Quand on lance Textedit sous OSX, le nouveau fichier est automatiquement mis au format RTF. Pour repasser au format texte, il faut aller dans le menu "Format" -> "Convertir au format texte".

Pour les gens qui utilisent exclusivement le format texte, c'est vite relou. Alors, comment faire Albert ?

Et bien pour être directement au format texte lorsque vous créez un nouveau document, ouvrez un terminal et entrez la commande suivante :

defaults write com.apple.TextEdit RichText -int 0

Et si ça ne vous va pas, vous pouvez toujours rétro-pédaler avec la commande inverse :

defaults delete com.apple.TextEdit RichText

Ce n'est pas plus compliqué que ça !

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Cet article merveilleux et sans aucun égal intitulé : Mettre Textedit en mode texte par défaut ; a été publié sur Korben, le seul site qui t'aime plus fort que tes parents.

Si vous débutez en SQL (ou en SQLi, ahaha), voici un bon memento à télécharger et à mettre de côté (ou à imprimer) pour s'y référer en cas de trou de mémoire.

Cliquez pour voir en grand

Ça peut toujours servir.

Cet article merveilleux et sans aucun égal intitulé : Pense-bête SQL à télécharger ; a été publié sur Korben, le seul site qui t'aime plus fort que tes parents.

Si vous aimez mettre des emojis partout, voici une technique qui vous permettra d'en mettre encore plus, peu importe l'outil que vous utilisez sous Mac, et cela sans passer par l'outil d'insertion de caractères spéciaux.

Pour cela, il faut télécharger le fichier .plist qui se trouve ici, puis le glisser / déposer dans Paramètre Système -> Clavier -> Texte.

Cela aura pour effet d'ajouter des tas d'entrées de remplacement comme celle-ci :

A vous ensuite de les mémoriser et de taper par exemple :smiley: pour afficher un petit simley ou :shit: pour afficher Mr Hankey.

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Cet article merveilleux et sans aucun égal intitulé : Pour mettre des emojis partout sous Mac ; a été publié sur Korben, le seul site qui t'aime plus fort que tes parents.

Vous connaissez sans doute l'outil en ligne de commande Rsync qui permet de synchroniser à distance des répertoires, mais connaissez vous Rclone ?

Et bien c'est tout pareil sauf que ça sait se connecter aux services de cloud suivants :

• Google Drive
• Amazon S3
• Openstack Swift / Rackspace cloud files / Memset Memstore
• Dropbox
• Google Cloud Storage
• Amazon Cloud Drive
• Microsoft One Drive
• Hubic
• Backblaze B2
• Yandex Disk
• Le système de fichier local

Les hash des fichiers sont contrôlés lors des transferts, les timestamps sont conservés et il est possible de faire des synchronisations partielles. La synchronisation peut se faire dans les 2 sens ou dans un seul et il est même possible de synchroniser 2 services de cloud ensemble.

Bref, que du bon. Ça peut vous permettre d'intégrer des services de cloud dans votre politique de sauvegarde ou tout simplement synchroniser des choses entre 2 services de cloud pour être certain de ne pas mettre tous vos oeufs dans le même panier.

Mon seul regret, c'est que l'outil ne propose pas de chiffrement natif. Bref, gaffe à ce que vous mettez sur le cloud, car après vous n'en êtes plus le proprio.

Rclone est sous licence MIT et dispo pour Linux, Windows, FreeBSD, NetBSD, Solaris, Plan 9, OpenBSD et OSX.

Rclone est téléchargeable ici.

Cet article merveilleux et sans aucun égal intitulé : Rclone – Comme Rsync mais pour le cloud (Dropbox, Amazon S3, Google Drive, Hubic, Backblaze…etc) ; a été publié sur Korben, le seul site qui t'aime plus fort que tes parents.

PGP c'est le pied quand il s'agit de chiffrement. Mais ce n'est pas forcement simple à prendre en main par tout le monde. Moi je l'utilise couplé avec mon client mail (Thunderbird / Postbox) et le plugin Enigmail et ça se passe super. Mais pour ceux qui veulent s'initier au chiffrement avec PGP sans faire trop compliqué, voici une nouvelle application open source.

Nommée Felony, cette application développée à base d'Electron, de React et de Redux, est suffisamment ergonomique pour ne pas nécessiter de tuto ou d'explications à rallonge. En lançant l'application pour la première fois, vous devez vous créer une clé puis vous pouvez ajouter les clés de vos contacts et enfin rédiger des messages qui seront chiffrés.

À vous ensuite de copier-coller ce message dans un mail, un tweet, un skype (ou autre) pour que votre correspondant puisse le lire.

C'est la base mais c'est vraiment bien fait. Si vous avez déjà une clé existante et que vous voulez l'importer dans Felony, ce n'est pas possible via l'interface pour le moment. Mais si vous allez fouiller un peu dans le fichier de config felony.json, vous pourrez l'ajouter manuellement et utiliser votre clé privée de tous les jours avec Felony.

Bref, encore un bon moyen de commencer à chiffrer ses communications en toute simplicité.

Vous pouvez télécharger Felony pour Linux, OSX et Windows ici.

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