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Si vous écoutez des artistes anglophones ou francophones, vous vous privez certainement de beaucoup d’autres groupes et artistes qui ne chantent ni en anglais ni en français.

Par exemple, les Japonais !

Mais pas facile de savoir quel artiste japonais écouter quand on n’y connaît rien en artistes japonais. Et si comme moi, vous n’avez pas d’amis, et encore moins des amis japonais, et bien le mieux c’est encore d’aller sur le site Japanify qui vous permettra de découvrir l’artiste / le groupe nippon correspondant le mieux à vos goûts musicaux.

Par exemple pour moi, ça a donné ça :

Et franchement, du peu que j’en ai écouté, c’est sympa, j’aime bien.

Bref, un bon moyen de s’ouvrir à une nouvelle culture musicale sans exploser votre zone de confort à coup de claquettes.

Salut les amis,

Alors comment se passe votre doux mois de décembre ? Noël approche et pendant que certains boycottent Amazon, que d’autres se font frapper par les gardiens de la paix et inversement, que d’autres encore tirent à la courte paille pour savoir qui seront leurs 6 invités pour la dinde, en ce qui me concerne je streame, je bosse, je dors, je streame, je bosse, je dors, je streame….

J’ai quand même fait quelques cartons pour mon déménagement à venir, mais un peu trop en avance puisque je galère déjà en mode « Merde, j’ai besoin de ce câble, dans quel carton est-ce que je l’ai fourré ?« .

Ce week-end, j’ai dévoré The Queen’s Gambit sur Netflix que je vous recommande fort fort fort, et également, le nouvel Arabe du Futur de Riad Sattouf, égal à lui-même en termes de qualité soyeuse de l’ouvrage.

Bref, que du bon. J’ai même attrapé une souris vivante et j’ai tout streamé sur Twitch, c’était fou ! Les nouvelles aventures de Fievel en Auvergne ! (Oui je l’ai relâchée).

Voilà pour les news ! Pensez bien à vous réunir très nombreux à Noël et à faire un max de cluster COVID, comme ça, le 15 janvier, ce sera le grand retour en confinement charentaises-Netflix-chomdu pour bien se remettre des fêtes de fin d’année ! Bah quoi ?

Allez tchuss !

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Le respect de l’orthographe et de la grammaire française s’est perdu en chemin, mais cela ne doit pas empêcher les gens de s’exprimer en ligne. Moi le premier, quand j’ai commencé, je faisais beaucoup de fautes, mais avec votre aide, au fur et à mesure, j’ai éliminé pas mal de mes tics de langage et d’erreurs que j’avais tendance à faire systématiquement. Puis comme j’avais la flemme de me relire, j’ai investi dans le correcteur orthographique Antidote qui carbure bien.

Mais si vous n’avez pas de budget et que vous voulez avoir un petit correcteur dans le navigateur qui fonctionne bien en version gratuite, voici LanguageTool pour Chrome et Firefox qui s’incruste dans tous les champs texte de votre navigateur pour vous faire une petite remontée d’erreurs en mode maitre Capelo fusion Grammar Nazi OKLM.

En version gratuite, vous aurez donc accès à de la correction basique dans la langue de votre choix et pour aller plus loin et profiter de LanguageTool en version avancée (correction plus poussée et support de Word), il faudra débourser 60 euros par an.

Cette extension offre également la possibilité d’être utilisée en version locale avec votre propre serveur LanguageTool. Il est également capable de détecter les « faux-amis » dans les langues étrangères dans lesquelles vous rédigez, sans oublier la possibilité d’avoir un dictionnaire personnel ainsi qu’une liste de blocage pour désactiver l’extension sur les sites de votre choix.

Vous pouvez télécharger LanguageTool en cliquant ici.

Merci à Pzeek pour l’info.

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Browsh est un navigateur moderne qui est capable d’interpréter du HTML5, CSS3, JS, de la vidéo et même du webGL. Sa principale raison d’être est de proposer un navigateur exécutable sur un serveur distant accessible via SSH ou un service via le navigateur du client.

L’objectif étant de réduire la bande passante et donc de gagner en vitesse et d’économiser quelques euros si vous êtes sur des connexions coûteuses ou avec du matériel dépassé.

Ça fonctionne à la fois au clavier, mais également avec votre souris et vous pouvez ouvrir plusieurs onglets sans aucun souci. Quelque part, ça transforme votre surf quotidien en expérience d’ASCII art plutôt jolie.

Browsh est installable sous Linux, et Mac et des binaires sont disponible pour Windows 10.

Pour Debian / Ubuntu :

wget https://github.com/browsh-org/browsh/releases/download/v1.6.4/browsh_1.6.4_linux_amd64.deb
sudo apt install ./browsh_1.6.4_linux_amd64.deb
rm ./browsh_1.6.4_linux_amd64.deb
browsh

Pour macOS :

brew tap browsh-org/homebrew-browsh
brew install browsh
browsh

Et vous pouvez également l’installer via Docker :

docker run --rm -it browsh/browsh

Et les sources sont dispo sur Github.

Surfez bien !

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Si vous récupérez parfois, par « hasard », des vidéos de votre oncle d’Amérique en version originale et que vous cherchez les sous-titres, pas de panique.

Grâce à Subloader, une application écrite en C# pour Windows, vous pourrez simplement en faisant un clic droit sur le fichier vidéo (.avi, .mkv et .mp4), récupérer la liste des sous-titres de votre vidéo à partir du célèbre site Opensubtitles.

L’outil est assez minimaliste. Vous pouvez simplement choisir les langues qui vous intéressent et basta. Pas de recherche manuelle, mais vous pouvez quand même préciser si vous voulez obtenir des résultats en fonction du hash de la vidéo et/ou du nom du fichier.

À utiliser à bon escient !

Ah! et pour rigoler :

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