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Jotun : Valhalla Edition – Le jeu gratuit de la semaine

jeudi 5 décembre 2019 à 21:20

Le week-end approche à grand et je ne pouvais pas vous laisser sans rien. Heureusement, Epic Games Store qui ne recule devant rien pour grignoter quelques parts de marché à Steam, a décidé d’offrir le jeu Jotun: Valhalla Edition pour Windows et macOS.

Jotun est un jeu d’action et d’exploration dans lequel vous incarnez Thora, un guerrier viking qui est malheureusement mort dans des circonstances peu glorieuses et qui doit passer des épreuves pour remonter dans l’estime des Dieux nordiques pour rentrer enfin au Valhalla.

Si vous aimez l’esprit nordique, je vous invite vivement à tester ce jeu. Ça vous changera de vos escape games improvisés chez Ikea.

Amusez-vous bien !


Des proxys sans limites ça vous tente ?

Smartproxy vous permet d’aller au delà de toutes les restrictions

Utilisez les adresses IP résidentielles de vrais périphériques pour acheter des biens ou effectuer toute autre opération avec un nombre de connexions illimité.

Le tout avec une géolocalisation sur 195 sites dans le monde, y compris 8 grandes villes.

Passez aux proxys


Certbot 1.0 est enfin disponible – Vous n’avez plus d’excuses pour ne pas activer HTTPS sans douleur sur votre site

jeudi 5 décembre 2019 à 16:31

Vous vous souvenez de mon merveilleux article sans nul égal au sujet de la mise en place d’un certificat SSL Let’s Encrypt à l’aide d’un formidable utilitaire baptisé Certbot ?

Oui, je suis sûr que vous le relisez religieusement au moins une fois par semaine. Et bien bonne nouvelle, l’EFF (Electronic Frontier Foundation) qui est à l’origine de cet outil vient de publier à l’instant la version 1.0 de Certbot.

Sorti initialement en 2015, cet outil libre et open source permet de déployer et mettre à jour les certificats des sites web très facilement. Plus de prise de chou, même pour le néophyte avec cet outil qui permet d’automatiser tout ça.

Cette première release majeure supporte plusieurs serveurs web apache et nginx mais aussi beaucoup d’autres à l’aide de plugins. Les clés privées sont générées uniquement sur votre serveur et restent sur celui-ci. Certbot peut se brancher directement à Let’s Encrypt ou vous pouvez l’utiliser avec un autre fournisseur compatible. Il permet aussi de mettre à jour et de révoquer des certificats, d’ajuster la longueur de la clé RSA (2048 par défaut que vous pouvez augmenter) et si vous le souhaitez, vous pouvez activer une redirection transparente de tout le trafic HTTP vers HTTPS.

Certbot peut fonctionner de manière totalement automatisée (cron ou scripts) et chaque changement que vous effectuerez avec celui-ci est loggé, ce qui permet de revenir en arrière en cas de pépin.

Bref, un excellent outil qui vous fera gagner beaucoup de temps s’il vous arrive de déployer des certificats SSL pour la mise en place de HTTPS sur vos sites web ou ceux de vos clients.

Et pour le tuto c’est ici.

+ d’infos ici.


Des proxys sans limites ça vous tente ?

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Quand un jeu décède, lâchement tué par son DRM

jeudi 5 décembre 2019 à 12:06

Dans la série « Les DRM sont l’une des pires inventions de l’Humanité« , je vais vous conter la dernière blagounette qui est arrivée dans le secteur du jeu vidéo.

Si vous êtes gamer, vous connaissez sans doute le jeu Tron: Evolution sorti en février 2011. Peut-être, même l’avez-vous acheté ?

Et j’imagine que depuis 9 ans, vous l’avez délaissé et êtes passé à autre chose. Mais pourquoi ne pas y rejouer pour retrouver un peu de nostalgie ?

Et bien vous ne pourrez pas ! Cheh !

C’est qu’ont découvert des joueurs qui en voulant réinstaller ce jeu, ont eu la désagréable surprise de tomber sur une popup leur annonçant que leur numéro de série avait expiré.

Et peu importe que la version du jeu soit une version Steam ou une version vendue en boite, le message est sans équivoque.

Après prise de renseignements, l’explication est pourtant toute simple.

L’éditeur du jeu qui n’est autre que Disney n’a pas prolongé son abonnement au système d’activation proposé par la société SecuROM. Ces derniers ont donc coupé le service d’activation qu’ils louaient à Disney sous la forme d’un abonnement. Hé oui, toi pas payer, toi pas de service.

Sauf qu’évidemment, ça retombe sur tous les acheteurs du jeu.

La balle est donc dans le camp de Disney. Que vont-ils faire ? Reprolonger leur abonnement SecuROM ? Sortir le jeu sans DRM ? Ignorer les joueurs ?

Bon, apparemment, ils bossent sur un patch mais on ne sait rien de plus.

On verra bien, mais en tout cas c’est un bon rappel sur ce qu’est vraiment un DRM. Un DRM c’est tout simplement un « kill switch » que l’éditeur d’un contenu place sur une oeuvre que vous payez. Et grâce à ce kill switch, il peut vous en retirer l’accès à tout moment, mais aussi, pourquoi pas, vous faire repasser à la caisse s’il en a envie.

Même si on l’oublie, on ne sait jamais quand ce kill switch sera activé. Toutefois il est bien là et un jour, comme dans le cas de Tron: Evolution, il se déclenchera au grand détriment des acheteurs.

En ce qui me concerne, j’essaye toujours de prendre des choses sans DRM, mais quand je ne peux pas, je fais sauter le verrou numérique. Parce qu’on ne sait jamais d’abord et ensuite parce que j’ai un fort esprit de liberté ;-).

À vous de voir maintenant, mais si vous aimez jouer intellectuellement, demandez-vous toujours comment retirer un DRM lorsque vous en voyez passer un ! (Et passez-moi l’info, je ferai des tutos ;-)))


Des proxys sans limites ça vous tente ?

Smartproxy vous permet d’aller au delà de toutes les restrictions

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Linux avec une interface graphique sous Windows (WSL) Shadow

jeudi 5 décembre 2019 à 09:45

Bon, je sais, ce titre c’est un peu le bordel, mais je vais tout vous expliquer. J’utilise régulièrement mon PC Shadow qui est un ordinateur Windows dans le cloud qui fonctionne très bien. C’est vraiment un avis objectif, car à chaque fois que je le lance, je suis bluffé par l’absence de latence et les possibilités de leur client.

Breeeef. Dans mes errances nocturnes, je me suis dit que ce serait rigolo d’avoir un Linux sur mon Shadow. Malheureusement, comme c’est une machine virtualisée, ce n’est pas vraiment possible de faire fonctionner à l’intérieur une Virtualbox ou quelque chose comme ça (ou alors je n’ai pas trouvé).

Mais heureusement, sous Windows, il y a WSL, qui est le Windows Subsystem for Linux. C’est un truc dont je vous ai déjà parlé et qui permet d’avoir une distrib Linux comme Ubuntu, en ligne de commande, nativement sous Windows, sans virtualisation. C’est très cool. Mais ce que je vous propose aujourd’hui, c’est d’aller encore plus loin dans le cool en faisant tourner sur WSL des applications graphiques. Voire même un bureau complet comme Xfce ou Unity.

Notez que ce tuto fonctionnera avec n’importe quelle machine Windows 10, qu’elle soit physique ou virtualisée Shadow, Virtualbox, VMWare ou que sais-je encore.

Étape 1 – Installer WSL

Première mission pour vos petits doigts potelés, installer le WSL. Pour cela, lancez PowerShell en Administrateur comme ceci, en tapant PowerShell dans la barre de menu :

Dans PowerShell, entrez la ligne de commande suivante :

Enable-WindowsOptionalFeature -Online -FeatureName Microsoft-Windows-Subsystem-Linux

Étape 2 – Installer une distrib

Ça va s’installer tranquille. Pendant ce temps là, posez-vous la question de la distrib Linux que vous aimeriez installer. Actuellement voici les distrib dispo sur le Windows Store :

Vous pouvez aussi lancer le Windows Store et taper WSL dans la barre de recherche.

Une fois que WSL est installé sur votre machine, il vous faudra rebooter. Dès que la machine a redémarré, vous pouvez installer le Linux de votre choix. Pour mon article, j’ai pris Ubuntu.

Lorsque l’installation se termine, un terminal Linux se lance vous demandant de créer un compte utilisateur et un mot de passe associé.

Trop cool.

Étape 3 – Mettre à jour Linux

Ensuite, mettez à jour tout ça avec un petit :

sudo apt-get update
sudo apt-get upgrade

Bon, voilà, là vous avez un beau Linux sous Windows, c’est parfait. L’autre excellente nouvelle, c’est que par défaut WSL sait exporter nativement ses écrans dans un serveur X (plus besoin de modifier votre .bashrc).

Cela signifie que vous allez pouvoir installer et utiliser des applications graphiques Linux sous Windows. C’est chouette ça non ?

Notez que si à un moment, vous fermez la fenêtre WSL, vous pouvez relancer votre Linux via le menu Démarrer ou le champ de Recherche de Windows en tapant Ubuntu.

Étape 4 – Installer un serveur X

Tout ce que vous avez à faire c’est installer l’outil VcXsrv ou un équivalent sur votre Windows.

Au lancement de VcXsrv, vous pouvez choisir un mode d’affichage. « Multiple Windows » signifie que les applications vont se lancer dans des fenêtres indépendantes. Et « One large windows » va afficher le bureau et tout le bordel dessus ainsi que toutes vos applications.

Pour le moment, comme on n’a pas installé d’environnement de bureau, si vous choisissez « One large windows », vous aurez un joli fond noir.

Pour le reste des paramètres de VcXsrv (display number and co), laissez tout par défaut. VcXsrv est lancé et on va installer une application avec interface graphique pour vérifier que tout fonctionne.

Dans votre terminal WSL, tapez :

sudo apt-get install vim-gtk

Cela va installer gvim qui est un éditeur de texte (vim) avec une GUI. Toujours dans WSL, tapez :

gvim

Et vous devriez voir quelque chose comme ça :

C’est beau je suis ému. A partir de là, vous pouvez installer à peu près tout ce que vous voulez.

Étape 5 – Installer un environnement de bureau (Xfce, Unity…etc.)

Mais si vous voulez un bureau, je vous invite à en installer un. Bon, Unity, je suis pas trop fan comme beaucoup de monde, alors pour changer un peu, je vous propose d’essayer Xfce.

Pour installer Xfce il suffit d’entrer la commande suivante :

sudo apt-get install xfce4

Dès que c’est installé, il vous suffira de taper :

xfce4-session

Et vous devriez obtenir ceci :

Elle est pas belle la vie ?

Si ce tuto vous a plu, n’hésitez pas à le partager sur vos réseaux et à me faire des retours !

Amusez-vous bien !


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Le Raspberry Pi 4 chauffe un peu trop vite ? Comment y remédier ?

mercredi 4 décembre 2019 à 09:00

Il semblerait que les concepteurs du nouveau Raspberry Pi 4 aient un peu sous-estimé la chauffe engendrée par la nouvelle puce. Plus rapide c’est certain, mais comme elle chauffe plus, la carte se met assez rapidement en mode protégé et baisse alors la fréquence de la puce.

Cette mise en sécurité est bien, car ça évite d’endommager le Raspberry Pi 4 mais comme ça chauffe trop vite, ce mode s’enclenche trop vite. Par conséquent, en utilisation normale, la carte est souvent en sous-fréquence.

C’est moche.

La version initiale (Rpi 4 en charge)

Pour remédier à cela, un nouveau firmware vient tout juste de sortir. Le problème de chauffe est maintenant beaucoup mieux géré.

Avec le nouveau firmware (Rpi 4 en charge)

Youpi !

Toutefois, si vous voulez encore rafraichir un peu plus votre Raspberry Pi 4, sachez que le mieux est de le positionner sur la tranche. Ainsi la chaleur se dissipe mieux. Vous pouvez aussi opter pour des boitiers à imprimer en 3D avec ventilo et radiateur à rajouter.

Alors à moins que vous ne vous chauffiez avec des Raspberry Pi 4, pour mettre à jour le firmware, voici les commandes à entrer :

sudo apt update
sudo apt full-upgrade

Et ensuite, il faut le rebooter

sudo shutdown - r now

Il semblerait que cette manip soit à destination uniquement de Raspbian, donc si vous utilisez votre Raspberry Pi avec une autre distrib, il existe une procédure pour mettre à jour l’eeprom avec l’utilitaire rpi-eeprom.

Source


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