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Korben

source: Korben

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DiskCopy – Pour clonez vos disques et partitions

dimanche 5 mars 2023 à 09:00

Et yooooo ! Aujourd’hui, je vais vous parler d’un logiciel incroyablement cool appelé DiskCopy. Si vous êtes un bon geek comme moi, vous allez adorer.

DiskCopy est un outil de clonage de disque/partition moche mais idéal pour migrer vos données vers un stockage plus rapide ou tout simplement pour faire de la sauvegarde de données.

Il a des fonctionnalités vraiment cool comme :

Notez que l’outil est encore en phase de bêta donc sauvegardez bien vos données avant toute manipulation périlleuse.

A découvrir ici !

Sauvegardez vos vidéos et clips avec Twitch Downloader

samedi 4 mars 2023 à 09:00

Si vous êtes amateur de Twitch, vous savez qu’on peut y vivre pleins de moments épiques qui parfois méritent d’être conservés pour pouvoir les regarder à nouveau plus tard ou les partager sur les réseaux.

C’est là que Twitch Downloader peut vous rendre service !

Twitch Downloader est un outil très facile à utiliser qui vous permet en un clic de télécharger les VOD et les clips de Twitch mais également de télécharger sous la forme d’une vidéo, les « chats » de ces vidéos.

Avec son interface graphique pour Windows, vous pouvez rapidement télécharger plusieurs vidéos et clips en même temps et même créer une liste de tâches à lancer dans une file d’attente. Il prend également en charge les thèmes ( clairs et sombres) ainsi que la possibilité de créer les vôtres.

Le logiciel est également disponible en ligne de commande pour les utilisateurs de Linux et MacOS. Avec la ligne de commande, il est possible d’automatiser le processus de téléchargement et de traitement vidéo en utilisant des scripts externes par exemple. Et ça c’est très cool !

Pour commencer à utiliser Twitch Downloader, rendez-vous sur la page des téléchargements de Github et récupérez la dernière version pour votre système d’exploitation. Vous devrez également installer FFmpeg pour le traitement vidéo.

Que vous soyez un streamer qui veut enregistrer automatiquement ses émissions ou un spectateur qui veut garder les moments précieux, Twitch Downloader peut vous aider à le faire rapidement et facilement.

A télécharger ici.

Découverte de Bravery & Greed

vendredi 3 mars 2023 à 12:58

— Article rédigé par l’ami Remouk (DansTonChat) – Merci à lui —

Par la force de la sérendipité, je suis tombé sur Bravery & Greed, le premier jeu de Rekka Games, et il a fortement attisé ma curiosité car il coche pas mal de cases chères à mon cœur de gamer : baston/plateforme, coop jusqu’à 4 joueurs, pixel art, animations stylées… Oh et puis c’est français ! 🐓 Cocorico !

En effet, Théo et Ivann se sont rencontrés à Angoulême lors de leurs études dans le jeu vidéo, via l’Enjmin. À la sortie de l’école ils décident de bosser ensemble sur ce qui deviendra Bravery & Greed, et 7 ans plus tard le jeu est édité par Team 17 (en savoir plus). 👏😎

Comme expliqué rapidement en introduction, il s’agit d’un mélange de baston 2D et de dungeon crawler à la sauce roguelite : on tabasse plein de monstres dans des couloirs sombres et inquiétants, à la recherche d’artefacts pour améliorer son personnage, dans le but de terrasser les différents boss de fin de niveau. Et si on meurt, on recommence tout !

Le mélange est super réussi, franchement, une excellente prise en main, de bonnes sensations, des labyrinthes générés aléatoirement mais qui appellent à l’exploration, avec quelques surprises, pas mal de builds possibles, ainsi que des cartes de tarot à débloquer qui permettront de varier les règles du jeu entre chaque partie, ce qui assure une bonne durée de vie, une bonne rejouabilité.

En plus il est possible d’y jouer avec ses potes, en local, en ligne ou même un mélange des deux ! Bref, c’est tout ce que j’aime, ça me rappelle ce bon vieux Gauntlet mais vu de côté, avec des graphismes en pixel art mais “modernes”. Si vous aimez le genre, foncez ! Le jeu est dispo sur toutes les plateformes (Steam, Nintendo Switch, Playstation, Xbox) et y a même une démo gratos avec du online et tout.

Pour conclure, si vous vous rappelez de ce que j’écrivais en introduction (ah bah oui, faut suivre 😁), les développeurs sont français, j’en ai donc profité pour leur poser quelques questions, auxquelles Ivann a eu la gentillesse de répondre. 🤓 C’est parti :

Le jeu peut sembler difficile, surtout quand on arrive face à son premier boss ahah. 😄 Aurais-tu 2-3 conseils à donner aux débutants ?

Comme tout bon roguelite, le jeu va en effet mettre ton skill à l’épreuve. De ce que j’ai constaté, il faut en moyenne 5 heures pour avoir un premier run victorieux, donc il ne faut pas se décourager, ça va venir. Je dirais que l’art de la roulade est essentiel, et Frostfang, un des boss du premier donjon est clairement un test de roulade (avec un pelage soyeux). 😄

Il ne faut pas hésiter à lire les conseils qu’on peut trouver dans le log, et faire le tuto de classe pour bien maîtriser son personnage. Ne pas oublier d’utiliser le bouclier avec le Guerrier par exemple, ou la furtivité avec le Voleur (avant d’entrer dans une salle afin de s’occuper des cibles prioritaires ou d’esquiver les projectiles). Pour l’Amazone, lancer le Chakram rapidement avant d’engager en mêlée, cela interrompra les ennemis avant de les tailler en carpaccio. Le Magicien peut sembler intimidant, mais il faut voir son invocation comme un mur de PV gratuits entre toi et les adversaires, et il est préférable de le désinvoquer et le réinvoquer plutôt que le repositionner finement.

Enfin, je dirais qu’il faut parfois se retenir de foncer dans le tas, se placer loin de la mêlée, gérer les groupes de monstres, et savoir souffler pour récupérer son endurance.

Quel est ton personnage et ton build préféré ?

Je dois avouer avoir une certaine affinité pour le Voleur, car sa furtivité en fait un excellent Rez en multi, et c’est assez satisfaisant d’arriver à relever tous ses camarades lors d’un boss fight qui semblait désespéré et d’arriver à changer l’issue du combat. Le build Voleur/Life avec flèches à tête chercheuses est un build assez satisfaisant à jouer et ça permet de faire de bons DPS en soutien au front, surtout avec de bons équipements qui bénéficient de la multitude de flèches.

Tu as planché sur la partie graphique du jeu, qui mélange sprites 2D (The Lost Vikings fait partie des inspirations, non ?) et décors en 3D, avec de jolis effets visuels modernes : quel était le plus gros challenge pour obtenir ce résultat ?

Bien vu pour la touche Lost Vikings, cela fait partie de certaines des influences en effet, à côté de Metal Slug, ou encore des sprites de Paul Robertson (Scott Pilgrim, Mercenary Kings, l’épisode pixel de Rick & Morty). Je me permets une petite précision technique : les décors ne sont en fait pas en 3D, mais des éléments en pixel art 2D dans une véritable scène 3D, qui sont redimensionnés pour rester pixel perfect et compenser la perspective de la caméra, ce qui fait que notre parallaxe n’est pas simulé mais est en fait la perspective de la caméra. J’espère ne pas avoir perdu tous les lecteurs après cette explication indigeste…

Concernant l’éclairage, tous nos sprites possèdent ce qu’on appelle des normal maps : des textures qui simulent leur relief. C’est pour cela que l’éclairage semble vraiment respecter la forme des objets, ce qui n’est habituellement pas le cas pour les jeux en 2D. Dès le début du dev, nous nous posions des questions sur comment obtenir cet effet, et nous sommes tombés sur un outil s’appelant Sprite D-Light qui allait faire son Kickstarter, et après avoir contacté le dev qui était fan de notre pixel art, nous avons même été mis en avant dans sa campagne de financement !

Enfin, nous avons aussi utilisé un peu de post processing pour obtenir le rendu final, avec une correction de la colorimétrie, et quelques effets (une légère profondeur de champ ainsi qu’un peu de bloom). Je pense t’avoir donné là tous les éléments du rendu visuel du jeu.

Travailler avec Team17 et sortir son jeu sur consoles, c’est un rêve pour beaucoup de gens : comment est-ce que c’est arrivé ? Quelle était leur implication dans le projet ?

En effet j’ai grandi avec les Worms, et lorsque Debbie Bestwick, CEO de Team17 à l’époque, est venue me parler directement sur Facebook, je me suis un peu frotté les yeux. À la base, nous étions en train de poster régulièrement sur les réseaux sociaux, afin de bâtir une petite communauté et aussi pour avoir des retours. En ce qui nous concerne, nous ne sommes pas allé trouver un éditeur, c’est donc lui (enfin elle) qui nous a trouvés. De là sont partie des négociations puis la signature d’un contrat en 2018.

Team 17 nous ont vraiment aidé à pousser le jeu au maximum, grâce notamment à leur excellent département de QA (Quality Assurance), d’UX (User eXperience) qui nous ont permis d’avoir du feedback très intéressant et d’améliorer énormément de features du jeu. Ils se sont également occupés des portages sur consoles, et ont assuré la promotion du jeu. Sans un bon éditeur, c’est extrêmement difficile de tirer son épingle du jeu en tant qu’indépendant, surtout pour sa première sortie.

Sur Steam, la démo jouable propose carrément le jeu en ligne, c’est assez rare de nos jours… Bref, c’est pas vraiment une question, mais c’est cool de l’avoir fait !

On est plutôt old school, et en ce qui me concerne, j’ai grandi à l’époque des shareware sur PC, à jouer à DOOM premier du nom et consorts. Je sais que Steam propose une politique de remboursement assez généreuse (2h de jeu ou 15 jours après l’achat max), mais c’est quand même autre chose de pouvoir tester un jeu immédiatement et voir si la magie s’opère ou pas, sans sortir la CB. Le multi online était en effet une question importante, on se demandait si cela ne nuirait pas aux ventes de la version complète du jeu, et au final, c’était une bonne décision. Il est important que les joueurs puissent expérimenter toutes les features, même si le contenu est limité. Je pense que plus de développeurs devraient faire de même.

Quel est l’avenir pour le jeu, et pour vous l’équipe ? Des mises à jours ? Une suite ? Autre chose de complètement différent ? 🙂

Pour le moment, nous finissons de travailler sur Bravery and Greed, et nous avons déjà rajouté un boss optionnel, et un autre dans les fourneaux, afin de produire du contenu et remercier notre communauté de joueurs. Nous aimerions faire davantage, mais cela dépendra du succès à moyen/long terme du jeu, car les mises à jour doivent être portées sur consoles, et cela peut s’avérer relativement coûteux. Je tiens d’ailleurs à te remercier de m’avoir contacté pour parler du jeu et lui donner un peu plus de visibilité, ça fait vraiment plaisir, et je pense que notre jeu gagne à être connu : le monde a besoin de plus de roguelites en coop. 😊

Concernant de futurs projets, je t’avoue qu’après avoir bossé aussi longtemps dessus, il va nous falloir réfléchir à la suite ensemble et trouver notre inspiration. Autant dire que cela a été le marathon de notre vie jusqu’à présent, on souffle un petit peu avant de remettre le pied à l’étrier !

Achetez Bravery & Greed sur SteamNintendo SwitchPlaystationXbox

Des tonnes de Colab Stable Diffusion pour générer des images originales avec l’IA

vendredi 3 mars 2023 à 09:00

Si vous jouez un peu avec l’IA, vous savez qu’on peut trouver des trésors sur le site de Hugging Face mais également sur Google Colab.

Cela permet de s’amuser en générant des images (sans censure) sans avoir besoin d’une machine puissante et sans avoir besoin d’installer des tas de packages Python sur sa propre machine.

Seulement, faudrait encore savoir où chercher.

Et bien ça tombe bien puisqu’il existe un dépôt Github qui permet de faire des images générées par IA dans des styles absolument dingues à partir de modèles spécialisés. J’ai d’ailleurs réalisé une vidéo qui traite de ce sujet, pour mes soutiens Patreon.

Baptisé stable-diffusion-webui-colab, ce dépôt Github rassemble les fichiers ipynb à importer dans Colab pour générer des images dans des tonnes de styles différents. Après si vous n’êtes pas à l’aise avec l’import d’ipynb, vous pouvez également consulter les liens du readme du dépôt pour accéder directement à des colabs tiers ou des pages Huggin Face qui vous permettront d’obtenir le même résultat.

En lançant un Colab, vous aurez alors une interface web pour Stable Diffusion avec le modèle que vous voulez importé, et vous n’aurez plus qu’à lui proposer des prompts de fou. Pensez à bien changer de branche (v2) sur le Github pour avoir les dernières nouveautés.

Pour vous expliquer un peu le principe, c’est très simple. Une fois sur le Colab, vous le lancez en cliquant sur le bouton lecture… Ici, j’utilise un modèle spécial pour générer des Comics.

Ca va charger plein de trucs, puis vous verrez une URL apparaitre… Cliquez dessus…

Vous arriverez alors sur l’interface web et vous pourrez y mettre un prompt puis cliquer sur le bouton Generate. Et voilà, une image au look Comic Book.

À partir de là, vous pouvez faire plein de trucs artistiques ou ultras réalistes selon le modèle que vous choisissez. Et pas de censure sur les images générées puisqu’il s’agit de Stable Diffusion derrière.

Bref, vous avez de quoi vous amuser un petit moment. Attention, c’est très chronophage.

Je vous encourage également à jeter un oeil à ses autres dépôts, il y a notamment des projets colabs permettant de faire bouger les lèvres d’une personne en vidéo ou en photo pour lui faire dire ce qu’on veut.

Comment évoluer d’un profil de développeur à celui de tech lead ?

jeudi 2 mars 2023 à 11:41

Devenir tech Lead

— Article en partenariat avec talent.io

Il y a quelques semaines, je vous ai proposé un article sur comment effectuer une transition professionnelle vers le métier de responsable du produit (devenir product manager). Et comme cela a semblé vous plaire, j’enchaine aujourd’hui avec un billet sur une autre transition : passer d’un profil développeur à celui de tech lead (ou lead développeur).

Si c’est quelque chose qui vous intéresse, il faut déjà commencer par se dire que cela ne veut pas dire « quitter le code » totalement pour passer à autre chose. Si votre temps de code va diminuer de 30, 40 ou 50%, il y en aura toujours. Il faut aussi arrêter de penser que seul le meilleur dev d’une équipe (ou celui qui a le plus d’ancienneté) peut avoir la place. 

Un tech lead doit savoir gérer un ensemble de responsabilités, pas uniquement techniques, et aimer l’échange. Surtout que le job est assez flexible, la délimitation des tâches étant souvent fonction de la société dans laquelle vous travaillez. Mais on va voir tout ça ensemble, pas de panique 😉

Un tech lead ça fait quoi ?

Sur le papier son rôle est simple puisqu’il va devoir s’assurer de la bonne avancée des projets au niveau de l’équipe technique. Au quotidien il va donc suivre le projet, faire de l’organisation et définir un planning, trouver des solutions lorsque ça coince et communiquer avec tous les intervenants pour que le projet avance selon les délais.

Vous voyez donc maintenant pourquoi un pur développeur barbu antisocial va avoir un peu de mal la plupart du temps, aussi doué soit-il techniquement. L’expertise ne suffit pas, il faut aussi savoir coacher et former son équipe, être à l’écoute, motiver les troupes, repérer les comportements et actions anti-constructives. Ainsi qu’être bon en communication (interne comme externe si le projet se greffe à une stratégie plus globale) et savoir prendre ses responsabilités lorsqu’un choix qui n’a pas fait l’unanimité doit être appliqué. Tech lead c’est un combo de connaissances techniques et de sensibilité managériale. Il faudra accepter d’être interrompu régulièrement dans vos propres tâches, car c’est vers vous que tout le monde va se tourner dés qu’il y aura des questions.

J’aime bien l’illustration présentée par talent sur son site (via Culture Code – OCTO Technology) et qui liste un peu les savoir-faire indispensables, utiles ou superflus (voir les choses à éviter carrément, comme de vouloir tout faire par soi-même).

La majorité de votre temps va se passer entre coder (vous savez déjà de quoi il retourne si vous bossez comme dev), communiquer, former et prendre des décisions en concertation avec les autres intervenants. Mais encore une fois, la part de chacune de ces activités va dépendre de l’environnement dans lequel vous évoluerez. En termes de pourcentage de travail, une répartition 40/20/20/20 ou un 20/30/20/30 sur ces 4 pôles ce n’est pas vraiment la même chose. Donc si c’est vers ce job que vous voulez aller, n’hésitez pas à poser des questions et à vous renseigner afin de voir comment cela se présente précisément là où vous postulez. 

En temps que tech lead vous pourrez aussi être amené à représenter la branche technique auprès des autres départements. Pour revenir aux responsables produits (dont je parlais en début d’article), ils risquent de vous consulter pour savoir ce qu’il est possible de réaliser et dans quel délai.

Alors en tant que dev, quelles sont les raisons principales de quitter son job pour devenir tech lead ?

Comme on vient de le voir, il y a un tas de raisons qui pourraient donner envie de passer du statut de développeur à celui de tech lead : améliorer le relationnel et la fluidité au sein de la team et/ou avec les autres services de l’entreprise, intervenir plus tôt dans le processus de création du produit, endosser plus de responsabilités, créer un environnement de travail plus efficace, etc.

Cela commence à te peser d’être solo dans ton coin, seul avec tes pensées et tes mains dans le cambouis à longueur de journée ? Envie de brainstormer en équipe et de mettre en place des stratégies gagnantes ? Alors ce sera peut-être un taf fait pour toi.

Je fais un petit aparté du point de vue de l’entreprise. Si vous n’avez pas de tech lead, cela pourrait être intéressant de créer la position. Surtout pour des missions longues ou pour des équipes d’une certaine ampleur. Disposez de ce genre de profil va apporter de nombreux bénéfices : moins d’hésitations dans les choix et la priorisation des composants, communication et coordination améliorée, mentoring des nouveaux venus, distribution de l’information plus efficace, amélioration des processus …

Mais du coup comment faire pour tenter l’aventure ?

Déjà la base ce sera de faire connaitre votre motivation. Attendre que l’on vous propose le job et rester dans votre coin ne sera pas suffisant, même si vous êtes très doué. Soyez curieux, participez aux discussions techniques, proposez des solutions … mettez-vous dans la peau d’un décideur en essayant de comprendre les points de vues de chacun, etc.

Bref faites « comme si », ça vous permettra de vous imaginer dans la peau d’un tech lead et voir si ça vous parait jouable ou si, au contraire, il y a des aspects avec lesquels vous ne vous sentez pas à l’aise et que vous devez travailler. Un tech lead c’est une sorte de couteau suisse, donc n’hésitez pas à renforcer vos points faibles pour avoir une bonne base partout. Ce sera autant de points à faire valoir auprès d’un employeur. Enfin, soyez patient, car il vous faut emmagasiner de l’expérience et elle ne viendra qu’avec le temps.

Cet article a été rédigé en partenariat avec talent.io. Ils ont eux-même rédigé un article sur le sujet que vous pouvez lire ici : https://www.talent.io/p/fr-articles/quest-ce-quun-tech-lead

Si le genre de sujet carrière abordé aujourd’hui vous intéresse, je vous invite à rejoindre le talent club – la communauté tech qu’ils ont créée – pour recevoir des conseils sur la gestion de carrière tech toutes les 2 semaines. Le gros avantage, c’est qu’ils invitent des experts de boites comme Deezer, Google, ou encore Datadog à participer aux articles, ce qui les rend d’autant plus intéressants. 

Vous pourrez aussi poser anonymement vos questions carrière à la communauté (plus de 70 000 membres) pour obtenir les meilleurs conseils, et avoir accès à du contenu exclusif comme des études des salaires dans la tech en Europe. 

(Et c’est gratuit)

Rejoignez la communauté talent club en suivant ce lien

Il n’y a pas vraiment d’études ou de formations pour devenir tech lead. Il faudra donc être capable de vous éduquer sur les différentes aptitudes par vous-mêmes. Non seulement via l’expérience sur le terrain bien entendu, mais aussi grâce à votre curiosité et vos échanges sur le lieu de travail. Et ne lésinez pas sur les lectures (il existe de nombreux livres sur le sujet) ou en dénichant un mentor qui pourra vous guider.

Je ferai la même analogie que pour le product manager (parce que j’en suis fier, si si) : passer de développeur à tech lead, c’est comme passer d’un sport en solitaire, à un sport d’équipe. Finit le temps ou vous étiez cantonné dans votre coin, bonjour le relationnel et les échanges quotidiens avec les différents intervenants.

Et si vous voulez recevoir des offres de job + salaire sur mesure, ça se passe directement sur talent.io. Vous pourriez aussi être intéressé par leur étude des salaires de la tech en 2022, cela vous aidera à situer un peu mieux les choses.