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Comment toujours acheter au meilleur prix sur Amazon ?

mardi 15 novembre 2022 à 09:00

Les utilisateurs d’Amazon ont une astuce pour acheter les produits de leurs rêves au meilleur prix. L’astuce est connue et plutôt simple, puisqu’il vont sur les Amazon d’autres pays, comme Amazon DE (Allemagne) ou encore Amazon ES (Espagne).

Sauf qu’à la main, se balader sur tous les shop, ça peut prendre un peu de temps. Heureusement, voici une extension Chrome nommée Amazin’ Europe qui vous permet de comparer les prix d’un produit Amazon dans les shops Amazon présents en Europe.

Pour cela, il suffit de cliquer sur l’icône d’Amazon’ Europe pour obtenir une liste des prix du produit ciblé dans tous les magasins Amazon européens, en appliquant également les taux de change lorsque la monnaie du pays n’est pas l’euro.

Voici l’exemple d’une carte micro SD vendue 23,10 euros en France et disponible en Allemagne pour 15,99 euros.

Bref, super pratique pour éviter d’ouvrir des tonnes d’onglets à la recherche du meilleur tarif.

Exécuter du PHP serverless avec AWS Lambda

lundi 14 novembre 2022 à 15:14

— Article en partenariat avec talent.io

Aujourd’hui, les amis, on va faire un peu de serverless. Si vous ne connaissez pas le concept de Serverless, et bien ça va être vite résumé : C’est héberger des trucs directement dans le cloud (chez Amazon par exemple), sans avoir ni serveur dédié ni serveur virtualité.

Quand on est développeur, on peut vite rester bloqué sur les technologies qu’on connait par coeur. Toutefois, c’est dommage de ne pas continuer à découvrir de nouvelles pratiques ou technologies, car si demain. C’est important si vous souhaitez évoluer dans la carrière de vos rêves.

C’est d’ailleurs pour ça que le talent club a été crée. Il s’agit d’une communauté tech propulsée par talent.io qui donne accès à du contenu exclusif pour vous accompagner professionnellement. En vous inscrivant (c’est gratuit !!), vous recevrez tous les 15 jours des conseils d’expert(e)s de sociétés comme Google, Deezer, Sorabe…etc. directement dans votre boite mail. Les sujets partagés sont assez variés comme « Comment devenir VP of Engineering », « Comment passer du dev au produit », « Comment obtenir une augmentation », « quelles sont les choses à savoir quand on est le 1er dev d’une start-up », etc..

Au sein du talent club, vous aurez aussi accès aux études de salaires annuelles dans la tech réalisées par talent.io et à d’autres outils pour gérer votre carrière

Et bien sûr qui dit communauté, dit possibilité de poser des questions à l’ensemble des 40 000 inscrits, de manière anonyme. Je vous invite à rejoindre la communauté talent club en cliquant ici.

Revenons à notre code et prenons un bout de PHP. Pour le faire fonctionner, vous avez besoin de louer, configurer, et maintenir un serveur. Et évidemment si ce bout de code PHP reçoit beaucoup de trafic, vous devrez aussi augmenter le nombre de serveurs ou libérer des ressources…

Le serverless, ça permet d’éviter cela et donc de réduire les coûts opérationnels, aussi bien en termes d’hébergement, que de maintenance…etc. Et surtout, comme on se repose sur les infrastructures de géants comme Google, Microsoft ou Amazon, ça ne tombe *jamais* en panne et ça peut être scalable (mise à l’échelle pour absorber le trafic) très simplement.?

Ce qui est rigolo avec ce concept de serverless, c’est que vous pouvez y mettre toute votre application web par exemple ou simplement quelques fonctions critiques. Et c’est cela dont on va parler aujourd’hui.

En effet, je vais vous expliquer comme exécuter une simple fonction écrite en PHP dans le cloud Amazon, en utilisant leur serveur AWS Lambda.

Lambda permet d’exécuter du code pour n’importe quel type d’application ou service backend sans avoir à administrer un serveur et en payant uniquement le temps de calcul que vous utilisez. Quand le code n’est pas exécuté, vous n’êtes pas facturé.

De quoi a-t-on besoin ?

Vous allez avoir besoin d’un compte chez AWS pour accéder à Lambda. Nativement avec Lambda, vous pouvez créer des fonctions nodejs, python, go…etc. Mais pas PHP, en tout cas, pas avec les outils fournis au niveau de la console d’administration d’AWS Lambda

Donc pour contourner le souci, on va utiliser un framework Composer qui s’appelle Bref et qui permet de faire tourner du PHP en Serverless sans se prendre la tête. C’est top pour des jobs cron, des API ou des petits sites web dont les assets sont servis par Amazon S3. Par contre pour des applications complètes en PHP, ce sera un peu plus complexe.

On passe à l’installation

Première étape : Installer Composer sur votre machine.

brew install composer

Vous allez également avoir besoin de npm :

brew install npm

Ensuite, vous allez devoir installer le framework Serverless dont Bref a besoin pour fonctionner. Cela lui permet d’assurer la connexion avec AWS.

npm install -g serverless

Droits utilisateur AWS

Côté AWS, vous allez avoir besoin de clés d’accès. Ça se passe par ici. Allez dans la section « Utilisateurs » et ajoutez un utilisateur.

Vous obtiendrez alors un ID de clé d’accès et une clé d’accès secrète à bien sûr garder dans un lieu sûr comme son nom l’indique.

Concernant les droits à donner à votre utilisateur pour que tout se déroule correctement, voici ce que moi j’ai mis :

{
    "Version": "2012-10-17",
    "Statement": [
        {
            "Sid": "VisualEditor0",
            "Effect": "Allow",
            "Action": [
                "iam:*",
                "apigateway:*",
                "logs:*",
                "lambda:*",
                "cloudformation:*",
                "s3-object-lambda:*"
            ],
            "Resource": "*"
        }
    ]
}

Je pense qu’on peut affiner tout ça histoire de réduire la surface des permissions, mais ça, je vous laisse expérimenter de votre côté.

Vous allez ensuite lier votre accès AWS avec l’application serverless comme ceci. :

serverless config credentials --provider aws --key VOTRECLÉAWS --secret LESECRETAWS

Création de la fonction PHP

Pour créer notre fonction, on va lui faire un petit nid douillet comme ceci :

mkdir lambda
cd lambda

Puis on lance composer afin d’installer le framework Bref

composer require bref/bref

Après, il faudra initialiser le projet avec la commande suivante :

vendor/bin/bref init

Et là, on nous demande quel type de code lambda on souhaite créer. Par défaut, on sélectionne WebApplication.

Ainsi, Bref va créer un fichier index.php qui contiendra notre code et un fichier serverless.yml qui contient toutes les informations nécessaires au déploiement de la fonction PHP que je souhaite exécuter avec lambda.

Voici donc le contenu du fichier serverless.yml. On y retrouve la région AWS, le plugin utilisé…etc. :

service: app

provider:
    name: aws
    region: us-east-1
    runtime: provided.al2

plugins:
    - ./vendor/bref/bref

functions:
    api:
        handler: index.php
        description: ''
        timeout: 28 # in seconds (API Gateway has a timeout of 29 seconds)
        layers:
            - ${bref:layer.php-81-fpm}
        events:
            -   httpApi: '*'

# Exclude files from deployment
package:
    patterns:
        - '!node_modules/**'
        - '!tests/**'

Maintenant, le truc rigolo, ça va être de coder un petit truc qui sera renvoyé par notre fonction exécutée dans Lambda. Je n’avais pas trop d’idée donc je suis parti sur un générateur de numéros du loto. Attention, ce sont uniquement des numéros gagnants.

Ainsi, quand je lance le code dans mon terminal, j’obtiens ceci :

Et maintenant on déploie

Maintenant, la brique finale de ce tuto, ça va être de déployer mon code PHP dans Lambda. Pour cela, je lance simplement la commande :

serverless deploy

Vous rencontrerez peut-être quelques soucis si vous n’avez pas donné les autorisations suffisantes. Ne vous découragez pas et refaites un tour dans les autorisations AWS données à votre utilisateur.

Comme vous pouvez le voir sur la capture, une URL est alors disponible. Et si je m’y rends, j’aurais des numéros du loto tout frais.

Et voilà comment on exécute un bout de code PHP en serverless chez Amazon. Bon, évidemment, là je renvoie une simple chaine de caractères, mais vous pouvez comme ça faire carrément une API.

J’espère que ça vous aura plu. N’oubliez pas, si vous souhaitez rejoindre une grande et belle communauté de développeurs comme vous, et recevoir des conseils pour évoluer dans votre carrière de développeur / informaticien, le talent club peut vous y aider (et c’est gratuit !).

Comment diffuser la musique d’un live Youtube (Chillhop) dans OBS ?

lundi 14 novembre 2022 à 09:00

En tant que streamer professionnel sur Twitch depuis plusieurs années, j’ai développé au fil du temps des compétences et une audience qui me permet de bosser en live les lundis, mardi et jeudi après-midi.

Évidemment, moi qui discute avec les gens dans le chat, c’est cool. Mais avec un petit fond sonore, c’est mieux !

Mais on ne peut pas diffuser n’importe quelle musique sur Twitch car sinon, ces derniers coupent le son pour des questions de droits d’auteur.

Je suis donc passé par le site Chillhop qui propose des morceaux Lo-Fi / Chill parfaits pour faire un fond sonore sympa dans mon stream. Pour intégrer leur musique, j’avais alors 2 possibilités : Streamer leur playlist via Spotify ou streamer leur live YouTube, directement depuis OBS.

Spotify, je m’en sers pour écouter ma musique copyrightée toute la journée donc je ne pouvais pas le dédier à ça. J’ai donc créé une source browser chargeant une page HTML de mon cru permettant de jouer la playlist Chillhop en auto play.

C’était cool et ça fonctionnait bien. Jusqu’au jour où Chillhop (ou YouTube) a bloqué l’autoplay sur ses Lives.

Plus de musique de fond sur mes streams. J’étais tristesse. Puis au bout d’un moment, mes millions de viewers ont commencé à me réclamer de la musique en fond sonore.

N’écoutant que mon abnégation à leur égard, j’ai donc décidé de trouver la parade pour streamer un live YouTube dans OBS. Je vais vous détailler tout ça, étape par étape. Pensez bien à envoyer l’URL de cet article à votre streamer ou streameuse préférée.

Je suis donc parti (grâce aux conseils de ma communauté) sur l’option VLC qui permet de tout faire et surtout de lire une vidéo YouTube directement depuis le player comme ceci (je suis sous macOS, mais pour Windows ou Linux, c’est le même principe) :

/Applications/VLC.app/Contents/MacOS/VLC 'https://www.youtube.com/watch?v=7NOSDKb0HlU'

Je sais, il y a une source VLC dans OBS, mais je n’ai jamais réussi à la faire fonctionner correctement. Donc je suis parti sur VLC, mais chargé à l’extérieur d’OBS.

Sauf que je n’ai pas besoin de la vidéo, mais uniquement du son. J’ai donc rajouté ce paramètre :

/Applications/VLC.app/Contents/MacOS/VLC 'https://www.youtube.com/watch?v=7NOSDKb0HlU' --no-video

À ce moment-là, le logiciel que j’utilise pour ma table de mixage (Loopback) n’est pas encore compatible avec la dernière version de macOS. Je ne pouvais donc pas récupérer le son provenant de VLC.

Il fallait donc que je me débrouille sans ça.

J’ai donc entrepris de créer toujours avec VLC, un streaming du live YouTube de Chillhop, qui serait accessible via l’URL http://localhost:2323 que je pourrais alors charger dans une source « Media Source » dans OBS.

Ca donne donc ceci :

/Applications/VLC.app/Contents/MacOS/VLC 'https://www.youtube.com/watch?v=7NOSDKb0HlU' --no-video --sout '#standard{access=http,mux=ogg,dst=localhost:2323}'

Impeccab’ comme dirait le chef Michel Dumas. Je peux alors créer ma nouvelle Media Source dans OBS et avoir le son de Chillhop.

Mais il y a deux problème à cette ligne de commande :

C’est moche et si par réflexe, je ferme le terminal ou VLC, ça coupe la musique.

Alors pour masquer l’interface de VLC, il suffit de le lancer avec ce paramètre :

/Applications/VLC.app/Contents/MacOS/VLC -I http 'https://www.youtube.com/watch?v=7NOSDKb0HlU' --no-video --sout '#standard{access=http,mux=ogg,dst=localhost:2323}'

Impeccab’ again.

Toutefois, penser à le lancer à chaque fois, c’est relou. C’est là que j’ai appris l’existence des scripts dans OBS. En effet, on peut coder des scripts pour interagir avec OBS, soit en Python, soit en LUA. Je suis fan de Python donc je me dis que ça va être vite torché, mais malheureusement, j’ai eu beau spécifier le bon interpréteur Python dans OBS, impossible de faire tourner le moindre script Python. Même un hello world ça ne fonctionnait pas.

Je ne pouvais pas non plus y passer des heures, donc je me suis rabattu sur le LUA. J’ai donc pondu ce script en LUA pour appeler ma ligne de commande VLC. Vous allez voir, c’est plusieurs centaines de lignes de code ultra complexes. Non, je déconne, c’est juste une ligne de merde :

-- Script LUA pour charger la musique de Chillhop dans OBS - https://korben.info

os.execute("/Applications/VLC.app/Contents/MacOS/VLC -I http 'https://www.youtube.com/watch?v=7NOSDKb0HlU' --no-video --sout '#standard{access=http,mux=ogg,dst=localhost:2323}'")

J’ai sauvegardé ce script en le nommant chillhop.lua, puis je me suis rendu dans OBS, menu « Tools » > « Scripts » et j’ai simplement ajouté mon script Lua dedans :

J’ai relancé OBS et là, je me suis rendu compte que ça freezait tout mon OBS. En effet, en se chargeant, VLC bloque la suite du chargement de l’application. J’ai donc rajouté un petit & à la fin de la commande pour que OBS reprenne immédiatement la main et n’attende pas comme un con que VLC ait terminé.

os.execute("/Applications/VLC.app/Contents/MacOS/VLC -I http 'https://www.youtube.com/watch?v=7NOSDKb0HlU' --no-video --sout '#standard{access=http,mux=ogg,dst=localhost:2323}' & ")

Et voilà, ça fonctionne. OBS démarre, exécute le script LUA qui à son tour lance VLC en arrière plan pour lire la musique et OBS peut alors récupérer dans sa Media Source le son diffusé via l’adresse localhost. C’est transparent et rapide.

Ce qui est cool avec tout ça, c’est que ça ouvre un monde de possibilité pour augmenter et piloter OBS tout en script. C’est donc à creuser. Il ne me manque plus que les bonnes idées maintenant.

Surfshark Nexus, une nouveauté de plus pour l’excellent VPN

lundi 14 novembre 2022 à 08:27

Surfshark Logo

— Article en partenariat avec Surfshark

Ce n’est pas la première (ni la dernière) fois que je fais un article pour vous parler de Surfshark VPN sur mon site. Mais si c’est le cas, c’est qu’il y a de nombreuses bonnes raisons de le faire. Régulièrement cités parmi les services VPN les plus fiables, ils sont aussi plutôt novateurs et proposent des options qui deviennent régulièrement des standards. L’une des dernières en date étant l’innovation Nexus.

Exclusivité Surfshark, Nexus permet de connecter l’ensemble du parc de serveurs (+ de 3200) en un seul réseau qui couvre quasiment la planète entière. Le premier bénéfice étant de rendre votre connexion plus stable et rapide. Finis d’être connecté à un serveur unique dont les performances vont être dégradées s’il est surchargé. Par effet cascade le second avantage est donc d’améliorer votre confidentialité. Puisque les informations transitent via plusieurs serveurs, cela fragmente la surveillance possible et renforce donc votre protection. Cette nouveauté sera déployée totalement d’ici fin 2023.

Surfshark Nexus

En attendant vous bénéficiez toujours des fonctionnalités déjà présentes :

D’autres nouveautés sont encore prévues dans les prochains mois, parce qu’on peut toujours faire mieux. Comme par exemple la génération automatique d’une nouvelle adresse IP pour chaque site que vous visitez (sans devoir déconnecter/reconnecter l’outil). Si la fonction MultiHop est déjà disponible (elle permet de mettre un serveur supplémentaire entre vous et le site auquel vous vous connectez), elle disposera bientôt d’une option pour l’automatiser dans certains cas.

Exemple de MultiHop automatique

Vous voulez tester le service pour pas cher ? Il est encore temps de profiter de l’offre Black Friday 2022 ! Cette dernière dure jusqu’au 27 novembre et vous permet de ne payer que 2.05 € par mois (en prenant l’abonnement 2 ans + 2 mois offert). Pour 26 mois cela ne vous reviendra même pas à 54€ au total, hors TVA, soit 84% de rabais. Ce qui fait toujours bien plaisir en pleine période d’inflation. Un prix quasi imbattable pour un VPN de ce calibre.

Si vous êtes du genre à passer pas mal de commandes sur différents e-commerces, vous pourrez récupérer cette somme assez facilement. Comme vous le savez, les prix de certains produits, des billets d’avions ou de trains, d’un service de location … sont parfois dépendants de votre lieu de connexion. Avec Surfshark il suffit de tester depuis différents pays pour comparer les tarifs et prendre le plus intéressant pour vous. Et avec des serveurs dans plus de 100 localisations, il y a de quoi faire des tests et des comparaisons (sortez votre tableur Excel ;)).

Vous pouvez même partager le prix de l’abonnement avec plusieurs membres de la famille puisque le nombre d’appareils supportés est illimité ! Votre enfant n’a que 8 ans ? Pas d’excuses, il faut lui apprendre les dures réalités économiques. S’il veut continuer à regarder Adibou ou Pokémon, faut raquer ;p. Alors que d’autres solutions vont (parfois) jusqu’à 10 ou 12 appareils, Surfshark vous permet de protéger absolument tout et tout le monde. L’ordinateur fixe, les 2 laptops, les 4 téléphones portables, la console de salon, le routeur et les équipements de la maison (Smart TV & Co) … tout sera pris en charge.

Et surtout, en plus d’être très abordable, Surfshark est un VPN parmi les plus fiables actuellement sur le marché. On ne compte plus les distinctions et prix qu’ils ont reçus ces 2 dernières années. Si vous n’êtes pas encore convaincu, profitez de l’essai gratuit de 7 jours (sur Android, iOS et macOS).

Découvrir Surfshark VPN

Comment retravailler l’éclairage d’une photo quand on n’y connait rien ?

dimanche 13 novembre 2022 à 09:00

Fermez les yeux un instant et imaginez : Vous êtes instagrameur ou meuse de haut niveau et vous venez de prendre une jolie photo pour faire la pub d’une crème blanchissante. Seulement, voilà, la lumière n’est pas top.

Vous décidez alors d’arrêter votre carrière de rage.

Mais attendez, pas si vite ! Il est maintenant possible de sauver votre photo grâce à l’outil Relight de Clipdrop. Son fonctionnement est assez simple : vous uploadez votre photo, et vous placez autant de sources lumineuses que vous voulez ensuite sur celle-ci.

Vous choisissez alors la couleur de la source lumineuse, sa distance par rapport au sujet de votre image et son rayon.

Ainsi, vous pouvez passer d’une photo sous-exposée comme celle-ci

A une photo plus lumineuse comme celle-là :

Cool non ?

Je ne doute pas qu’on puisse faire la même chose avec un outil pro comme Photoshop, mais là, pour les débutants comme moi, c’est parfait !