça commence à me saouler.

Source

L’extension Chrome qui débusque les harceleurs et agresseurs sexuels. #MeToo

lundi 28 janvier 2019 à 15:03

Uncover Harassers est une extension Chrome qui surligne en rouge dans toutes les pages web que vous consultez, les noms des personnalités (Américaines pour la plupart, mais aussi indiennes et Pakistanaises) accusées d’agressions sexuelles.

Ce n’est pas très scientifique, car si j’ai bien capté, ce sont les gens « accusés » et non pas « reconnus coupables », donc si vous tombez sur des noms en rouge, pensez bien à creuser un peu plus le sujet avant. Et certains comme Woody échappent encore au stabilo rouge.

Ce genre d’initiative en soutien aux mouvements #MeToo, #BalanceTonPorc et j’en passe sont de très bonnes choses, n’en déplaise à certains. Cela permet d’éviter que l’amnésie générale ne s’installe. Et à mon sens, il n’y a qu’en l’ouvrant bien grand et bien fort, que les mentalités changeront en ce qui concerne le harcèlement, les inégalités et les violences.

Vous faites surement attention à ce que vous consommez, que ce soit du bio, du vegan, du « sans viande de cheval », du « pas fabriqué par des enfants », du « 25% moins de sucre »…etc., alors pourquoi ne pas aussi cibler les biens culturels « 100% sans agresseurs sexuels » ?

Pensez-y.